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HISTOIRE DES RELATIONS ENTRE LA FRANCE ET LE LIBAN

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HISTOIRE DES RELATIONS ENTRE LA FRANCE ET LE LIBAN Empty HISTOIRE DES RELATIONS ENTRE LA FRANCE ET LE LIBAN

Message par Hervé J. VOLTO Jeu 3 Oct 2024 - 0:27

HISTOIRE DES RELATIONS ENTRE LA FRANCE ET LE LIBAN




Bien Chère Âmes Fidèles,

Que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France. Restez ferme dans votre Foi. Dieu est auprès de vous...

Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.

Avant tout, nous en appellons à vos prières...

Frappes au Liban contre le Hezbollah : quel impact pour les chrétiens ?
https://www.bvoltaire.fr/frappes-au-liban-contre-le-hezbollah-quel-impact-pour-les-chretiens/

L'histoire des relations entre la France et le Liban commence avec les Croisades.

Concervé dans les archives Royales de Madrid, Il ceremoniale historico e politico (c’est écrit en italien, c’est peut-être la copie destinée à la Couronne de Naples ou au Saint Siège), sous le titre Opera uilissima à tutti gliambasciatori, définit ainsi la titulature du Roi de France:

LOUIS XV (le Roi de l’époque), PAR LA GRACE DE DIEU ROI DE FRANCE ET DE NAVARRE, DU SIEGE APOSTOLIQUE LE BIENFAITEUR HEREDITAIRE, DE L'EGLISE DE ROME LE PROTECTEUR PERPETUEL, DE LA LIBERTE DES LIEUX SAINTS LE DEFENSEUR SOUVERAIN DU DROIT.

Ici se trouve la vocation Catholique -un peu oubliée de nos jours- de la France !

De 1145 à 1270, la France aura à conduire la Chrétienté aux Croisades et lutter contre l'Angleterre.

A la faveur des Croisades, de nombreux domaines Francs de Terre Sainte -Royaume de Jérusalem, Princiauté d'Antioche, Comté d'Edesse, Comté de Tripoli- sont créés par des féodeux Français, impliquant la France dans les relations internationales. Le début de la vocation Catholique de la France, bien ancrée à l'intérieur par la construction des cathédrales et la protection Royal envers les ordres monastiques (Cluny), commence à s'affirmer à l'étranger.

Le Comté de Tripoli (Comté de Tortose jusqu'en 1109) était l'un des États latins d'Orient fondés à la faveur de la première croisade. Il était situé sur le territoire de l'actuel Liban et subsista de 1102 à 1289.
Les Guerres Italiennes (1494-1559) étant devenues des guerres entre La France et l'Empire, François I° renoue avec la politique palestinienne de ses prédécéseurs. En 1528, il fait appel à Soliman le Magnifique afin de restituer aux Chrétiens de Jérusalem une église que les Turcs avaient transformée en mosquée. Le sultan accepte cette demande, à condition que François I° l'aide contre Charles Quint, et initie une succession d'accords entre la France et l' Empire Ottoman qu'on appellera « Capitulations »
.

Aucun traité d’alliance proprement dit n’est signé mais une coopération étroite permet aux deux puissances de combattre efficacement la flotte espagnole de Charles Quint en Méditérannée, au grand scandale de l’Europe Chrétienne, qui jusque là n'avaient cure de la situation en Terre Sainte depuis la cute de Saint d'Acre en au XIII°siècle. François Ier seul use d’un intermédiaire pour discuter avec le sultan : il s’agit d’un des premiers cas connus de l’usage d'un diplomate pour négocier et non transmettre un simple message. Celui-ci, par précaution, demeure quand même emprisonné pendant un an à Constantinople.

Si le Roi signe une alliance avec les princes protestants en 1532 pour diviser l'Empire, en 1536, la France devient la première puissance européenne à obtenir des privilèges commerciaux en Turquie. L'ambassadeur Jean de la Forest (ou Forêt, de la Maison de la Forêt Divone de qui descend la mère de la journaliste Apoline de Malherbe)  -de sinople à la bande d'or frétée de gueules- est envoyé à Constantinople, et devient le premier ambassadeur permanent à la cour ottomane, chargé de négocier des traités. Jean de La Forêt  négocie des capitulations le 18 février 1536, sur le modèle des accords commerciaux précédemment signés par les Ottomans avec Venise et Gène. Ceux-ci autorisent les navires Français à naviguer librement dans les eaux ottomanes et chaque navire appartenant aux autres pays a l’obligation de battre pavillon Français et demander la protection des consuls Français pour commercer.

Outre celà, la France obtint le droit de posséder une chapelle d’ambassade à Constantinople dans le quartier Galata. Ces privilèges assurent également une certaine protection de la France sur les populations Catholiques de l’Empire ottoman. Et donc sur la Terre Sainte et le Liban.

En 1560, les Franciscains aquierent l'actuel couvent du Saint Sauveur de Jérusalem où ils transfèrent la Custodie, institutions Catholique responsable des intérets de l'Eglise Catholique en Terre Sainte, notemment la la garde des Lieux Saints de Jéruslem et l'accueil des pèlerins depuis 1342 : le Protectorat Français sur les Lieux Saints sur la Custrodie permettent le développement de cette dernière en Terre Sainte et la présence constante des Franciscains en terre sainte -tous Français jusqu'en 1923- sera détermninate pour le dévelloppement de l'Eglise locale, jusqu'à rendre possible en 1847 la restauration du Patriarcat latin à Jérusalem, dissout après la chute de Saint d'Acre.

En 1604, le Bon Roi Henri IV obtient du sultan Ahmet Ier l'insertion, dans les accords de Capitulations du 20 mai 1604, de deux propositions relatives à la protection des pèlerins Chrétiens et des religieux responsables de l'église du Saint Sépulcre. Sous Louis XIII, alors que la France est aux prises avec les Guerre de Religion et l'ingérance de nations étrangères (l'Espagne en faveur des Catholiques et l'Angleterre en faveur des Protestants), les relations amicales avec l'Empire ottoman permettent que le Père Jospeh organise de nouvelles missions au Levant et en Orient.

Le Roi de France Louis XIII le juste, qui a épousé Anne d'Autriche pour sceller des liens dipolmatiques entre les deux premières pouissances Catholiques, est dans ces régions si bien condidéré comme le protecteur des Chrétiens, que notre ambassadeur à Constantinople écrit à son maître qu'à Naxos et à Scio la « la fleur de Lys et le nom du Roi sont en ême honneur que dans la propre France » (G. Fagniez : Le Père Jospeh et Richelieu, pp. 326 et 356, T.I). Présenté par le Père Joseph en 1626, l'Archevêque de Naxos lui attesta de la popularité persistante de la France dont le Roi prenait place dans les prières publique, immédiatement après le pape.

L'ambassadeur de France était, en effet, le protecteur de la population des Cyclades contre les exactions des focntionnaires ottomans (E. Jarry : Les misssions coloniales Françaises. Alamanach Catholique Français 1931, p.264). Des misssions sont fondées à Constantinople, Smyrne, Alep, Beyrouth, Sidon, à Chypre et en Perse, etc...

Le père du Roi Soleil les soutenait par de nombreuses libéralités, à tel point qu'en 1633 « le saint siège consentit à ce que les missionaires désignés par le Roi pussent se rendre à leur poste sans autre appprobation que celle du Nonce de France » (E. Jarry : Les misssions coloniales Françaises. Alamanach catholique Français 1931, p.264). A la même époque, en 1626, Richelieu fonde, pour les Antilles, la Compagnie des Isles, dont le but, dit-il est « le peuplement des îles découvertes et la conversion à la religion catholqie et Romaine des sauvages indigènes ».

C'est à la suite d'un incident survenu à la Grotte de la Nativité de Béthléem entre Franciscains (Catholiques) et Arméniens (Orthodoxes) que Louis XIII, appellé à rétablir les droits des latins, décide de nommer un consul de France permanant à Jérusalem, Jean l'Empereur.

Mazarin continue la politique de son prédècesseur Richelieu et s'acharne à affaiblir les habsbourg. Le Traité de Wesphalie de 1648 va considérabelement affaiblir le Saint-Empire, premettant à la France de renforcer ses frontières Nord. Ce qui va permettre au roi de France de se projeter en Terre Sainte.

Le 5 juin 1673, le sultan Mehmed IV signe un accord avec le Roi Soleil qui octroie de nouveaux droits et protections aux pèlerins et gardiens de lieux Chrétiens sous contrôle ottoman. Aucun navire alors ne peut circuler dans les eaux de la Méditérannée sans l'accpord de Versailles. Louis XIV semble tout d'abord dans de mauvaises dispositions à l'égard de l'Empire Ottoman et des troupes Françaises combattent aux côtès des autrichiens contre les turcs à al bataille du saint Gothard en 1664, puis aux côtès des des Vénitiens au siège de Candie en 1169 sous la direction de François de Vendôme, en effet, Louis XIV est engagé à cette époque dans une alliance avec les Habsourg à la suite de son mariage.

En 1673, Louis XIV envoie une flotte jusqu'aux Dardanelles et obtient de nouvelles capitulaitions qui le reconnaissent comme seul protecteur des Catholiques. Il évite de s'engager dans une alliance formelle avec l'Empire Ottoman, et maintient une prudente neutralité à l'égard des turcs qui lui permettent le libre accès des Chrétiens en Terre Sainte. Il profite du conflit de l'Empire Ottoman contre le Saint Empire pour favoriser les intérets territoriaux de la France.

L'influence Française à Constantinople se manifeste encore sous le règne de Louis XV, avec l'autorisation accordée, à l'ordre des Franciscains, qui étaient protégés de la France, de réparer la coupole du Saint-Sépulcre. Cela revenait à reconnaître leurs droits de propriété effectifs sur le Saint-Sépulcre, également revendiqués par les Grecs et, on l'a vu, les Arméniens. Louis XV signe en 1765 le Pacte des familles entre Bourbons de France, d'Espagne, de Naples et de Parme, alors tous régnant sur des puissances Catholiques, pour renverser les alliances protestantes du Nord (Grande Bretagne, Pays-Bas, Prusse).

Au fil des Capitulations, profitant des bonnes relations existantes entre le Royaume de France et l'Empire Ottoman, les émissaires du Roi de France ont fait élargir le champs d'application de ces tratités. La France s'arrogera d'elle-même , mais à la grande joie du Saint Siège, un ptotectorat sur les religueux Catholiques non-indigènes du Royaume de France : tout Catholique, même non-Français, peut désomais bénéficier de la protection du Consulat Français de Jérusalem. Cette politique trouve un premier aboutisssment avec les Capitulations de 1740 qui contitueront, encore au milieu du XIX° siècle, la base du Protectorta de la France au Moyen-Orient. Le prestige de la France aboutit à faire du Français une langue internationale. Parmi les Conseillers du Roi figure désormais le Secrétaire d'Etat aux Affaires Etrangères.

Le Saint Siège reconnait à partir de 1740 donc offciellement ce chef d'oeuvre diplomatique qu'est le Protectorat Français sur les Lieux Saint.

Les Français peuvent pratiquer leur religion dans l’Empire Ottoman, et les Catholiques Français se voient confier la garde des lieux saints. Le Consulat Général maintient une aire d'influence importante. Il poursuit son action culturelle à travers, les congégations religieuses, les écoles Chrétiennes de Terre sainte, ses centres culturels et surbventionne le département de Français de la toute nouvelle université Chrétienne. Sa nouvelle autonomie lui confère, à côté de se taches consulaires, un rôle diplomatique accru au sein du Proche Orient en pleine recomposition. L'amitié de la France avec l'Ordre Souverain de Malte et l'Ordre Equestre du Saint Sépulcre permettent une diplomatie parallèle en Terre Sainte.

C'est un protectorat sur tous les Catholiques, de quelque nationalité qu'ils soient, y comprit turques, de l'Empire Ottoman et également sur ceux des rites orientaux (Pour un apperçut de l'histoire de la Plestine depuis le Moyen Age, voir Bichara Khader, L'Europe et la Palestine : des Croisades à nos jours, Louvain-la-Nauve, L'Harmathatan, 1999). Les orthodoxes de Terre Sainte peuvent bénéficier à leur tour de la protection du Consulat Français de Jéruslem.

Les capitulations sont encore renouvelées en 1604, et durent jusqu'à l'abandon de 1923. La Révolution et l'Empire arrètent net l'essor colonial et missionaire de la France, mais concervent le Protectorat à cause de l'influence que donne à la France ce Protectorat au Levant.

Le Protectorat Français sur les Lieux Saints durera jusqu'en 1923, date à laquelle la III° République renoncera au Protectorat.

La Custodie remplacera le Protectorat Français sur les Lieux Saints et sera confiée par le Vatican à des Franciscains italiens.

Le Liban tient son origine institutionnelle à l'intervention de la France au nom de l'Europe pour mettre fin aux affrontements entre les maronites et les Druzes en 1860. Le statut d'autonomie garanti par les puissances européennes l'année suivante constitute le cadre d'une influence culturelle croissante de la France.

Lors de la Première Guerre mondiale et en vue de la dislocation de l'Empire ottoman, la France et la Grande-Bretagne se partagent secrètement les provinces arabes de l'Empire dans les accords Sykes-Picot. Pour des raisons culturelles et historiques, la France revendique entre autres l'actuel Liban et la Syrie.

En 1919, la commission américaine relative à la distribution des mandats au Proche-Orient constate que si les Syriens sont hostiles à la présence française et penchent pour leur indépendance immédiate, les Libanais sont quant à eux favorables. Ainsi, une délégation libanaise demande à la Conférence de paix de Paris (1919) la création d'un Liban sous ses frontières actuelles. Cette demande est acceptée et le Grand Liban, séparé de la Syrie, est placé sous mandat français après la conférence de San Remo (1920) – le Liban moderne et ses principales institutions sont donc créées et développées par la France jusqu'à l'indépendance libanaise en 1943.
Cette relation toute particulière entre la France et le Liban (en particulier avec les maronites, mais plus largement avec tous les Libanais) a pour conséquence la séparation du Liban de la Syrie. C'est de cette relation franco-libanaise que se trouve l'origine de l'existence du Liban comme nation reconnue. En raison de cette relation particulière, la France est souvent considérée comme un « pays frère » du Liban. Elle est aussi parfois qualifiée de « tendre mère » du Liban ou de « seconde patrie » des Libanais

Depuis l'indépendance du Liban, les relations politiques entre la France et le Liban sont bonnes.

Depuis la Seconde Guerre mondiale, le Liban connaît une série d'affrontements militaires impliquant Israël et la Syrie. Le Liban est, depuis 1948, l’otage du conflit israélo-arabe.

La plupart des libanais en France sont d'origine chrétiennes maronites.

La Guerre du Liban s'étend de 1975 à 1990 faisant entre 130 000 et 250 000 victimes civiles.

Après des migrations sporadiques du Moyen-Orient vers la France depuis le XVIIe siècle, la croissance réelle de la population libanaise en France a commencé en 1975, avec le début de la guerre civile au Liban qui a poussé des milliers de personnes à l'exil. L'exode s'est aggravé en 1982 avec l'intervention israélienne.

En 1983, la France est totalement exclue des négociations de paix israélo-libanaises qui, le 17 mai, aboutissent à la signature d'un traité de paix sous l'égide des États-Unis. François Mitterrand soutient publiquement l'Irak en guerre contre la République islamique iranienne. Or, les relais de Téhéran et de Damas sont puissants au Liban, dans un moment où la France accentue cette hostilité en défendant Yasser Arafat et l’Organisation de Libération de la Palestine contre la « dissidence » palestinienne qui a la faveur de la Syrie et l’Iran. Les attaques d’un groupe dénommé « Jihad islamique » se multiplient alors contre les intérêts français au Liban.
Les attentats de Beyrouth du 23 octobre 1983, deux attentats-suicides qui frappent les contingents américain et Français de la Force multinationale de sécurité de Beyrouth marquent durablement les relations entre les deux pays. Les deux attentats sont revendiqués par le Mouvement de la révolution islamique libre puis par l'Organisation du Jihad islamique. Le premier attentat tue 241 soldats américains, le second 58 parachutistes français. La France et les États-Unis accusent le Hezbollah et l'Iran qui démentent8. En mars 1984 a lieu le premier d'une longue série d'enlèvements d'otages occidentaux. La France annonce bientôt le retrait de son contingent de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) marquant la fin de trois années d’investissement intense de François Mitterrand dans la région.

Rafiq Hariri est président du Conseil des ministres à deux reprises et dirige cinq gouvernements au Liban entre 1992 et 2004. Il entretient alors des relations étroites avec le président français Jacques Chirac. C'est Rafik Hariri qui poussera le président français à rencontrer Bachar al-Assad. Peu après que Rafiq Hariri a commencé à résister au diktat du régime syrien en s’opposant notamment à la prolongation du mandat présidentiel d’Emile Lahoud, il est assassiné. Un meurtre dont Jacques Chirac est persuadé que la Syrie porte la responsabilité.

Dans le cadre du conflit israélo-libanais de 2006, la France annonce le déploiement de 2 000 soldats afin de faire respecter la fin des hostilités.

En septembre 2019, le Premier ministre libanais, Saad Hariri rencontre Emmanuel Macron. Lors de cette rencontre la France promet de débloquer 250 millions d'euros afin d'aider le Liban. Ce versement d'argent respecte les accords pris lors de la conférence du CEDRE qui a eu lieu en avril 2018.

En août 2020, à la suite d'explosions dans le port de Beyrouth, certaines franges de la population libanaise manifestent leur désir de voir la France exercer un nouveau mandat sur le Liban. Emmanuel Macron soutient alors la candidature de Moustapha Adib, une personnalité issue de cette même classe politique critiquée après l'explosion meurtrière, en appelant les différents chefs politiques libanais. Pour Maya Khadra, beaucoup de Libanais ont perçu dans l’intervention d'Emmanuel Macron une forme d’ingérence. Cette ingérence combinée au fait de ne pas soutenir le candidat qui était plutôt demandé par le peuple aurait conduit à un sentiment de trahison.

Lors de cette visite, le grand reporter Georges Malbrunot relate un entretien entre le président de la République et Mohammed Raad, le chef du bloc parlementaire du Hezbollah, dans lequel il notait que c'était la première fois depuis la naissance du Hezbollah, en 1982, qu’un président Français échangeait en direct avec un de ses membres. Un entretien perçu par certains commentateurs comme une « reconnaissance internationale ». Le plan d'action macronien pour sortir le Liban de la crise échoue quelques semaines après.

Çà ne veut pas dire qu'il ne faut pas rééssayer de s'investir pour le Liban.

Çà ne veut pas dire qu'il faut abandonner le Liban.

Celà supposerait une diplomatie Chrétienne en paralèlle à la restauration de l'autorité de l'Etat -reprendre le contrôle des territoires de non-droit, se doter d’une Justice forte et impitoyable avec les délinquants, maîtriser les frontières et les flux migratoires et faire prévaloir le Bien Commun sur les intérêts particuliers- et à une vue à long terme...

-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeune fille que l'on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d'Arc (François-Marie Algould) !

Toujours sous le signe du double-Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice   Sacré Coeur , espoir et salut de la France.

Puisse Saint Louis nous éclairer.




Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO




Hervé J. VOLTO

Date d'inscription : 19/12/2016

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