Franc-maconnerie et Révolution francaise - LE CAS DU DUC D'ORLEANS ET DE CHARTRES
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Franc-maconnerie et Révolution francaise - LE CAS DU DUC D'ORLEANS ET DE CHARTRES
LE CAS DU DUC D'ORLEANS ET DE CHARTRES
Lorsque les chefs occultes de la Maçonnerie purent obtenir que le débonnaire mais sot roi absolu de France Louis XVI soit initié, alors ils parvinrent, grâce à des intermédiaires convenables, à demander au monarque, au nom de la Fraternité maçonnique, de remplir de maçons son gouvernement et les Forces armées, principal soutien de la Cou-ronne. C'est là une manoeuvre maçonnique généralisée dans le monde, et les gouvernements qui tombent dans le piège travaillent à leur propre perte. Louis XVI, en tombant dans ce piège, ne réussit qu'à faire tomber en des mains ennemies les deux principaux soutiens de la monarchie absolue alors en place, l'Armée et la Police.
Mais pour assurer le triomphe de la révolution, le Judaïsme clandestin recourut à la grande manoeuvre de diviser la classe sociale alors dominante, c'est-à-dire la noblesse héréditaire de sang.
Ils exploitèrent les grandes ambitions du duc d'Orléans et de Chartres, cousin du monarque de France, en lui lais-sant croire que lui-même, grâce à la Maçonnerie, pourrait arriver au trône au moyen d'une révolution, qui renverserait la monarchie absolue pour la convertir en une monarchie constitutionnelle et démocratique, dont le duc d'Orléans et de Chartres serait le monarque. Ils le firent parce que Philippe d'Orléans exerçait dans toute la France une grande in-fluence sur la noblesse et qu'il était nécessaire, même par tromperie,
L'histoire maçonnique du duc d'Orléans a été celle d'une ascension vertigineuse. Comme existaient en France plu-sieurs rites maçonniques, le Pouvoir occulte juif décida de les fédérer en un Grand-Orient, en permettant au duc de se poser en dirigeant de l'unification, facilitant ainsi son élection à la plus haute dignité maçonnique de ce temps, celle de GRAND-MAITRE DU GRAND-ORIENT DE FRANCE.
Dans ce poste et en dépensant une grande partie de sa fortune personnelle, Philippe d'Orléans, sans s'en rendre compte, fit le jeu du Judaïsme clandestin, qui avait déjà en projet toute une révolution, mais différente de celle dont il fit croire au duc d'Orléans qu'elle serait la seule.
En réalité, les Juifs clandestins comme Robespierre, descendant de juifs allemands, Rubinstein, qui avaient changé leur nom des siècles auparavant contre celui d'apparence très française de Robespierre, considéraient la révolution destinée à transformer la monarchie absolue en monarchie constitutionnelle et démocratique, comme seulement une transition, capable d'attirer au mouvement des millions de "sots utiles" et de compagnons de voyage. Ce que le Ju-daïsme clandestin désirait était renverser toute espèce de monarchie et établir la République, complètement dominée par les pouvoirs secrets juifs et détruire totalement l'Ancien Régime.
Tout marcha bien en apparence pour le duc d'Orléans jusqu'à la mort sous la guillotine de Louis XVI et de Marie-Antoinette, bien qu'il ait commis le crime de se déshonorer en votant à la Convention en faveur de l'assassinat de ses deux cousins. Alors le duc Philippe crut le moment venu de faire marcher tous ses pouvoirs maçonniques, des distincts rites affiliés au GRAND-ORIENT DE FRANCE, dont il était, comme je l'ai dit, ni plus ni moins que le GRAND-MAITRE, pour que la CONVENTION, c'est-à-dire alors le plus grand pouvoir révolutionnaire de France, l'élise comme roi consti-tutionnel, pour instaurer, après l'abolition de la monarchie absolue, une monarchie démocratique avec lui, Philippe, comme roi à sa tête.
Mais il arriva alors au GRAND-MAITRE quelque chose d'inattendu pour lui : la majorité des dignitaires maçons, qui jusque-là avaient suivi sa direction, commencèrent à lui faire défaut et à conspirer avec la CONVENTION, l'ARMEE et les POLICES pour que soit abolie la monarchie et instaurée la République.
Le duc d'Orléans, qui était doué d'une grande intelligence et d'une grande vision politique, comprit en ce moment que derrière les plus hautes dignités de tous les rites maçonniques, et derrière le propre GRAND-ORIENT, existait un pouvoir occulte qui manipulait tout, sans qu'il puisse comprendre en quoi consistait tout ce pouvoir occulte, je dis tout, parce que Philippe d'Orléans connut les infiltrations opérées dans la Maçonnerie par la secte fondée par le juif alle-mand de Bavière Adam Weishaupt, connue sous le nom des ILLUMINÉS DE BAVIÈRE, mais Philippe put sentir qu'il y avait, en outre de ces infiltrations, un autre pouvoir plus occulte.
Des chercheurs ont pu vérifier après cette affaire que cet autre POUVOIR, plus occulte que L'ILLUMINISME, était le JUDAISME CLANDESTIN, qui manoeuvrait, en outre, le chef suprême des Illuminés de Bavière, également juif.
Furieux, le duc d'Orléans lança un manifeste à tous les frères maçons honorables, dénonçant l'existence d'une secte très secrète, détectée par lui et beaucoup d'autres ; un pouvoir occulte qui, infiltré dans la Franc-Maçonnerie, vio-lait ses Constitutions et la déviait de ses véritables buts vers des fins perverses. Et, en qualité de Grand-Maître, chef suprême du GRAND-ORIENT, avec juridiction sur tous les rites maçonniques de France, IL DECLARA DISSOUS L'ORDRE MAÇONNIQUE, qui devait disparaître de la scène.
Le pauvre duc d'Orléans eut la peine de voir que son DECRET DE DISSOLUTION ne fut pas obéi et que la grande majorité de ceux qui jusqu'alors s'étaient déclarés ses loyaux frères maçons, d'une fidélité et d'une obéissance à toute épreuve envers le Grand-Maître, continuèrent de conspirer pour instaurer la République, et que beaucoup d'entre eux en arrivèrent à voter à la Convention pour l'envoyer à la guillotine, lui, duc d'Orléans, appelé aussi PIIILIPPE-ÉGALITÉ, qui eut la tête coupée avec l'approbation publique et bruyante de la majorité des mêmes frères maçons qui, tant de fois, lui avaient juré amitié et obéissance.
Source: Jean Boyer
Lorsque les chefs occultes de la Maçonnerie purent obtenir que le débonnaire mais sot roi absolu de France Louis XVI soit initié, alors ils parvinrent, grâce à des intermédiaires convenables, à demander au monarque, au nom de la Fraternité maçonnique, de remplir de maçons son gouvernement et les Forces armées, principal soutien de la Cou-ronne. C'est là une manoeuvre maçonnique généralisée dans le monde, et les gouvernements qui tombent dans le piège travaillent à leur propre perte. Louis XVI, en tombant dans ce piège, ne réussit qu'à faire tomber en des mains ennemies les deux principaux soutiens de la monarchie absolue alors en place, l'Armée et la Police.
Mais pour assurer le triomphe de la révolution, le Judaïsme clandestin recourut à la grande manoeuvre de diviser la classe sociale alors dominante, c'est-à-dire la noblesse héréditaire de sang.
Ils exploitèrent les grandes ambitions du duc d'Orléans et de Chartres, cousin du monarque de France, en lui lais-sant croire que lui-même, grâce à la Maçonnerie, pourrait arriver au trône au moyen d'une révolution, qui renverserait la monarchie absolue pour la convertir en une monarchie constitutionnelle et démocratique, dont le duc d'Orléans et de Chartres serait le monarque. Ils le firent parce que Philippe d'Orléans exerçait dans toute la France une grande in-fluence sur la noblesse et qu'il était nécessaire, même par tromperie,
L'histoire maçonnique du duc d'Orléans a été celle d'une ascension vertigineuse. Comme existaient en France plu-sieurs rites maçonniques, le Pouvoir occulte juif décida de les fédérer en un Grand-Orient, en permettant au duc de se poser en dirigeant de l'unification, facilitant ainsi son élection à la plus haute dignité maçonnique de ce temps, celle de GRAND-MAITRE DU GRAND-ORIENT DE FRANCE.
Dans ce poste et en dépensant une grande partie de sa fortune personnelle, Philippe d'Orléans, sans s'en rendre compte, fit le jeu du Judaïsme clandestin, qui avait déjà en projet toute une révolution, mais différente de celle dont il fit croire au duc d'Orléans qu'elle serait la seule.
En réalité, les Juifs clandestins comme Robespierre, descendant de juifs allemands, Rubinstein, qui avaient changé leur nom des siècles auparavant contre celui d'apparence très française de Robespierre, considéraient la révolution destinée à transformer la monarchie absolue en monarchie constitutionnelle et démocratique, comme seulement une transition, capable d'attirer au mouvement des millions de "sots utiles" et de compagnons de voyage. Ce que le Ju-daïsme clandestin désirait était renverser toute espèce de monarchie et établir la République, complètement dominée par les pouvoirs secrets juifs et détruire totalement l'Ancien Régime.
Tout marcha bien en apparence pour le duc d'Orléans jusqu'à la mort sous la guillotine de Louis XVI et de Marie-Antoinette, bien qu'il ait commis le crime de se déshonorer en votant à la Convention en faveur de l'assassinat de ses deux cousins. Alors le duc Philippe crut le moment venu de faire marcher tous ses pouvoirs maçonniques, des distincts rites affiliés au GRAND-ORIENT DE FRANCE, dont il était, comme je l'ai dit, ni plus ni moins que le GRAND-MAITRE, pour que la CONVENTION, c'est-à-dire alors le plus grand pouvoir révolutionnaire de France, l'élise comme roi consti-tutionnel, pour instaurer, après l'abolition de la monarchie absolue, une monarchie démocratique avec lui, Philippe, comme roi à sa tête.
Mais il arriva alors au GRAND-MAITRE quelque chose d'inattendu pour lui : la majorité des dignitaires maçons, qui jusque-là avaient suivi sa direction, commencèrent à lui faire défaut et à conspirer avec la CONVENTION, l'ARMEE et les POLICES pour que soit abolie la monarchie et instaurée la République.
Le duc d'Orléans, qui était doué d'une grande intelligence et d'une grande vision politique, comprit en ce moment que derrière les plus hautes dignités de tous les rites maçonniques, et derrière le propre GRAND-ORIENT, existait un pouvoir occulte qui manipulait tout, sans qu'il puisse comprendre en quoi consistait tout ce pouvoir occulte, je dis tout, parce que Philippe d'Orléans connut les infiltrations opérées dans la Maçonnerie par la secte fondée par le juif alle-mand de Bavière Adam Weishaupt, connue sous le nom des ILLUMINÉS DE BAVIÈRE, mais Philippe put sentir qu'il y avait, en outre de ces infiltrations, un autre pouvoir plus occulte.
Des chercheurs ont pu vérifier après cette affaire que cet autre POUVOIR, plus occulte que L'ILLUMINISME, était le JUDAISME CLANDESTIN, qui manoeuvrait, en outre, le chef suprême des Illuminés de Bavière, également juif.
Furieux, le duc d'Orléans lança un manifeste à tous les frères maçons honorables, dénonçant l'existence d'une secte très secrète, détectée par lui et beaucoup d'autres ; un pouvoir occulte qui, infiltré dans la Franc-Maçonnerie, vio-lait ses Constitutions et la déviait de ses véritables buts vers des fins perverses. Et, en qualité de Grand-Maître, chef suprême du GRAND-ORIENT, avec juridiction sur tous les rites maçonniques de France, IL DECLARA DISSOUS L'ORDRE MAÇONNIQUE, qui devait disparaître de la scène.
Le pauvre duc d'Orléans eut la peine de voir que son DECRET DE DISSOLUTION ne fut pas obéi et que la grande majorité de ceux qui jusqu'alors s'étaient déclarés ses loyaux frères maçons, d'une fidélité et d'une obéissance à toute épreuve envers le Grand-Maître, continuèrent de conspirer pour instaurer la République, et que beaucoup d'entre eux en arrivèrent à voter à la Convention pour l'envoyer à la guillotine, lui, duc d'Orléans, appelé aussi PIIILIPPE-ÉGALITÉ, qui eut la tête coupée avec l'approbation publique et bruyante de la majorité des mêmes frères maçons qui, tant de fois, lui avaient juré amitié et obéissance.
Source: Jean Boyer
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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