Karl Marx et Satan
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Re: Karl Marx et Satan
Quelqu'un a til déja lu ce livre?Si oui,qu'en pensez vous?
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Marx avait-il des symptomes de possession satanique
L`âge où tout jeune homme normal nourrit le beau rêve de faire du bien à son prochain et de se préparer à sa carrière, pour quelle raison écrit-il les vers suivants dans son poème " Invocation d'un désespéré " :
" Ainsi un dieu m'a arraché " mon tout "
Dans les malédictions et dans les coups du sort.
Tous ses mondes se sont évanouis
Sans espoir de retour,
Et il ne me reste plus désormais que la vengeance. "
" Je veux me bâtir un trône dans les hauteurs,
Son sommet sera glacial et gigantesque,
Il aura pour rempart la terreur de la superstition,
Pour maréchal, la plus sombre douleur. "
" Quiconque porte vers ce trône un regard sain,
Le détournera, pâle et muet comme la mort,
Tombé entre les griffes d'une mortalité aveugle et frissonnante.
Puisse son bonheur creuser sa tombe ! "
(Karl Marx, Morceaux choisis, Vol. I - New York, International Publishers, 1974)
Les mots " Je veux me bâtir un trône " et l'aveu que de Celui qui y est assis ne peuvent émaner qu'angoisse et terreur n'évoquent-ils pas Lucifer et son programme J'escaladerai les cieux ; plus haut que les étoiles de Dieu j'érigerai mon trône (Isaïe 14,13) ?
L'étrange confession de Marx dans son poème " Le ménestrel " :
" Les vapeurs infernales me montent au cerveau
Et le remplissent jusqu'à ce que je devienne fou
Et que mon cœur soit complètement changé.
Regarde cette épée :
Le Prince des ténèbres me l'a vendue. "
Voici un extrait d'Oulanem:
A dessein " Oulanem " est l'inversion d'un nom sacré ; c'est l'anagramme d'Emmanuel, nom biblique de Jésus qui signifie en hébreu " Dieu est avec nous
" Il bat la mesure et donne le signal.
De plus en plus hardiment, je joue la danse de la mort.
Et ils sont aussi Oulanem, Oulanem.
Ce nom résonne comme la mort,
Puis se prolonge jusqu a s'éteindre misérablement.
Arrêtez ! Je le tiens ! Il s'élève maintenant de mon esprit,
Clair comme l'air, aussi consistant que mes propres os. "
Mais j'ai le pouvoir, avec mes bras,
De vous écraser et de vous broyer ( " vous " = l'humanité personnifiée)
Avec la force d'un ouragan,
Tandis que pour nous deux l'abîme s'ouvre béant dans les ténèbres.
Vous allez y sombrer jusqu'au fond,
Je vous y suivrai en riant,
Vous susurrant à l'oreille " Descendez, venez avec moi, mon ami! "
Ecoutons ses dernières Paroles :
" Perdu. Perdu. Mon heure est venue.
L'horloge du temps s'est arrêtée,
La maison pygmée s'est effondrée.
Bientôt j'embrasserai sur mon sein l'éternité,
Bientôt je proférerai sur l'humanité
D'horribles malédictions. "
Marx poursuit :
Ah ! l'éternité, notre tourment éternel,
Une mort indicible et incommensurable,
Abjecte, artificiellement conçue pour nous narguer,
Nous autres, rouages aveuglément mécanisés,
Faits pour être les calendriers absurdes
Du Temps et de l'Espace,
Sans autre objet que de se trouver là
Pour être détruits. "
la fin d'Oulanem :
" S'il y a quelque chose capable de détruire,
Je m'y jetterai à corps perdu,
Quitte à mener le monde à la ruine.
Oui, ce monde qui fait écran entre moi et l'abîme,
Je le fracasserai en mille morceaux
A force de malédictions ;
J'étreindrai dans mes bras sa réalité brutale,
Dans mes embrassements il mourra sans un mot
Et s'effondrera dans un néant total,
Liquidé, sans existence :
Oui, la vie, ce sera vraiment cela ! "
(Ces citations sont tirées du livre de Robert Payne, The Unknown Karl Marx, - Karl Marx inconnu - New York University Press, 1971).
Ailleurs, dans le poème La vierge pâle, il avoue :
" Ainsi j'ai perdu le ciel,
Je le sais très bien.
Mon âme naguère fidèle à Dieu
A été marquée pour l'enfer."
Dans un autre poème où il avoue que son but n’est pas d’améliorer le monde, pas plus que de le réformer ou de le mettre en état de révolution, mais bien de le précipiter purement et simplement à sa ruine pour en jouir, Marx déclare notamment :
« Dédaigneusement je jetterai mon gant
A la face du monde
Et verrai s’effondrer ce géant pygmée
Dont la chute n’éteindra pas mon ardeur.
Puis comme un dieu victorieux j’irai au hasard
Parmi les ruines du monde
Et, donnant à mes paroles puissance d’action,
Je me sentirai l’égal du Créateur.»
(de la traduction du D. Mc Lellan de « Marx before marxism », McMiIlan)
Étonnant pour l`homme qui allait inspirer le communisme et le malheur de millions de personnes.
" Ainsi un dieu m'a arraché " mon tout "
Dans les malédictions et dans les coups du sort.
Tous ses mondes se sont évanouis
Sans espoir de retour,
Et il ne me reste plus désormais que la vengeance. "
" Je veux me bâtir un trône dans les hauteurs,
Son sommet sera glacial et gigantesque,
Il aura pour rempart la terreur de la superstition,
Pour maréchal, la plus sombre douleur. "
" Quiconque porte vers ce trône un regard sain,
Le détournera, pâle et muet comme la mort,
Tombé entre les griffes d'une mortalité aveugle et frissonnante.
Puisse son bonheur creuser sa tombe ! "
(Karl Marx, Morceaux choisis, Vol. I - New York, International Publishers, 1974)
Les mots " Je veux me bâtir un trône " et l'aveu que de Celui qui y est assis ne peuvent émaner qu'angoisse et terreur n'évoquent-ils pas Lucifer et son programme J'escaladerai les cieux ; plus haut que les étoiles de Dieu j'érigerai mon trône (Isaïe 14,13) ?
L'étrange confession de Marx dans son poème " Le ménestrel " :
" Les vapeurs infernales me montent au cerveau
Et le remplissent jusqu'à ce que je devienne fou
Et que mon cœur soit complètement changé.
Regarde cette épée :
Le Prince des ténèbres me l'a vendue. "
Voici un extrait d'Oulanem:
A dessein " Oulanem " est l'inversion d'un nom sacré ; c'est l'anagramme d'Emmanuel, nom biblique de Jésus qui signifie en hébreu " Dieu est avec nous
" Il bat la mesure et donne le signal.
De plus en plus hardiment, je joue la danse de la mort.
Et ils sont aussi Oulanem, Oulanem.
Ce nom résonne comme la mort,
Puis se prolonge jusqu a s'éteindre misérablement.
Arrêtez ! Je le tiens ! Il s'élève maintenant de mon esprit,
Clair comme l'air, aussi consistant que mes propres os. "
Mais j'ai le pouvoir, avec mes bras,
De vous écraser et de vous broyer ( " vous " = l'humanité personnifiée)
Avec la force d'un ouragan,
Tandis que pour nous deux l'abîme s'ouvre béant dans les ténèbres.
Vous allez y sombrer jusqu'au fond,
Je vous y suivrai en riant,
Vous susurrant à l'oreille " Descendez, venez avec moi, mon ami! "
Ecoutons ses dernières Paroles :
" Perdu. Perdu. Mon heure est venue.
L'horloge du temps s'est arrêtée,
La maison pygmée s'est effondrée.
Bientôt j'embrasserai sur mon sein l'éternité,
Bientôt je proférerai sur l'humanité
D'horribles malédictions. "
Marx poursuit :
Ah ! l'éternité, notre tourment éternel,
Une mort indicible et incommensurable,
Abjecte, artificiellement conçue pour nous narguer,
Nous autres, rouages aveuglément mécanisés,
Faits pour être les calendriers absurdes
Du Temps et de l'Espace,
Sans autre objet que de se trouver là
Pour être détruits. "
la fin d'Oulanem :
" S'il y a quelque chose capable de détruire,
Je m'y jetterai à corps perdu,
Quitte à mener le monde à la ruine.
Oui, ce monde qui fait écran entre moi et l'abîme,
Je le fracasserai en mille morceaux
A force de malédictions ;
J'étreindrai dans mes bras sa réalité brutale,
Dans mes embrassements il mourra sans un mot
Et s'effondrera dans un néant total,
Liquidé, sans existence :
Oui, la vie, ce sera vraiment cela ! "
(Ces citations sont tirées du livre de Robert Payne, The Unknown Karl Marx, - Karl Marx inconnu - New York University Press, 1971).
Ailleurs, dans le poème La vierge pâle, il avoue :
" Ainsi j'ai perdu le ciel,
Je le sais très bien.
Mon âme naguère fidèle à Dieu
A été marquée pour l'enfer."
Dans un autre poème où il avoue que son but n’est pas d’améliorer le monde, pas plus que de le réformer ou de le mettre en état de révolution, mais bien de le précipiter purement et simplement à sa ruine pour en jouir, Marx déclare notamment :
« Dédaigneusement je jetterai mon gant
A la face du monde
Et verrai s’effondrer ce géant pygmée
Dont la chute n’éteindra pas mon ardeur.
Puis comme un dieu victorieux j’irai au hasard
Parmi les ruines du monde
Et, donnant à mes paroles puissance d’action,
Je me sentirai l’égal du Créateur.»
(de la traduction du D. Mc Lellan de « Marx before marxism », McMiIlan)
Étonnant pour l`homme qui allait inspirer le communisme et le malheur de millions de personnes.
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Karl Marx et Satan
Texte tres révélateur.Je suis a lire un nouveau livre(une enquete du Vatican sur le padre Pio)sur Padre Pio .Pour ceux et celles qui le connaissent,il était tres critique sur le communisme et la FM...." Ainsi j'ai perdu le ciel,
Je le sais très bien.
Mon âme naguère fidèle à Dieu
A été marquée pour l'enfer."
Dans un autre poème où il avoue que son but n’est pas d’améliorer le monde, pas plus que de le réformer ou de le mettre en état de révolution, mais bien de le précipiter purement et simplement à sa ruine pour en jouir, Marx déclare notamment :
La Vierge de Fatima a dit clairement que le communisme était de Satan..
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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