9 MAI : FETE DE SAINTE SOLANGE, SAINT ANTONIN DE FLORENCE
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9 MAI : FETE DE SAINTE SOLANGE, SAINT ANTONIN DE FLORENCE
Sainte Solange, Martyre de la pureté (+ 880)
Sainte Solange, dans le Berry, une petite bergère d'une grande beauté. Une humble jeune fille qui refusa d'épouser le fils du Comte de Poitiers car elle vouliat concerver sa chasteté et voulait se consacrer pleinement à Dieu, le jeune comte voulait l'enlever de force. Il la prit sur son cheval mais la belle paysanne était forte. Elle se débattit tellement qu'au passage d'un ruisseau, elle l'y fit tomber avec elle. Il espéra que l'eau lui permettrait de mieux accomplir son forfait. Il tenta de la prendre de force. Elle sortit de l'eau pour s'enfuir, il la poursuivit et, de rage, l'ayant rattrapée, lui trancha la tête.
La légende rapporte que la tête de Solange, bien que séparée du reste du corps, invoqua encore trois fois le saint Nom de Jésus. Toujours selon la légende, Solange, décapitée, prit sa tête dans ses mains et la porta jusqu'à l'église Saint-Martin...
Sainte Solange est la seconde patronne du Berry. Tous les lundis de Pentecôte elle est fêtée dans le village du Cher: 18220 Sainte-Solange (diocèse de Bourges).
Martyrologe romain
Saint Antonin Évêque et confesseur IIIe classe
Saint Antonin de Florence Frère prêcheur, archevêque de Florence (+ 1459), Dominicain italien qui remplit les diverses charges de son Ordre avant d'être nommé archevêque de Florence. Il a laissé de nombreux ouvrages de théologie morale, de droit canonique et d'histoire (dominicain que nous fêtons aussi selon le calendrier de l'Ordre auquel il appartenait).
L'Église universelle fait mémoire de lui en ce jour et rappelle que c'est lui qui dirigea les travaux du Bienheureux Fra Angelico qui, par ses fresques, ornait de prière méditative les cellules de ses frères au couvent Saint Marc de Florence, leur faisant ainsi partager sa vie spirituelle.
Après avoir travaillé à la réforme de l'Ordre des Prêcheurs, il se dévoua à sa charge pastorale avec vigilance et se distingua par sa sainteté, l'ordre et l'utilité de sa Somme de théologie morale.
Martyrologe romain
Mémoire de Saint Gordien et Saint Épimaque Martyrs
Sainte Solange, dans le Berry, une petite bergère d'une grande beauté. Une humble jeune fille qui refusa d'épouser le fils du Comte de Poitiers car elle vouliat concerver sa chasteté et voulait se consacrer pleinement à Dieu, le jeune comte voulait l'enlever de force. Il la prit sur son cheval mais la belle paysanne était forte. Elle se débattit tellement qu'au passage d'un ruisseau, elle l'y fit tomber avec elle. Il espéra que l'eau lui permettrait de mieux accomplir son forfait. Il tenta de la prendre de force. Elle sortit de l'eau pour s'enfuir, il la poursuivit et, de rage, l'ayant rattrapée, lui trancha la tête.
La légende rapporte que la tête de Solange, bien que séparée du reste du corps, invoqua encore trois fois le saint Nom de Jésus. Toujours selon la légende, Solange, décapitée, prit sa tête dans ses mains et la porta jusqu'à l'église Saint-Martin...
Sainte Solange est la seconde patronne du Berry. Tous les lundis de Pentecôte elle est fêtée dans le village du Cher: 18220 Sainte-Solange (diocèse de Bourges).
Martyrologe romain
Saint Antonin Évêque et confesseur IIIe classe
Saint Antonin de Florence Frère prêcheur, archevêque de Florence (+ 1459), Dominicain italien qui remplit les diverses charges de son Ordre avant d'être nommé archevêque de Florence. Il a laissé de nombreux ouvrages de théologie morale, de droit canonique et d'histoire (dominicain que nous fêtons aussi selon le calendrier de l'Ordre auquel il appartenait).
L'Église universelle fait mémoire de lui en ce jour et rappelle que c'est lui qui dirigea les travaux du Bienheureux Fra Angelico qui, par ses fresques, ornait de prière méditative les cellules de ses frères au couvent Saint Marc de Florence, leur faisant ainsi partager sa vie spirituelle.
Après avoir travaillé à la réforme de l'Ordre des Prêcheurs, il se dévoua à sa charge pastorale avec vigilance et se distingua par sa sainteté, l'ordre et l'utilité de sa Somme de théologie morale.
Martyrologe romain
Mémoire de Saint Gordien et Saint Épimaque Martyrs
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
Re: 9 MAI : FETE DE SAINTE SOLANGE, SAINT ANTONIN DE FLORENCE
9 mai : fête de Sain Grégoire de Naziance
Grégoire de Nazianze (en grec ancien : Γρηγόριος ὁ Ναζιανζηνός), ou « de Naziance », dit « le Jeune », ou encore Grégoire le Théologien, né en 329 en Cappadoce et mort en 390, est un théologien et un Docteur de l'Église. Il fait partie avec Basile de Césarée et Grégoire de Nysse des « Pères cappadociens ».
Issu d'une famille chrétienne, Grégoire fait ses études à Alexandrie puis à Athènes, où il rencontre Basile de Césarée, qui devient son ami. Il rentre à Nazianze, où il est ordonné prêtre par son père. Ordonné ensuite contre son gré évêque de Sasimes par Basile de Césarée, il ne peut s'établir dans cette cité et reste chez son père, devenant ainsi le premier évêque auxiliaire de l'Église.
À la mort de son père, il décide de se retirer pour mener une vie cénobitique. Il est invité à Constantinople, où il prend part à la lutte contre l'arianisme et contre les divisions de l'Église de Constantinople. Partisan de la doctrine du concile de Nicée, il cherche à défendre la place de l'Esprit Saint dans la théologie orthodoxe.
L'empereur Théodose Ier impose Grégoire de Nazianze comme évêque de Constantinople. Il préside alors le concile de Constantinople mais démissionne alors que les débats sont loin d'être achevés. Il retourne à Nazianze, où il écrit de nombreuses lettres et discours en faveur notamment de la thèse qui considère l'Esprit Saint comme l'une des personnes de la Trinité.
La richesse des écrits théologiques de Grégoire conduit très vite à sa reconnaissance dans toute la chrétienté. Ses œuvres sont traduites en latin, puis dans différentes langues. Il influence significativement la théologie de la Trinité tant des Pères grecs que des Pères latins.
Père de l'Église, il est introduit dans le bréviaire comme Docteur de l'Église par le pape Pie V en 1568. Il est vénéré tant par les catholiques que par les orthodoxes.
Ses reliques, transférées à Rome au viiie siècle pour éviter leur destruction lors de la querelle iconoclaste, ont été restituées en 2004 par le pape Jean-Paul II au patriarche Bartholomée Ier de Constantinople. Ce geste est à interpréter comme un signe de réconciliation entre catholiques et orthodoxes.
Grégoire de Nazianze (en grec ancien : Γρηγόριος ὁ Ναζιανζηνός), ou « de Naziance », dit « le Jeune », ou encore Grégoire le Théologien, né en 329 en Cappadoce et mort en 390, est un théologien et un Docteur de l'Église. Il fait partie avec Basile de Césarée et Grégoire de Nysse des « Pères cappadociens ».
Issu d'une famille chrétienne, Grégoire fait ses études à Alexandrie puis à Athènes, où il rencontre Basile de Césarée, qui devient son ami. Il rentre à Nazianze, où il est ordonné prêtre par son père. Ordonné ensuite contre son gré évêque de Sasimes par Basile de Césarée, il ne peut s'établir dans cette cité et reste chez son père, devenant ainsi le premier évêque auxiliaire de l'Église.
À la mort de son père, il décide de se retirer pour mener une vie cénobitique. Il est invité à Constantinople, où il prend part à la lutte contre l'arianisme et contre les divisions de l'Église de Constantinople. Partisan de la doctrine du concile de Nicée, il cherche à défendre la place de l'Esprit Saint dans la théologie orthodoxe.
L'empereur Théodose Ier impose Grégoire de Nazianze comme évêque de Constantinople. Il préside alors le concile de Constantinople mais démissionne alors que les débats sont loin d'être achevés. Il retourne à Nazianze, où il écrit de nombreuses lettres et discours en faveur notamment de la thèse qui considère l'Esprit Saint comme l'une des personnes de la Trinité.
La richesse des écrits théologiques de Grégoire conduit très vite à sa reconnaissance dans toute la chrétienté. Ses œuvres sont traduites en latin, puis dans différentes langues. Il influence significativement la théologie de la Trinité tant des Pères grecs que des Pères latins.
Père de l'Église, il est introduit dans le bréviaire comme Docteur de l'Église par le pape Pie V en 1568. Il est vénéré tant par les catholiques que par les orthodoxes.
Ses reliques, transférées à Rome au viiie siècle pour éviter leur destruction lors de la querelle iconoclaste, ont été restituées en 2004 par le pape Jean-Paul II au patriarche Bartholomée Ier de Constantinople. Ce geste est à interpréter comme un signe de réconciliation entre catholiques et orthodoxes.
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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