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Je prends un petit moment avant de commencer ma journée de travail pour vous informer que le technicien ne pourra pas passer à la maison avant lundi soir. Je dois confirmer avec la compagnie demain après-midi. En attendant la reprise de mes fils, je ne peux résister à vous publier ce texte, source du site "Message Lumière":

Qui cherche Dieu ne manque d'aucun bien.

Je bénirai le Seigneur en tout temps,
sa louange sans cesse à mes lèvres.
Je me glorifierai dans le Seigneur :
que les pauvres m'entendent et soient en fête!

Tel est le psaume du jour! Chanter Dieu, voir sa grandeur et s'en émerveiller!
La routine, les occupations sérieuses de tous genres, la maladie... combien on peut facilement en arriver à ne plus voir les beautés qui nous entourent ni les gens merveilleux qui sont là pour nous.
Nous sommes « dans notre monde », souvent un peu tristes, et nous ne voyons rien d'autre.

Je vous raconte une belle leçon de sagesse de saint François d'Assise.

Un jour, le frère Léon va voir saint François, tout triste, à cause de son cheminement spirituel.
Il avait besoin d'encouragement, il était un peu replié sur lui-même, dirait-on.
François l'écouta attentivement, puis à la fin, il prit un parchemin et commença à écrire.
Léon se disait : « Il va me féliciter, et je garderai ce papier, écrit de sa main, bien précieusement. »

François écrivit longuement... puis il remit le papier à son frère Léon. Qu'avait-il écrit?
C'était pour Léon, mais serait-ce aussi pour toi comme pour moi?

François leva la plume et s'arrêta. Il aurait pu continuer à écrire pendant des heures. C'était un débordement tranquille de son cœur. Il dit à Léon : « Voilà, prends ce parchemin et garde-le sur toi, jusqu'à ta mort. Et que vienne sur toi la grande douceur du Seigneur notre Dieu. »

La paix revint dans le cœur de Léon. Et François de lui dire :
« Celui qui fait siennes ces paroles s'ouvre à l'esprit de louange et d'adoration, celui-là vit une expérience d'émerveillement qui le dessaisit de lui-même. Il cesse de se crisper sur son destin, de se regarder.
Celui qui fait siennes ces paroles ne se demande plus où il en est dans sa vie d'union avec Dieu... Il vit plus en Celui qu'il contemple qu'en lui-même.
Son être n'est plus qu'un regard émerveillé... Peu importe alors où il en est, il ne se pose plus de questions :


En union de prière avec vous tous,
jaimedieu