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17 FEVRIER : FUITE EN EGYPTE, FETE DE SAINT SYLVIN ET DES SAINST FONDATEURS DE L'ORDRE DES SERVITEURS DE MARIE

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17 FEVRIER : FUITE EN EGYPTE, FETE DE SAINT SYLVIN ET DES SAINST FONDATEURS DE L'ORDRE DES SERVITEURS DE MARIE Empty 17 FEVRIER : FUITE EN EGYPTE, FETE DE SAINT SYLVIN ET DES SAINST FONDATEURS DE L'ORDRE DES SERVITEURS DE MARIE

Message par Hervé J. VOLTO Ven 17 Fév 2023 - 12:18

17 février : fête de Saint Sylvin Confesseur et évêque (Calendrier Tradi)

Quittant la cour du roi Thierry III, il entreprit des pèlerinages, d'abord en Terre Sainte, puis à Rome où il reçut la consécration épiscopale. Prédicateur infatigable, il vint évangéliser l'Artois où il rendit son âme à Dieu.
Saint Sylvin naquit dans la région de Toulouse. Il passa une partie de sa jeunesse à la cour des rois Childéric et Thierry III. Sur le point de se marier, il quitte subitement la cour pour vivre au désert. Après un pèlerinage à Rome, il est consacré évêque. Il évangélisa la région des Morins. Il mourut à Auchy-Ies-Hesdin le 15 février 717 (source: Saints du Pas de Calais - diocèse d'Arras au 15 février).

Martyrologe romain




17 février : fête des Sept saints fondateurs de l'Ordre des Serviteurs de Marie (Calendrier moderniste)

Sept illustres patriciens vivaient à Florence, au début du XIIIe siècle, qui unissaient la grande Vertu à la Noblesse du sang : Bonfiglio Monaldi, Bonagiunta Manetti, Manetto dell'Antella, Amadio degli Amedei, Uguccione degli Uguccioni, Sostegno dei Sostegni, Alessio dei Falconieri. Alexis de Falconieri est l'un des sept marchands florentins qui se libérèrent des servitudes de leur négoce pour vivre au service de l'Église, à l'image de la Mère de Dieu, dans la prière et dans l'apostolat.

Attribué à la congrégation de la ville de Santa Maria Maggiore, le jour de la fête de l'Assomption en l'an 1233, à l'église, ils furent pris d'extase et eurent une vision. Il leur sembla voir sept rayons de vive lumière sortir d'un globe ardent et les pénétrer, ce qui les incita à renoncer à la vie du monde et à se retirer pour se consacrer uniquement au service de Dieu.

Lorsque les pieux exercices furent terminés, les autres frères quittèrent l'église, mais ils s'arrêtèrent là.

Ils se regardèrent avec étonnement, et personne n'osa dire la vision le premier. Bonfiglio rompit enfin le silence, racontant ce qu'il avait vu et entendu, et les autres furent stupéfaits d'entendre chacun manifester sa vision. Ils acceptèrent alors de se consacrer au service de Dieu et, sans tarder, ils emballèrent leurs biens et se retirèrent dans la solitude.

Avec l'approbation et la bénédiction de l'évêque, ils se rendirent à Camarzia, près de Florence, et là, ils s'habillèrent de laine grossière, cachant en dessous le cilice et une grande ceinture de fer. Avec la célébration de la Sainte Messe par un prêtre envoyé par l'évêque et avec la Sainte Communion, ils ont inauguré leur nouvelle vie le jour de la Nativité de la Sainte Vierge Marie.

Obligés de retourner à Florence pour demander à l'évêque quelle règle ils devaient adopter, les enfants emmaillotés et les nourrissons criaient en passant dans les rues : "Voici les serviteurs de Marie, voici les serviteurs de Marie !"

À Camarzia, leur maison devint la destination des pèlerinages, de sorte que, pour ne pas être dérangés, ils supplièrent la Sainte Vierge de leur indiquer un lieu plus solitaire. Et ils furent exaucés, car, leur apparaissant, elle leur indiqua le mont Senario. S'étant retirés sur les hauteurs escarpées et infranchissables, ils vécurent d'abord dans des grottes creusées par la nature dans la roche, puis commencèrent à construire des cabanes en bois, puis une église et d'autres maisons plus belles, et enfin entourèrent le tout d'une haie.

Le cardinal Goffredo Castiglione, légat du pape pour la Toscane, se rendit avec l'évêque sur la montagne et exhorta ces solitaires à atténuer leur vie de pénitence et à accueillir dans leur communauté ceux qui souhaitaient y entrer. C'est ainsi que les religieux et les nouveaux monastères commencèrent à se multiplier.

Une vision détermina alors la règle à suivre. La Sainte Vierge leur apparut un jour entourée d'Anges : certains d'entre eux portaient des symboles de la Passion de Jésus, d'autres portaient un livre ouvert avec les règles de Saint Augustin, d'autres étaient vêtus de robes religieuses noires, d'autres encore portaient les mots : " Serviteurs de Marie ".

On peut donc dire que la Vierge était, de manière sensible et directe, la fondatrice de la congrégation et qu'ils en étaient les coopérateurs dociles et fidèles.

LA PRATIQUE. Des sept fondateurs, nous devons apprendre la constance à suivre la vocation à laquelle Dieu nous appelle pour accomplir sa sainte volonté.

PRIÈRE. Seigneur Jésus-Christ, qui, pour vénérer les douleurs de votre très sainte Mère, par les sept saints Pères, avez fécondé l'Église d'une nouvelle famille de ses serviteurs, accordez-nous de nous joindre à eux dans le deuil, afin de mériter de partager avec eux les joies.

MARTYROLOGIE ROMAINE. Les sept saints fondateurs de l'Ordre des Serviteurs de la Sainte Vierge Marie, Confesseurs, dont la déposition est célébrée en leurs jours respectifs.
Eux qui, de leur vivant, étaient unis par le même esprit de vraie fraternité et qui, après leur mort, étaient tous unis dans la vénération du peuple, furent également inscrits ensemble dans le catalogue des Saints par le Pape Léon le Dixième.

Source :
https://www.santodelgiorno.it/santi-sette-fondatori-dell-ordine-dei-servi-della-beata-vergine-maria/

Hervé J. VOLTO

Date d'inscription : 19/12/2016

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Message par Hervé J. VOLTO Ven 17 Fév 2023 - 12:32

Au 17 février, le martyrologe fait mention de la fuite en Egypte de NSJC.
­
La Fuite en Égypte et le massacre des Innocents sont rapportés dans un passage de l'Évangile selon Matthieu (Mt 2, 13-23) qui forme une unité rédactionnelle. Cet épisode est un thème iconographique majeur dans l'art chrétien.

Les deux textes font partie du corpus propre à cet évangile : ces faits ne sont pas évoqués dans les deux autres évangiles synoptiques (Marc et Luc) ni dans celui de Jean.

Selon Matthieu, le roi Hérode Ier, informé par les mages de la naissance du « Roi des Juifs » à Bethléem, envoya tuer tous les enfants de moins de deux ans qui se trouvaient dans la ville. Joseph, prévenu par un songe, s'enfuit avec l'enfant Jésus et sa mère en Égypte, où ils restèrent jusqu'à la mort d'Hérode. Cependant, comme le fils d'Hérode, Archélaüs, régnait sur la Judée à la suite de son père, par prudence, Joseph s'installa avec sa famille à Nazareth en Galilée.

Hervé J. VOLTO

Date d'inscription : 19/12/2016

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