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DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA PHALANGE - LA NATION, CREATION CHRETIENNE

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Message par Hervé J. VOLTO Sam 7 Jan 2023 - 17:04

DANS L'ATTENTE DU GRAND MONARQUE : LA NATION, CREATION CHRETIENNE




Que faire, dans l'attente du Grand Monarque Henri V de La Croix, qui sera le Roi du Sacré-Coeur et sauvera la France et la Chrétienté ? nous pourrions commencer par être de bons Soldats de la Croix : pour applanir les chemins du Roi, prenons donc l'exemple du Phalangiste, Catholique, Royaliste, Communautaire.

-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français ; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que je suis Catholique et Français (Comte Maurice d'Andigné).

Le Soldat de La Croix doit préparer le retour du Grand Monarque qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi de France à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.

Chaque semaine, votre serviteur voudrait vous faire connaître les 150 Point de la Phalange.

Aujourd'hui, si vous le voulez bien, nous traiterons du Point 55.

Point 55. La nation, création chrétienne.
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C’est l’Église qui a fait les nations, et d’abord les nations européennes, en assagissant les Rois, en moralisant les peuples.

1. Pendant les siècles de l’effondrement de l’Empire romain et des invasions barbares, la religion du Christ se répandit partout ; elle était à tous, aux Latins comme aux Barbares, sans considération de leur appartenance ethnique ou politique. Des rois, des chefs de guerre conquirent des pays, échangèrent des peuples, avancèrent et refluèrent dans un ­va-et-vient auquel l’Église n’était pas mêlée. Toutefois, elle maintenait avec la foi et la discipline Chrétiennes tous les trésors de pensée, d’ordre et de civilisation que ces peuples avaient hérités de la Rome décadente.

2. L’Église reconnut très tôt l’autorité de fait des rois barbares et consentit au partage des terres d’empire qu’ils avaient envahies, reconnues en autant de royaumes plus nominaux que réels, sans cesse changeant de mains et de fortune. C’est pourtant de ces royaumes que l’Église saura faire, à force d’intelligence et de patience, des communautés humaines stables, organisées sur le modèle romain, qui deviendront lentement des nations ayant, pour comble de perfection, une Foi, une Loi, un Roi, rendues capables de se maintenir dans leur unité, de siècle en siècle plus formée et plus affirmée, et de prospérer au sein des pires ébranlements.

L’existence nationale est donc un fruit spécifique de notre civilisation chrétienne, au point de convergence idéal de l’État racial juif, de la Cité grecque, et de l’Empire romain. C’est l’Église qui, par sa force spirituelle et son génie civilisateur, a engendré ce type supérieur de communauté humaine : la nation.

L’unité nationale ne peut donc donner lieu à la définition cartésienne d’une idée claire et distincte. Ce n’est ni un territoire contenu dans d’hypothétiques frontières naturelles, ni une race, ni une langue, ni une tradition commune, ni un intérêt commun. Les nations européennes sont le résultat, fortuit, mais admirable, d’une lente formation de l’unité spirituelle et temporelle, en partie innée, en partie volontaire, spontanée et organisée, de sentiment et de raison, œuvre de nécessité, mais aussi de puissance, sous l’influence de l’Église leur créant une âme commune, et sous l’autorité d’un pouvoir politique constant et heureux.

3. La Chrétienté, qui était d’abord une civilisation sans autre support que l’Église, seule restée debout dans les ruines de l’Empire, s’est transformée, par un lent mûrissement politique, en un concert des nations chrétiennes, chef-d’œuvre rare, incomparable, de l’Église dans le champ du temporel. D’une multitude de peuples barbares, déferlant sans arrêt sur l’Europe, sans cesse brassés et bousculés, sous la contrainte de chefs encore féroces et païens, l’Église saura faire une mosaïque d’États acquis à l’idée de leur coexistence pacifique, du respect des traités, et de leur union chrétienne contre toute barbarie extérieure menaçante.

Un immense progrès politique s’est accompli ainsi sous l’égide de l’Église romaine. Le monde barbare s’est stabilisé, civilisé, romanisé, christianisé. Des royaumes connurent l’ordre et la paix intérieurs ; ils modérèrent leurs querelles à l’appel de l’Église et commencèrent à ressentir l’unité du monde chrétien face aux périls extérieurs. Ainsi se dégagea de l’œuvre patiente des évêques gallo-romains « passant aux barbares », plus exactement, convertissant et civilisant les barbares, une politique chrétienne admirablement réaliste, cohérente et féconde.

Mon humble conclusion : Le Soldat de la Croix, sur le modèle du Phalangite -Catholique et Français toujours ! et Royaliste parce que Catholique et Français- est prêt pour l'action Royaliste devant applanir les chemins du Roi. Il sait que le peuple Français est un peuple de race blanche, de culture gréco-romaine et de religion Chrétienne. Le nationalisme apparait dans la petite bourgeoisie, sous la plume des philosophe des lumières. Le nationalisme signifiait pour eux, à cette époque, que c’est le peuple qui incarne le Pays, par opposition à la vision de l’Ancien Régime pour lequel le Pays, la nation, est incarnée par le Roi, Père du Peuple.

Le problême du nationalisme révolutionaire est que le peuple, refusant le Roi, doit se choisir un chef en l’élisant démocratiquement. Que se passe-t-il si le chef élu démocratiquement ne fait pas les intérets de la nation Française mais celles d’un des quatres “Etats Confédérés” -sionisme, protestantisme, communisme, islamisme- pouvant prendre le pouvoir à travers le système démocratique ? Le peuple s’est-il choisi de bon Chefs d’Etat depuis 1789 et surtout depuis 1958 ?!

La démocratie n’est pas une réalité, c’est une idée, et un idée mauvaise, car elle n’est pas naturelle.

La démocratie soumet la qualité à la quantité, le meilleur au nombre. La démocratie “c’est la mort” (Charles Maurras).

Le nationalisme intégral a pour ambition d’être une doctrine Contrerévolutionnaire, le Roi Très Chrétien incarnant la nation des Francs qui a Dieu pour fondateur, et censée assurer la cohésion de la France et sa grandeur, Dieu voulant que le pays soit incarné par un Roi, père du Peuple, et non pas par l’ensemble abstrait du peuple.

Le Roi, c’est l’incarnation de la Nation, son chef naturel. Chaque nation a un chef naturel suscité par Dieu (Eccl. 17:14). Même les gitans ont un Roi ! Le Roi est un point de rencontre, un “axe du monde” reliant le ciel et la Terre : Lieutenant de Dieu sur Terre, le Roi fait descendre les Grâces du Ciel sur son peuple et, chef naturel de sa nation, il fait remonter les prières de son peuple vers le Ciel.

Catholique et Français toujours ! Et Royaliste parce que Catholique et Français...




Hervé J. VOLTO

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Message par Hervé J. VOLTO Sam 7 Jan 2023 - 17:07

C’est de ce Royaumes des Francs qui a Dieu pour fondateur que l’Église saura faire, à force d’intelligence et de patience, un ensemble de communautés humaines stables, organisées sur le modèle romain, qui deviendront lentement une nation ayant, pour comble de perfection, une Foi, une Loi, un Roi, rendues capable par sa Royauté Très Chrétienne de se maintenir dans leur unité, de siècle en siècle plus formée et plus affirmée, et de prospérer au sein des pires ébranlements.

Hervé J. VOLTO

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Message par Hervé J. VOLTO Sam 7 Jan 2023 - 17:11

C’est ce Royaumes des Francs qui a Dieu pour fondateur qui, Baptisé par l'Eglise, deviendra la France.

Le Soldat de La Croix, sur l'exemple Phalangiste -Catholique, Royaliste, Communautaire- doit préparer le retour du Grand Monarque HENRI V DE LA CROIX qui reprendra la mission, la colonisation et la Croisade, pour la protection et l’expansion de la civilisation Chrétienne, pour l’amour du Christ et du Cœur Immaculé de Marie, et le salut temporel et éternel de la France et de tous les peuples. Le Sacre du nouveau Roi de France à Reims fera s'accomplir la volonté de Marie Immaculé.

Hervé J. VOLTO

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