Portail*Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
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*Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
par Lumen Lun 14 Nov 2022 - 22:00
*Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
9 jours pour demander à Notre-Dame de la médaille miraculeuse un MIRACLE dans votre vie ! En podcast, découvrez la vie inspirante de sainte Catherine Labouré, qui a rencontré la Vierge !
9 jours pour demander à Notre-Dame de la médaille miraculeuse un MIRACLE dans votre vie ! En podcast, découvrez la vie inspirante de sainte Catherine Labouré, qui a rencontré la Vierge !
Le 27 novembre nous fêterons Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse !
A cette occasion priez cette neuvaine et déposez votre intention de prière dans les mains de la Vierge sur cette page dédiée !
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Et... une journée Hozana est prévue à Paris ! Visite-promenade autour de la cathédrale Notre-Dame, puis marche jusqu'au sanctuaire de la rue du Bac pour y confier nos intentions. Inscrivez-vous par ici !
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Programme de la neuvaine
Chaque jour de la neuvaine vous recevrez un podcast contant la vie de sainte Catherine Labouré puis une prière. Au dernier jour de la neuvaine, vous recevrez une prière guidée.
La Médaille miraculeuse, en bref
La médaille miraculeuse est une médaille de la Vierge parmi les plus connues et les plus portées au monde. Elle est aussi appelée la médaille miraculeuse de la rue du Bac car son histoire débute dans cette chapelle historique des Filles de la Charité, en plein Paris. En 1830, la sainte Vierge apparaît à une novice et lui demande de frapper une médaille en son nom. C'est le début d'un succès planétaire. Chaque année, plus de deux millions de visiteurs se rendent à la chapelle au 140 rue du Bac, à Paris.
Catherine Labouré et la chapelle de la rue du Bac à Paris
Pour comprendre l'histoire de la médaille miraculeuse, il faut remonter au 19eme siècle et suivre le parcours d'une jeune novice, Catherine Labouré. Catherine naît le 2 mai 1806 à Fain-les-Moutiers. C'est une paysanne qui, enfant, travaille dans la ferme familiale. Devenue orpheline, elle intègre la congrégation des Sœurs de Saint-Vincent-de-Paul, aussi appelées les Filles de la Charité, rue du Bac à Paris.
C'est dans cette chapelle que la Vierge lui apparaît une première fois le soir du 18 juillet 1830. Réveillée par un enfant qui l'enjoint à se rendre à la chapelle du couvent, Catherine s'y rend. La Vierge ne tarde pas à apparaître et lui dit : « Mon enfant, le bon Dieu veut vous charger d'une mission. Votre tâche sera délicate et difficile ».
Les jours passent. La Vierge ne paraît plus, et ce n'est que le 27 novembre suivant que Catherine a une nouvelle apparition : alors qu'elle est en train de prier dans la chapelle, elle voit se dessiner deux tableaux au-dessus de l'autel, chacun représentant une face d'une médaille à faire graver. La Vierge s'adresse alors à elle et lui dit : « Faites frapper une médaille sur ce modèle. Les grâces seront abondantes pour les personnes qui la porteront avec confiance. »
Pourquoi la médaille est-elle miraculeuse ?
Pour comprendre la suite il faut se remettre dans le contexte historique. Nous sommes alors en 1832. La France est touchée par une épidémie de choléra. Paris est dévasté. Le confesseur de Catherine obtient l'autorisation de l'évêque de frapper des médailles pour les distribuer. Les Filles de la Charité distribuent la fameuse médaille, alors appelée la Sainte Médaille, et les miracles commencent à se produire. La médaille devient Miraculeuse. Lors de la pandémie de choléra, les sœurs ont utilisé la médaille. Ce sont ces miracles de guérison du choléra qui ont éveillé l'attention. D'ailleurs les sœurs ne contractaient pas le choléra… elles y allaient en portant la médaille !
Deux ans plus tard, en 1834, on compte plus de 500 000 médailles distribuées. Sa renommée devient mondiale. Les fidèles adoptent cette médaille qui est une manière de se mettre sous la protection de la Vierge Marie. En 10 ans, 100 millions de médailles sont ainsi frappées et distribuées dans toute l'Europe. Le milliard est dépassé en 1876. Le 27 juillet 1947, Catherine Labourée est canonisée par le pape Pie XII, 70 ans après sa mort.
Aujourd'hui dans la chapelle, on compte 2118 ex-voto de grâces obtenues grâce à la médaille…
Source : site internet de vente de médailles Marmottine
Pour avoir une authentique Médaille Miraculeuse, bénie au Sanctuaire et donnée gratuitement, envoyez une lettre contenant une enveloppe timbrée avec votre adresse pour la réponse à :
Association de la Médaille Miraculeuse - 95 rue de Sèvres – 75006 Paris – France
Belle neuvaine à tous !
Prière de la neuvaine
Prière à Notre Dame de la médaille miraculeuse par
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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Re: *Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
par Lumen Sam 19 Nov 2022 - 13:22
*Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
9 jours pour demander à Notre-Dame de la médaille miraculeuse un MIRACLE dans votre vie ! En podcast, découvrez la vie inspirante de sainte Catherine Labouré, qui a rencontré la Vierge !
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Jour 1 - neuvaine à ND de la Médaille Miraculeuse avec sainte Catherine Labouré
Déposez votre intention de neuvaine à Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse sur cette page dédiée !
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Podcast
Texte du podcast
Comment évoquer Sainte Catherine Labouré sans que vienne aussitôt à l'esprit la Médaille Miraculeuse de la Vierge Marie ? Ceux qui, parmi nous, ont eu le privilège de se rendre à la Chapelle de la rue du Bac, à Paris, où la Vierge est apparue, gardent le souvenir à la fois ébloui et intime de ce lieu de douceur, de ferveur, de prière. Cet endroit où une jeune novice a désiré si fort voir la Vierge Marie qu'elle a été exaucée. Notre-Dame a en effet choisi de se rendre présente et d'exprimer sa volonté à une humble fille, plutôt effacée, qui ne semble pas avoir laissé de traces dans notre histoire.
Peut-être faut-il trouver dans cet effacement la clé qui nous permet de mieux comprendre cette sainte que nous connaissons si peu : son humilité, son silence. Pour que la Vierge Marie se déploie dans toute sa gloire, elle-même se retire. Elle confie à son confesseur les révélations dont elle est le vecteur. A lui de les faire connaître, d'en tenir compte ou non, comme nous le verrons. Elle joue son rôle. Puis elle s'efface dans l'obéissance.
La petite Zoé Labouré vient au monde le 2 mai 1806, à six heures du soir, dans un village de la Côte d'Or, presque un hameau, aux maisons groupées autour d'une modeste église : Fain-les-Moutiers est situé non loin de Vézelay, dans cette terre de Bourgogne qui a vu naître de si grands saints, Saint Bernard, Sainte Jeanne de Chantal. Ses parents possèdent une grosse ferme et cultivent leurs terres. Ils se sont mariés pendant la Terreur, en 1793. Sans être riches, ils gagnent largement de quoi vivre et nourrir leur nombreuse famille. Car le bébé qui dort paisiblement dans le joli berceau de bois de la ferme est loin de l'étrenner : sept frères et une sœur l'y ont déjà précédé… et deux autres suivront.
Les Labouré sont très chrétiens. Ils ont contribué à la restauration de leur église où ils possèdent leur banc comme c'était la coutume autrefois. A chaque naissance, leur premier souci est de baptiser le bébé le plus rapidement possible tant la mortalité des enfants est importante à cette époque. Aussi l'acte de naissance de Zoé est-il établi le soir même et la petite fille baptisée dès le lendemain.
Dans cette ferme qui déborde d'activité, l'enfant passe ses premières années dans la quiétude familiale. C'est une jolie petite fille qui possède de ravissants yeux bleus. Son grand plaisir est de s'ébattre au milieu des centaines de colombes qui gîtent dans le pigeonnier, en bordure de cour de ferme. Elle aime observer cette grosse bâtisse carrée, la randière aux deux tiers de la hauteur qui fait barrage aux prédateurs, rats et fouines, et surtout les lucarnes d'où s'envolent les oiseaux dans de grands battements d'ailes. Marie-Louise, l'aînée des filles évoquera plus tard sa petite sœur, dans son tablier blanc, s'amusant au milieu des colombes toutes blanches, elles aussi.
L'insouciance de l'enfance prend bientôt fin pour la petite Zoé. Elle perd sa mère à l'âge de neuf ans, les deux benjamins Marie-Antoinette et Auguste, ne comptant que sept et cinq ans.
Zoé souffre en l'absence de cette présence aimante et maternelle. Mais comme elle se souvient que sa maman lui a appris à prier une autre maman, celle du Ciel, elle n'a de cesse de la connaître. Une servante la surprend un jour, juchée sur une chaise pour atteindre la statue de la Vierge Marie qu'elle couvre de baisers.
Marguerite, la sœur de Pierre Labouré qui habite non loin de là le village de Saint Rémy, s'offre pour prendre chez elle Zoé et sa petite sœur afin de leur dispenser cette tendresse qui leur fait tant défaut. Les deux enfants vont rester deux ans chez leur tante. C'est à la fin de ce séjour que Zoé fait sa Première Communion, le 25 janvier 1818. Cette date marque un tournant dans la vie de l'adolescente comme en témoignera plus tard sa sœur Marie-Antoinette : « C'est à partir de ce jour qu'elle eut une grande dévotion à la Sainte Vierge. Elle édifia toutes ses compagnes par sa ferveur. »
Prière de la neuvaine
Prière à Notre Dame de la médaille miraculeuse par
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
Dernière édition par Lumen le Mar 22 Nov 2022 - 18:02, édité 1 fois (Raison : Titre orange du jour retiré !)
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Re: *Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
par Lumen Dim 20 Nov 2022 - 18:31
*Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
9 jours pour demander à Notre-Dame de la médaille miraculeuse un MIRACLE dans votre vie ! En podcast, découvrez la vie inspirante de sainte Catherine Labouré, qui a rencontré la Vierge !
9 jours pour demander à Notre-Dame de la médaille miraculeuse un MIRACLE dans votre vie ! En podcast, découvrez la vie inspirante de sainte Catherine Labouré, qui a rencontré la Vierge !
Jour 2 - neuvaine à ND de la Médaille Miraculeuse avec sainte Catherine Labouré
Flash info : une journée Hozana est prévue à Paris ! Visite-promenade autour de la cathédrale Notre-Dame, puis marche jusqu'au sanctuaire de la rue du Bac pour y confier nos intentions. Inscrivez-vous par ici !
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Podcast
Texte du podcast
Brève introduction pour se remettre à jour...
Bientôt leur père les rappelle : Marie-Louise, l'aînée des filles, quitte en effet la maison familiale pour entrer chez les Filles de la Charité. Il a besoin des adolescentes pour s'occuper du ménage, de la cuisine et des bêtes, volailles, pigeons (il y en a 800 !) donner leur nourriture aux porcs, traire les vaches. Zoé se met au travail avec enthousiasme. Rien ne la rebute. Elle pétrit la pâte à pain, fait la lessive, cuisine les repas des moissonneurs et le leur porte. Elle prend soin de son jeune frère infirme et veille au bien-être de son père quand il revient des champs et du marché de Montbard. Son occupation préférée reste le soin du colombier.
Dans ces diverses tâches, elle acquiert une expérience qui lui servira beaucoup plus tard à l'hospice d'Enghien. Mais… il ne lui reste pas de temps pour aller à l'école. Elle demeure donc analphabète.
Ses travaux accomplis, elle s'échappe parfois et se rend dans la petite église de Fain devant un tabernacle vide car le clergé a beaucoup diminué pendant la Révolution et le prêtre desservant ne vient que pour les enterrements et les mariages, très rarement pour une messe dominicale. A genoux sur les dalles, elle prie longuement. Les vendredis et samedis, elle jeûne ce qui inquiète sa petite sœur, Marie-Antoinette. Mis au courant, Pierre Labouré laisse faire et la jeune fille poursuit ses pénitences. Marie-Antoinette est impressionnée par le silence et le recueillement de son aînée. Elle dira : « Elle était toute mystique ».
Dans le village, tout le monde estime cette jeune fille robuste et sérieuse et, comme le père est réputé posséder du bien, des jeunes gens pensent à elle… Mais Zoé entrevoit déjà un avenir tout autre. De plus en plus, tandis qu'elle se donne aux tâches quotidiennes, elle ressent un pressant appel. Dans l'intime de son cœur, elle sait qu'elle doit aller vers une vie de dévouement pour se consacrer aux pauvres, aux malades. Tout comme sa sœur Marie-Louise, elle envisage d'entrer chez les Filles de la Charité.
Sa vocation se dessine chaque jour davantage. Une nuit, elle se voit en songe dans son église où un prêtre âgé qu'elle ne connaît pas revêt les ornements sacerdotaux et célèbre la messe. Puis il lui fait signe d'approcher. Elle a peur, recule, sans le quitter du regard. Sortie de l'église, elle se rend chez un malade où elle retrouve le même prêtre qui lui dit : « Ma fille, c'est bien de soigner les malades. Vous me fuyez maintenant mais un jour vous serez heureuse de venir à moi. Dieu a ses desseins sur vous. Ne l'oubliez pas. »
Elle s'éveille. Les traits du prêtre sont gravés dans sa mémoire. Elle s'interroge sur la signification de ce rêve sans trouver de réponse.
Les rares messes dominicales de Fain-les-Moutiers ne lui suffisent pas. Elle se rend en semaine à deux kilomètres de chez elle, dans le bourg de Moutiers Saint-Jean pour assister à la messe de l'Hospice. Elle s'occupe des pauvres et des malades, voit en eux « Celui à qui elle s'était fiancée depuis longtemps, Jésus son doux Sauveur. » Une villageoise parlera de Zoé dans ses souvenirs : « C'était une petite sainte que la Sainte Vierge préparait. »
Vient le moment où Zoé doit affronter son père. Sa petite sœur pouvant assumer les tâches de la ferme, elle-même peut à présent partir.
Pierre Labouré ne l'entend pas de cette oreille. Il a un faible pour elle et n'envisage pas de se séparer d'elle de sitôt.
- Tu ne partiras pas !
Il se butte, a des mots très durs. Zoé souffre en silence et supplie Jésus Sauveur…
De son côté, Pierre réfléchit. Il faut, pense-t-il, la distraire pour qu'elle change d'idée. Pourquoi pas un séjour dans la capitale ?
L'un de ses fils, Charles, dirige à Paris un commerce de vins et un restaurant populaire. Zoé peut aller l'aider et, distraite par les attraits de la capitale, oublier sa vocation.
A vingt-deux ans, Catherine voudrait choisir son destin mais elle doit obéir. Le cœur gros, elle monte dans la diligence qui prend la route de Paris.
« Elle était toute mystique », dit-on de cette jeune fille ignorante que son Sauveur et la Vierge Marie instruisaient si bien ! Ce que le Seigneur cache aux savants, ne le révèle-t-Il pas aux tout-petits ? Et cette foi naïve qui fait grimper la petite fille sur une chaise pour couvrir de baisers la statue de la Vierge Marie ne trace-t-elle pas le chemin qui conduit à Dieu ? Mais comme il est difficile parfois de se faire tout humble pour mieux se laisser conduire.
Ô Notre-Dame, apprends-nous à mieux te prier et à t'aimer comme Sainte Catherine a su le faire avec une si grande ferveur.
Prière de la neuvaine
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Re: *Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
par Lumen Mar 22 Nov 2022 - 18:12
*Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
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Jour 3 - neuvaine à ND de la Médaille Miraculeuse avec sainte Catherine Labouré
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Podcast
Texte du podcast
Brève introduction pour se remettre à jour...
Le cœur serré, Zoé voit s'éloigner les murs solides de la maison familière, le clocher de l'église de son village où elle a tant prié. Si au moins ce départ signifiait pour elle le début d'une nouvelle vie, au sein d'une congrégation religieuse, comme elle l'a tant souhaité ! Au contraire, elle rejoint Paris pour aider son frère et se distraire… selon le vœu de son père ! Mais sa vocation est bien ancrée en elle. Pierre Labouré aura beau faire. Rien ne la détournera du but qu'elle s'est fixé.
Nous n'avons guère de détails sur la vie de la jeune fille à Paris. Sinon que ce fut une très rude épreuve que d'accomplir, comme servante, un travail qu'elle n'aimait pas dans ce restaurant populaire fréquenté par des ouvriers. Elle y découvre leur misère et le travail des enfants en usine. Ceci lui confirme sa vocation de se mettre au service des pauvres. Tout en regrettant la beauté de sa campagne et la vie simple qu'elle y menait, elle prie. Elle a la certitude que Dieu ne l'abandonne pas.
Et, de fait, un changement de vie radical l'attend. Un autre de ses frères, Hubert, est marié à une personne bonne et délicate qui a pu observer combien la jeune fille était mal à l'aise chez son frère, Charles. Cette dame dirige, à Châtillon-sur-Seine, un pensionnat fréquenté par toutes les filles de la noblesse bourguignonne. Elle propose d'emmener sa belle-sœur qui, fort heureuse d'accepter, reprend la route de la Côte d'Or avec elle.
Le pensionnat accueille de jeunes élégantes qui voient d'un œil dédaigneux l'intrusion, dans leur vie, de la petite paysanne inculte. Cette dernière souffre de cet ostracisme. Au moins, elle apprend à lire et à écrire.
A Châtillon est établi un couvent des Filles de la Charité. Zoé s'y rend un jour avec l'idée de s'entretenir avec la Sœur Supérieure et de lui demander conseil. Elle attend patiemment au parloir. Or ses yeux se portent sur un tableau, accroché là. Elle est saisie d'une émotion intense tandis qu'une jeune Sœur ouvre la porte et vient la chercher.
- Qui est ce prêtre, ma Sœur ? demande Zoé en désignant le portrait.
- Mais… c'est notre Père, Saint Vincent de Paul !
Ainsi donc… ce prêtre qui lui est apparu en songe et dont elle se rappelle les traits avec une parfaite netteté, ce prêtre est Saint Vincent de Paul ! Elle ne peut garder ce secret pour elle et s'en va consulter Monsieur Prost, curé de Châtillon-sur-Seine. Celui-ci l'interroge longuement. Elle lui confie les paroles du prêtre de sa vision : un jour vous serez heureuse de venir à moi. Dieu a ses desseins sur vous. Le Père Prost finit par lui dire :
- Oui, mon enfant, je crois que le vieillard qui vous est apparu en songe est Saint Vincent de Paul. Il vous appelle à être Fille de la Charité.
Madame Hubert Labouré, mise dans la confidence, se charge d'obtenir le consentement de son beau-père. Elle lui fait valoir que ni l'éloignement, ni la vie parisienne n'ont modifié en quoi que ce soit le désir de Zoé d'embrasser la vie religieuse. Va-t-il longtemps barrer la route à sa fille si Dieu l'appelle ?
Il se résigne et finit par consentir.
A vingt-trois ans, Zoé fait ses premiers pas au couvent. La jeune novice, qui répond désormais au nom de Sœur Catherine, entre chez les Filles de la Charité de Châtillon-sur-Seine où elle reste trois mois. Son noviciat doit en effet s'effectuer à Paris, rue du Bac, dans ce couvent que l'on appelle alors Le Séminaire. Le 21 avril 1830, elle en franchit la porte austère, surmontée d'une Vierge à l'enfant. Elle se sent désormais chez elle. Dès son arrivée, elle revêt une longue robe noire, un fichu en pointe, une coiffe blanche. A la chapelle, elle recouvre cette coiffe d'un « capot » de taffetas noir.
Une splendide cérémonie attend la jeune fille et va la remplir de joie. Le corps de Saint Vincent de Paul, caché pendant la Révolution, est transporté en grande pompe de Notre-Dame à la Chapelle des Lazaristes, rue de Sèvres. Le corps du Saint repose dans une châsse d'argent, offerte par le diocèse de Paris et porté par trente prêtres. Une foule immense fait au Saint un cortège enthousiaste. On distingue le Nonce Apostolique, de nombreux évêques et archevêques, le Préfet de la Seine, le Préfet de Police etc. Les Filles de la Charité, au nombre de huit cents précèdent la châsse et deux cents la suivent. Ravie, Sœur Catherine, suit le cortège, le cœur tout occupé de cet homme vénéré dont elle a, en songe, contemplé les traits.
La ferveur ne s'arrête pas là. Les Sœurs participent à une neuvaine auprès de la châsse et se rendent donc tous les jours à la chapelle des Lazaristes. Comblée d'immenses grâces, Sœur Catherine peine à retrouver le chemin du couvent. C'est pourtant là que le cœur du saint va lui apparaître trois fois comme elle en fit le récit :
« Il m'apparut trois fois différentes trois jours de suite : blanc ce qui annonçait la paix, le calme, l'innocence et l'union ; et puis rouge du feu ce qui doit allumer la charité dans les cœurs ; et puis je l'ai vu rouge noir, ce qui me mettait la tristesse dans le cœur ; cette tristesse se portait sur le changement de Gouvernement. »
Trois mois plus tard, Charles X était renversé et le pays livré à une nouvelle Révolution.
Prière de la neuvaine
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Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
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Re: *Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
par Lumen Mar 22 Nov 2022 - 18:29
*Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
9 jours pour demander à Notre-Dame de la médaille miraculeuse un MIRACLE dans votre vie ! En podcast, découvrez la vie inspirante de sainte Catherine Labouré, qui a rencontré la Vierge !
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Jour 4 - neuvaine à ND de la Médaille Miraculeuse avec sainte Catherine Labouré
Priez pour les intentions déposées par vos frères et soeurs en souffrance sur cette page dédiée !
https://hozana.org/intentions/nddelamedaillemiraculeuse?utm_source=CP_nd_medaille_miraculeuse_2022&utm_medium=publi&utm_content=&utm_campaign=intentions_de_priere_nddelamedaillemiraculeuse
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Podcast
Texte du podcast
Brève introduction pour se remettre à jour...
Sœur Catherine a un confesseur. Le Père Aladel est un jeune Lazariste fervent qui écoute la novice lui conter ses visions du cœur de Saint Vincent de Paul. Il n'y croit pas. Elle a trop d'imagination. Qu'elle se détourne de ces divagations !
Sœur Catherine, malgré ses certitudes, n'insiste pas. Elle a pour objectif de vivre en plénitude sa vocation religieuse et elle attend ardemment de prononcer ses vœux. Elle apporte au couvent sa grande bonne volonté, son désir de servir les pauvres. Son cœur pur est tout amour et sa dévotion à la Vierge Marie ne fait que croître. Petite fille, elle voulait voir la Vierge Marie, dès cette terre. Ce désir ne l'a pas quittée. Alors elle prie, elle supplie son Ange Gardien de lui permettre cette rencontre dont elle rêve depuis si longtemps.
La fête de Saint Vincent de Paul est fixée au 19 juillet. Or la veille, la Directrice du Séminaire a insisté sur la dévotion aux saints et à la Vierge Marie. Son instruction a attisé le désir de Sœur Catherine qui s'en ouvre, au plus intime d'elle-même, à Saint Vincent de Paul et à son Ange Gardien. Le soir venu, elle se couche en murmurant cette prière.
Il est onze heures et demie du soir. Elle s'entend appeler. Trois fois de suite. Rêve-t-elle ? Elle ouvre son rideau et découvre un très bel enfant blond, tout jeune. De toute sa personne s'échappent des rayons qui éclairent le dortoir.
- Venez, dit-il, venez à la chapelle. La Sainte Vierge vous attend.
Catherine craint que son absence soit découverte. Mais l'enfant insiste.
- Ne craignez rien. Tout le monde dort. Je vous accompagne.
Sœur Catherine s'habille et se laisse conduire par l'enfant qui se tient à sa gauche. Elle s'étonne de voir, sur le trajet de la chapelle, toutes les lumières allumées. La chapelle est toujours fermée à clé la nuit. Mais d'une simple pression du doigt, l'enfant ouvre la porte et, là aussi, toutes les lumières sont allumées. « Comme pour la messe de minuit, » pense la jeune Sœur.
L'enfant toujours à ses côtés, Catherine attend. Le temps lui paraît bien long. Puis, tout à coup :
- Voici la Sainte Vierge, la voici s'écrie l'enfant.
Du côté de l'épître, Catherine entend comme le froissement d'une robe de soie. Une dame d'une grande beauté vient s'asseoir dans le sanctuaire. Catherine n'hésite pas. Elle se précipite aux pieds de la Vierge et, dans une attitude familière, pose ses mains sur ses genoux.
La glorieuse Mère du Sauveur et l'humble petite Sœur vont rester deux heures ensemble. Plus tard, sur l'ordre de son Directeur, Catherine en écrira le récit :
- « Là, écrira-t-elle, il s'est passé le moment le plus doux de ma vie. Il me serait impossible de dire tout ce que j'ai éprouvé. Elle me dit comment je devais me conduire dans mes peines, de venir (en me montrant de la main gauche le pied de l'autel) me jeter au pied de l'autel et là, répandre mon cœur, ajoutant que je recevrais là toutes les consolations dont j'aurai besoin. »
La Sainte Vierge lui annonce ensuite une mission :
« Mon enfant, le Bon Dieu veut vous charger d'une mission. Vous aurez bien de la peine mais vous vous surmonterez en pensant que vous le faites pour la Gloire du Bon Dieu. Vous serez contredite mais vous aurez la grâce. Ne craignez rien. Dites tout ce qui se passe en vous, avec simplicité et confiance à celui qui est chargé de vous conduire. Vous verrez certaines choses. Vous serez inspirée dans vos oraisons rendez-en compte, ayez confiance, ne craignez pas. »
Enfin la Vierge Marie verse des larmes sur la France en annonçant les temps troublés qui vont bouleverser le pays.
« Mon enfant, les temps sont très mauvais. Des malheurs vont fondre sur la France. Le trône sera renversé. Le monde entier sera bouleversé par des malheurs de toutes sortes. Mais venez au pied de cet autel. Là les grâces seront répandues sur toutes les personnes qui les demanderont avec confiance et ferveur. Elles seront répandues sur les grands et sur les petits.
Un moment viendra où le danger sera grand. On croira tout perdu. Je serai avec vous. Ayez confiance, vous reconnaîtrez ma visite, la protection de Dieu et celle de Saint Vincent de Paul sur les deux communautés (Filles de la Charité et Lazaristes).
Il y aura des victimes dans d'autres Communautés. Dans le clergé de Paris, il y aura bien des victimes. Monseigneur l'Archevêque mourra. Mon enfant, la croix sera méprisée, le sang coulera dans les rues. Mon enfant, le monde entier sera dans la tristesse. »
Ainsi, dix jours avant les Trois Glorieuses qui, avec l'abdication de Charles X, mirent fin à la monarchie des rois de droit divin, la Vierge Marie pleure sur notre pays. La Révolution de 1830 s'annonce. Quant à Louis-Philippe, il troquera le drapeau blanc contre le drapeau bleu, blanc, rouge, s'intitulera Roi des Français et non roi de France et ne sera pas sacré à Reims. L'archevêché de Paris sera entièrement saccagée, statues et croix piétinées et détruites, Monseigneur de Quelen obligé de fuir. Un archevêque mourra sur les barricades en 1848 : Monseigneur Affre, tué alors qu'il s'interposera entre insurgés et la troupe.
Pour l'heure, la jeune novice vit les moments les plus doux de sa vie et ne voit pas le temps s'écouler. Après lui avoir parlé longtemps, la Vierge Marie s'en va, s'effaçant comme une ombre. Sœur Catherine se relève. L'enfant est toujours là et lui annonce : « Elle est partie ». A nouveau il se met à sa gauche et la reconduit à son lit. Elle est certaine qu'il s'agit de son ange gardien. Elle déclarera par la suite s'être recouchée, avoir entendu deux heures sonner et ne s'être point rendormie.
Elle est toute simple, Sœur Catherine. La prière qui semble si difficile à formuler à nombre d'entre nous ne lui pose aucun problème. Sa foi est si parfaite qu'elle évoque le dialogue avec Dieu comme la chose la plus naturelle du monde. Voici ce qu'elle dit :
Lorsque je vais à la chapelle, je me mets là devant le Bon Dieu, et je lui dis :« Seigneur, me voici, donnez-moi ce que vous voulez ».S'il me donne quelque chose, je suis bien contente et je le remercie. S'il ne me donne rien, je le remercie encore parce que je n'en mérite pas davantage. Et puis je lui dis alors tout ce qui me vient dans l'esprit : je lui raconte mes peines et mes joies et j'écoute.
Si vous L'écoutez, Il vous parlera aussi car avec le Bon Dieu, il faut dire et écouter, Il parle toujours quand on y va bonnement et simplement.
Allons-y donc, nous aussi, tout bonnement et simplement vers le Bon Dieu avec notre immense confiance en Sa Miséricorde.
Prière de la neuvaine
Prière à Notre Dame de la médaille miraculeuse par
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
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Re: *Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
par Lumen Mer 23 Nov 2022 - 16:49
*Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
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Jour 5 - neuvaine à ND de la Médaille Miraculeuse avec sainte Catherine Labouré
Podcast
Texte du podcast
Brève introduction pour se remettre à jour...
Les circonstances de la seconde apparition de la Vierge Marie à Sœur Catherine sont totalement différentes. Quatre mois après la première visite de la Vierge, Sœur Catherine se trouve cette fois à la chapelle avec toutes ses compagnes. Nous sommes le 27 novembre 1830. Il est dix-sept heures trente et c'est l'heure de l'oraison pour la Communauté. Agenouillée, Catherine lève les yeux et voit la Vierge à droite, élevée à quelque trois mètres du sol. Elle se tient debout sur le globe terrestre et, de son pied, écrase le serpent. Dans ses mains, élevées à hauteur de poitrine, elle tient un globe plus petit qu'elle semble offrir en un geste suppliant. Sœur Catherine entend une voix lui dire :
« Ce globe que vous voyez représente le monde entier, particulièrement la France et chaque personne en particulier. »
Tout à coup, les doigts de la Vierge se parent de toutes sortes d'anneaux et de pierreries magnifiques. Des rayons de lumière en jaillissent et enveloppent la Vierge de tous côtés si bien qu'ils dissimulent le bas de sa robe.
Plus tard, sous l'ordre de son Directeur, Catherine écrira :
« Les pierreries étaient plus belles les unes que les autres, les unes plus grosses, les autres plus petites qui jetaient des rayons plus beaux les uns que les autres. Les plus grosses jetaient de plus gros rayons, toujours en s'élargissant et les plus petites des plus petits et toujours s'élargissant en bas. »
En extase, Sœur Catherine contemple cette superbe vision quand une voix intérieure lui dit : « Ces rayons sont le symbole des grâces que je répands sur les personnes qui me les demandent. »
Petit à petit, la vision se modifie. Il se dessine autour de la Sainte Vierge une sorte de mandorle où viennent s'inscrire en lettres d'or les mots suivants :
Ô MARIE, CONÇUE SANS PÉCHÉ,
PRIEZ POUR NOUS QUI AVONS RECOURS À VOUS.
Voici que les mains de Marie s'abaissent dans l'attitude qui nous est devenue familière quand nous contemplons la médaille miraculeuse. Une voix s'élève :
« Faites, faites frapper une Médaille sur ce modèle. Les personnes qui la porteront recevront de grandes grâces. Les grâces seront abondantes pour les personnes qui auront confiance. »
La Vierge Marie a donc d'abord offert le monde à Dieu puis elle a tendu aux âmes ses mains rayonnantes. Elle confie aussi à Sœur Catherine « combien Elle est généreuse envers les personnes qui La prient ; que de grâces Elle accorde aux personnes qui les Lui demandent ; quelle joie Elle éprouve en les accordant. »
Puis Sœur Catherine remarque que, parmi les pierres précieuses qui étincellent aux doigts de la Sainte Vierge, certaines ne donnent aucun rayon. Elle s'en étonne et aussitôt une voix intérieure lui apporte la réponse : « ces pierreries qui restent dans l'ombre figurent les grâces qu'on oublie de me demander. »
Emerveillée, Sœur Catherine ne cesse de contempler la Vierge de lumière qu'entoure la prière de l'inscription : ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous. Et voici que l'ovale du tableau se retourne. Au verso, la Sœur découvre une grande lettre « M » surmontée d'une croix avec une barre à sa base. Au-dessous, deux cœurs, l'un entouré d'épines et l'autre percé d'un glaive. Dans ses écrits, Sœur Catherine ne citera pas les douze étoiles qui figurent tout autour de l'ovale. Sans doute les a-t-elle mentionnées plus tard, au moment où la Médaille fut frappée.
« Faites frapper une médaille sur ce modèle » a dit la Vierge et Sœur Catherine se recueille. A-t-elle bien compris ? Que faire figurer au verso de la médaille ? Une voix intérieure qu'elle connaît bien lui répond : « L'M avec la Croix et les deux cœurs en disent assez. » La Médaille délivre en effet un message clair qui résume toute la Foi et exprime l'union parfaite entre les deux cœurs de Marie et de son Fils, Sauveur du Monde.
Sœur Catherine qui médite en son cœur les paroles de la Vierge se sait chargée d'une mission. Selon les instructions qu'elle tient de Marie, elle doit porter ces images à son confesseur en lui demandant de les faire frapper sur des médailles car « tous ceux qui la porteront recevront mes grâces ». Jusque là, elle a gardé pour elle son secret. Elle s'en ouvre donc à son confesseur, le Père Aladel. Comme précédemment, celui-ci ne la croit pas. Il pense qu'elle n'est pas tout à fait équilibrée, qu'elle se raconte des histoires, qu'elle cherche peut-être à se faire valoir ainsi au sein de la Communauté. Il ne donne pas suite et voici Sœur Catherine bien triste. Toute obéissante, elle a fait ce que lui a demandé la Sainte Vierge. Et même si sa déception est grande à constater que son confesseur ne tient aucun compte des instructions qu'elle lui transmet, de la part de la Vierge Marie, elle s'incline.
En décembre 1830, elle connaît une troisième et dernière apparition, mais elle ne s'est pas souvenue de la date exacte quand elle en parla plus tard à son confesseur. Comme au 27 novembre, c'est à 5 heures et demie. Les rayons qui jaillissaient des mains "remplissaient tout le bas de manière qu'on ne voyait plus les pieds de la Sainte Vierge". La voix se fait entendre au fond du cœur : "Ces rayons sont le symbole des grâces que la Sainte Vierge obtient aux personnes qui les lui demandent". L'apparition a le caractère d'un adieu. Elle reçoit ce message : "Vous ne me verrez plus, mais vous entendrez ma voix pendant vos oraisons".
Prière de la neuvaine
Prière à Notre Dame de la médaille miraculeuse par
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
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Re: *Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
par Lumen Jeu 24 Nov 2022 - 15:44
*Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
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Jour 6 - neuvaine à ND de la Médaille Miraculeuse
avec sainte Catherine Labouré
avec sainte Catherine Labouré
Podcast
Texte du podcast
Brève introduction pour se remettre à jour...
Les mois qui suivent ces apparitions, absorbent la jeune novice toute consacrée à la prière car le temps approche où elle doit prononcer ses vœux. Elle passe toujours bien inaperçue au milieu de ses compagnes, effacée, silencieuse, parfois si absorbée dans le souvenir de ses visions qu'elle oublie de toucher à son repas au réfectoire. Fidèle à son devoir, elle se consacre aux heures de formation à la vie religieuse et se livre aux humbles travaux de ménage, de lessive, de vaisselle, d'épluchage des légumes… Le 30 janvier 1831 a lieu enfin cette cérémonie que la petite Sœur attend avec tant d'impatience. Elle prononce ses vœux, revêt l'habit et coiffe la cornette pour la première fois. Il est temps pour elle de quitter le « séminaire » de la rue du Bac. A la veille de son départ, la directrice résume ainsi ses appréciations : "Forte, taille moyenne. Sait lire et écrire pour elle. Le caractère a paru bon. L'esprit et le jugement ne sont pas saillants. Assez de moyens. Pieuse, travaille à la perfection".
Sœur Catherine est envoyée à l'Hospice d'Enghien, au Faubourg Saint-Antoine, où elle va passer sa vie entière, jusqu'à son décès quarante-cinq ans plus tard.
Voici bientôt deux ans que la Vierge Marie est apparue à Catherine. Un jour, absorbée dans sa prière, elle entend à nouveau la voix intérieure qu'elle connaît bien. La Vierge Marie se plaint de n'avoir pas été entendue.
- Ma Bonne Mère, répond la Sœur, vous voyez bien que le Père Aladel ne me croit pas !
- Sois tranquille, répond la voix. Un jour viendra où il fera ce que je désire. Il est mon serviteur et il craindrait de me déplaire.
Catherine retourne voir le Père Aladel et lui fait part des regrets de la Vierge à constater que ses désirs n'ont pas été pris en compte. Celui-ci vient de passer deux ans à observer la conduite de Catherine. Il a noté son humilité, son obéissance, son équilibre en toutes choses. Ses doutes sont ébranlés et il agit cette fois en informant l'archevêque de Paris. Il raconte tout, les visions de Catherine, le désir de la Vierge Marie de faire frapper les médailles dont elle a donné le modèle. Mais il ne révèle pas l'identité de la religieuse. Sa requête est approuvée et les médailles sont enfin frappées.
Leurs diffusions s'accompagnent de guérisons nombreuses et de conversions retentissantes. Bientôt les médailles deviennent extrêmement populaires, notamment durant l'épidémie de choléra qui cause le décès de cent mille Français en1832. Très vite, elles sont qualifiées de « miraculeuses ». En quelques années, elles sont plusieurs millions à être distribuées dans le monde.
Les faits extraordinaires qui en accompagnent la diffusion conduisent l'Archevêque Quélen qui les avait fait frapper à mieux comprendre « l'origine et les effets de la Médaille dite Miraculeuse ».
Voici notre Sœur Catherine, qui aimait tant rester effacée dans l'anonymat de la vie religieuse sur le devant de la scène. En effet, en 1835, une enquête canonique est diligentée au sujet des apparitions. Il fallut dix-neuf séances pour que le rapport du promoteur conclue à la réalité de ses visions et à la véracité des miracles obtenues par la Médaille Miraculeuse. Le rapport officiel de l'enquêteur précise :
« La rapidité extraordinaire avec laquelle la Médaille s'est propagée, le nombre prodigieux de médailles qui ont été frappées et répandues, les bienfaits étonnants, les grâces singulières qui ont été obtenus par leur confiance, paraissent les moyens par lesquels le Ciel semble avoir confirmé la réalité de la vision, la vérité du récit, et approuvé la confection et la propagation de la Médaille. »
Pour répondre à un autre vœu formulé par la Vierge Marie, Sœur Catherine a également à cœur de créer une confrérie des Enfants de Marie. Il lui faudra quelques années pour y parvenir. C'est en 1837 qu'est créée, conjointement par les Filles de la Charité et les Lazaristes, l'Association des Enfants de Marie Immaculée. Elle rassemble des adolescentes de milieux populaires pour former une élite de piété, reconnue comme pieuse association par le Saint-Siège en 1847. Cette Association prend, en 1966, le nom de Jeunesse Mariale et, en 2009, est adoptée en France la dénomination internationale de Jeunesse Mariale Vincentienne. Le mouvement est présent dans une cinquantaine de pays et compte environ 150000 membres.
Comment plaire au Seigneur et à la Reine du Ciel ? Comment contribuer à la venue du Royaume de Dieu sur terre ? En s'effaçant totalement. Ouvrir son cœur pour que le Ciel y fasse sa demeure. Tous les saints ont vécu cet oubli de soi. Peut-être aucun ne l'a-t-il fait autant que Sainte Catherine Labouré. Elle a reçu peu d'instruction mais elle a tout compris. Elle n'a jamais voulu se faire reconnaître comme la Voyante des apparitions de la Vierge Marie. Toute entière donnée, elle n'a existé que pour faire connaître la Volonté de Marie. Son élan missionnaire est là. Tout en elle est foi, amour et confiance en Dieu. Ainsi l'humble fille qui accomplit dans le recueillement les plus modestes tâches ménagères est grande aux yeux du Seigneur. Elle fut celle que choisit la Vierge Marie pour faire pleuvoir sur le monde une multitude de grâces.
Prions la Vierge Marie pour qu'elle nous bénisse et nous donne une foi et une confiance comparables à celles de Sainte Catherine Labouré.
Prière de la neuvaine
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Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
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Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
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Re: *Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
par Lumen Ven 25 Nov 2022 - 16:58
*Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
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Jour 7 - neuvaine à ND de la Médaille Miraculeuse
avec sainte Catherine Labouré
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L'Hospice d'Enghien où Sœur Catherine passe le reste de son existence est une œuvre fondée par la duchesse Bathilde de Bourbon, princesse de Condé, en souvenir de son fils, le duc d'Enghien, assassiné en 1804 dans les fossés du donjon de Vincennes.
Ce bâtiment, qui accueille des vieillards, souvent anciens serviteurs des maisons de Condé et d'Orléans, est dirigé par les Filles de la Charité, dont le couvent est situé rue de Reuilly. Ces deux demeures communiquent par un jardin qui les relie, une seule Supérieure supervisant l'ensemble.
Sœur Catherine arrive dans cette maison le 1er février 1831, soit quelque six mois après les apparitions. Elle va, sa vie durant, garder l'anonymat. Même après la diffusion de la Médaille Miraculeuse, nulle, au couvent, ne saura qu'elle est la Voyante.
Tout d'abord affectée à la cuisine, elle y apporte son savoir-faire, penchée au-dessus des grandes marmites où mitonnent les repas. Puis elle va prendre soin des vieillards à l'hospice. Elle s'occupe aussi des bêtes, mettant en pratique tout ce qu'elle a appris pendant sa jeunesse à la ferme. Nul ne lui arrive à la cheville quand il s'agit de panser les bêtes, de nourrir les volailles, de briquer l'étable, ou bien encore de curer l'écurie.
Elle est chargée du poulailler où elle ramasse les œufs frais dont elle va régaler ses pensionnaires. Elle a plaisir à les servir même si certains d'entre eux se montrent difficiles et acariâtres. Dès qu'elle a un souci ou éprouve une contrariété, elle court auprès du Tabernacle ou de la statue de la Vierge Marie puis elle revient, sereine, comme à l'accoutumée. Certains témoins de sa vie ont pris son égalité d'humeur pour de l'insensibilité. Pourtant une observation, une remontrance quelconque la fait rougir et lui fait monter les larmes aux yeux. Mais elle se tait.
Au milieu du jardin qu'elle emprunte quotidiennement pour se rendre du couvent à l'hospice se trouve une statue de la Vierge Marie, sur un socle entouré de fleurs. En passant devant elle, Sœur Catherine s'arrête toujours pour une courte prière. Son visage devient alors si beau que des Sœurs, des jeunes filles, des enfants de la maison se cachent dans les massifs de verdure pour surprendre cette céleste expression.
La Révolution de 1848 vient, une nouvelle fois, bousculer l'ordre établi. Dans les mois qui suivent, Catherine a une vision. Elle voit une « Croix de la Victoire », monument qu'il faudrait ériger à Paris à côté de Notre-Dame. Dès le 30 juillet, elle consigne les détails de cette vision de peur d'en oublier les détails.
« Il y aura des ennemis de la religion qui chercheront et promèneront une Croix couverte d'un voile noir qui portera la terreur dans les esprits. Mais la Croix triomphera. Il y aura une Croix que l'on appellera la Croix de la Victoire, qui portera la livrée de la nation, elle sera plantée du côté de Notre-Dame, sur la place des victimes. La voici : une Croix sera faite d'un bois précieux, étranger. Elle sera garnie. Elle aura des pommes d'or aux extrémités. Le Christ sera grand ; la tête penchée du côté du cœur, la plaie du côté droit où il coule beaucoup de sang. La livrée de la nation dans le haut de la colonne. Le blanc, c'est l'innocence, voltigeant sur la couronne d'épines. Le rouge représente le sang ; le bleu, c'est la livrée de la Sainte Vierge ».
Sœur Catherine s'empresse d'aller trouver son confesseur, M. Aladel qui, on ne s'en étonnera pas, ne tient aucun compte de ses propos. Pourtant, elle se montre très précise : « cette croix sera appelée la Croix de la Victoire. Elle sera en grande vénération. De toute la France et des pays les plus éloignés, et même de l'étranger, les uns y viendront par dévotion, les autres en pèlerinage, et d'autres par curiosité. Enfin, il se fera des protections toutes particulières qui tiendront du miracle. Il ne viendra pas une personne à Paris qui ne vienne voir et visiter cette croix, comme une œuvre d'art ».
Elle poursuit sa description : « Sur le pied de la Croix, il sera représenté toute cette Révolution, telle qu'elle s'est passée. Le pied de la croix m'a paru avoir de 10 à 12 pieds [environ 3,5 mètres] en carré, et la croix de 15 à 20 pieds [de 4,5 à 6 mètres] en hauteur. Et, une fois élevée, elle m'apparaissait à peu près de 30 pieds [9 mètres] de hauteur. Sous cette croix, il reposera une partie des morts et des blessés pendant les événements si pénibles... »
« La croix m'apparut de toute beauté. Notre-Seigneur était comme s'il venait de mourir. La couronne d'épines sur Sa tête, les cheveux épars dans la couronne par-derrière, la tête penchée du côté du cœur »
Sœur Catherine n'est pas plus écoutée cette fois que lors des apparitions de la Vierge Marie. Et cette fois également, elle ne retourne pas au silence sans avoir fait tout ce qui était en son pouvoir pour être entendue. Une dernière fois, elle revient vers le Père Aladel : « Je vous parle de cette croix, après avoir consulté le Bon Dieu, la Sainte Vierge et notre bon père saint Vincent, le jour de sa fête et tout l'octave où je me suis abandonnée toute à Lui, et le priai qu'Il m'ôte toute pensée singulière à ce sujet et à tant d'autres. Au lieu de me trouver soulagée, je me suis sentie de plus en plus pressée de vous donner tout par écrit. Ainsi par obéissance, je me soumets. Je pense que je n'en serai plus inquiétée. Je suis, avec le plus profond respect, votre fille toute dévouée au Sacré-Cœur de Jésus et de Marie ».
Mais le Père Aladel est inflexible et Sœur Catherine retrouve, dans le silence, ses occupations habituelles. La Croix ne sera jamais érigée.
Prière de la neuvaine
Prière à Notre Dame de la médaille miraculeuse par
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
Localisation : France
Re: *Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
par Lumen Sam 26 Nov 2022 - 17:27
*Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
9 jours pour demander à Notre-Dame de la médaille miraculeuse un MIRACLE dans votre vie ! En podcast, découvrez la vie inspirante de sainte Catherine Labouré, qui a rencontré la Vierge !
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Jour 8 - neuvaine à ND de la Médaille Miraculeuse avec sainte Catherine Labouré/b]
Podcast
Texte du podcast
Brève introduction pour se remettre à jour...
Lors des événements de la Commune, Sœur Catherine est déjà âgée. Le Vendredi Saint 1871, une bande de communards pénètre dans la maison des Sœurs qui y soignent des
blessés. Ils réclament deux gendarmes qu'ils veulent fusiller et menacent de molester les Religieuses. Sœur Catherine distribue des médailles à ces hommes qui s'installent à l'Hospice.
- Nous ne croyons pas à grand-chose, disent-ils, le fusil à la main mais nous croyons à cette médaille. Elle en a protégé d'autres, elle nous protégera aussi.
Sœur Catherine vieillit. Elle souffre de rhumatismes très douloureux ce qui l'empêche de prolonger son service auprès des vieillards. Elle est désormais assise dans la loge de l'Hospice où elle accueille les visiteurs, rend de menus services, raccommode le linge. Et surtout elle prie. Le Père Aladel est décédé. Elle ne veut pas garder pour elle le secret des apparitions qu'elle porte depuis tant d'années et décide de se confier à la Sœur Supérieure. Sœur Dufès apprend ainsi avec une émotion indicible que l'humble Fille de la Charité, qui s'est entretenue avec la Vierge Marie, n'est autre que Sœur Catherine, celle que tout le monde, au couvent, appelle la Sœur du poulailler…
Depuis le début de l'année 1876, Sœur Catherine a annoncé qu'elle ne verrait pas 1877. Sa fin approche et toutes les Sœurs se réunissent auprès d'elle pour prier Marie : « terreur des démons, priez pour nous… ». Après avoir reçu les derniers sacrements avec calme et bonheur, elle s'endort vers sept heures du soir.
La petite fille qui avait tant voulu, de tout son être, contempler la Vierge Marie, et qui en avait été si magnifiquement exaucée, s'en va ainsi, dans une extrême discrétion, selon son habitude, rejoindre pour l'éternité sa Maman chérie du Ciel.
A peine est-elle décédée que la nouvelle court tout Paris. La Voyante de la Médaille Miraculeuse vient de mourir ! On se presse autour de son cercueil pour un dernier adieu. Et voici qu'une pauvre femme amène, dans une caisse montée sur roulettes, son fils de douze ans, infirme de naissance, qu'elle veut descendre dans le caveau. Mais l'enfant se relève sur ses jambes ! Le premier miracle de sainte Catherine est pour les pauvres.
Lors de ses obsèques, célébrées le 3 janvier 1877, la foule lui fait un cortège triomphal entre l'Hospice d'Enghien et la Chapelle de Reuilly où elle est inhumée.
Trente ans plus tard, en 1907, la cause de Sœur Catherine est introduite en Cour de Rome et elle reçoit, le 11 décembre de la même année, le titre de Vénérable.
En 1933, lors du procès en béatification, on procéda à l'exhumation des restes de la Sainte. A l'émerveillement de toutes les personnes présentes, médecins, prêtres, quelques Sœurs, le corps fut retrouvé absolument intact. Même les prunelles des yeux avaient conservé leur couleur bleu azur. Les vêtements, eux aussi, n'accusaient aucun outrage du temps. La Sainte fut béatifiée par Pie XI le 28 mai 1933 :
- « Nous ne connaissons pas, déclara Sa Sainteté, d'exemple plus éclatant de vie cachée que celui de cette âme dont tout le monde parlait de son vivant, et durant tant d'années, et qui resta dans l'ombre, cachée avec Marie et Jésus. Sœur Catherine a su garder le secret de sa Reine ! »
Le corps de la sainte fut placé dans une châsse aux fines ciselures, ornée aux angles d'émaux bleus. Il repose aujourd'hui, aux regards de tous, dans la Chapelle Miraculeuse de la rue du Bac, sous l'autel même de la grande apparition du 27 novembre 1830. Depuis 1880, le sanctuaire a été embelli afin d'être digne de Celle qui avait bien voulu « en faire son salon » selon l'expression du Cardinal Verdier.
Sainte Catherine Labouré fut canonisée le 27 juillet 1947 par Pie XII. Sa fête est fixée au 28 novembre.
L'Immaculée Conception de la Vierge Marie.
Dans toute l'histoire de l'Eglise, l'Immaculée Conception de la Vierge Marie n'avait jamais fait l'objet d'une reconnaissance officielle même si, au cours des siècles, de nombreux saints avaient cru à cette conception sans tache. « Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous » telle est la prière qui s'affiche lors de la seconde apparition de la Vierge à Sainte Catherine Labouré. Dès 1832, elle est inscrite sur toutes les médailles miraculeuses. Enfin, près de vingt-cinq ans après l'apparition de la Vierge à Catherine Labouré, le Pape Pie IX promulgua le 8 décembre 1854, par la Bulle Ineffabilis Deus, le dogme de l'Immaculée Conception de la Vierge Marie.
Quatre ans plus tard, c'est sous ce vocable qu'apparaît la Vierge Marie à Bernadette Soubirous. « Je suis l'Immaculée Conception », dit-elle.
C'est donc à Sainte Catherine Labouré que la Vierge a révélé sa naissance préservée de toute tache du péché originel. Elle a uni, dans une même phrase, la révélation de cette conception sans tache et les mots de la prière qu'elle a elle-même dictée. Ses grâces sont ainsi répandues par le pouvoir que lui donne son Immaculée Conception. On peut supposer que, dans sa retraite à l'Hospice d'Enghien, Sainte Catherine Labouré s'est réjouie et a remercié sa Maman du Ciel pour tous les bienfaits qu'elle accordait sur terre à ceux qui priaient sa Médaille. Celle-ci permit notamment de nombreuses guérisons pendant l'épidémie de choléra. Peut-être, en ces temps de pandémie, les croyants pourraient-ils avoir recours à Marie avec les mots qu'elle a elle-même donnés à Sainte Catherine Labouré.
Silencieuse et cachée, Sainte Catherine Labouré ne cessait de s'exprimer en prières. Dans les périls qu'elle vécut (Révolutions, épidémies) elle supplia la Vierge Marie de toute son âme de venir en aide à la France et à chacun en particulier. Avant de la quitter, récitons avec elle cette admirable prière qu'elle composa à la Vierge et qui, dans le péril sanitaire où nous nous trouvons, semble convenir si bien à notre temps.
« Daignez, ô Reine, pleine de bonté, de ce trône sublime où vous êtes assise auprès de Jésus-Christ, recevoir les vœux de ceux qui implorent votre secours. Mère de Dieu, vous pouvez fléchir votre Fils ; vous êtes aussi notre Mère et vous nous aimez comme vos enfants. Ô vous qui puisez dans la source même des grâces, faites-en descendre sur nous la mesure la plus abondante. Présentez nos vœux et nos prières à Dieu. Refusera-t-Il à une Mère qu'Il aime si tendrement ? Demandez-lui qu'Il regarde avec bonté la France qui vous est consacrée ; qu'Il donne au Roi la justice et la paix au peuple. Ô Marie, votre nom est notre défense, protégez-nous ! Ô Marie, vous qui êtes le refuge des pêcheurs et notre Mère, Ô Marie, voyez le péril où nous sommes. Ayez pitié de nous. Ne vous rendez point difficile à écouter nos vœux. Si vous daignez prier votre Fils, Il vous exaucera. Il suffit que vous vouliez nous sauver pour que nous ne puissions manquer d'être sauvés. Ô Marie conçue sans péché, priez, priez, priez pour nous. Daignez, Ô Reine des anges et des hommes, jeter un coup d'œil favorable sur le monde entier, particulièrement sur la France et chaque personne en particulier. Ô Marie, inspirez-nous ce qu'il faut vous demander pour notre bonheur qui sera celui du monde entier. Ainsi soit-il. »
Prière de la neuvaine
Prière à Notre Dame de la médaille miraculeuse par
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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Re: *Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
par Lumen Dim 27 Nov 2022 - 19:09
*Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
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Jour 9 - neuvaine à ND de la Médaille Miraculeuse avec sainte Catherine Labouré
Podcast
Texte du podcast - prière finale à sainte Catherine
Sainte Catherine Labouré,
Toi, dont le désir si fort de voir la Vierge, fut exaucé
Toi, “sainte du silence”, dont l'humilité, la simplicité et la discrétion ont nourri les vertus d'obéissance et de persévérance.
Toi, qui reçut ta mission de la Vierge Marie elle-même, et qui la mena pour la Gloire de Dieu
Toi qui nous transmit la Médaille Miraculeuse, porteuse de tant de grâces,
prie pour nous et pour notre monde.
Humble sœur et grande sainte, dont la vie cachée a porté et porte encore tant de fruits
Apprends -nous, comme toi, à faire toute confiance à la sainte Vierge.
Apprends- nous, comme toi et à l'exemple de saint Vincent de Paul que tu aimais tant, à nous mettre au service des autres et notamment de ceux qui souffrent.
Apprends-nous, comme toi, à persévérer pour toujours mieux répondre aux appels du Christ dans nos vies.
Apprends-nous, comme toi, à “aller bonnement et simplement” vers Dieu, à lui parler sans réserve, à l'écouter sans nous lasser.
Comme tu l'as fait lors de la première apparition de Marie rue du Bac, aujourd'hui, je viens poser ma tête sur les genoux de notre Mère du Ciel et, avec confiance, je lui demande une grâce :
Je prends le temps de formuler ma demande de grâce et de la confier à Marie
Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous
Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous.
Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous.
Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen
Prière de la neuvaine
Prière à Notre Dame de la médaille miraculeuse par
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
l'intercession de sainte Catherine Labouré
« Ô Vierge Immaculée, mère de Dieu et notre mère avec la plus vive confiance dans votre puissante intercession tant de fois manifestée au moyen de votre médaille miraculeuse, nous vous supplions humblement de bien vouloir nous obtenir les grâces que nous vous demandons par cette neuvaine.
Ô Vierge de la médaille miraculeuse qui êtes apparue à sainte Catherine Labouré dans l'attitude de médiatrice du monde entier et de chaque âme en particulier, nous remettons entre vos mains et nous confions à votre cœur nos supplications. Daignez les présenter à votre divin Fils et les exaucer si elles sont conformes à la volonté divine et utiles à nos âmes. Et, après avoir élevé vers Dieu vos mains suppliantes, abaissez-les sur nous et enveloppez-nous des rayons de vos grâces, en éclairant nos esprits, en purifiant nos cœurs, afin que, sous votre conduite, nous arrivions un jour à la bienheureuse éternité. Amen. »
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Re: *Notre Dame de la Médaille Miraculeuse je te demande un MIRACLE !* Neuvaine du 19 nov. 2022 au 28 nov. 2022.
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