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COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : RASSEMBLER LES FRANCAIS

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Message par Hervé J. VOLTO Mer 10 Jan 2024 - 0:03

COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : RASSEMBLER LES FRANCAIS




Bien Chère Âmes Fidèles,

Que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France. Restez ferme dans votre Foi. Dieu est auprès de vous...

Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.

Le Roi de France à venir n'est pas l'incarnation d'une nation-archipel mais le chef d'un peuple de race -majoritairement- banche, de culture gréco-romaine -spartano-gallo-romaine- et de religion Chrétienne. Nous ne cherchons pas à rassembler tous les Français, mais les seuls vrais Français, Franco-Catholiques. Les vrais Royalistes savent que la France à quelque part un Roi, Roi dit du Sacré-Coeur, Roi du miracle tenu en réserve par Dieu pour la régénération de la France et il mènerait en attendant le jour de sa Restauration une vie retirée et pénitante... On pourrait l'immaginer comme un père de famille Catho-Tradi, conservateur, enraciné, issu du monde paysan ! On comprendra que les euro-mondialistes ne le veuillent pas.

Mais comment rassembler les Français selon l'optique Royaliste ?

Avant tout, nous nous en remettons à vos prières...

Rassembler les -vrais- Français est une des priorité de la politique Royaliste, avec la protection de la foi Catholique, la défense du Royaume et la justice. Il faudra placer le travail au cœur de la politique sociale, développer la propriété populaire, asurer la pérénités des retaitres des Français et garantir ces trois choses au peuple Français.

Le Roi traiterait ses sujets en enfants de Dieu et non en personnes qu'il faut dresser les unes contre les autres de façon à avoir une majorité qui vous permette d'avoir le pouvoir et tout ce qui va avec, prébendes décorations et places pour ses amis. La mise en oeuvre de la doctrine sociale de l'Eglise fait aussi partie des lignes de force de l'action Royale.

En attendant le Roi, pour rassembler les Français, il faut :

1. Instaurer le salaire direct.

Il est temps d’opérer une véritable “révolution” économique, pour faire en sorte que chaque Français reçoive, par la rémunération de son travail, les fruits directs de ses efforts et de son
mérite. En clair, les charges sociales (patronales et salariales) doivent décroître considérablement de façon à augmenter les revenus directs des salariés. Nous proposons d'abaisser constituionnellement les retenues obligatoires à 21% contre 47% aujourd'hui.

Une fois leur travail revalorisé par la perception d’un salaire plus conforme à la valeur
ajoutée réellement produite, les salariés doivent avoir la liberté d’affecter, à des
organismes de leur choix, le surplus ainsi dégagé sous forme de cotisations
complémentaires d’assurance-maladie ou d’assurance-vieillesse : mutuelles ou régimes
spécifiques d’entreprise existants ou à créer, plus proches des cotisants et des
bénéficiaires, par définition mieux gérés, échappant à l’actuelle spoliation étatique et
“syndicale”. Le régime obligatoire de base ne sera pas pour autant remis en cause.

2. Réaffirmer la nécessité d’un salaire minimum décent et familial.

Nous rejetons absolument toute idée de démantèlement de la notion de salaire minimum.
Cette exigence de justice sociale –le travail n’est pas une valeur marchande, mais le
moyen d’assurer sa dignité et celle des siens– est mise en cause aussi bien par le libre échangisme
que par l’étatisme (loi Aubry sur les 35 heures).

La mise en place du revenu parental d’éducation n’exclut aucunement le salaire
minimum, puisque les finalités sont différentes. Le salaire minimum est la contrepartie
d’une prestation de travail appréciée dans un contexte économique général ; le revenu
parental d’éducation et les prestations familiales sont justifiés par le rôle que prennent
les parents dans la continuité physique de la communauté nationale.

Enfin, la croissance économique aidant, il convient de renégocier branche par branche le
niveau de salaires anormalement tiré vers le bas du fait de l’immigration de travailleurs
étrangers, officiels ou clandestins, du travail illégal mais aussi d’une politique libre échangiste
à courte vue.

3. Faire de la participation et de l’intéressement des outils de promotion sociale.

Tout ce qui concourt à responsabiliser le salarié et à l’associer au développement de
l’entreprise à laquelle il appartient est profitable tant à son épanouissement personnel
mais également qu’à la prospérité de la Nation. La participation au capital et
l’intéressement au bénéfice – dans des formules simples –, seront systématisés aussi
bien dans les grandes entreprises que dans les PME-PMI, grâce à l’abaissement, voire la
suppression des seuils sociaux, dont l’existence se retourne en réalité contre les salariés.

4. Restaurer la libre représentation du travail.

Le monopole exercé par les centrales syndicales nationales est un scandale et une
escroquerie à l’égard du monde du travail. Elles ont été décrétées représentatives par la
loi ; c’est dire si elles ne le sont plus en réalité : moins de 10% des salariés y adhèrent.
Lors de l’élection des délégués du personnel, des candidatures dites libres (!) ne peuvent
se porter au premier tour, ce qui constitue en soi une entrave à la vérité du scrutin et
disqualifie ipso facto les organisations qui bénéficient de ce privilège. Ces pratiques
iniques seront abolies : les candidatures aux élections des délégués du personnel et des
comités d’entreprise deviendront libres dès le 1er tour.

5. Faire émerger des organisations professionnelles puissantes et authentiquement paritaires.

Une fois la liberté de la représentation du travail restaurée, il convient d’amener les
différentes représentations des salariés, des cadres et du patronat à dialoguer et à
construire ensemble une politique de formation professionnelle et de protection sociale
au sein de grandes organisations professionnelles réellement paritaires, c’est-à-dire où
salariés et entrepreneurs ont un poids identique.

Ces organisations, organisées en corporations de métiers, recouperont les branches d’activité dont le nombre et la nature sont à redéfinir dans le cadre d’une démarche d’identification menée en commun par l’État et les professions, puisque l’actuelle classification de la Comptabilité nationale n’est plus adaptée à cette fin : nous proposons ici sept corporations de métiers, à savoir 1. agriculteurs/éleveurs/marins-pécheurs; 2. artisans; 3. commerçants; 4. professions libérales; 5. entrepreneurs industriels, 6. métiers artistiques; 7. métiers de l'enseigment et du sport.

Le champ de représentation de certaines branches, comme la métallurgie, devra être
revu. Des regroupements s’opéreront et des fédérations nouvelles se créeront car
l’organisation du travail a considérablement évolué depuis 50 ans. Des organisations
professionnelles paritaires revivifiées et adaptées à la réalité de l’économie d’aujourd’hui
auront – au-delà de la gestion des conventions collectives de branches – un rôle moteur
à jouer dans la protection des travailleurs et la promotion des métiers existants et
nouveaux.

Véritablement représentatives du monde du travail, elles participeront par le biais de
délégués nationaux et régionaux au fonctionnement du Conseil économique et social et
de chaque conseil économique et social provincial dont il faudra engager la réforme afin
d’en redéfinir la mission et les attributions (cf. chapitre Emploi).

6. Réorienter la politique du logement familial en faveur des Français.

La priorité d’accès au logement social sera instituée au bénéfice des seuls Français (voir
chapitre Immigration). La gestion des offices d’HLM sera systématiquement contrôlée de
façon à identifier toutes les dérives financières, voire les actes de corruption, dont se
sont rendus coupables certains élus locaux qui les président. Nous abolirosn la Loi RSU et nous abbatrons les tours de bétons pour faire des logements sociaux à l'nagalise, avec espaces verts. L’accession sociale à la propriété sera fortement encouragée (voir chapitre Famille), l’objectif étant que chaque famille Française soit propriétaire de son logement principal (actuellement la moitié
seulement).

7. Encourager l’épargne populaire.

Pour encourager l’épargne des plus modestes de nos compatriotes, il faut évidemment
commencer par augmenter leurs revenus, ce qui nécessite une politique de relèvement
des bas salaires et l’instauration de la préférence nationale. Ensuite, l’épargne populaire
doit être mieux rémunérée, celle des livrets d’épargne défiscalisée en particulier, le taux
ne devant pas être inférieur à deux fois la croissance ou trois fois l’inflation annuelle
constatée. Il convient enfin d’autoriser la rémunération par les banques des dépôts à vue
: il est en effet anormal que ces dépôts, que celles-ci font fructifier à leur profit, ne
rapportent rien à leurs détenteurs. La facturation des services bancaires sera prohibée.

8. Restituer aux Français les actions des entreprises publiques.

Dans le cadre de la désétatisation des entreprises actuellement encore placées sous la
direction de l’État et que les Français ont en réalité dotées par le biais de leurs impôts,
chaque mise sur le marché des actions de ces entreprises sera réservée prioritairement,
pour 60%, aux familles françaises afin que notre peuple redevienne concrètement et
directement propriétaire de ce qui a été constitué en son nom. Pour éviter une revente
précipitée, une clause d’incessibilité de trois ans sera prévue.

9. Instaurer la retraite de libre choix.

Le système des retraites aujourd’hui menacé ne pourra être garanti que si on développe
l’activité de la population française dans son ensemble et si l’on donne aux salariés le
libre choix de l’âge du départ à la retraite. Chaque Français fixera donc librement l’âge
auquel il désire cesser de travailler, sans pénalisation financière. Le choix lui sera
également offert d’une cessation progressive d’activité, très souhaitée par les salariés les
plus anciens, ainsi qu’un régime de capitalisation encadré en cas de poursuite de l’activité
après l’âge indicatif de 65 ans.

10. Séparer les caisses de retraite des Français de celles des étrangers.

Préalablement à la refonte du système français d’assurance-retraite, en application du
principe de préférence nationale, une caisse autonome d’assurance-vieillesse sera créée
pour les ressortissants étrangers, alimentée par eux seuls.

11. Harmoniser et diversifier les régimes de retraite.

L’équité exige cependant une harmonisation progressive des différents régimes de base
(durée de cotisation, taux de remplacement, montant des cotisations). De plus, la
gestion du régime national de base doit être assurée par l’État, après consultation des
organisations professionnelles paritaires et des associations de retraites. Le
fonctionnement du régime de base d’assurance-vieillesse sera soumis au contrôle du Parlement.

Afin de garantir une retraite minimale décente à tous les Français, il convient aussi de
modifier les conditions d’application des pensions de reversion, pénalisantes pour les
conjoints, et de revoir les règles de revalorisation qui ne suivent pas le coût de la vie.

12. Créer des régimes complémentaires de retraite de libre choix.

Afin d’assurer la pérennité du système par répartition et grâce à l’instauration du salaire
direct et à la baissse de la taxation du travail, des régimes complémentaires d’épargneretraite,
par métiers, professions, entreprises, branches, seront encouragés à se créer
par l’État qui, en ce domaine, doit être arbitre et non gestionnaire. Dans cet esprit, il est
nécessaire de veiller à ce que le capital et les intérêts des fonds ainsi levés profitent non
seulement aux cotisants mais que leur investissement soit en priorité dirigé vers des
activités réellement productrices de richesses et créatrices d’emplois (défiscalisation des
placements prioritaires vers les PME-PMI). La désétatisation de ces fonds ne doit pas
aboutir à leur confiscation par les banques et les sociétés d’assurances.

Pour reconquérir nos libertés, protéger notre identité, rétablir notre souveraineté, rénover nos institutions.

-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeunne fille que l'on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d'Arc (François-Marie Algould) !

Toujours sous le signe du double-Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice Sacré Coeur , espoir et salut de la France.

Puisse Saint Louis nous éclairer.





Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO

Hervé J. VOLTO

Date d'inscription : 19/12/2016

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