18 JUILLET : FETE DE SAINT CAMILLE DE LELIS
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18 JUILLET : FETE DE SAINT CAMILLE DE LELIS
18 juillet : fête de Saint Camille de Lellis Confesseur
Né le 25 mai 1550 à Bucchianico (Abruzzes), il connait une jeunesse assez dissipée. Il était le fils d'un officier qui avait servi dans les armées napolitaines et les armées françaises. Sa mère mourut quand il était encore enfant et son éducation fut tout à fait négligée. Encore jeune, il devint soldat au service de Venise puis de Naples, jusqu'en 1574, quand son régiment fut dissous. Pendant son temps de service, il devint un joueur invétéré au point que ses pertes au jeu le réduisirent parfois au dénuement. La bonté envers lui d'un moine capucin l'incita à demander son admission dans cet ordre, mais on le refusa. Il se rendit alors à Rome, où il obtint un emploi à l'Hôpital Saint Jacques des Incurables. Ce qui l'avait surtout incité à y aller était l'espoir qu'on guérirait les abcès de ses pieds dont il avait longtemps souffert. Il fut chassé de l'hôpital à cause de son tempérament querelleur et de sa passion à jouer de l'argent.
De nouveau il devint soldat vénitien : il prit part à la campagne contre les Turcs en 1569 et notamment à la bataille de Lépante le 7 octobre 15711. Après la guerre, il fut employé par les capucins à Manfredonia dans un nouveau bâtiment qu'ils étaient en train de construire. Sa vieille habitude du jeu continua à le poursuivre, jusqu'à ce qu'une admonition du gardien du couvent l'eût si bien convaincu qu'il résolut de se réformer. Il fut admis dans l'ordre comme frère lai, mais bientôt écarté en raison de son infirmité. Il alla de nouveau à Rome, où il revint dans l'hôpital où il avait été auparavant et, après une amélioration temporaire de ses ennuis de santé, il y devint infirmier et, ayant gagné l'admiration de l'institution par sa piété et sa sagesse, il fut nommé directeur de l'hôpital.
Il se convertit donc à 25 ans et résolut de faire pénitence. Il entre chez les capucins mais par deux fois doit en sortir à cause d’un ulcère incurable à la jambe. C’est à Rome qu’il trouve définitivement l’orientation de sa vie, alors qu’il exerce le métier d’infirmier à l’hôpital Saint Jacques. Touché de compassion pour les souffrances qu’il a sous les yeux, voyant le peu de charité de certains employés de l'hôpital, il décide de se consacrer aux malades et aux malheureux « avec l’amour d’une mère soignant son enfant malade ».
D’infirmier, il devient économe de la maison ce qui lui permet d’envisager une réforme complète du soin des malades. Il groupe autour de lui quelques compagnons qui vont devenir le noyau de l’ordre des clercs réguliers, ministres des infirmes ou Camilliens.
Une bulle du 21 septembre 1591 de Grégoire XIV érige l’ordre des Camilliens sous la règle de Saint Augustin. Camille en est le préfet général. Camille n’est pas prêtre ; décidé à le devenir, il se met à l’étude du latin et est ordonné prêtre en 1584.
Toute sa vie, il sera un homme très charitable. L’importance des réformes qu’il entreprend dans l’assistance hospitalière en fait le précurseur de la bienfaisance publique moderne.
La mission spéciale de l’ordre, à laquelle tous les religieux se lient par vœu, même au péril de leur vie, est : “ l’exercice des œuvres spirituelles et corporelles de miséricorde envers les malades, même atteints de peste, tant dans les hôpitaux et les prisons que dans les maisons privées et partout où il faudra ”, (Constitutions). Ils doivent “ regarder l’hôpital comme un jardin délicieux ”, les malades comme “ leurs seigneurs et maîtres ”.
Camille meurt à Rome le 14 juillet 1614. Canonisé le 29 juin 1746 par Benoît XIV, le titre de Protecteur des hôpitaux et des malades lui est donné en même temps qu’à St Jean de Dieu, par Léon XIII le 22 juin 1886. En 1930, Pie XI le proclame patron du personnel des hôpitaux ainsi que Saint Jean de Dieu. Il est fêté le 15 juillet dans son ordre et le 18 dans l’Eglise.
On pourrait s’étonner que dans l’Eglise, des prêtres passent leur vie au service des misères et des faiblesses physiques. Mais la charité se souvient de tant de gestes du Christ guérissant et bénissant les foules. N’y a-t-il pas de relations entre le lit de souffrance, la table d’opération et l’autel ? A la suite du Christ, comme le bon Samaritain de l’Evangile du jour, (Luc 10, 25-37), il nous est demandé de servir, spécialement les pauvres et les malades. Aucune eschatologie révolutionnaire, aucune idéologie ne peut nous dispenser de traiter avec justice et amour une personne que nous pouvons secourir. Il est fréquent de rencontrer sur la route une personne blessée ; il est plus fréquent encore de rencontrer des êtres meurtris par l'échec, les drames familiaux, le chômage, etc. Nous n’avons pas à nous demander : qui est digne d’être considéré comme mon prochain ? Mais, que dois-je faire pour être vraiment le prochain de mes frères ? La conduite du bon Samaritain fournit la réponse à cette question.
Saint-Camille de Lellis est fêté le 18 juillet ; il est le saint patron des infirmiers.
Sources :
Site Internet du Diocèse aux Armées.
18 juillet : Fête de Saint Arnoul de Metz, évêque et confesseur
Vie de Saint Arnoul
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2023/07/17/2023-77-de-saint-arnoul-de-metz-quadrisaieul-de-saint-charlemagne/comment-page-1/#comment-19160
18 juillet : mémoire de Sainte Symphorose et ses sept fils
Sainte Symphorose, de Tivoli, épouse du Martyr Saint Gétule, eut de lui sept fils : Crescentius, Julien, Nemesius, Primitivus, Justin, Stacteus et Eugène, qui tous furent saisis avec leur mère, sous l’empire d’Hadrien, comme professant la Foi chrétienne. Après que leur piété, bien qu’éprouvée par de nombreuses et diverses tortures, fut demeurée invincible, la mère qui avait été leur maîtresse dans la Foi, fut leur guide au martyre. On lui attache un quartier de roche au cou et elle est jetée dans le fleuve. Son corps est recueilli et enseveli par son frère Eugène.
Le lendemain, qui était le quinze des calendes d’août, les sept frères sont tous attachés au poteau et tués de différentes manières : saint Crescentius a la gorge tranchée par le fer ; saint Julien a la poitrine traversée ; saint Nemesius est frappé au cœur ; saint Primitivus est percé au bas-ventre ; saint Justin a les membres coupés l’un après l’autre ; saint Stacteus est percé de flèches ; saint Eugène a la poitrine divisée en deux. Ainsi furent immolées ces huit victimes agréables à Dieu.
Leurs corps furent jetés dans une fosse profonde sur la voie Tiburtine, au neuvième mille de Rome ; transportés plus tard dans la ville, ils furent ensevelis dans l’église du Saint-Ange à la piscine vers 125, S. Télesphore étant Pape et Hadrien empereur.
Nuit du 18 au 19 juillet 1930 : 1ère apparition de Notre-Dame à Sainte Catherine Labouré
Première apparition
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2023/07/18/2023-78-de-la-premiere-apparition-de-la-tres-sainte-mere-de-dieu-a-sainte-catherine-laboure-a-loccasion-de-la-fete-de-saint-vincent-de-paul-le-19-juillet-1830/
On le voit bien ici : Le Ciel n’est pas favorable aux révolutions ; Dieu et ses saints sont légitimistes, ils ne sont ni orléanistes ni républicains !
Cela fut confirmé le 6 juin suivant, dimanche de la Sainte Trinité, où Sœur Catherine fut gratifiée d’une nouvelle vision encore plus explicite :
-Le jour de la Sainte Trinité, Notre-Seigneur m’apparut dans le Très Saint-Sacrement pendant la Sainte Messe, comme un roi, avec la croix sur sa poitrine. Au moment de l’Evangile, il m’a semblé que la croix et tous ses ornements royaux coulaient à terre sous ses pieds, et que Notre-Seigneur restait dépouillé. C’est là que j’ai eu les pensées les plus noires et les plus tristes, comprenant que le Roi serait dépouillé de ses habits Royaux et les dommages qui en résulteraient.
Cette identification entre le Roi céleste, Notre-Seigneur Jésus-Christ et son lieu-tenant sur terre, le Roi Charles X, sacré à Reims, n’a guère besoin de commentaires !
Né le 25 mai 1550 à Bucchianico (Abruzzes), il connait une jeunesse assez dissipée. Il était le fils d'un officier qui avait servi dans les armées napolitaines et les armées françaises. Sa mère mourut quand il était encore enfant et son éducation fut tout à fait négligée. Encore jeune, il devint soldat au service de Venise puis de Naples, jusqu'en 1574, quand son régiment fut dissous. Pendant son temps de service, il devint un joueur invétéré au point que ses pertes au jeu le réduisirent parfois au dénuement. La bonté envers lui d'un moine capucin l'incita à demander son admission dans cet ordre, mais on le refusa. Il se rendit alors à Rome, où il obtint un emploi à l'Hôpital Saint Jacques des Incurables. Ce qui l'avait surtout incité à y aller était l'espoir qu'on guérirait les abcès de ses pieds dont il avait longtemps souffert. Il fut chassé de l'hôpital à cause de son tempérament querelleur et de sa passion à jouer de l'argent.
De nouveau il devint soldat vénitien : il prit part à la campagne contre les Turcs en 1569 et notamment à la bataille de Lépante le 7 octobre 15711. Après la guerre, il fut employé par les capucins à Manfredonia dans un nouveau bâtiment qu'ils étaient en train de construire. Sa vieille habitude du jeu continua à le poursuivre, jusqu'à ce qu'une admonition du gardien du couvent l'eût si bien convaincu qu'il résolut de se réformer. Il fut admis dans l'ordre comme frère lai, mais bientôt écarté en raison de son infirmité. Il alla de nouveau à Rome, où il revint dans l'hôpital où il avait été auparavant et, après une amélioration temporaire de ses ennuis de santé, il y devint infirmier et, ayant gagné l'admiration de l'institution par sa piété et sa sagesse, il fut nommé directeur de l'hôpital.
Il se convertit donc à 25 ans et résolut de faire pénitence. Il entre chez les capucins mais par deux fois doit en sortir à cause d’un ulcère incurable à la jambe. C’est à Rome qu’il trouve définitivement l’orientation de sa vie, alors qu’il exerce le métier d’infirmier à l’hôpital Saint Jacques. Touché de compassion pour les souffrances qu’il a sous les yeux, voyant le peu de charité de certains employés de l'hôpital, il décide de se consacrer aux malades et aux malheureux « avec l’amour d’une mère soignant son enfant malade ».
D’infirmier, il devient économe de la maison ce qui lui permet d’envisager une réforme complète du soin des malades. Il groupe autour de lui quelques compagnons qui vont devenir le noyau de l’ordre des clercs réguliers, ministres des infirmes ou Camilliens.
Une bulle du 21 septembre 1591 de Grégoire XIV érige l’ordre des Camilliens sous la règle de Saint Augustin. Camille en est le préfet général. Camille n’est pas prêtre ; décidé à le devenir, il se met à l’étude du latin et est ordonné prêtre en 1584.
Toute sa vie, il sera un homme très charitable. L’importance des réformes qu’il entreprend dans l’assistance hospitalière en fait le précurseur de la bienfaisance publique moderne.
La mission spéciale de l’ordre, à laquelle tous les religieux se lient par vœu, même au péril de leur vie, est : “ l’exercice des œuvres spirituelles et corporelles de miséricorde envers les malades, même atteints de peste, tant dans les hôpitaux et les prisons que dans les maisons privées et partout où il faudra ”, (Constitutions). Ils doivent “ regarder l’hôpital comme un jardin délicieux ”, les malades comme “ leurs seigneurs et maîtres ”.
Camille meurt à Rome le 14 juillet 1614. Canonisé le 29 juin 1746 par Benoît XIV, le titre de Protecteur des hôpitaux et des malades lui est donné en même temps qu’à St Jean de Dieu, par Léon XIII le 22 juin 1886. En 1930, Pie XI le proclame patron du personnel des hôpitaux ainsi que Saint Jean de Dieu. Il est fêté le 15 juillet dans son ordre et le 18 dans l’Eglise.
On pourrait s’étonner que dans l’Eglise, des prêtres passent leur vie au service des misères et des faiblesses physiques. Mais la charité se souvient de tant de gestes du Christ guérissant et bénissant les foules. N’y a-t-il pas de relations entre le lit de souffrance, la table d’opération et l’autel ? A la suite du Christ, comme le bon Samaritain de l’Evangile du jour, (Luc 10, 25-37), il nous est demandé de servir, spécialement les pauvres et les malades. Aucune eschatologie révolutionnaire, aucune idéologie ne peut nous dispenser de traiter avec justice et amour une personne que nous pouvons secourir. Il est fréquent de rencontrer sur la route une personne blessée ; il est plus fréquent encore de rencontrer des êtres meurtris par l'échec, les drames familiaux, le chômage, etc. Nous n’avons pas à nous demander : qui est digne d’être considéré comme mon prochain ? Mais, que dois-je faire pour être vraiment le prochain de mes frères ? La conduite du bon Samaritain fournit la réponse à cette question.
Saint-Camille de Lellis est fêté le 18 juillet ; il est le saint patron des infirmiers.
Sources :
Site Internet du Diocèse aux Armées.
18 juillet : Fête de Saint Arnoul de Metz, évêque et confesseur
Vie de Saint Arnoul
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2023/07/17/2023-77-de-saint-arnoul-de-metz-quadrisaieul-de-saint-charlemagne/comment-page-1/#comment-19160
18 juillet : mémoire de Sainte Symphorose et ses sept fils
Sainte Symphorose, de Tivoli, épouse du Martyr Saint Gétule, eut de lui sept fils : Crescentius, Julien, Nemesius, Primitivus, Justin, Stacteus et Eugène, qui tous furent saisis avec leur mère, sous l’empire d’Hadrien, comme professant la Foi chrétienne. Après que leur piété, bien qu’éprouvée par de nombreuses et diverses tortures, fut demeurée invincible, la mère qui avait été leur maîtresse dans la Foi, fut leur guide au martyre. On lui attache un quartier de roche au cou et elle est jetée dans le fleuve. Son corps est recueilli et enseveli par son frère Eugène.
Le lendemain, qui était le quinze des calendes d’août, les sept frères sont tous attachés au poteau et tués de différentes manières : saint Crescentius a la gorge tranchée par le fer ; saint Julien a la poitrine traversée ; saint Nemesius est frappé au cœur ; saint Primitivus est percé au bas-ventre ; saint Justin a les membres coupés l’un après l’autre ; saint Stacteus est percé de flèches ; saint Eugène a la poitrine divisée en deux. Ainsi furent immolées ces huit victimes agréables à Dieu.
Leurs corps furent jetés dans une fosse profonde sur la voie Tiburtine, au neuvième mille de Rome ; transportés plus tard dans la ville, ils furent ensevelis dans l’église du Saint-Ange à la piscine vers 125, S. Télesphore étant Pape et Hadrien empereur.
Nuit du 18 au 19 juillet 1930 : 1ère apparition de Notre-Dame à Sainte Catherine Labouré
Première apparition
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2023/07/18/2023-78-de-la-premiere-apparition-de-la-tres-sainte-mere-de-dieu-a-sainte-catherine-laboure-a-loccasion-de-la-fete-de-saint-vincent-de-paul-le-19-juillet-1830/
On le voit bien ici : Le Ciel n’est pas favorable aux révolutions ; Dieu et ses saints sont légitimistes, ils ne sont ni orléanistes ni républicains !
Cela fut confirmé le 6 juin suivant, dimanche de la Sainte Trinité, où Sœur Catherine fut gratifiée d’une nouvelle vision encore plus explicite :
-Le jour de la Sainte Trinité, Notre-Seigneur m’apparut dans le Très Saint-Sacrement pendant la Sainte Messe, comme un roi, avec la croix sur sa poitrine. Au moment de l’Evangile, il m’a semblé que la croix et tous ses ornements royaux coulaient à terre sous ses pieds, et que Notre-Seigneur restait dépouillé. C’est là que j’ai eu les pensées les plus noires et les plus tristes, comprenant que le Roi serait dépouillé de ses habits Royaux et les dommages qui en résulteraient.
Cette identification entre le Roi céleste, Notre-Seigneur Jésus-Christ et son lieu-tenant sur terre, le Roi Charles X, sacré à Reims, n’a guère besoin de commentaires !
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
Re: 18 JUILLET : FETE DE SAINT CAMILLE DE LELIS
18 juillet : à Neuilly-sur-Seine, la fête de Notre-Dame de Bonne Délivrance
La statue miraculeuse de Notre-Dame de Bonne Délivrance, vénérée au cœur du Quartier latin et désormais installée à Neuilly
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2008/07/17/112-notre-dame-de-bonne-delivrance-la-vierge-noire-de-paris/
La statue miraculeuse de Notre-Dame de Bonne Délivrance, vénérée au cœur du Quartier latin et désormais installée à Neuilly
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2008/07/17/112-notre-dame-de-bonne-delivrance-la-vierge-noire-de-paris/
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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