Nouvelle offensive des multiculturalistes post-modernistes
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Nouvelle offensive des multiculturalistes post-modernistes
Québec : Gérard Bouchard invite l'islamiste française Dounia Bouzar à nous donner des conseils
Gérard Bouchard préside, avec Gabriella Battaini-Dragoni du Conseil de l’Europe, le Forum international sur l'interculturalisme qui se déroule présentement à Montréal. Au programme cet après-midi, Dounia Bouzar, présentée comme Docteure en anthropologie du fait religieux, qui donnera une conférence intitulée : Entre discriminations et multiculturalisme : la notion du «plus petit dénominateur commun» appliquée à la diversité religieuse française. Vous pourrez l'écouter en direct sur le Web en cliquant ici.
Djamila Gérard signait un article hier sur Dounia Bouzar, dans Riposte Laïque. Ça tombe à point !
______________________
Dounia Bouzar veut-elle pousser des gosses à crever de soif en plein cagnard ?
J’ai déjà eu l’occasion de dénoncer ici les agissements de Dounia Bouzar, autoproclamée « anthropologue du fait religieux », mais qui se donne désormais la mission de « halaliser, hijabiser, ramadaniser, salatiser et burkiniser » le moindre recoin de la société française.
Dans une hypocrisie totale, Dounia Bouzar prend prétexte de laïcité, de « vivre ensemble » et d’« antiracisme » pour justement tuer le vivre ensemble, en demandant aux musulmans d’imposer par le harcèlement et par les menaces juridiques leurs mœurs séparatistes partout où ils le peuvent : entreprises (ramadan, salles de prière, halal), services publics de crèches (hijab), cantines scolaires (halal), Noël à la maison des jeunes (halal et hijab obligatoires, mais interdiction de toute référence chrétienne !), salles municipales réservées pour le culte d’Allah et Mahomet (et Dounia Bouzar invite à mentir sur le motif de la réservation !), centres de formation (hijab), et, cerise sur le gâteau, burka aquatique et horaires réservées dans les piscines municipales. [...]
Soutien aux accompagnatrices scolaires voilées et militantes, bien sûr, et puis comme les vivants ne lui suffisent pas, elle s’est occupée des morts musulmans (ou supposés tels) qu’il faut bien sûr séparer des défunts mécréants impurs dans les cimetières de France. [...]
Et dans le dernier article de sa chronique, « Ramadan : Peut-on inscrire ses enfants qui jeûnent au centre de loisirs ? » daté du 20 mai, Dounia Bouzar prouve une fois de plus que peut lui chaut ceux et celles qui souffriraient ou mourraient en martyrs d’Allah. [...]
Et évidemment, Dounia Bouzar propose la même technique que dans ses autres articles :
- Harceler « le directeur et les animateurs » pour leur faire comprendre tous les bienfaits du ramadan.
- Balayer leur argument d’être « inquiets de voir leurs responsabilités personnelles engagées si un accident venait à surgir » en leur disant que si le jeune jeûneur « n’est pas en état de pratiquer telle ou telle activité », hé bien ils n’ont qu’à décider de ne pas lui faire faire cette activité, puisque c’est de leur « responsabilité ».
- Les culpabiliser en leur faisant comprendre qu’ils seraient un peu racistes sur les bords s’ils refusaient d’être « neutres » et de « travailler pour que toutes les visions du monde puissent se rencontrer, sans qu’aucune ne s’impose comme référence supérieure » (ce qui est franchement comique quand on veut justement imposer une « vision du monde » archaïque et sectaire…)
- Proposer la présence de parents islamiques aux activités. (Et hop, quelques « accompagnatrices voilées » casées pour l’été !)
- Et si « malgré ce préalable relationnel qui repose le débat avec sérénité » (sic !), le directeur du centre ne se soumet pas à la dhimmitude, on enchaîne les classiques menaces judiciaires pour « discrimination religieuse », et on sait ce que cela veut dire pour les victimes : convocation à la Halde (ou à ce qu’il en reste), communiqués les traînant dans la boue de la part du Mrap, du CCIF et d’autres officines islamogauchistes, reportages à charges par France 3 et le quotidien régional, harcèlement et appels à la haine contre elles par Forsanne Alizza et autres allumés du web, et in fine procès devant les tribunaux avec le concours d’avocats zélés de SOS-Racisme ou de la Licra qui vont concourir à la chasse à l’homme et tenter de lui extorquer des dommages-intérêts.
Je ne vais pas reprendre la démonstration selon laquelle les « conseils » de Dounia Bouzar vont à l’opposé du but affiché : le « vivre ensemble », puisque c’est elle-même qui suggère que les enfants à qui on impose le jeûne pourraient ne pas avoir les mêmes « activités » que les autres, et pourraient être encadrés par des parents musulmans contrairement aux autres. On ne saurait donc mieux décrire l’apartheid religieux que Dounia Bouzar préconise !
Mais le plus grave, c’est que Dounia Bouzar fait une croix sur les dangers qu’elle fait courir à ces enfants et ces adolescents, et ose même en rejeter la « responsabilité » sur le directeur et les animateurs ! Quel culot mais quel culot !
Pourtant, nous connaissons bien les problèmes posés par ce jeûne : ils ont été largement évoqués à Riposte laïque, en se basant sur des rapports officiels d’hôpitaux tunisois et marseillais ou du gouvernement algérien, ou des constatations de médecins du sport. Tous les avis sont unanimes : le jeûne du ramadan est une aberration sanitaire et est dangereux pour la santé, surtout chez les jeunes !
Et évidemment, tous ces risques sanitaires sont encore accrus pour des jeunes qui vont avoir une activité physique intense, en plein été, et à qui les prescriptions coraniques de Dounia Bouzar interdira de manger et de boire la moindre goutte d’eau depuis le lever jusqu’au coucher du soleil, soit en gros de 5 h du matin jusqu’à 22 h 30 du soir en région parisienne au mois d’août.
On comprend donc que les responsables de centre de loisirs demandent aux enfants de « s’alimenter normalement » pour éviter qu’ils crèvent de soif en plein cagnard, et qu’ils terminent leur séjour à l’hôpital ou à la morgue ! Hé bien non, pour Dounia Bouzar, agir ainsi c’est « discriminer », et donc ces mécréants doivent respecter la loi coranique d’un psychopathe bédouin du 7ème siècle au risque de se voir salir publiquement et de s’exposer à un harcèlement médiatique et judiciaire coûteux.
Et si un « accident » arrive, hé bien le directeur et les animateurs du centre de loisirs seront également « responsables », selon Dounia Bouzar. Par ce chantage ignoble, Dounia Bouzar montre tout son mépris pour la santé et l’équilibre de ces jeunes enfants (sans compter l’apartheid alimentaire et ludique qu’elle veut leur imposer !) : pour elle, la charia passe avant la loi des hommes, et même avant leur propre santé mentale et physique. Et s’il arrivait malheur à un jeune crevant de soif toute la journée, ce sera encore la faute des « mécréants » qui ne s’en seraient pas bien occupés et qui n’auraient pas respecté son « état » de musulman sincère ou forcé.
Je n’ai plus de mots pour qualifier une telle immoralité, un tel cynisme, un tel mépris de la vie humaine et du « vivre ensemble ». Et je ne suis pas la seule à réagir ainsi : dans les commentaires à l’article de Dounia Bouzar, toutes les réactions (Ysé, Shimrod, Lionel, Nethan, Samir) font les mêmes constats que moi : « les religions n’ont pas à imposer leur pratique au sein des institutions publiques » ; « empêcher des enfants de s’alimenter, cela porte un nom : maltraitance » ; il faudrait « regarder ce que dit la loi à ce sujet », voire signaler cet article à la Miviludes (mission interministérielle de lutte contre les sectes) ; et « utiliser des enfants comme des pions dans votre jihad ne vous grandit aucunement », Madame Bouzar ! [...]
C’est effectivement aux responsables des centres de loisirs et à leurs autorités de tutelle (collectivités locales, préfectures, ministères) de refuser ce chantage des soldats et soldates de l’islam politique, au nom de l’enfance en danger et de nos règles républicaines et laïques. J’invite donc tout ce beau monde à prendre une position officielle par rapport à ce « problème » du jeûne coranique imposé en centre de loisirs, et à étudier tous les recours envisageables à l’encontre de l’article et du « combat » de Dounia Bouzar. [...]
« Non à la charia » est notre combat de chaque jour, mais encore plus quand cette loi coranique et ses procureurs menacent la santé des enfants et leur inculquent cet apartheid qui est ferment de racisme et de conflits. C’est vraiment dégueulasse et faux-cul, ce qu’ose écrire Dounia Bouzar au nom de son Allah et de son Mahomet ! Comme le dit un internaute sur fdesouche.com : « Avec ses airs de Paris Hilton islamo-compatible je la trouve mille fois plus dangereuse que les fanatiques en niqâb : elle nous montre l’image d’une musulmane soft et bien intégrée alors qu’elle ne fait que souffler sur les charbons ardents du fanatisme en donnant aux religieux tout l’arsenal législatif et argumentatif pour imposer leurs lois. »
Source : Riposte Laïque, 25 mai 2011 et Poste de Veille.
Gérard Bouchard préside, avec Gabriella Battaini-Dragoni du Conseil de l’Europe, le Forum international sur l'interculturalisme qui se déroule présentement à Montréal. Au programme cet après-midi, Dounia Bouzar, présentée comme Docteure en anthropologie du fait religieux, qui donnera une conférence intitulée : Entre discriminations et multiculturalisme : la notion du «plus petit dénominateur commun» appliquée à la diversité religieuse française. Vous pourrez l'écouter en direct sur le Web en cliquant ici.
Djamila Gérard signait un article hier sur Dounia Bouzar, dans Riposte Laïque. Ça tombe à point !
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Dounia Bouzar veut-elle pousser des gosses à crever de soif en plein cagnard ?
J’ai déjà eu l’occasion de dénoncer ici les agissements de Dounia Bouzar, autoproclamée « anthropologue du fait religieux », mais qui se donne désormais la mission de « halaliser, hijabiser, ramadaniser, salatiser et burkiniser » le moindre recoin de la société française.
Dans une hypocrisie totale, Dounia Bouzar prend prétexte de laïcité, de « vivre ensemble » et d’« antiracisme » pour justement tuer le vivre ensemble, en demandant aux musulmans d’imposer par le harcèlement et par les menaces juridiques leurs mœurs séparatistes partout où ils le peuvent : entreprises (ramadan, salles de prière, halal), services publics de crèches (hijab), cantines scolaires (halal), Noël à la maison des jeunes (halal et hijab obligatoires, mais interdiction de toute référence chrétienne !), salles municipales réservées pour le culte d’Allah et Mahomet (et Dounia Bouzar invite à mentir sur le motif de la réservation !), centres de formation (hijab), et, cerise sur le gâteau, burka aquatique et horaires réservées dans les piscines municipales. [...]
Soutien aux accompagnatrices scolaires voilées et militantes, bien sûr, et puis comme les vivants ne lui suffisent pas, elle s’est occupée des morts musulmans (ou supposés tels) qu’il faut bien sûr séparer des défunts mécréants impurs dans les cimetières de France. [...]
Et dans le dernier article de sa chronique, « Ramadan : Peut-on inscrire ses enfants qui jeûnent au centre de loisirs ? » daté du 20 mai, Dounia Bouzar prouve une fois de plus que peut lui chaut ceux et celles qui souffriraient ou mourraient en martyrs d’Allah. [...]
Et évidemment, Dounia Bouzar propose la même technique que dans ses autres articles :
- Harceler « le directeur et les animateurs » pour leur faire comprendre tous les bienfaits du ramadan.
- Balayer leur argument d’être « inquiets de voir leurs responsabilités personnelles engagées si un accident venait à surgir » en leur disant que si le jeune jeûneur « n’est pas en état de pratiquer telle ou telle activité », hé bien ils n’ont qu’à décider de ne pas lui faire faire cette activité, puisque c’est de leur « responsabilité ».
- Les culpabiliser en leur faisant comprendre qu’ils seraient un peu racistes sur les bords s’ils refusaient d’être « neutres » et de « travailler pour que toutes les visions du monde puissent se rencontrer, sans qu’aucune ne s’impose comme référence supérieure » (ce qui est franchement comique quand on veut justement imposer une « vision du monde » archaïque et sectaire…)
- Proposer la présence de parents islamiques aux activités. (Et hop, quelques « accompagnatrices voilées » casées pour l’été !)
- Et si « malgré ce préalable relationnel qui repose le débat avec sérénité » (sic !), le directeur du centre ne se soumet pas à la dhimmitude, on enchaîne les classiques menaces judiciaires pour « discrimination religieuse », et on sait ce que cela veut dire pour les victimes : convocation à la Halde (ou à ce qu’il en reste), communiqués les traînant dans la boue de la part du Mrap, du CCIF et d’autres officines islamogauchistes, reportages à charges par France 3 et le quotidien régional, harcèlement et appels à la haine contre elles par Forsanne Alizza et autres allumés du web, et in fine procès devant les tribunaux avec le concours d’avocats zélés de SOS-Racisme ou de la Licra qui vont concourir à la chasse à l’homme et tenter de lui extorquer des dommages-intérêts.
Je ne vais pas reprendre la démonstration selon laquelle les « conseils » de Dounia Bouzar vont à l’opposé du but affiché : le « vivre ensemble », puisque c’est elle-même qui suggère que les enfants à qui on impose le jeûne pourraient ne pas avoir les mêmes « activités » que les autres, et pourraient être encadrés par des parents musulmans contrairement aux autres. On ne saurait donc mieux décrire l’apartheid religieux que Dounia Bouzar préconise !
Mais le plus grave, c’est que Dounia Bouzar fait une croix sur les dangers qu’elle fait courir à ces enfants et ces adolescents, et ose même en rejeter la « responsabilité » sur le directeur et les animateurs ! Quel culot mais quel culot !
Pourtant, nous connaissons bien les problèmes posés par ce jeûne : ils ont été largement évoqués à Riposte laïque, en se basant sur des rapports officiels d’hôpitaux tunisois et marseillais ou du gouvernement algérien, ou des constatations de médecins du sport. Tous les avis sont unanimes : le jeûne du ramadan est une aberration sanitaire et est dangereux pour la santé, surtout chez les jeunes !
Et évidemment, tous ces risques sanitaires sont encore accrus pour des jeunes qui vont avoir une activité physique intense, en plein été, et à qui les prescriptions coraniques de Dounia Bouzar interdira de manger et de boire la moindre goutte d’eau depuis le lever jusqu’au coucher du soleil, soit en gros de 5 h du matin jusqu’à 22 h 30 du soir en région parisienne au mois d’août.
On comprend donc que les responsables de centre de loisirs demandent aux enfants de « s’alimenter normalement » pour éviter qu’ils crèvent de soif en plein cagnard, et qu’ils terminent leur séjour à l’hôpital ou à la morgue ! Hé bien non, pour Dounia Bouzar, agir ainsi c’est « discriminer », et donc ces mécréants doivent respecter la loi coranique d’un psychopathe bédouin du 7ème siècle au risque de se voir salir publiquement et de s’exposer à un harcèlement médiatique et judiciaire coûteux.
Et si un « accident » arrive, hé bien le directeur et les animateurs du centre de loisirs seront également « responsables », selon Dounia Bouzar. Par ce chantage ignoble, Dounia Bouzar montre tout son mépris pour la santé et l’équilibre de ces jeunes enfants (sans compter l’apartheid alimentaire et ludique qu’elle veut leur imposer !) : pour elle, la charia passe avant la loi des hommes, et même avant leur propre santé mentale et physique. Et s’il arrivait malheur à un jeune crevant de soif toute la journée, ce sera encore la faute des « mécréants » qui ne s’en seraient pas bien occupés et qui n’auraient pas respecté son « état » de musulman sincère ou forcé.
Je n’ai plus de mots pour qualifier une telle immoralité, un tel cynisme, un tel mépris de la vie humaine et du « vivre ensemble ». Et je ne suis pas la seule à réagir ainsi : dans les commentaires à l’article de Dounia Bouzar, toutes les réactions (Ysé, Shimrod, Lionel, Nethan, Samir) font les mêmes constats que moi : « les religions n’ont pas à imposer leur pratique au sein des institutions publiques » ; « empêcher des enfants de s’alimenter, cela porte un nom : maltraitance » ; il faudrait « regarder ce que dit la loi à ce sujet », voire signaler cet article à la Miviludes (mission interministérielle de lutte contre les sectes) ; et « utiliser des enfants comme des pions dans votre jihad ne vous grandit aucunement », Madame Bouzar ! [...]
C’est effectivement aux responsables des centres de loisirs et à leurs autorités de tutelle (collectivités locales, préfectures, ministères) de refuser ce chantage des soldats et soldates de l’islam politique, au nom de l’enfance en danger et de nos règles républicaines et laïques. J’invite donc tout ce beau monde à prendre une position officielle par rapport à ce « problème » du jeûne coranique imposé en centre de loisirs, et à étudier tous les recours envisageables à l’encontre de l’article et du « combat » de Dounia Bouzar. [...]
« Non à la charia » est notre combat de chaque jour, mais encore plus quand cette loi coranique et ses procureurs menacent la santé des enfants et leur inculquent cet apartheid qui est ferment de racisme et de conflits. C’est vraiment dégueulasse et faux-cul, ce qu’ose écrire Dounia Bouzar au nom de son Allah et de son Mahomet ! Comme le dit un internaute sur fdesouche.com : « Avec ses airs de Paris Hilton islamo-compatible je la trouve mille fois plus dangereuse que les fanatiques en niqâb : elle nous montre l’image d’une musulmane soft et bien intégrée alors qu’elle ne fait que souffler sur les charbons ardents du fanatisme en donnant aux religieux tout l’arsenal législatif et argumentatif pour imposer leurs lois. »
Source : Riposte Laïque, 25 mai 2011 et Poste de Veille.
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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