Mère Marie de l'Incarnation a répondu de tout son cœur aux appels que le Seigneur lui a faits au cours de sa vie..
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Mère Marie de l'Incarnation a répondu de tout son cœur aux appels que le Seigneur lui a faits au cours de sa vie..
Mère Marie de l'Incarnation, contemplative et missionnaire
La vocation missionnaire (1631-1647) de Mère Marie de l'Incarnation
En entrant dans la trentaine, Marie Guyart ne se doutait pas encore que son amour de Dieu et son goût du service la conduiraient en Nouvelle-France comme missionnaire dans un pays de froidure, de chasse et de commerce de peaux de castors. Québec, à ce moment, était un petit village de 300 personnes à peine. Après être entrée dans la congrégation des religieuses Ursulines en 1631, tout en souffrant de se séparer de son fils, elle avait senti que le Seigneur la préparait à d'autres choses. On lui proposa d'aller en Nouvelle-France et elle décida d'accepter. Le 1er août 1639, elle débarquait à Québec avec quelques compagnes. Il fallait se bâtir un logis, puis commencer à apprendre les langues autochtones, car le but de ce petit groupe d'Ursulines était l'éducation des enfants des colons et des jeunes autochtones.
Ce qui nous frappe dans son cheminement spirituel
Elle ne retourne jamais en arrière. Favorisée d'un grand sens pratique et d'une confiance inébranlable en Dieu, elle vit ses soucis, son enseignement, ses responsabilités dans la paix. « Dieu luit au fond de mon âme, qui est comme dans l'attente », écrira-t-elle en ajoutant que toutes ses occupations ne lui font pas perdre de vue la présence de Dieu dans sa vie. Elle est parvenue à une intégration spirituelle remarquable du service de ses frères et sœurs, et de la communion intime avec Dieu au fond d'elle-même. Après une brève maladie, elle meurt en 1672. Elle avait voulu de toutes ses forces contribuer à l'annonce de l'Évangile dans ce nouveau pays où elle apprit à vivre de façon différente sa fidélité au Seigneur.
Résumé de sa vie
Mariée et mère de famille, gérante du commerce de son beau-frère, éducatrice des enfants sur les rives du Saint-Laurent, Marie Guyart s'est appliquée à répondre de tout son cœur aux appels que le Seigneur lui a faits au cours de sa vie. Elle a vécu simplement, n'a pas eu peur de prendre de nouveaux départs, et surtout, elle s'est attachée à cette lumière de l'Évangile qui l'a soutenue et réjouie bien souvent. « Dieu ne m'a jamais conduite par un esprit de crainte, mais par celui de l'amour et de la confiance », dira-t-elle en 1668, quelques années avant sa mort. Elle a été déclarée bienheureuse par le pape Jean-Paul II le 22 juin 1980, et canonisée par le pape François le 3 avril 2014.
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