La Comete,Chatiment Divin
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La Comete,Chatiment Divin
La Comète : châtiment divin ? (pp. 80-9
Jacques Delacroix
(Ed. DELACROIX - BP. 18 - 35430 CHATEAUNEUF)
C) La concordance des prophéties sur l'expression du châtiment divin : l'annonce d'une éclipse temporaire du soleil par l'intervention probable d'une comète.
Avant de développer un certain nombre de prophéties, voici l'enseignement du cardinal Pie au sujet de la révélation privée.
L'éminent Cardinal l'a donné dans son «Homélie prononcée dans la solennité du couronnement de Notre-Dame de Lourdes par Mgr le nonce apostolique, délégué de Pie IX». Cette homélie fut tellement appréciée qu'elle lui mérita un Bref Pontifical de Pie IX, particulièrement louangeur. On peut la lire au Tome 9 pages 330 à 353 de ses œuvres Episcopales. Voici les lignes relatives à notre sujet :
« ... Ce qui s'explique plus difficilement, c'est que des chrétiens qui admettent la parole de Dieu, bien mieux, ceux-là surtout qui basent leur croyance sur cette parole librement et individuellement interprétée, aient posé en principe que Dieu s'est interdit de parler dorénavant aux hommes, et que toute vision et révélation privée est désormais chimère ou mensonge...
Or, M.T.-C. F l'enseignement authentique de l'Eglise, l'enseignement des docteurs, des conciles et des papes n'a pas été muet sur cette question. Sans doute, le dépôt sacré de la révélation a été clos avec l'ère apostolique... .Mais il ne suit pas de là que la révélation privée ait été exclue de l'économie de la loi nouvelle. La raison toute seule nous enseigne qu'il est toujours libre à Dieu de se mettre en rapport avec sa créature ; et les annales de l'Eglise nous montrent de siècle en siècle de grands fruits de sainteté obtenus, de grandes lumières et de grandes grâces octroyées aux âmes, des consolations et des directions très opportunes offertes au peuple chrétien par la voie de ces communications extraordinaires. «A toutes les époques, dit Saint Thomas-d'Aquin, il y a toujours eu quelques personnes favorisées de lumières surnaturelles, non pour révéler une nouvelle doctrine de foi mais pour la direction de la conduite humaine» (2a 2ae q. 174, art.6, ad tertium).
Le cinquième concile œcuménique de Latran, en réponse aux diatribes anticipées de l'école luthérienne, dont Mélancthon et les centuriateurs de Magdebourg allaient se faire les porte-voix, a solennellement affirmé et vengé cette permanence de l'inspiration dans l'Eglise, et il n'a pas fait difficulté de l'appuyer sur l'autorité de l'ancien et du nouveau Testament : «Le Seigneur lui-même, dit-il, s'est engagé à cela par le prophète Amos : Ut per Amos prophetam ipse promittit».
Je vois sourire l'incrédule. Mon frère, ne récusez pas trop légèrement cet oracle. En fait de science politique, vous avez le vôtre, et c'est peut-être Machiavel. Or Machiavel, c'est-à-dire, je veux le reconnaître, l'un des écrivains qui ont porté dans l'étude de l'histoire des sociétés humaines un flair très-fin et très-exercé, Machiavel a écrit que «jamais il ne s'est produit dans le monde de grands événements qui n'eussent été prédits de quelque manière» 99 Savait-il qu'il traduisait le verset d'Amos auquel la constitution conciliaire du pape Léon X semble avoir fait allusion ? «Le Seigneur ne fait rien sans qu'il ait révélé son secret à ses serviteurs, les prophètes» (Amos, III, 7).
Mais, me dites-vous, on peut être conduit loin par cette doctrine ; et ne voyez-vous pas naître des milliers de visionnaires ?
Assurément, M.F., s'il y a des visions vraies, il y en a de fausses, j'accorde même, étant donnée la disposition des esprits, à certaines époques surtout, qu'une vision vraie devient le signal d'une multitude de visions fausses. Que conclure de là ? qu'il faut mettre en même catégorie ce qui est vrai et ce qui est faux ? C'est ce que le concile nous défend... et il nous le défend, armé de l'autorité de l'apôtre, lequel, à côté du principe, établit la règle et le moyen de discernement. «Donnez-vous bien garde, dit saint Paul, d'éteindre l'esprit, et de mépriser de parti pris toute espèce de révélations. Mais soumettez-les à l'épreuve, et retenez ce qui est bon» (I Thess, V 19 à 21). Ainsi fait l'Eglise. Elle a appris de saint Jean «qu'il ne faut pas se fier à tout esprit, mais qu'il faut éprouver si les esprits proviennent de Dieu» (I Jean, IV, 1).
(...) L'Eglise, quand elle a formé sa conviction sur la valeur de la révélation, si elle en autorise la croyance, ainsi que les actes de piété qui s'y rattachent, ne fait pourtant de commandement et n'impose d'obligation à personne.
(...) Il est d'autres trempes d'esprit, d'autres tempéraments, d'autres caractères, qui n'aiment point aller au devant de ces manifestations, parce qu'elles sont pour eux un sujet d'ahurissement et d'effroi...».
Ainsi parlait le Cardinal Pie. Que ceux qui suivent des révélations privées, sérieuses, non condamnées, éprouvées, soient rassurés. Que ceux qui les rejettent systématiquement, n'imposent pas aux autres leur sectarisme. Ces derniers sont bien souvent de pseudo-théologiens, trop attachés à une formation universitaire sceptique, libérale et naturaliste.
99 Cité par De Maistre, Soirées de Saint Pétersbourg, entretien onzième.
1) Quelques prophéties isolées
Une prophétie du XVIe siècle, décrivant la crise actuelle de l'Eglise où la chaire de Pierre serait occupée par un imposteur, conclut : «Les astronomes n'ont donc qu'à préparer leurs lunettes, car nous voici arrivés à ce temps de l'apostasie».
H.J. Andersen écrit quant à lui : «Au cours du prochain décalage des pôles""', une grande puissance se verra repoussée au moment décisif où elle tentera de s'approprier l'hégémonie mondiale, par un effet cosmique !»
(«Décalage des pôles»).
Le bouleversement provoqué par un corps stellaire pourrait, en effet, déplacer l'axe terrestre. Nous lisons dans Isaïe (II, 20) : «La terre éclate en se brisant, la terre tombe en miettes, la terre vacille étrangement... La terre chancelle comme un homme ivre, elle est secouée comme une hutte, accablée par le poids de son iniquité»101. Ce changement d'axe pourrait contrarier ou annuler temporairement la rotation de la terre face au soleil. Une moitié du globe se trouverait alors exposée aux rayons du soleil pendant plusieurs jours, tandis que l'autre moitié serait plongée dans une obscurité absolue et glaciale. Ceci confirmerait la prophétie, tant scripturale que privée, des trois jours de ténèbres ainsi que les messages mariaux reconnus par l'Eglise annonçant : «des nations et des continents disparaîtront» et que «la terre sera comme un désert».
100) Voici ce qu'écrivait l'ingénieur Lagad, astronome et mathématicien : «Dans le cadre des lois de la mécanique céleste, un grand déplacement relatif des pôles est possible sans nécessiter la collision de la Terre avec un gros astre ; ceci parce que, tous les diamètres d'une sphère étant équivalents, l'un quelconque d'entre eux peut coïncider avec l'axe de rotation, celui-ci restant fixe dans l'espace. L'effort à fournir pour faire basculer la sphère est alors relativement faible, n'ayant à vaincre que sa masse inerte au repos. Tandis que, pour basculer l'axe des pôles dans l'espace, il faudrait modifier la loi du mouvement du gyroscope Terre, soit mettre en jeu une quantité d'énergie des milliards de fois supérieure à celle que nous recevons du Soleil par seconde.
Cependant, la Terre n'est pas exactement sphérique. La force centrifuge due à la rotation propre produit un renflement équatorial ; si la Terre bascule autour d'un axe autre que celui des pôles, le bourrelet de la croûte superficielle se déplacera comme une houle sur la masse pâteuse sous-jacente, mais une «houle» de 20 km de haut se propageant à 20.000 km/h (ce qui est la vitesse des ondes sismiques)» («Le Grand Livre des Prédictions», Balland,1981, p.173).
101) Ce passage de la Sainte Ecriture correspond parfaitement à notre monde présent et à la prophétie du cardinal Pie. Rappelons que, JAMAIS, notre époque n'a été autant en guerre contre Dieu ; elle le sera une nouvelle fois (après le châtiment divin) au temps de l'Antéchrist, juste avant le jugement dernier.
Suite
[quote]Comment un tel phénomène peut-il survenir ?
Il suffirait pour cela d'une météorite d'un kilomètre de diamètre. La collision de celle-ci avec la terre ferait remonter très haut dans le ciel un immense geyser de dizaines de milliers de fragments rocheux.
Cette pulvérisation d'énormes masses rocheuses dans la stratosphère peut dégager une poussière capable de se répandre et de constituer une couche épaisse ne laissant plus passer les rayons du soleil et faisant chuter la température de notre globe terrestre.
Nous allons maintenant recenser un ensemble de prophéties confortant l'ensemble des faits accumulés :
- Marie-Julie Jahenny de La Fraudais
«La désolation sera si grande et le châtiment si terrible que plusieurs sécheront de frayeur et se croiront à la fin du monde». «Il y aura trois jours de ténèbres physiques, pendant trois nuits et deux jours il y aura une nuit continuelle». «Le Grand Coup de la main de Dieu ne sera pas de longue durée, niais il sera si terrible que beaucoup en mourront de peur. C'est après ce grand Coup qu'arrivera le triomphe de l'Eglise et de la France» (Extase du 19.5.1898).
On imagine la terreur des populations... et donc, la nécessité de les préparer ! Elle évoque «un mélange inexplicable de toutes sortes de désolations dans les années qui finiront le siècle» (Dossier Brûlant, n. 2,1999, p. 57).
«Le plus pénible pour vous, le plus douloureux, ce sera quand, du firmament, le soleil sera tombé dans un lieu sans lumière ; quand les étoiles commenceront à se grouper, une multitude ensemble. Au commencement de ce signe, vous penserez sérieusement à l'obscurcissement du soleil.
La colère de mon Fils parlera, avec tant d'éclat, dans son tonnerre que, même en ce royaume, vos demeures s'écrouleront. Dans ces jours de deuil, il y aura un nouveau tremblement de terre, moins fort que beaucoup d'autres, moins fort qu'en beaucoup d'autres lieux. Il sera facile de le remarquer : tout tremblera, excepté le meuble où brûlera le cierge de cire. Vous vous grouperez tout autour, avec le Crucifix et mon image bénite. Voilà ce qui éloignera de vous cette frayeur qui, pendant ces jours, sera cause de beaucoup de morts.
Voici une preuve de ma bonté : ceux qui m'auront bien servie et invoquée, et qui garderont dans leur demeure mon image bénite, je garderai sans dommage tout ce qui leur appartient.
Pendant ces trois jours, je protégerai leurs bestiaux affamés. Je les garderai, car il sera impossible d'entrouvrir une seule porte. La faim des animaux sera rassasiée par moi, sans aucune nourriture.
La chaleur du ciel sera si brûlante qu'elle sera insupportable, même dans vos demeures fermées. Tout le ciel sera en feu, mais les éclairs ne pénétreront point dans les maisons où il y aura la lumière. Ne vous effrayez pas» (Extase du 24.3.1881).
«... A la suite de cet orage, je ferai sortir de terre une "brûlaison" horrible. Les chrétiens ne pourront supporter cette odeur et cette chaleur. Mes enfants, vous n'ouvrirez ni vos portes ni vos fenêtres. Il faut que le règne du péché finisse. Jamais la terre et le monde n'auront été en semblable état. Il faut en finir, ou bien toute âme se perdra» (Extase du 9.3.1878).
«Mes enfants, je reviens à ces trois jours de terreur. Pendant ces trois jours, les impies, les profanateurs, les blasphémateurs et tous les "mahomet" parcourront la terre dans les ténèbres. Ils seront tourmentés par la mort, déjà entrée dans leur âme. Ils seront poussés par la rage de Lucifer. Ils courront de toute leur force, comme des monstres, en poussant des hurlements épouvantables. Ils se feront entendre jusqu'au fond des campagnes. Vous aurez soin, nies enfants, de fermer vos yeux et vos oreilles à ces bruits maudits. Ce sera Satan et sa rage ; ce sera l'orage de sa fureur ; ce sera aussi son dernier effort» (Extase du 22.1.1878).
«Le feu du ciel tombera sur Sodome et principalement sur cette salle de l'enfer104 où se fabriquent les mauvaises lois. Elle sera ensanglantée et à sa place sera comme une immense carrière de laquelle jusqu'à la fin du monde on ne pourra s'approcher sans éprouver un frémissement d'horreur. Dans cette Sodome, il y aura des endroits tellement bouleversés qu'il n'y restera pas un seul pavé en place. Le feu du ciel se mêlera au feu de la terre» (Extase du 4 juillet 1902).
Rappelons cet extrait du Figaro Magazine cité plus haut : «Imaginons qu'un astéroïde d'une centaine de mètres s'abatte sur Paris. «Une majeure partie de la ville serait anéantie et des centaines de milliers de tuées sur le coup105.»
104) .. c'est-à-dire l'Assemblée Nationale.
- Saint Vincent Ferrier (1350-1419)
«Un temps viendra où se produira un bouleverseraient tel que jamais on n'en a vu ni n'en reverra, si ce n'est celui du Jugement dernier. L'Eglise pleurera... C'est encore loin pour l'instant, niais cela arrivera indubitablement, à peu près au temps où deux hommes se proclameront rois, niais leurs jours seront de courte durée. Vous verrez un signe, vous ne le reconnaîtrez pas ; niais sachez qu'à cette époque les femmes se vêtiront comme les hommes et se comporteront selon leur bon plaisir ; et les hommes s'habilleront comme des femmes» (13.9.1403).
- Saint Césaire d'Arles (470-542)
Le saint évoque ainsi un châtiment sur Paris : «Le fer et le feu enserrent la Babylone de la Gaule qui tombe dans un grand incendie».
- La Vénérable Anne-Marie Taigi (1837) :
«Dieu enverra deux châtiments : l'un sous la forme de guerres, révolutions et dangers qui viendront des hommes ; l'autre viendra du ciel. La terre sera plongée dans une obscurité profonde qui durera trois jours et trois nuits. On ne verra rien, l'air deviendra pestilentiel et nocif, non seulement pour les ennemis de la religion, niais pour tous les humains.
Pendant ces trois jours de ténèbres, la lumière artificielle sera ine cace, seuls les cierges bénits éclaireront ; les fidèles devront rester chez eux à réciter le chapelet pour demander à Dieu miséricorde.
Tous les ennemis de l'Eglise périront sur toute la terre pendant cette obscurité universelle, à l'exception de quelques-uns qui se convertiront...
Saint Pierre et Saint Paul interviendront dans l'élection d'un nouveau
Pape106.
105) Le saint curé d'Ars n'a-t-il pas indiqué le moment de la reconquête :... lorsqu'on aura eu connaissance de la destruction de Paris par du feu descendu du ciel ?
106) Ceci vient confirmer la prophétie de la Vénérable Elisabeth Canori Mora et le bilan que l'on peut faire de la situation actuelle où le siège de Pierre est usurpé par les pires ennemis de l'Eglise. Un constat honnête de l'éclipse de l'Eglise (suite de la note 106) ... montre en effet qu'aucune solution humaine ri est possible. Seule, en effet, une intervention divine peut permettre de sortir de la situation présente.
Des millions d'hommes mourront par l'épée, les uns à la guerre, les autres dans des luttes civiles ; d'autres millions périront d'une mort imprévue. Une renaissance universelle suivra cette épreuve. Ce changement surviendra au moment où l'Eglise semblera avoir perdu les moyens humains de faire face aux persécutions» (1837).
Ce qui est certain, c'est que tout ira vite, très vite. Toutes les prophéties s'accordent sur ce point : le cataclysme sera «instantané, de courte durée, mais terrible». Anne-Marie Taïgi, du tiers-ordre de la Sainte Trinité, mère de huit enfants, annonçait à la fin du XVIIIème siècle : «Celui qui, par curiosité, ouvrira sa fenêtre au moment du fléau ouqui sortira par la porte, tombera mort à l'instant même».
- La vénérable Sœur Nativité (1731-1798) ou Jeanne Le Royer
«Les méchants trament des complots contre mon Eglise, mais selon les décrets de ma justice, ils périront et leurs lois sacrilèges seront abrogées. Oui... ils périront ; c'est décidé ; la sentence est prononcée !
De mon bras puissant, je les précipiterai comme la foudre au fond de l'abîme où ils tomberont aussi rapidement et avec autant de violence que Lucifer et ses acolytes».
(...) «Mais voici ce que Dieu voulut bien me faire voir dans sa lumière. Je commençai à regarder dans la lumière de Dieu, le siècle qui doit commencer en 1800 ; je vis par cette lumière que le jugement n'y était pas, et que ce ne serait pas le dernier siècle. Je considérai, à la faveur de cette même lumière, le siècle de 1900, jusque vers la fin, pour voir positivement si ce serait le dernier. Notre Seigneur me fit connaître, et en même temps nie mit en doute, si ce serait à la fin du siècle de 1900, ou dans celui de 2000. Mais ce que j'ai vu, c'est que si le jugement arrive dans le siècle de 1900, il ne viendrait que vers la fin ; et que s'il passe ce siècle, celui de 2000 ne passera pas sans qu'il arrive, ainsi que je l'ai vu dans la lumière de Dieu».
Dans la mesure où notre époque semble être une préfiguration de ce que sera l'avènement de l'Antéchrist et donc de la fin, tout nous porte à croire que le châtiment divin attendu ressemblera au châtiment final Voici maintenant ce que la mystique voit de la fin du monde.
«Le soleil, devenu obscur et ténébreux, s'arrêta dans sa course... Tous les astres demandent à être purifiés des forfaits dont on les a rendus témoins par une espèce de complicité... ; plus fortement encore, la terre crie vengeance contre l'ingratitude des pécheurs et veut être purifiée des abominations dont ils l'ont souillée et rendue le théâtre impur... la mer, le feu, l'air et tous les éléments, tout prend un langage de vengeance qui sollicite la justice divine contre les pécheurs... Aussitôt j'entends une voix toute puissante qui dit : «Oui, voici le moment où je vais tout renouveler... Je vais faire de nouveaux cieux et une nouvelle terre... et cela se fera dans un clin d'œil». Un feu prodigieux parti du firmament et répandu dans les airs, descend sur la terre, où, dans la minute, il a tout consumé, tout détruit, tout purifié, sans qu'il y reste un seul vestige de souillure. Ainsi se fera par le feu cette purification substantielle, cette admirable rénovation des éléments et de la nature entière, dont il résultera une nouvelle terre et de nouveaux cieux».
- Marie des Vallées
Nous avons trouvé des écrits intéressants de celle que l'on appelle «la sainte de Coutances», Marie des Vallées. Voici quelques extraits de ses écrits :
«Marie ne souffrait pas seulement pour les âmes de son temps, mais aussi pour celles qui vivraient avant le commencement du Grand Jubilé, c'est-à-dire le temps de la Grande Tribulation.
Quand elle nomma jésus «Roi du ciel et de la terre», Il l'interrompit brusquement : «Non, pas de la terre, c'est le péché qui y règne. Mais le chasserai et le détruirai bientôt ce monstre et Je régnerai dans tout l'univers». Marie elle-même a annoncé : «Le temps viendra, après une crise universelle qui doit arriver, où il n'y aura plus que la justice sur terre, et le péché sera banni».
Puisque Dieu lui avait parlé d'une conversion universelle, elle s'offrit comme victime expiatrice afin que celle-ci puisse se réaliser, «et Dieu, écrivit saint jean Eudes, exauça sa prière». «Je vis, raconta-t-elle, venir la Force sur un cheval blanc, qui symbolise la joie. Elle portait en croupe la Vérité. Elle nie donna un grand papier sur lequel il y avait des inscriptions et nie dit : Voilà le Jubilé que je t'ai promis. Et Notre-Seigneur m'a dit encore que l'expiation générale ne se fera qu'après un grand et épouvantable signe qui arrivera, niais Il ne m'a pas expliqué quel sera le signe».
Marie vit le péché sous la forme d'un serpent à trois blessures (le péché des prêtres, celui des chefs d'Etat, et celui du peuple) qui se mordait la queue, c'est-à-dire qui se détruisait lui-même. Notre-Seigneur dit à Marie : «Va-t'en dire une chose trois fois triste. Ce sont, dit-II, ces paroles : Spiritus Domini replevit orbem terrarum, ce qui s'entend du temps où le Saint-Esprit mettra le feu de l'Amour divin par toute la terre et qu'il fera son déluge. Car il y a trois déluges, qui sont tous trois tristes et qui sont envoyés pour détruire le péché. Le premier déluge est celui du Père Eternel, qui a été un déluge d'eau, le second est celui du Fils qui a été un déluge de sang ; le troisième est celui du Saint-Esprit qui sera un déluge de feu. Mais il sera aussi triste que les autres puisqu'il trouvera beaucoup de résistance et quantité de bois vert qui sera difficile à brûler. Deux sont passés, mais le troisième reste ; et comme les deux premiers ont été prédits longtemps avant qu'ils n'arrivassent, ainsi en sera-t-il du dernier dont Dieu seul connaît présentement le temps»« (Irmgard Hausmann : «Marie des Vallées, âme expiatrice pour le temps de la conversion générale», pp. 26-29).
- Le Vénérable Père Bernard-Marie Clausi, religieux
«... Ce fléau se fera sentir partout et sera si terrible que chaque survivant croira qu'il a été, seul, épargné107. Le monde se repentira et deviendra bon. Ce châtiment sera très court mais effrayant. Avant que ces événements surviennent, le mal aura fait tant de progrès sur la terre que les dénions sembleront être sortis de l'enfer, et la persécution des méchants contre les justes sera si violente que ceux-ci souffriront un véritable martyre. Les choses arriveront à leur paroxysme, mais quand l'homme, dans son impuissance, croira tout perdu, Dieu Lui-même remettra tout en ordre en un rien de temps, comme du matin au soir».
107) Les prophéties s'accordent sur un tout petit nombre de survivants : entre un quart et un tiers de l'humanité.
- Vision de la religieuse trappistine de Chemillé (diocèse d'Angers), morte en odeur de sainteté en 1828.
«Le jour des Rois 1820... j'entendis des voix nombreuses qui criaient d'un ton terrible ; et dans ce moment, je me crus demi-morte. Mais j'eus encore plus peur quand j'entendis plus distinctement par trois fois les mêmes voix qui disaient : «Nous sommes vainqueurs, nous avons la victoire !».
Au moment où les voix prononçaient ces paroles, tout d'un coup, je vis que le ciel devint une nuit profonde ; je n'avais rien vu de si obscur. Cette obscurité fut accompagnée d'un éclat de tonnerre venant à la fois des quatre parties de la terre.
Il m'est impossible de vous peindre quelle fut ma frayeur. Le ciel devint tout en feu ; il lançait de toutes parts des flèches enflammées ; et il se faisait un bruit si terrible qu'il paraissait annoncer la ruine entière du monde.
J'aperçus alors un gros nuage rouge, couleur de sang de bœuf ; ce nuage roulait de tous côtés et me donnait bien de l'inquiétude, ne sachant ce qu'il signifiait.
Cependant j'aperçus une multitude d'hommes et de femmes qui avaient des figures à faire peur ; ils vomissaient des blasphèmes horribles contre tout ce qu'il y a de plus sacré au ciel et sur la terre. J'en ressentis une si grande peine, que je l'éprouve encore maintenant. Ce qui me surprit le plus, ce fut de voir à la tête de ces malheureux, quelques-uns de ceux qui, par leur état, doivent les porter au bien et qui les poussaient au mal.
[quote]
Il suffirait pour cela d'une météorite d'un kilomètre de diamètre. La collision de celle-ci avec la terre ferait remonter très haut dans le ciel un immense geyser de dizaines de milliers de fragments rocheux.
Cette pulvérisation d'énormes masses rocheuses dans la stratosphère peut dégager une poussière capable de se répandre et de constituer une couche épaisse ne laissant plus passer les rayons du soleil et faisant chuter la température de notre globe terrestre.
Nous allons maintenant recenser un ensemble de prophéties confortant l'ensemble des faits accumulés :
- Marie-Julie Jahenny de La Fraudais
«La désolation sera si grande et le châtiment si terrible que plusieurs sécheront de frayeur et se croiront à la fin du monde». «Il y aura trois jours de ténèbres physiques, pendant trois nuits et deux jours il y aura une nuit continuelle». «Le Grand Coup de la main de Dieu ne sera pas de longue durée, niais il sera si terrible que beaucoup en mourront de peur. C'est après ce grand Coup qu'arrivera le triomphe de l'Eglise et de la France» (Extase du 19.5.1898).
On imagine la terreur des populations... et donc, la nécessité de les préparer ! Elle évoque «un mélange inexplicable de toutes sortes de désolations dans les années qui finiront le siècle» (Dossier Brûlant, n. 2,1999, p. 57).
«Le plus pénible pour vous, le plus douloureux, ce sera quand, du firmament, le soleil sera tombé dans un lieu sans lumière ; quand les étoiles commenceront à se grouper, une multitude ensemble. Au commencement de ce signe, vous penserez sérieusement à l'obscurcissement du soleil.
La colère de mon Fils parlera, avec tant d'éclat, dans son tonnerre que, même en ce royaume, vos demeures s'écrouleront. Dans ces jours de deuil, il y aura un nouveau tremblement de terre, moins fort que beaucoup d'autres, moins fort qu'en beaucoup d'autres lieux. Il sera facile de le remarquer : tout tremblera, excepté le meuble où brûlera le cierge de cire. Vous vous grouperez tout autour, avec le Crucifix et mon image bénite. Voilà ce qui éloignera de vous cette frayeur qui, pendant ces jours, sera cause de beaucoup de morts.
Voici une preuve de ma bonté : ceux qui m'auront bien servie et invoquée, et qui garderont dans leur demeure mon image bénite, je garderai sans dommage tout ce qui leur appartient.
Pendant ces trois jours, je protégerai leurs bestiaux affamés. Je les garderai, car il sera impossible d'entrouvrir une seule porte. La faim des animaux sera rassasiée par moi, sans aucune nourriture.
La chaleur du ciel sera si brûlante qu'elle sera insupportable, même dans vos demeures fermées. Tout le ciel sera en feu, mais les éclairs ne pénétreront point dans les maisons où il y aura la lumière. Ne vous effrayez pas» (Extase du 24.3.1881).
«... A la suite de cet orage, je ferai sortir de terre une "brûlaison" horrible. Les chrétiens ne pourront supporter cette odeur et cette chaleur. Mes enfants, vous n'ouvrirez ni vos portes ni vos fenêtres. Il faut que le règne du péché finisse. Jamais la terre et le monde n'auront été en semblable état. Il faut en finir, ou bien toute âme se perdra» (Extase du 9.3.1878).
«Mes enfants, je reviens à ces trois jours de terreur. Pendant ces trois jours, les impies, les profanateurs, les blasphémateurs et tous les "mahomet" parcourront la terre dans les ténèbres. Ils seront tourmentés par la mort, déjà entrée dans leur âme. Ils seront poussés par la rage de Lucifer. Ils courront de toute leur force, comme des monstres, en poussant des hurlements épouvantables. Ils se feront entendre jusqu'au fond des campagnes. Vous aurez soin, nies enfants, de fermer vos yeux et vos oreilles à ces bruits maudits. Ce sera Satan et sa rage ; ce sera l'orage de sa fureur ; ce sera aussi son dernier effort» (Extase du 22.1.1878).
«Le feu du ciel tombera sur Sodome et principalement sur cette salle de l'enfer104 où se fabriquent les mauvaises lois. Elle sera ensanglantée et à sa place sera comme une immense carrière de laquelle jusqu'à la fin du monde on ne pourra s'approcher sans éprouver un frémissement d'horreur. Dans cette Sodome, il y aura des endroits tellement bouleversés qu'il n'y restera pas un seul pavé en place. Le feu du ciel se mêlera au feu de la terre» (Extase du 4 juillet 1902).
Rappelons cet extrait du Figaro Magazine cité plus haut : «Imaginons qu'un astéroïde d'une centaine de mètres s'abatte sur Paris. «Une majeure partie de la ville serait anéantie et des centaines de milliers de tuées sur le coup105.»
104) .. c'est-à-dire l'Assemblée Nationale.
- Saint Vincent Ferrier (1350-1419)
«Un temps viendra où se produira un bouleverseraient tel que jamais on n'en a vu ni n'en reverra, si ce n'est celui du Jugement dernier. L'Eglise pleurera... C'est encore loin pour l'instant, niais cela arrivera indubitablement, à peu près au temps où deux hommes se proclameront rois, niais leurs jours seront de courte durée. Vous verrez un signe, vous ne le reconnaîtrez pas ; niais sachez qu'à cette époque les femmes se vêtiront comme les hommes et se comporteront selon leur bon plaisir ; et les hommes s'habilleront comme des femmes» (13.9.1403).
- Saint Césaire d'Arles (470-542)
Le saint évoque ainsi un châtiment sur Paris : «Le fer et le feu enserrent la Babylone de la Gaule qui tombe dans un grand incendie».
- La Vénérable Anne-Marie Taigi (1837) :
«Dieu enverra deux châtiments : l'un sous la forme de guerres, révolutions et dangers qui viendront des hommes ; l'autre viendra du ciel. La terre sera plongée dans une obscurité profonde qui durera trois jours et trois nuits. On ne verra rien, l'air deviendra pestilentiel et nocif, non seulement pour les ennemis de la religion, niais pour tous les humains.
Pendant ces trois jours de ténèbres, la lumière artificielle sera ine cace, seuls les cierges bénits éclaireront ; les fidèles devront rester chez eux à réciter le chapelet pour demander à Dieu miséricorde.
Tous les ennemis de l'Eglise périront sur toute la terre pendant cette obscurité universelle, à l'exception de quelques-uns qui se convertiront...
Saint Pierre et Saint Paul interviendront dans l'élection d'un nouveau
Pape106.
105) Le saint curé d'Ars n'a-t-il pas indiqué le moment de la reconquête :... lorsqu'on aura eu connaissance de la destruction de Paris par du feu descendu du ciel ?
106) Ceci vient confirmer la prophétie de la Vénérable Elisabeth Canori Mora et le bilan que l'on peut faire de la situation actuelle où le siège de Pierre est usurpé par les pires ennemis de l'Eglise. Un constat honnête de l'éclipse de l'Eglise (suite de la note 106) ... montre en effet qu'aucune solution humaine ri est possible. Seule, en effet, une intervention divine peut permettre de sortir de la situation présente.
Des millions d'hommes mourront par l'épée, les uns à la guerre, les autres dans des luttes civiles ; d'autres millions périront d'une mort imprévue. Une renaissance universelle suivra cette épreuve. Ce changement surviendra au moment où l'Eglise semblera avoir perdu les moyens humains de faire face aux persécutions» (1837).
Ce qui est certain, c'est que tout ira vite, très vite. Toutes les prophéties s'accordent sur ce point : le cataclysme sera «instantané, de courte durée, mais terrible». Anne-Marie Taïgi, du tiers-ordre de la Sainte Trinité, mère de huit enfants, annonçait à la fin du XVIIIème siècle : «Celui qui, par curiosité, ouvrira sa fenêtre au moment du fléau ouqui sortira par la porte, tombera mort à l'instant même».
- La vénérable Sœur Nativité (1731-1798) ou Jeanne Le Royer
«Les méchants trament des complots contre mon Eglise, mais selon les décrets de ma justice, ils périront et leurs lois sacrilèges seront abrogées. Oui... ils périront ; c'est décidé ; la sentence est prononcée !
De mon bras puissant, je les précipiterai comme la foudre au fond de l'abîme où ils tomberont aussi rapidement et avec autant de violence que Lucifer et ses acolytes».
(...) «Mais voici ce que Dieu voulut bien me faire voir dans sa lumière. Je commençai à regarder dans la lumière de Dieu, le siècle qui doit commencer en 1800 ; je vis par cette lumière que le jugement n'y était pas, et que ce ne serait pas le dernier siècle. Je considérai, à la faveur de cette même lumière, le siècle de 1900, jusque vers la fin, pour voir positivement si ce serait le dernier. Notre Seigneur me fit connaître, et en même temps nie mit en doute, si ce serait à la fin du siècle de 1900, ou dans celui de 2000. Mais ce que j'ai vu, c'est que si le jugement arrive dans le siècle de 1900, il ne viendrait que vers la fin ; et que s'il passe ce siècle, celui de 2000 ne passera pas sans qu'il arrive, ainsi que je l'ai vu dans la lumière de Dieu».
Dans la mesure où notre époque semble être une préfiguration de ce que sera l'avènement de l'Antéchrist et donc de la fin, tout nous porte à croire que le châtiment divin attendu ressemblera au châtiment final Voici maintenant ce que la mystique voit de la fin du monde.
«Le soleil, devenu obscur et ténébreux, s'arrêta dans sa course... Tous les astres demandent à être purifiés des forfaits dont on les a rendus témoins par une espèce de complicité... ; plus fortement encore, la terre crie vengeance contre l'ingratitude des pécheurs et veut être purifiée des abominations dont ils l'ont souillée et rendue le théâtre impur... la mer, le feu, l'air et tous les éléments, tout prend un langage de vengeance qui sollicite la justice divine contre les pécheurs... Aussitôt j'entends une voix toute puissante qui dit : «Oui, voici le moment où je vais tout renouveler... Je vais faire de nouveaux cieux et une nouvelle terre... et cela se fera dans un clin d'œil». Un feu prodigieux parti du firmament et répandu dans les airs, descend sur la terre, où, dans la minute, il a tout consumé, tout détruit, tout purifié, sans qu'il y reste un seul vestige de souillure. Ainsi se fera par le feu cette purification substantielle, cette admirable rénovation des éléments et de la nature entière, dont il résultera une nouvelle terre et de nouveaux cieux».
- Marie des Vallées
Nous avons trouvé des écrits intéressants de celle que l'on appelle «la sainte de Coutances», Marie des Vallées. Voici quelques extraits de ses écrits :
«Marie ne souffrait pas seulement pour les âmes de son temps, mais aussi pour celles qui vivraient avant le commencement du Grand Jubilé, c'est-à-dire le temps de la Grande Tribulation.
Quand elle nomma jésus «Roi du ciel et de la terre», Il l'interrompit brusquement : «Non, pas de la terre, c'est le péché qui y règne. Mais le chasserai et le détruirai bientôt ce monstre et Je régnerai dans tout l'univers». Marie elle-même a annoncé : «Le temps viendra, après une crise universelle qui doit arriver, où il n'y aura plus que la justice sur terre, et le péché sera banni».
Puisque Dieu lui avait parlé d'une conversion universelle, elle s'offrit comme victime expiatrice afin que celle-ci puisse se réaliser, «et Dieu, écrivit saint jean Eudes, exauça sa prière». «Je vis, raconta-t-elle, venir la Force sur un cheval blanc, qui symbolise la joie. Elle portait en croupe la Vérité. Elle nie donna un grand papier sur lequel il y avait des inscriptions et nie dit : Voilà le Jubilé que je t'ai promis. Et Notre-Seigneur m'a dit encore que l'expiation générale ne se fera qu'après un grand et épouvantable signe qui arrivera, niais Il ne m'a pas expliqué quel sera le signe».
Marie vit le péché sous la forme d'un serpent à trois blessures (le péché des prêtres, celui des chefs d'Etat, et celui du peuple) qui se mordait la queue, c'est-à-dire qui se détruisait lui-même. Notre-Seigneur dit à Marie : «Va-t'en dire une chose trois fois triste. Ce sont, dit-II, ces paroles : Spiritus Domini replevit orbem terrarum, ce qui s'entend du temps où le Saint-Esprit mettra le feu de l'Amour divin par toute la terre et qu'il fera son déluge. Car il y a trois déluges, qui sont tous trois tristes et qui sont envoyés pour détruire le péché. Le premier déluge est celui du Père Eternel, qui a été un déluge d'eau, le second est celui du Fils qui a été un déluge de sang ; le troisième est celui du Saint-Esprit qui sera un déluge de feu. Mais il sera aussi triste que les autres puisqu'il trouvera beaucoup de résistance et quantité de bois vert qui sera difficile à brûler. Deux sont passés, mais le troisième reste ; et comme les deux premiers ont été prédits longtemps avant qu'ils n'arrivassent, ainsi en sera-t-il du dernier dont Dieu seul connaît présentement le temps»« (Irmgard Hausmann : «Marie des Vallées, âme expiatrice pour le temps de la conversion générale», pp. 26-29).
- Le Vénérable Père Bernard-Marie Clausi, religieux
«... Ce fléau se fera sentir partout et sera si terrible que chaque survivant croira qu'il a été, seul, épargné107. Le monde se repentira et deviendra bon. Ce châtiment sera très court mais effrayant. Avant que ces événements surviennent, le mal aura fait tant de progrès sur la terre que les dénions sembleront être sortis de l'enfer, et la persécution des méchants contre les justes sera si violente que ceux-ci souffriront un véritable martyre. Les choses arriveront à leur paroxysme, mais quand l'homme, dans son impuissance, croira tout perdu, Dieu Lui-même remettra tout en ordre en un rien de temps, comme du matin au soir».
107) Les prophéties s'accordent sur un tout petit nombre de survivants : entre un quart et un tiers de l'humanité.
- Vision de la religieuse trappistine de Chemillé (diocèse d'Angers), morte en odeur de sainteté en 1828.
«Le jour des Rois 1820... j'entendis des voix nombreuses qui criaient d'un ton terrible ; et dans ce moment, je me crus demi-morte. Mais j'eus encore plus peur quand j'entendis plus distinctement par trois fois les mêmes voix qui disaient : «Nous sommes vainqueurs, nous avons la victoire !».
Au moment où les voix prononçaient ces paroles, tout d'un coup, je vis que le ciel devint une nuit profonde ; je n'avais rien vu de si obscur. Cette obscurité fut accompagnée d'un éclat de tonnerre venant à la fois des quatre parties de la terre.
Il m'est impossible de vous peindre quelle fut ma frayeur. Le ciel devint tout en feu ; il lançait de toutes parts des flèches enflammées ; et il se faisait un bruit si terrible qu'il paraissait annoncer la ruine entière du monde.
J'aperçus alors un gros nuage rouge, couleur de sang de bœuf ; ce nuage roulait de tous côtés et me donnait bien de l'inquiétude, ne sachant ce qu'il signifiait.
Cependant j'aperçus une multitude d'hommes et de femmes qui avaient des figures à faire peur ; ils vomissaient des blasphèmes horribles contre tout ce qu'il y a de plus sacré au ciel et sur la terre. J'en ressentis une si grande peine, que je l'éprouve encore maintenant. Ce qui me surprit le plus, ce fut de voir à la tête de ces malheureux, quelques-uns de ceux qui, par leur état, doivent les porter au bien et qui les poussaient au mal.
[quote]
Suite et Fin
Le tonnerre grondait toujours dans les airs d'une manière effrayante lorsque j'entendis une voix qui me dit : «Ne crains pas ! Mon courroux tombera sur ceux qui ont allumé ma colère ; ils disparaîtront dans un moment. Tout l'univers sera étonné d'apprendre la destruction de la plus belle, de la plus superbe ville ! Je dis : superbe, par ses crimes ; car je l'ai en abomination. Elle a empoisonné toutes les nations avec sa malheureuse philosophie qui répand partout l'impiété ; c'est cette maudite Babylone qui s'est enivrée du sang de nies saints ; elle veut encore le verser... Elle mettra le comble à ses horribles forfaits ; et moi je lui ferai boire le vin de ma colère ; tous les maux tomberont à la fois sur elle dans un instant».
Je n'entendis plus la voix mais un bruit effroyable ; le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville et en un instant elle fut tout en feu. Les flammes qui la dévoraient s'élevèrent dans les airs ; et de suite, je ne vis plus rien qu'une vaste terre noire comme du charbon».
- Le bienheureux Benoît-Joseph Labre, le R.P. Nectou, Marie Martel, Mélanie, Soeur Palma d'Oria et le Vénérable Barthélemy Holzauser
Le bienheureux Benoît-Joseph Labre :
«Paris108 sera détruit à cause de ses blasphèmes ; une pierre n'y restera pas sur l'autre» (Lettre au pape Pie VI).
Le R.P. Nectou, jésuite, mort à Bordeaux en odeur de sainteté en 1777 dit en 1760 :
«Durant ce bouleversement épouvantable qui, paraît-il, sera général, et non pas pour la France seulement, Paris sera entièrement détruit, non sans qu'il y paraisse des signes qui mettront les bons à même de s'enfuir ; et sa destruction sera si complète, que vingt ans après, les pères se promenant avec leurs enfants sur les ruines et répondant à leurs enfants diront : il y avait là une grande ville mais à cause de ses crimes, Dieu l'a détruite».
On peut lire dans les notes de Marie Martel en janvier 1897 :
«La Sainte Vierge supplie les yeux tournés vers le ciel, et puis, se retournant vers moi, elle me dit : «Oh ! Paris. Paris n'a pas respecté les lois de mon divin Fils... il sera châtié et détruit par le feu... Il y aura peu de monde qui restera... Ceux qui resteront ne se reconnaîtront pas... Paris sera détruit par le feu s'ils refusent de se convertir... voilà la punition qui lui est réservée !».
Ajoutons cette confidence que fit la voyante de La Salette, Mélanie, en 1896 alors qu'elle était à Paris, près de la Seine. Elle eut une vision qu'elle confia à l'amie qui l'accompagnait :
«Vous voyez la Seine ? Si vous saviez combien de gens y viendront et y seront jetés ! Et ce n'est pas tant ceux qu'on y jettera -il y en aura certainement- niais le plus grand nombre viendra s'y jeter, tout affolé, fuyant le feu qui sera suspendu au-dessus de la ville ! Ils s'y jetteront comme fous de terreur, croyant éviter ainsi ce feu menaçant !».
Sœur Palma d'Oria signale :
«Il y aura une éclipse totale de trois jours. Pas un démon ne restera en enfer, tous en sortiront et l'air en sera corrompu. Ce sera là la dernière plaie».
108) Le saint Curé d'Ars a également annoncé la destruction de Paris par le feu, signe du retour d'une monarchie très chrétienne et du triomphe de l'Eglise.
Le Vénérable Barthélemy Holzauser fait référence aux plaies d'Egypte :
«Trois jours durant, la terre sera plongée dans l'obscurité la plus complète ; comme jadis en Egypte, l'Ange exterminateur abattra tous ceux qui se sont dressés contre Dieu et contre la religion ou bien ont poursuivi l'Eglise et les prêtres de leur haine satanique».
- Saint jean Bosco
Lire ses allusions à un grand feu qui purifiera tout et anéantira les oeuvres d'iniquité des hommes, rappelle la prophétie de saint jean Bosco qu'il fit deux cents ans après la sainte de Coutances :
«...le Pape se mit en marche et les rangs de la procession commencèrent à grossir. Lorsqu'il pénétra dans la Ville sainte, il se mit à pleurer sur la désolation dans laquelle se trouvaient les habitants dont beaucoup n'étaient plus. Rentré à Saint-Pierre, il entonna le "Te Deum" auquel répondit un chœur d'anges qui chantaient "Gloire à Dieu dans les Cieux et paix sur terre aux hommes de bonne volonté".
«Le chant terminé, l'obscurité cessa tout à fait et un soleil resplendissant se mit à briller. Les villes, les villages et les campagnes voyaient leur population très diminuée. La terre semblait garder la trace d'un ouragan et d'une pluie d'eau ou de grêle et les gens allaient les uns vers les autres en disant : «Oui vraiment, il y a un Dieu en Israël». (Memoria, t. IX Appendice B)» (extraits de notre brochure «Songes prophétiques de don Bosco sur la fin de la crise présente», p. 15).
- Le Livre de l'Apocalypse
Dans le livre de l'Apocalypse (VI, 12-15) il est écrit :
«[ ...] Il se produisit un tremblement de terre énorme et le Soleil devint noir comme un sac de crin, et toute la lune se transforma en sang», «et les étoiles tombèrent sur la terre...», «et le ciel disparut comme un livre qui est enroulé, et toutes les montagnes et les îles furent déplacées» (peut-être un déplacement de l'axe terrestre à la suite de la chute du corps céleste sur la terre ; les endroits de la terre se déplacent par rapport aux positions des étoiles et en particulier aussi du soleil ; le déplacement subit et apparent des étoiles dans le ciel pourrait faire croire que l'on enroule un livre, n.d.l.r.). «Et les rois de la terre et les dignitaires et les chefs de la guerre et les riches et les puissants et chaque esclave et homme libre se cachèrent dans les creux et fentes de rochers des montagnes».
Dans l'Apocalypse (VIII, 8-11), il est aussi écrit : «[...] Et comme une grande montagne ardente de feu fut jeté dans la mer» (pourrait-il s'agir d'un astéroïde, n.d.l.r.). «Et le tiers des eaux se transforma en sang, et le tiers des créatures animées de l'océan mourut, et le tiers des bateaux fut détruit [...]. Et il tomba du ciel une grande étoile qui brûlait comme une torche, et elle tomba sur le tiers des fleuves et sur le tiers des sources [...] et beaucoup de gens moururent de l'eau, car elle était devenue amère». «Et le tiers du soleil et le tiers de la lune et le tiers des étoiles furent frappés, de sorte que leur tiers fut assombri et que le jour perdit un tiers de sa clarté et la nuit aussi».
Le nuage de poussière soulevé par l'impact d'un astéroïde et par le réveil de l'activité volcanique (sur ce plan les choses sont déjà bien commencées) aux quatre coins de la planète occulterait vraisemblablement le soleil pendant plusieurs jours.
Ces prophéties nous inclinent à projeter nos regards vers le ciel et à craindre un tremblement de terre comme celui du Vendredi Saint.
Le grand auteur anti-libéral Louis Veuillot nous éclaire sur le pourquoi d'un tel châtiment :
«L'illusion libérale n'est pas seulement vaine au fond, elle a des conseils de faiblesse et de mensonge qui révèlent sa misérable origine. Cette fausse fierté dont elle s'enveloppe là où il faut obéir, ne déguise pas assez les complaisances qu'elle prodigue là où il convient de résister. Elle ne peut longtemps abuser des âmes faites pour la vraie grandeur. Chez les catholiques, l'ardente droiture et l'élévation du cœur redressent les travers de l'esprit. Si ce siècle semble nous promettre une longue période de médiocres combats sans victoire apparente, des abaissements de toute sorte ; si nous devons être raillés, bafoués, expulsés de la vie publique ; s'il faut, dans ce martyre du mépris, subir le triomphe des sots, la puissance des pervers et la gloire des faquins, Dieu de son côté réserve à ses fidèles un rôle dont ils ne refuseront pas et ne méconnaîtront pas la féconde et durable splendeur. II leur donne à porter sa vérité diminuée et réduite comme un flambeau d'autel qu'on peut mettre aux mains d'un enfant, et il leur commande de braver tout cet orage ; car pourvu que leur foi ne faiblisse pas, la flamme vivante non seulement ne sera pas éteinte, mais ne vacillera même pas. Non, elle ne sera pas éteinte et ne vacillera pas ! La terre nous couvrira de ses poussières, l'Océan nous crachera ses écumes, nous serons foulés aux pieds des bêtes lâchées sur nous, et nous franchirons ce mauvais passage de l'histoire humaine. La petite lueur placée dans nos mains déchirées n'aura pas péri ; elle rallumera le feu divin».
«Pendant le cours de l'épreuve et du châtiment, que notre parole, confessant la vérité, ne cesse de heurter à la porte du pardon ; elle en hâtera le jour. Le monde est en voie de perdre avec le Christ tout ce que le Christ lui avait donné. La Révolution dissipe ce royal héritage en se targuant de le conquérir. Tout va à la tyrannie, au mépris de l'homme, à l'immolation des faibles, et tout cela s'accomplit au nom de la liberté, de l'égalité et de la fraternité. Conservons la liberté de proclamer que Dieu seul est Dieu, et qu'il faut n'adorer que lui et n'obéir qu'à lui, quels que soient les maîtres que son courroux laisse passer sur la terre. Conservons l'égalité, qui nous enseigne à ne plier nos âmes ni devant la force, ni devant les talents, ni devant les succès, mais devant la seule justice de Dieu. Conservons la fraternité, cette fraternité vraie qui n'existe et ne peut exister sur la terre que si nous y maintenons la paternité et la royauté du Christ ». («L'illusion libérale»)
Le R.P. Dupraz, missionnaire de la Salette, curé de Weyburn, écrit en 1911-1912, donc avant l'apparition de la Sainte Vierge à Fatima :
«La dévotion à Notre-Dame du Mont Carmel sera la grande dévotion envers la Sainte Vierge dans les derniers temps, ainsi qu'Elle-même l'a déclaré. Ayant été connue et honorée en ce lieu, sous ce titre, longtemps avant sa naissance, par le prophète Elie et ses disciples, c'est sous ce titre qu'Elle veut être honorée en dernier lieu ; et c'est sous ce titre qu'elle exercera sa royauté future, royauté qui amènera le nouveau Règne du Sauveur, comme l'a prophétisé saint Grignon de Montfort. Ce sera sous ce titre qu'Elle régnera dans les derniers temps, sur le monde converti par les terribles calamités qu'elle a prédites, calamités qui jetteront les hommes dans la terreur. Devant ces calamités, les hommes, ou se convertiront ou mourront de peur, et ce sera alors un monde nouveau sur lequel Marie Immaculée régnera en Souveraine pour son Divin Fils».
(extrait de lettres inédites)
Septembre 1999.
Nous apprenons de quelques lecteurs (information confirmée sur plusieurs sites Internet) que la comète Lee -dans la constellation dite du Rocher- a été rendue visible le 11 août. Venue de derrière le soleil, sa vitesse comme sa trajectoire causent actuellement des migraines aux astronomes. Visible durant plus d'une dizaine de jours, elle était reconnaissable car plus brillante que l'étoile dite du Berger. Depuis la publication de ce livre, il y a six mois, une question se pose : l'actuelle suractivité sismique de la terre doit-elle être imputée aux effets gravitationnels d'un astre massif en train d'approcher ? Nous attendons des informations de la NASA qui tendraient à le confirmer.
Re: La Comete,Chatiment Divin
VISION DU CHÂTIMENT ET DE SA COMÈTE PAR UNE TRAPPISTE DE CHEMILLÉ (ANGERS) !
Vision de la religieuse trappistine de Chemillé (diocèse d'Angers), morte en odeur de sainteté en 1828 :
«Le jour des Rois 1820... j'entendis des voix nombreuses qui criaient d'un ton terrible ; et dans ce moment, je me crus demi-morte. Mais j'eus encore plus peur quand j'entendis plus distinctement par trois fois les mêmes voix qui disaient : «Nous sommes vainqueurs, nous avons la victoire !».
Au moment où les voix prononçaient ces paroles, tout d'un coup, je vis que le ciel devint une nuit profonde ; je n'avais rien vu de si obscur. Cette obscurité fut accompagnée d'un éclat de tonnerre venant à la fois des quatre parties de la terre.
Il m'est impossible de vous peindre quelle fut ma frayeur. Le ciel devint tout en feu ; il lançait de toutes parts des flèches enflammées ; et il se faisait un bruit si terrible qu'il paraissait annoncer la ruine entière du monde.
J'aperçus alors un gros nuage rouge, couleur de sang de bœuf ; ce nuage roulait de tous côtés et me donnait bien de l'inquiétude, ne sachant ce qu'il signifiait.
Cependant j'aperçus une multitude d'hommes et de femmes qui avaient des figures à faire peur ; ils vomissaient des blasphèmes horribles contre tout ce qu'il y a de plus sacré au ciel et sur la terre. J'en ressentis une si grande peine, que je l'éprouve encore maintenant. Ce qui me surprit le plus, ce fut de voir à la tête de ces malheureux, quelques-uns de ceux qui, par leur état, doivent les porter au bien et qui les poussaient au mal.
Le tonnerre grondait toujours dans les airs d'une manière effrayante lorsque j'entendis une voix qui me dit : «Ne crains pas ! Mon courroux tombera sur ceux qui ont allumé ma colère ; ils disparaîtront dans un moment. Tout l'univers sera étonné d'apprendre la destruction de la plus belle, de la plus superbe ville ! Je dis : superbe, par ses crimes ; car je l'ai en abomination. Elle a empoisonné toutes les nations avec sa malheureuse philosophie qui répand partout l'impiété ; c'est cette maudite Babylone qui s'est enivrée du sang de mes saints ; elle veut encore le verser... Elle mettra le comble à ses horribles forfaits ; et moi je lui ferai boire le vin de ma colère ; tous les maux tomberont à la fois sur elle dans un instant».
Je n'entendis plus la voix mais un bruit effroyable ; le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville et en un instant elle fut tout en feu. Les flammes qui la dévoraient s'élevèrent dans les airs ; et de suite, je ne vis plus rien qu'une vaste terre noire comme du charbon».
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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