Le fil des bonnes nouvelles !
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Le fil des bonnes nouvelles !
Rappel du premier message :
Avec d'autres posteurs, je l'ai déjà ouvert sur d'autres sites. Ce fil tend à montrer (à moi-même parfois) qu'il n'y a pas que des mauvaises nouvelles, il y en a des bonnes aussi - Alors voici et bonnes découvertes !
Avec d'autres posteurs, je l'ai déjà ouvert sur d'autres sites. Ce fil tend à montrer (à moi-même parfois) qu'il n'y a pas que des mauvaises nouvelles, il y en a des bonnes aussi - Alors voici et bonnes découvertes !
etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Un savon pour lutter contre la malaria
Gérard Niyondiko (Burundi) et Moctar Dembele (Burki Faso) ont remporté le premier prix du concours Global Social Venture Competition (GSVC) grâce à leur invention, le Faso Soap, un savon anti-moustique qui offre l’espoir de réduire efficacement la propagation du paludisme en Afrique.
Aussi appelé malaria, le paludisme est une maladie infectieuse due à plusieurs espèces de parasites appartenant au genre Plasmodium. Le parasite est transmis à l’homme par la piqûre de moustiques infectés. Ces moustiques, « vecteurs » du paludisme, appartiennent tous au genre Anopheles.
Composé de citronnelle, de souci officinal, de karité et d’autres ingrédients restés secrets, le Faso Soap est un savon conçu pour être accessible à tous, produit à partir de ressources 100 % locales, et permettant de protéger ses utilisateurs du paludisme.
Pour cela, « il possède deux caractéristiques, explique Lisa Barutel, chargée de mission GSVC. D’abord, une capacité à repousser les moustiques par son odeur. Mais il contient également un composant intérieur qui tue les larves et empêche leur prolifération dans les eaux stagnantes. »
C’est donc un peu plus qu’un simple répulsif à la citronnelle… Car un des problèmes majeurs dans la lutte contre le paludisme en Afrique est que les moustiques se reproduisent très rapidement dans ces eaux stagnantes. Or, se laver ou faire la lessive avec ce savon permettrait d’enrayer cette prolifération. Les tests effectués sur un échantillon de la population à Ouagadougou se sont en tous cas révélés assez concluants.
L’autre avantage du Faso Soap est son coût : 300 francs CFA, soit 0,46 centimes d’euros le pain de savon. Une aubaine quand on sait que le paludisme touche essentiellement des pays pauvres.
Gérard Niyondiko et Moctar Dembele ont reçu 25 000 dollars pour avoir remporté le concours GSVC. La somme doit leur servir à perfectionner la formule et à lancer leur entreprise à l’issue de leur diplôme de Master.
Selon les chiffres de l’Institut Pasteur, quelque 500 millions de cas cliniques de paludisme sont observés chaque année faisant 1 million de victimes. Et 90 % des cas recensés le sont dans les régions tropicales de l’Afrique subsaharienne, où la maladie est la première cause de mortalité.
Hugo Jalinière, Sciences et Avenir, 22/04/13
Gérard Niyondiko (Burundi) et Moctar Dembele (Burki Faso) ont remporté le premier prix du concours Global Social Venture Competition (GSVC) grâce à leur invention, le Faso Soap, un savon anti-moustique qui offre l’espoir de réduire efficacement la propagation du paludisme en Afrique.
Aussi appelé malaria, le paludisme est une maladie infectieuse due à plusieurs espèces de parasites appartenant au genre Plasmodium. Le parasite est transmis à l’homme par la piqûre de moustiques infectés. Ces moustiques, « vecteurs » du paludisme, appartiennent tous au genre Anopheles.
Composé de citronnelle, de souci officinal, de karité et d’autres ingrédients restés secrets, le Faso Soap est un savon conçu pour être accessible à tous, produit à partir de ressources 100 % locales, et permettant de protéger ses utilisateurs du paludisme.
Pour cela, « il possède deux caractéristiques, explique Lisa Barutel, chargée de mission GSVC. D’abord, une capacité à repousser les moustiques par son odeur. Mais il contient également un composant intérieur qui tue les larves et empêche leur prolifération dans les eaux stagnantes. »
C’est donc un peu plus qu’un simple répulsif à la citronnelle… Car un des problèmes majeurs dans la lutte contre le paludisme en Afrique est que les moustiques se reproduisent très rapidement dans ces eaux stagnantes. Or, se laver ou faire la lessive avec ce savon permettrait d’enrayer cette prolifération. Les tests effectués sur un échantillon de la population à Ouagadougou se sont en tous cas révélés assez concluants.
L’autre avantage du Faso Soap est son coût : 300 francs CFA, soit 0,46 centimes d’euros le pain de savon. Une aubaine quand on sait que le paludisme touche essentiellement des pays pauvres.
Gérard Niyondiko et Moctar Dembele ont reçu 25 000 dollars pour avoir remporté le concours GSVC. La somme doit leur servir à perfectionner la formule et à lancer leur entreprise à l’issue de leur diplôme de Master.
Selon les chiffres de l’Institut Pasteur, quelque 500 millions de cas cliniques de paludisme sont observés chaque année faisant 1 million de victimes. Et 90 % des cas recensés le sont dans les régions tropicales de l’Afrique subsaharienne, où la maladie est la première cause de mortalité.
Hugo Jalinière, Sciences et Avenir, 22/04/13
etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Le sauveteur a gardé l'anonymat...
Un habitant de Codolet a sorti une personne âgée d'un mauvais pas après avoir lourdement chuté au sol.
À l’heure ou l’on parle d’individualisme, d’indifférence, d’égoïsme, un habitant de Codolet a fait preuve, samedi soir dernier, d’un très beau geste d’altruisme, remettant en cause ces préjugés. À la sortie de la messe, vers 18 h 30, Mme Hérault, âgée de 86 ans, raccompagne son amie aveugle Mme Carbo, également octogénaire, à son domicile.
Blessée après la messe
Alors qu’elle retourne chez elle, c’est en remontant la rue Haute pour se rendre à sa maison que Mme Hérault trébuche et tombe lourdement, sa tête venant heurter violemment le sol. Le choc l’abasourdit et occasionne une plaie fronto-temporale qui saigne abondamment. L’octogénaire reste quelques minutes seule dans la pénombre, transie de froid dans son sang, quand soudain, apparaît un homme qui regagnait ses pénates. Le sauveur prend les choses en main, réchauffe la vieille dame, appelle les secours et reste à ses côtés dans l’attente de leur arrivée.
Son sauveur s'éclipse
Et comme tout bon philanthrope, cet anonyme s’en est allé après avoir fait ce qui, pour lui n’était, sans nul doute, que naturel. Ce comportement citoyen, humaniste, revêt à notre époque un bel exemple de solidarité. Mamie Yvonne, elle, se remet de l’épreuve mais voudrait remercier cet homme pour son acte d’humanisme.
Un habitant de Codolet a sorti une personne âgée d'un mauvais pas après avoir lourdement chuté au sol.
À l’heure ou l’on parle d’individualisme, d’indifférence, d’égoïsme, un habitant de Codolet a fait preuve, samedi soir dernier, d’un très beau geste d’altruisme, remettant en cause ces préjugés. À la sortie de la messe, vers 18 h 30, Mme Hérault, âgée de 86 ans, raccompagne son amie aveugle Mme Carbo, également octogénaire, à son domicile.
Blessée après la messe
Alors qu’elle retourne chez elle, c’est en remontant la rue Haute pour se rendre à sa maison que Mme Hérault trébuche et tombe lourdement, sa tête venant heurter violemment le sol. Le choc l’abasourdit et occasionne une plaie fronto-temporale qui saigne abondamment. L’octogénaire reste quelques minutes seule dans la pénombre, transie de froid dans son sang, quand soudain, apparaît un homme qui regagnait ses pénates. Le sauveur prend les choses en main, réchauffe la vieille dame, appelle les secours et reste à ses côtés dans l’attente de leur arrivée.
Son sauveur s'éclipse
Et comme tout bon philanthrope, cet anonyme s’en est allé après avoir fait ce qui, pour lui n’était, sans nul doute, que naturel. Ce comportement citoyen, humaniste, revêt à notre époque un bel exemple de solidarité. Mamie Yvonne, elle, se remet de l’épreuve mais voudrait remercier cet homme pour son acte d’humanisme.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Elwin Wilson, le repenti du Ku klux Klan
Elwin Wilson, un ancien membre du Ku Klux Klan connu pour avoir demandé pardon pour son passé raciste, est décédé jeudi à l’âge de 76 ans.
Elwin Wilson avait attiré l’attention des médias nationaux en 2009 en présentant ses excuses pour avoir battu des membres du groupe Freedom Riders, symbole de la lutte contre le racisme, en 1961. Parmi les jeunes victimes se trouvait John Lewis, qui est actuellement représentant démocrate au Congrès américain depuis plus de 25 ans et considéré comme le grand-père du mouvement pour les droits des Noirs.
« Cela m’a hanté pendant des années, tout le mal que j’ai fait. J’ai réalisé qu’il m’était impossible d’être sauvé et d’aller au Ciel tout en continuant de ne pas aimer les Noirs, » avait déclaré Wilson en 2009.
« Mon père m’a toujours dit que seul un sot ne change jamais d’avis, et qu’un homme intelligent peut changer d’idée. C’est ce que j’ai fait, et je n’en ai pas honte », avait-il ajouté lors d’une interview à CNN.
John Lewis avait alors accepté les excuses de Wilson et offert son pardon, soulignant qu’il s’agissait de la première fois qu’un agresseur s’adressait à lui de la sorte.
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Elwin Wilson, un ancien membre du Ku Klux Klan connu pour avoir demandé pardon pour son passé raciste, est décédé jeudi à l’âge de 76 ans.
Elwin Wilson avait attiré l’attention des médias nationaux en 2009 en présentant ses excuses pour avoir battu des membres du groupe Freedom Riders, symbole de la lutte contre le racisme, en 1961. Parmi les jeunes victimes se trouvait John Lewis, qui est actuellement représentant démocrate au Congrès américain depuis plus de 25 ans et considéré comme le grand-père du mouvement pour les droits des Noirs.
« Cela m’a hanté pendant des années, tout le mal que j’ai fait. J’ai réalisé qu’il m’était impossible d’être sauvé et d’aller au Ciel tout en continuant de ne pas aimer les Noirs, » avait déclaré Wilson en 2009.
« Mon père m’a toujours dit que seul un sot ne change jamais d’avis, et qu’un homme intelligent peut changer d’idée. C’est ce que j’ai fait, et je n’en ai pas honte », avait-il ajouté lors d’une interview à CNN.
John Lewis avait alors accepté les excuses de Wilson et offert son pardon, soulignant qu’il s’agissait de la première fois qu’un agresseur s’adressait à lui de la sorte.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Délit de désobéissance charitable !
Un employé de Veolia Eau à Avignon a été licencié début avril pour avoir refusé depuis 2006 de couper l'eau aux domiciles de personnes qu'il estimait défavorisées mais que la direction considérait comme de mauvais payeurs, a-t-on appris mercredi auprès de la CGT et de la direction. L'homme, âgé de 48 ans et employé depuis 20 ans à Veolia eau, a reçu une lettre de licenciement datée du 4 avril 2013, dont l'AFP a obtenu copie, motivée par son "refus de mettre en oeuvre les fermetures de branchements faisant suite au non-paiement de facture".
Depuis 2006, l'employé refusait de procéder aux coupures du compteur d'eau de familles qui ne s'acquittaient plus de leurs factures et qu'il jugeait défavorisées. "Psychologiquement, il se refusait à couper l'eau, il préférait négocier avec les familles, récupérait des chèques et leur conseillait de voir avec Veolia" pour épurer leurs dettes, selon le secrétaire général de la CGT du Vaucluse, Thierry Lapoirie. Selon le responsable syndical, environ un millier de familles auraient été concernées par ces coupures non effectuées entre 2006 et 2013.
Ces "coupures concernent des personnes mauvais payeurs", et non des foyers en difficultés, a précisé à l'AFP le responsable Veolia pour le secteur Gard-Lozère-Alpes-Provence, Bruno Challoin. "Les personnes défavorisées relèvent des services sociaux (qui) prennent en charge tout ou partie" des factures impayées comme le prévoit la loi, a-t-il ajouté. Depuis 2006, le salarié récalcitrant avait fait l'objet de plusieurs rappels de consigne, et des entretiens de conciliation avec la direction avaient été organisés.
"Sur sa fiche de poste, il y a cette mission (de coupure de branchements) et nous sommes une société avec des règles, on ne choisit pas les tâches qu'on a envie d'effectuer", a indiqué M. Challoin. Ses refus de couper l'approvisionnement en eau nuisaient à l'organisation du travail, selon Veolia, et d'autres agents devaient procéder aux coupures non effectuées. Le salarié licencié a décidé d'engager une procédure devant le conseil des prud'hommes.
Un employé de Veolia Eau à Avignon a été licencié début avril pour avoir refusé depuis 2006 de couper l'eau aux domiciles de personnes qu'il estimait défavorisées mais que la direction considérait comme de mauvais payeurs, a-t-on appris mercredi auprès de la CGT et de la direction. L'homme, âgé de 48 ans et employé depuis 20 ans à Veolia eau, a reçu une lettre de licenciement datée du 4 avril 2013, dont l'AFP a obtenu copie, motivée par son "refus de mettre en oeuvre les fermetures de branchements faisant suite au non-paiement de facture".
Depuis 2006, l'employé refusait de procéder aux coupures du compteur d'eau de familles qui ne s'acquittaient plus de leurs factures et qu'il jugeait défavorisées. "Psychologiquement, il se refusait à couper l'eau, il préférait négocier avec les familles, récupérait des chèques et leur conseillait de voir avec Veolia" pour épurer leurs dettes, selon le secrétaire général de la CGT du Vaucluse, Thierry Lapoirie. Selon le responsable syndical, environ un millier de familles auraient été concernées par ces coupures non effectuées entre 2006 et 2013.
Ces "coupures concernent des personnes mauvais payeurs", et non des foyers en difficultés, a précisé à l'AFP le responsable Veolia pour le secteur Gard-Lozère-Alpes-Provence, Bruno Challoin. "Les personnes défavorisées relèvent des services sociaux (qui) prennent en charge tout ou partie" des factures impayées comme le prévoit la loi, a-t-il ajouté. Depuis 2006, le salarié récalcitrant avait fait l'objet de plusieurs rappels de consigne, et des entretiens de conciliation avec la direction avaient été organisés.
"Sur sa fiche de poste, il y a cette mission (de coupure de branchements) et nous sommes une société avec des règles, on ne choisit pas les tâches qu'on a envie d'effectuer", a indiqué M. Challoin. Ses refus de couper l'approvisionnement en eau nuisaient à l'organisation du travail, selon Veolia, et d'autres agents devaient procéder aux coupures non effectuées. Le salarié licencié a décidé d'engager une procédure devant le conseil des prud'hommes.
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Dernière édition par etienne lorant le Mar 30 Avr 2013 - 14:40, édité 1 fois
etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
La conversion d'un rabbin juif orthodoxe
Non seulement Juif, mais rabbin, Juif orthodoxe puis loubavitch ! Mais voilà que l'attirance du Christ en croix rencontré dans sa jeunesse en région parisienne se réveille avec la mort d'un Juif converti, celle de Jean-Marie Lustiger, cardinal-archevêque de Paris.
Ce récit dévoile l'itinéraire d'un croyant travaillé pendant de longues années, à l'ombre de la basilique du Sacré-Coeur de Montmartre, par une contradiction apparemment irréconciliable : être Juif et aimer le Christ ! Jean-Marc Setbon, un temps prénommé Elie, devient Jean-Marie Elie Setbon au prix de souffrances que seul un amour intense peut aider à surmonter. Cet amour a un nom, c'est Jésus, scandale pour les Juifs, folie pour les païens.
Né en 1964 à Paris, Jean-Marie Elie Setbon a été baptisé dans l'Église catholique le 14 septembre 2008. Il est veuf remarié et père de huit enfants. Théologien et exégète biblique, il donne des conférences, des retraites et des formations en s'efforçant de faire goûter les richesses de la Parole de Dieu dans sa source juive et dans sa source catholique.
L'info date de cinq ans, mais c'est toujours du bonheur, je vais essayer de me procurer le récit !
Non seulement Juif, mais rabbin, Juif orthodoxe puis loubavitch ! Mais voilà que l'attirance du Christ en croix rencontré dans sa jeunesse en région parisienne se réveille avec la mort d'un Juif converti, celle de Jean-Marie Lustiger, cardinal-archevêque de Paris.
Ce récit dévoile l'itinéraire d'un croyant travaillé pendant de longues années, à l'ombre de la basilique du Sacré-Coeur de Montmartre, par une contradiction apparemment irréconciliable : être Juif et aimer le Christ ! Jean-Marc Setbon, un temps prénommé Elie, devient Jean-Marie Elie Setbon au prix de souffrances que seul un amour intense peut aider à surmonter. Cet amour a un nom, c'est Jésus, scandale pour les Juifs, folie pour les païens.
Né en 1964 à Paris, Jean-Marie Elie Setbon a été baptisé dans l'Église catholique le 14 septembre 2008. Il est veuf remarié et père de huit enfants. Théologien et exégète biblique, il donne des conférences, des retraites et des formations en s'efforçant de faire goûter les richesses de la Parole de Dieu dans sa source juive et dans sa source catholique.
L'info date de cinq ans, mais c'est toujours du bonheur, je vais essayer de me procurer le récit !
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
New York : deux avions entrent en collision sur la piste d'envol - aucune victime !
L'accident est survenu dans la nuit.
Un avion de ligne de la compagnie scandinave SAS a perdu une partie de son aile gauche après être entré en collision avec un appareil américain sur la piste d'envol à l'aéroport newyorkais de Newark.
Un porte-parole de SAS a précisé jeudi que personne n'a été blessé dans cet incident survenu au cours de la nuit.
L'autre appareil, un avion de type Embraer 145 de la compagnie United Expressjet avait 32 personnes à son bord et devait assurer un vol intérieur. Il a subi des dégâts à l'arrière du fuselage.
L'avion scandinave, un Airbus A330 transportant 242 passagers, devait relier New York à Oslo.
(Agence Belga)
L'accident est survenu dans la nuit.
Un avion de ligne de la compagnie scandinave SAS a perdu une partie de son aile gauche après être entré en collision avec un appareil américain sur la piste d'envol à l'aéroport newyorkais de Newark.
Un porte-parole de SAS a précisé jeudi que personne n'a été blessé dans cet incident survenu au cours de la nuit.
L'autre appareil, un avion de type Embraer 145 de la compagnie United Expressjet avait 32 personnes à son bord et devait assurer un vol intérieur. Il a subi des dégâts à l'arrière du fuselage.
L'avion scandinave, un Airbus A330 transportant 242 passagers, devait relier New York à Oslo.
(Agence Belga)
etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Salzbourg sauvée des eaux du Danube
Au cours des graves crues du Danube, à Salzbourg, fin 2005 début 2006, l'Archevêque Alois Kothgasser est venu bénir le fleuve avec le Saint-Sacrement dans l'ostensoir. Les gendarmes ont d'abord voulu l'empêcher, mais en voyant sa tenue et après quelques coups de téléphone, ils l'ont laissé passer.
Après avoir récité seul les prières, et béni le fleuve par trois fois, il s'en est retourné, seul, avec l'ostensoir et en habits liturgiques à sa cathédrale comme si de rien n'était et pas même un acolyte ne l'a accompagné.
La ville de Salzbourg ayant été épargnée par la crue, l'info (que j'ai vue et suivie à la télé) a été depuis, classée dans les oubliettes télévisuelles... vous n'avez que ma parole !
.
Au cours des graves crues du Danube, à Salzbourg, fin 2005 début 2006, l'Archevêque Alois Kothgasser est venu bénir le fleuve avec le Saint-Sacrement dans l'ostensoir. Les gendarmes ont d'abord voulu l'empêcher, mais en voyant sa tenue et après quelques coups de téléphone, ils l'ont laissé passer.
Après avoir récité seul les prières, et béni le fleuve par trois fois, il s'en est retourné, seul, avec l'ostensoir et en habits liturgiques à sa cathédrale comme si de rien n'était et pas même un acolyte ne l'a accompagné.
La ville de Salzbourg ayant été épargnée par la crue, l'info (que j'ai vue et suivie à la télé) a été depuis, classée dans les oubliettes télévisuelles... vous n'avez que ma parole !
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Allo, ici le pape François !
Un prêtre argentin installé dans la région de Rome a eu la surprise de recevoir un appel du nouveau pontife. Le pape François voulait le remercier pour son livre sur l'histoire d'un prêtre argentin du siècle dernier qui doit être béatifié prochainement en Argentine.
"Ici le pape François" : un prêtre argentin installé dans la région de Rome a eu la surprise de recevoir un appel du nouveau pontife, qui le remerciait d'un livre dont il est l'auteur, a rapporté lundi Radio Vatican. Don Cesar Alejandro Pulchinotta, curé à Montorio Romano, dans le Latium, est encore sous le choc: "l'autre jour, le téléphone a sonné: j'ai vu s'inscrire sur display 'numéro privé' et j'ai demandé 'pronto, chi è'. Je me suis alors entendu dire: "ici le pape François".
Le pape entendait le remercier pour son livre sur l'histoire d'un prêtre argentin du siècle dernier, Jose Gabriel Brochero, qui doit être béatifié prochainement en Argentine. François lui a simplement dit qu'un ami commun, le père Miguel, lui avait fait parvenir son livre, et qu'il tenait à le remercier.
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Un prêtre argentin installé dans la région de Rome a eu la surprise de recevoir un appel du nouveau pontife. Le pape François voulait le remercier pour son livre sur l'histoire d'un prêtre argentin du siècle dernier qui doit être béatifié prochainement en Argentine.
"Ici le pape François" : un prêtre argentin installé dans la région de Rome a eu la surprise de recevoir un appel du nouveau pontife, qui le remerciait d'un livre dont il est l'auteur, a rapporté lundi Radio Vatican. Don Cesar Alejandro Pulchinotta, curé à Montorio Romano, dans le Latium, est encore sous le choc: "l'autre jour, le téléphone a sonné: j'ai vu s'inscrire sur display 'numéro privé' et j'ai demandé 'pronto, chi è'. Je me suis alors entendu dire: "ici le pape François".
Le pape entendait le remercier pour son livre sur l'histoire d'un prêtre argentin du siècle dernier, Jose Gabriel Brochero, qui doit être béatifié prochainement en Argentine. François lui a simplement dit qu'un ami commun, le père Miguel, lui avait fait parvenir son livre, et qu'il tenait à le remercier.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Comment les Coréens se rapprochent en dépit de tout !
Tandis que les dirigeants de la Corée du Nord menacent continuellement de noyer sa rivale du Sud sous "un déluge de feu", des Sud-Coréens œuvrent dans l’ombre au rapprochement entre les deux Etats ennemis d’une manière aussi attendrissante qu’inattendue : ils organisent, pour leurs compatriotes, des mariages avec des réfugiées nord-coréennes. Ils seraient ainsi déjà plus d’un millier les couples formés au mépris de la ligne de démarcation qui sépare les deux Corées depuis l’armistice de 1953.
Quelque 25 000 Nord-Coréens ont fui la dictature communiste pour trouver asile au Sud depuis la fin de la guerre, et deux tiers de ces transfuges sont des femmes (étroitement surveillés, les hommes ont plus de mal à fausser compagnie au dernier régime stalinien de la planète). La difficulté, pour les réfugiées souvent peu instruites, est de s’intégrer dans une société radicalement différente. Il semble qu’une majorité d’entre elles ait fini par conclure que le meilleur moyen était somme toute d’épouser un homme du cru.
Lui-même remarié à une Nord-Coréenne, Hong Seung-Woo a donc monté une agence matrimoniale pour faciliter les rencontres et les unions intercoréennes. L’affaire tourne bien, mais cela n’empêche pas des désillusions, regrette-t-il. Les Sud-Coréens pensent, en effet, que les femmes du Nord seront plus soumises que celles du Sud. Ils ignorent la force de caractère et la détermination qu’exige la décision de risquer sa vie pour "passer au Sud". On ne fuit pas une dictature pour en subir une autre à la maison.
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Tandis que les dirigeants de la Corée du Nord menacent continuellement de noyer sa rivale du Sud sous "un déluge de feu", des Sud-Coréens œuvrent dans l’ombre au rapprochement entre les deux Etats ennemis d’une manière aussi attendrissante qu’inattendue : ils organisent, pour leurs compatriotes, des mariages avec des réfugiées nord-coréennes. Ils seraient ainsi déjà plus d’un millier les couples formés au mépris de la ligne de démarcation qui sépare les deux Corées depuis l’armistice de 1953.
Quelque 25 000 Nord-Coréens ont fui la dictature communiste pour trouver asile au Sud depuis la fin de la guerre, et deux tiers de ces transfuges sont des femmes (étroitement surveillés, les hommes ont plus de mal à fausser compagnie au dernier régime stalinien de la planète). La difficulté, pour les réfugiées souvent peu instruites, est de s’intégrer dans une société radicalement différente. Il semble qu’une majorité d’entre elles ait fini par conclure que le meilleur moyen était somme toute d’épouser un homme du cru.
Lui-même remarié à une Nord-Coréenne, Hong Seung-Woo a donc monté une agence matrimoniale pour faciliter les rencontres et les unions intercoréennes. L’affaire tourne bien, mais cela n’empêche pas des désillusions, regrette-t-il. Les Sud-Coréens pensent, en effet, que les femmes du Nord seront plus soumises que celles du Sud. Ils ignorent la force de caractère et la détermination qu’exige la décision de risquer sa vie pour "passer au Sud". On ne fuit pas une dictature pour en subir une autre à la maison.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Ernest Gordon est né le 31 mai 1916 et mort en janvier 2002. Il était d’origine écossaise, et fut officier dans le régiment des Argyll and Sutherland Highlanders, Gordon a passé trois ans dans un camp de prisonniers de guerre (POW) de la rivière Kwaï à Kanchanaburi pendant la Seconde Guerre mondiale.
Gagné par la foi pendant sa captivité, Gordon a fait des études religieuse au Theological Seminary à Hartford dans le Connecticut et à l’Université de Glasgow. Il a été ordonné pasteur de l’Église d’Écosse à Paisley Abbey en 1950.
Après avoir émigré au États-Unis, il prêcha pendant un an dans les églises de Amagansett et Montauk à Long Island. En 1954, Gordon entra à l’Université de Princeton comme aumônier presbytérien et fut occupa le poste de doyen de la chapelle de 1955 jusqu’à la fin de sa vie en 2002.
Gordon est à l’origine d’une légende, Le miracle de la rivière Kwaï , dont voici ci-dessous une version tirée de Rumeurs d’un autre monde » de Philip Yancey, un apologiste du christianisme.
Ernest Gordon, officier anglais a été capturé pendant la deuxième guerre mondiale par les Japonais. Ils l’ont contraint à travailler à la construction de la voie ferroviaire Siam - Birmanie dans des conditions épouvantables. S’ajoutait à cela l’ambiance détestable du camp de prisonniers où régnaient le chacun pour soi et la haine.
Un événement se produisit qui fut le début d’un changement parmi les prisonniers.
Un garde japonais affirma qu’il manquait une pelle et menaça de tuer tout le groupe si le fautif ne se dénonçait pas. Et il pointa le fusil sur le premier de la file. À ce moment-là, un prisonnier sortit du rang et dit : « C’est moi ».
Et le garde l’exécuta sauvagement.
De retour au camp, l’inventaire quotidien des outils fit apparaître qu’aucun outil ne manquait. Le garde japonais s’était trompé dans son comptage.
Un des prisonniers se souvint alors de cette parole de la Bible : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis ».(Jean 15:13)
À partir de ce jour, les attitudes des prisonniers du camp changèrent.
Ils commencèrent à prendre soin des plus faibles. Les vols se firent de plus en plus rares.
Gordon, malade et très affaibli sentit ce changement : l’un nettoyait ses ulcères, un autre massait ses muscles atrophiés, un troisième lui apportait de la nourriture et un quatrième échangea sa montre contre des médicaments qui pouvaient soulager l’infection et la fièvre. Bientôt, il retrouva l’usage partiel de ses jambes.
Pendant qu’il reprenait des forces, on lui demanda d’animer un groupe de discussion sur l’éthique. (C’était connu qu’il avait étudié la philosophie).
Les conversations tournaient toutes autour de la question de savoir se préparer à mourir. Gordon, pour répondre, retrouva des éléments de la foi de son enfance.
Il devint, par défaut, l’aumônier du camp. Les prisonniers bâtirent une petite église et y prièrent chaque soir.
Chacun mit ses connaissances ou son savoir-faire au profit des autres. _ L’université de la jungle offrit ainsi des cours d’histoire, de philosophie, d’économie, de mathématiques, de sciences naturelles et l’étude de neuf langues différentes. Ceux qui avaient des talents artistiques fabriquèrent leurs propres peintures et organisèrent une exposition. Deux botanistes supervisèrent le potager spécialisé dans les plantes médicinales. Les musiciens fabriquèrent des instruments et bientôt le camp vivait au rythme des concerts.
Il y eut des transformations si profondes qu’à la libération, les prisonniers traitèrent leurs gardes sadiques avec miséricorde. La vie de Gordon en fut aussi transformée : à son retour, il alla au séminaire et devint pasteur presbytérien, puis doyen de la chapelle de Princetown.
Il appela cet événement vécu dans le camp le miracle de la rivière Kwaï .
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Bangladesh: Reshma, une survivante retrouvée... après avoir passé 17 jours dans les gravats
Une survivante de l’immeuble effondré au Bangladesh a été extraite vendredi des ruines après avoir passé 17 jours dans les gravats d’un sous-sol, un sauvetage miraculeux par des secouristes qui ont entendu ses appels alors qu’ils ne découvraient plus que des cadavres.
Quelques heures après l’annonce du tragique bilan dépassant les 1.000 morts, l’opération de secours a été suivie en direct par la télévision locale et une foule compacte massée sur les lieux, tandis que des membres du clergé islamique appelaient la population à prier pour cette femme.
Après avoir été extraite des décombres, elle a été rapidement transportée jusqu’à une ambulance proche, réussissant toutefois à adresser un faible sourire à la foule intensément émue. Le Rana Plaza, qui abritait cinq ateliers de confection, s’est écroulé le 24 avril à Savar, dans la banlieue de Dacca.
Un capitaine de l’armée, Ibrahimul Islam, a indiqué à l’AFP que la survivante s’appelait Reshma mais qu’il ignorait son nom de famille.
«Elle a été emmenée à l’hôpital militaire de Savar et admise en unité de soins intensifs. Elle va bien», a-t-il dit.
Selon le chef des pompiers, elle a été localisée dans un trou entre une poutre et un pilier et a peut-être pu avoir accès à de l’eau.
«Elle avait peut-être des réserves d’eau ou a peut-être bu un peu de l’eau que nous avons injectée dans le bâtiment», a déclaré à l’AFP Ahmed Ali.
Un officier de l’armée qui a participé à l’opération a indiqué qu’elle avait été retrouvée debout au milieu des ruines.
«On a d’abord vu bouger un tuyau. On a retiré du gravier et du béton. On l’a trouvée debout», a témoigné le major Moazzem, qui se présente sous un seul nom, interrogé par la chaîne Somoy TV.
«Nous lui avons donné de la nourriture et lui avons assuré qu’elle serait sauvée. Nous avons mis 45 minutes à la secourir. Nous l’avons sortie en utilisant de légers marteaux, des scies et des foreuses».
L’un des secouristes a indiqué que cette femme avait crié à l’aide alors que les équipes de secours inspectaient les ruines du Rana Plaza.
«Alors qu’on était en train de déblayer les gravats, on a appelé pour voir si quelqu’un était vivant. On l’a alors entendu dire: +S’il vous plaît, sauvez-moi, s’il vous plaît, sauvez-moi+», a déclaré ce secouriste à la chaîne Somoy.
Un autre secouriste a dit que cette miraculée avait eu accès à de la nourriture pendant quinze jours mais que les réserves s’étaient épuisées voici deux jours.
« Elle a mangé des biscuits »
«Elle a dit qu’elle n’avait pas mangé depuis les deux derniers jours. Elle a dit qu’elle avait mangé des biscuits», a ajouté ce secouriste. «Elle a dit qu’elle avait trouvé un lieu sûr et trouvé un peu d’air et de lumière».
Un conseiller du Premier ministre, Mme Sheikh Hasina, a confirmé que cette femme serait soignée dans un hôpital militaire proche. «Le Premier ministre a indiqué qu’il s’agissait d’un événement sans précédent. Elle suit la situation et a félicité les secouristes», a indiqué à l’AFP Mahbubul Hoque Shakil.
Son sauvetage est l’un des plus incroyables de ces dernières années, même s’il ne s’agit pas de la plus longue période de survie après un accident.
Une survivante de l’immeuble effondré au Bangladesh a été extraite vendredi des ruines après avoir passé 17 jours dans les gravats d’un sous-sol, un sauvetage miraculeux par des secouristes qui ont entendu ses appels alors qu’ils ne découvraient plus que des cadavres.
Quelques heures après l’annonce du tragique bilan dépassant les 1.000 morts, l’opération de secours a été suivie en direct par la télévision locale et une foule compacte massée sur les lieux, tandis que des membres du clergé islamique appelaient la population à prier pour cette femme.
Après avoir été extraite des décombres, elle a été rapidement transportée jusqu’à une ambulance proche, réussissant toutefois à adresser un faible sourire à la foule intensément émue. Le Rana Plaza, qui abritait cinq ateliers de confection, s’est écroulé le 24 avril à Savar, dans la banlieue de Dacca.
Un capitaine de l’armée, Ibrahimul Islam, a indiqué à l’AFP que la survivante s’appelait Reshma mais qu’il ignorait son nom de famille.
«Elle a été emmenée à l’hôpital militaire de Savar et admise en unité de soins intensifs. Elle va bien», a-t-il dit.
Selon le chef des pompiers, elle a été localisée dans un trou entre une poutre et un pilier et a peut-être pu avoir accès à de l’eau.
«Elle avait peut-être des réserves d’eau ou a peut-être bu un peu de l’eau que nous avons injectée dans le bâtiment», a déclaré à l’AFP Ahmed Ali.
Un officier de l’armée qui a participé à l’opération a indiqué qu’elle avait été retrouvée debout au milieu des ruines.
«On a d’abord vu bouger un tuyau. On a retiré du gravier et du béton. On l’a trouvée debout», a témoigné le major Moazzem, qui se présente sous un seul nom, interrogé par la chaîne Somoy TV.
«Nous lui avons donné de la nourriture et lui avons assuré qu’elle serait sauvée. Nous avons mis 45 minutes à la secourir. Nous l’avons sortie en utilisant de légers marteaux, des scies et des foreuses».
L’un des secouristes a indiqué que cette femme avait crié à l’aide alors que les équipes de secours inspectaient les ruines du Rana Plaza.
«Alors qu’on était en train de déblayer les gravats, on a appelé pour voir si quelqu’un était vivant. On l’a alors entendu dire: +S’il vous plaît, sauvez-moi, s’il vous plaît, sauvez-moi+», a déclaré ce secouriste à la chaîne Somoy.
Un autre secouriste a dit que cette miraculée avait eu accès à de la nourriture pendant quinze jours mais que les réserves s’étaient épuisées voici deux jours.
« Elle a mangé des biscuits »
«Elle a dit qu’elle n’avait pas mangé depuis les deux derniers jours. Elle a dit qu’elle avait mangé des biscuits», a ajouté ce secouriste. «Elle a dit qu’elle avait trouvé un lieu sûr et trouvé un peu d’air et de lumière».
Un conseiller du Premier ministre, Mme Sheikh Hasina, a confirmé que cette femme serait soignée dans un hôpital militaire proche. «Le Premier ministre a indiqué qu’il s’agissait d’un événement sans précédent. Elle suit la situation et a félicité les secouristes», a indiqué à l’AFP Mahbubul Hoque Shakil.
Son sauvetage est l’un des plus incroyables de ces dernières années, même s’il ne s’agit pas de la plus longue période de survie après un accident.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
SERVICE PUBLIC PAS (tout à fait) MORT !
Deux TGV s'arrêtent pour aider une passagère qui s'était trompée de train
Un TGV qui s'arrête exceptionnellement pour débarquer une passagère montée dans le mauvais train et un second qui fait de même pour la récupérer, voilà l'incroyable et belle histoire du TGV Est il y a une semaine.
Le TGV s'arrête rarement à moins de motifs exceptionnels. © Reuters - Christian Hartmann
On connait l'adage : on entend beaucoup parler des trains qui arrivent en retard, et rarement de ceux qui arrivent à l'heure. Mais le train dont il est ici question n'est concerné par aucun de ces cas de figure. C'est un train qui se plie en quatre pour aider une passagère perdue.
L'histoire que relate l'Est Républicain concerne le TGV Est reliant Paris à Nancy, elle s'est passée le vendredi 3 mars. A 21 heures gare de l'Est, deux TGV se côtoient sur un quai. L'un va à Nancy, l'autre à Reims. Dans le premier, Bernard Braun, un habitant de la banlieue nancéenne, se prépare à rentrer chez lui. Une dame en provenance des Antilles s'installe à côté de lui.
Elle monte dans le mauvais train
Après le départ du train, quand le haut-parleur annonce "destination Nancy", la voisine de Bernard Braun s'inquiète. Peu accoutumée aux voyages en métropole, elle s'est trompée sur le quai et n'a pas pris le TGV pour Reims où elle est attendue. Elle va se retrouver à Nancy à 22 h 50 sans savoir où aller.
Voyant la dame en larmes, "inconsolable", Bernard Braun lui propose d'alerter les contrôleurs. Lui qui parcourt près de 25.000 km par an en TGV n'a guère d'illusion : on n'arrête pas un TGV sans un motif exceptionnel. Mais il explique la situation aux contrôleurs.
Arrêt exceptionnel
C'est là que ce banal incident de voyage se transforme en belle histoire. Les contrôleurs s'en remettent au régulateur des trains, qui en moins d'une minute les rappelle avec une solution. Exceptionnellement, le TGV 2561 va s'arrêter en gare de Champagne-Ardennes pour débarquer l'infortunée passagère. Le train qu'elle aurait dû prendre, parti 15 minutes après de la gare de l'Est, s'arrêtera lui aussi pour la récupérer et la mener à destination.
Deux TGV s'arrêtent pour aider une passagère qui s'était trompée de train
Un TGV qui s'arrête exceptionnellement pour débarquer une passagère montée dans le mauvais train et un second qui fait de même pour la récupérer, voilà l'incroyable et belle histoire du TGV Est il y a une semaine.
Le TGV s'arrête rarement à moins de motifs exceptionnels. © Reuters - Christian Hartmann
On connait l'adage : on entend beaucoup parler des trains qui arrivent en retard, et rarement de ceux qui arrivent à l'heure. Mais le train dont il est ici question n'est concerné par aucun de ces cas de figure. C'est un train qui se plie en quatre pour aider une passagère perdue.
L'histoire que relate l'Est Républicain concerne le TGV Est reliant Paris à Nancy, elle s'est passée le vendredi 3 mars. A 21 heures gare de l'Est, deux TGV se côtoient sur un quai. L'un va à Nancy, l'autre à Reims. Dans le premier, Bernard Braun, un habitant de la banlieue nancéenne, se prépare à rentrer chez lui. Une dame en provenance des Antilles s'installe à côté de lui.
Elle monte dans le mauvais train
Après le départ du train, quand le haut-parleur annonce "destination Nancy", la voisine de Bernard Braun s'inquiète. Peu accoutumée aux voyages en métropole, elle s'est trompée sur le quai et n'a pas pris le TGV pour Reims où elle est attendue. Elle va se retrouver à Nancy à 22 h 50 sans savoir où aller.
Voyant la dame en larmes, "inconsolable", Bernard Braun lui propose d'alerter les contrôleurs. Lui qui parcourt près de 25.000 km par an en TGV n'a guère d'illusion : on n'arrête pas un TGV sans un motif exceptionnel. Mais il explique la situation aux contrôleurs.
Arrêt exceptionnel
C'est là que ce banal incident de voyage se transforme en belle histoire. Les contrôleurs s'en remettent au régulateur des trains, qui en moins d'une minute les rappelle avec une solution. Exceptionnellement, le TGV 2561 va s'arrêter en gare de Champagne-Ardennes pour débarquer l'infortunée passagère. Le train qu'elle aurait dû prendre, parti 15 minutes après de la gare de l'Est, s'arrêtera lui aussi pour la récupérer et la mener à destination.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Boyan Slate, 19 ans, et son projet pour nettoyer les océans !
Cet adolescent est l'un des inventeurs d'une plateforme qui serait capable de nettoyer près de 99,9% des déchets qui encombrent les eaux internationales. Un projet original, parce qu'il n'utilise pas de filets.
Objet flottant non identifié, le navire de Boyan Slat est flanqué de longs bras montés sur des bouées, faisant face à l'immensité.
Les déchets ne seront pas "attrapés" dans des filets, mais déviés par de gigantesques structures. L'absence de filets s'avère aussi particulièrement respectueuse de la flore locale puisque les déchets seront déplacés sans emprisonner les poissons et autres animaux marins.
C'est par la force des courants marins que le plastique sera dirigé vers la plateforme de nettoyage, elle-même auto-alimentée grâce au soleil et aux vagues.
Durable et rentable
Le génie du projet tient aussi au fait que les débris ainsi récupérés permettraient de générer plus d'argent qu'il n'en faut pour construire la plateforme. L'affaire serait même rentable.
Une étude de faisabilité est en cours : le projet de Boyan Slat et de son équipe d'ingénieurs a déjà traversé un quart du processus.
En attendant, le jeune auteur néerlandais a présenté son projet à la conférence TEDxDelft 2012 :
Il estime tout simplement que, "oui, c'est sans doute une des plus grandes opérations de sauvetage environnemental jamais réalisée. Mais nous avons créé ce désastre. Nous avons même inventé ce nouveau matériau (le plastique) avant de créer ce désastre ! Alors, s'il vous plaît, ne me répondez pas que nous ne pouvons pas, ensemble, le nettoyer".
Source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Cet adolescent est l'un des inventeurs d'une plateforme qui serait capable de nettoyer près de 99,9% des déchets qui encombrent les eaux internationales. Un projet original, parce qu'il n'utilise pas de filets.
Objet flottant non identifié, le navire de Boyan Slat est flanqué de longs bras montés sur des bouées, faisant face à l'immensité.
Les déchets ne seront pas "attrapés" dans des filets, mais déviés par de gigantesques structures. L'absence de filets s'avère aussi particulièrement respectueuse de la flore locale puisque les déchets seront déplacés sans emprisonner les poissons et autres animaux marins.
C'est par la force des courants marins que le plastique sera dirigé vers la plateforme de nettoyage, elle-même auto-alimentée grâce au soleil et aux vagues.
Durable et rentable
Le génie du projet tient aussi au fait que les débris ainsi récupérés permettraient de générer plus d'argent qu'il n'en faut pour construire la plateforme. L'affaire serait même rentable.
Une étude de faisabilité est en cours : le projet de Boyan Slat et de son équipe d'ingénieurs a déjà traversé un quart du processus.
En attendant, le jeune auteur néerlandais a présenté son projet à la conférence TEDxDelft 2012 :
Il estime tout simplement que, "oui, c'est sans doute une des plus grandes opérations de sauvetage environnemental jamais réalisée. Mais nous avons créé ce désastre. Nous avons même inventé ce nouveau matériau (le plastique) avant de créer ce désastre ! Alors, s'il vous plaît, ne me répondez pas que nous ne pouvons pas, ensemble, le nettoyer".
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Un ange-gardien sans domicile fixe sauve un bébé !
L’histoire se déroule sur un parking de l’Etat de l'Oklahoma, aux États-Unis. Keaton Mason, enceinte de 8 mois, et son conjoint sont en route direction l’hôpital pour donner naissance à leur premier enfant. Sauf que celui-ci décide de sortir encore plus tôt que prévu. Face à l’urgence de la situation, le couple se gare sur le parking d’une station-service et la jeune femme accouche sur le siège passager. Mais tout ne se passe pas comme prévu puisque le cordon ombilical s’est enroulé autour du cou du nouveau-né et l’empêchait de respirer. La maman prise de panique s’est alors mise à hurler : "mon bébé ! Mon bébé ! Elle est toute bleue. Elle ne peut plus respirer". Ce sont ces cris qui ont alerté Gary Wilson, un sans-abri en vadrouille vers la Floride, qui se trouvait par hasard sur le parking. L’homme n’a pas hésité à aider le nouveau-né et à lui sauver la vie. Le SDF a eu le geste qu’il fallait en composant le fameux 911, numéro d’urgence aux USA. Il a alors suivi toutes les instructions à la lettre et a pu libérer le bébé en coupant le cordon ombilical. Un ange-gardien "Son ange gardien se trouvait au bon endroit, au bon moment", raconte Sandra Lesperance, l’infirmière de la jeune maman. Selon l’infirmière, arrivée sur les lieux avec une ambulance, tout a été parfaitement exécuté. Un témoin a raconté aux médias, que l’homme ressemblait à Jésus. "Il avait les cheveux longs et une barbe. Un homme très sympathique". La jeune maman quant à elle, était sur son petit nuage. "Il était très calme et serein pendant toute son intervention. C’était une situation très difficile pour moi et il ne cessait de me rassurer en me disant que tout se passerait bien. Cet homme est notre ange-gardien", a ajouté la maman, très émue. Après ce petit miracle, la petite prématurée, Tatum Brown, se porte très bien. Quant à son sauveur, après avoir été hébergé pour la nuit, il a repris sa route vers Jacksonville, en Floride, le lendemain matin.
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L’histoire se déroule sur un parking de l’Etat de l'Oklahoma, aux États-Unis. Keaton Mason, enceinte de 8 mois, et son conjoint sont en route direction l’hôpital pour donner naissance à leur premier enfant. Sauf que celui-ci décide de sortir encore plus tôt que prévu. Face à l’urgence de la situation, le couple se gare sur le parking d’une station-service et la jeune femme accouche sur le siège passager. Mais tout ne se passe pas comme prévu puisque le cordon ombilical s’est enroulé autour du cou du nouveau-né et l’empêchait de respirer. La maman prise de panique s’est alors mise à hurler : "mon bébé ! Mon bébé ! Elle est toute bleue. Elle ne peut plus respirer". Ce sont ces cris qui ont alerté Gary Wilson, un sans-abri en vadrouille vers la Floride, qui se trouvait par hasard sur le parking. L’homme n’a pas hésité à aider le nouveau-né et à lui sauver la vie. Le SDF a eu le geste qu’il fallait en composant le fameux 911, numéro d’urgence aux USA. Il a alors suivi toutes les instructions à la lettre et a pu libérer le bébé en coupant le cordon ombilical. Un ange-gardien "Son ange gardien se trouvait au bon endroit, au bon moment", raconte Sandra Lesperance, l’infirmière de la jeune maman. Selon l’infirmière, arrivée sur les lieux avec une ambulance, tout a été parfaitement exécuté. Un témoin a raconté aux médias, que l’homme ressemblait à Jésus. "Il avait les cheveux longs et une barbe. Un homme très sympathique". La jeune maman quant à elle, était sur son petit nuage. "Il était très calme et serein pendant toute son intervention. C’était une situation très difficile pour moi et il ne cessait de me rassurer en me disant que tout se passerait bien. Cet homme est notre ange-gardien", a ajouté la maman, très émue. Après ce petit miracle, la petite prématurée, Tatum Brown, se porte très bien. Quant à son sauveur, après avoir été hébergé pour la nuit, il a repris sa route vers Jacksonville, en Floride, le lendemain matin.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
L'aventurier de Mont-Carmel, Frédéric Dion, et son coéquipier Mathieu Pronovost, ont porté secours à un groupe de neuf skieurs russes le 12 mars dernier.
Michaël, Sergueï, Andreï ainsi que sept autres membres d’un groupe de skieurs russes ont eu la frousse de leur vie, le mardi 12 mars, alors qu’ils se sont retrouvés bloqués sur un glacier de 3500 mètres, en plein cœur des Alpes. L’aventurier Frédéric Dion et son coéquipier d’expédition Mathieu Pronovost, tous deux âgés de 35 ans, ont réussi à les secourir et à les ramener sains et saufs à leur refuge.
« Il était environ 16 h et nous venions de rentrer d’une intense course d’acclimatation dans les arêtes, près du glacier de la Vallée Blanche, situé sur le versant sud de l’Aiguille du Midi », raconte Frédéric. « Nous étions fatigués et surtout affectés par l’altitude », poursuit-il. Nous avons remarqué qu’un groupe de skieurs s’était immobilisé un kilomètre plus bas. « Ils étaient éparpillés sur le glacier et faisaient de grands signes dans les airs avec leurs bâtons », explique-t-il. « On a rapidement compris qu’ils étaient en détresse. Les conditions météorologiques se dégradaient et la nuit allait tomber. On savait qu’on n’avait pas beaucoup de temps pour réagir ».
Frédéric a pris avec lui quelques vêtements chauds, de l’eau et de la nourriture puis a chaussé ses skis pour tenter de rejoindre les skieurs. Une fois plus près, il constata que le groupe était réellement mal en point. « Il y avait un homme âgé de 75 ans qui n’arrivait plus à avancer sans tomber tous les dix mètres, ainsi qu’un jeune garçon d’environ onze ans qui avait très froid »l. « Les skieurs parlaient uniquement russe, mais j’ai compris qu’ils s’attendaient à une descente beaucoup plus classique et qu’ils étaient totalement dépassés par la situation ». En effet, le groupe s’était retrouvé à son insu dans une descente de 21 km avec un dénivelé de 2800 mètres. « C’est un défi physique considérable et il vaut mieux être équipé de matériel d’alpiniste pour cette descente parsemée de crevasses, avec des risques réels d’avalanches ».
Frédéric contacta alors le peloton de gendarmerie de haute montagne par téléphone cellulaire. « Impossible pour eux de les venir les secourir en hélicoptère, car la tempête se levait ». De plus en plus nerveux, les skieurs commençaient à paniquer et à se disputer entre eux. « Pour les occuper et aussi dans l’éventualité où ils doivent passer la nuit sur le glacier, je leur ai demandé de commencer à se creuser un trou pendant que je réfléchissais à une solution avec les gendarmes ».
Les gendarmes ont finalement réussi à contacter les coéquipiers de Frédéric, restés au refuge. Mathieu Pronovost a accepté de venir aider Frédéric à sortir les skieurs de leur sérieux pétrin. « J’avais surtout peur pour le vieil homme qui était complètement épuisé. Je l’ai fait boire et mangé, et il a repris un peu de force », indique Frédéric.
Les deux jeunes hommes ont attaché les dix skieurs les uns aux autres à l’aide d’une corde. « On a doucement réussi à les ramener au refuge, pas à pas. On a pris presque deux heures pour remonter. On a évité le pire, car la nuit tombait et on savait que sous la neige, il pouvait y avoir des crevasses de plus de 60 mètres! »
Le lendemain matin, des guides sont venus chercher les Russes, qui ont remercié chaleureusement leurs sauveurs, la main sur le cœur.
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Michaël, Sergueï, Andreï ainsi que sept autres membres d’un groupe de skieurs russes ont eu la frousse de leur vie, le mardi 12 mars, alors qu’ils se sont retrouvés bloqués sur un glacier de 3500 mètres, en plein cœur des Alpes. L’aventurier Frédéric Dion et son coéquipier d’expédition Mathieu Pronovost, tous deux âgés de 35 ans, ont réussi à les secourir et à les ramener sains et saufs à leur refuge.
« Il était environ 16 h et nous venions de rentrer d’une intense course d’acclimatation dans les arêtes, près du glacier de la Vallée Blanche, situé sur le versant sud de l’Aiguille du Midi », raconte Frédéric. « Nous étions fatigués et surtout affectés par l’altitude », poursuit-il. Nous avons remarqué qu’un groupe de skieurs s’était immobilisé un kilomètre plus bas. « Ils étaient éparpillés sur le glacier et faisaient de grands signes dans les airs avec leurs bâtons », explique-t-il. « On a rapidement compris qu’ils étaient en détresse. Les conditions météorologiques se dégradaient et la nuit allait tomber. On savait qu’on n’avait pas beaucoup de temps pour réagir ».
Frédéric a pris avec lui quelques vêtements chauds, de l’eau et de la nourriture puis a chaussé ses skis pour tenter de rejoindre les skieurs. Une fois plus près, il constata que le groupe était réellement mal en point. « Il y avait un homme âgé de 75 ans qui n’arrivait plus à avancer sans tomber tous les dix mètres, ainsi qu’un jeune garçon d’environ onze ans qui avait très froid »l. « Les skieurs parlaient uniquement russe, mais j’ai compris qu’ils s’attendaient à une descente beaucoup plus classique et qu’ils étaient totalement dépassés par la situation ». En effet, le groupe s’était retrouvé à son insu dans une descente de 21 km avec un dénivelé de 2800 mètres. « C’est un défi physique considérable et il vaut mieux être équipé de matériel d’alpiniste pour cette descente parsemée de crevasses, avec des risques réels d’avalanches ».
Frédéric contacta alors le peloton de gendarmerie de haute montagne par téléphone cellulaire. « Impossible pour eux de les venir les secourir en hélicoptère, car la tempête se levait ». De plus en plus nerveux, les skieurs commençaient à paniquer et à se disputer entre eux. « Pour les occuper et aussi dans l’éventualité où ils doivent passer la nuit sur le glacier, je leur ai demandé de commencer à se creuser un trou pendant que je réfléchissais à une solution avec les gendarmes ».
Les gendarmes ont finalement réussi à contacter les coéquipiers de Frédéric, restés au refuge. Mathieu Pronovost a accepté de venir aider Frédéric à sortir les skieurs de leur sérieux pétrin. « J’avais surtout peur pour le vieil homme qui était complètement épuisé. Je l’ai fait boire et mangé, et il a repris un peu de force », indique Frédéric.
Les deux jeunes hommes ont attaché les dix skieurs les uns aux autres à l’aide d’une corde. « On a doucement réussi à les ramener au refuge, pas à pas. On a pris presque deux heures pour remonter. On a évité le pire, car la nuit tombait et on savait que sous la neige, il pouvait y avoir des crevasses de plus de 60 mètres! »
Le lendemain matin, des guides sont venus chercher les Russes, qui ont remercié chaleureusement leurs sauveurs, la main sur le cœur.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
L'odorat des chiens efficaces dans le dépistage du cancer !
Des chiens qui sentent le cancer : cet axe de recherche étonnant est bien réel, et des chercheurs israéliens s’y sont consacrés. Cette piste pourrait permettre de développer de nouvelles méthodes de dépistage précoce de cette maladie.
Bien plus que de simples animaux domestiques, les chiens sont aussi de précieux alliés pour notre santé. Les personnes âgées le savent bien, et voient souvent leur état général s’améliorer en présence de ces animaux. Mais leur atout majeur pourrait venir de leur formidable odorat. En effet, les chiens possèdent un flair 10.000 à 20.000 fois plus développé que celui de l’Homme, et peuvent différencier des odeurs très proches.
Cette capacité olfactive a déjà été largement exploitée dans diverses applications humaines, comme la détection de séismes, de drogues, de personnes disparues ou de fuites de gaz. Mais ce n’est pas tout : l’odorat canin pourrait également être utilisé pour sentir un cancer ! C’est en tout cas la thématique de recherche d’Uri Yoel, chercheur à l’université Ben Gourion du Néguev, en Israël. Ces travaux montrent que les chiens sont capables de différencier les cellules cancéreuses des cellules saines en laboratoire. Futura-Sciences revient sur les progrès réalisés dans ce domaine de recherche surprenant.
L’odorat des chiens est très bon. Il serait 10.000 à 20.000 fois plus développé que celui de l'Homme.
Les chiens distinguent les cellules cancéreuses des autres
L’idée que les chiens puissent flairer un cancer n’est pas nouvelle. Elle est apparue pour la première fois en 1989, lorsqu’une femme a confié à son dermatologue que son chien reniflait constamment son grain de beauté cancéreux. Cette anecdote a été suivie de nombreuses autres similaires, et a amené certains scientifiques à s’interroger sur l’aptitude des chiens à sentir la maladie.
Des études sur ce thème ont ainsi émergé dans différents laboratoires à travers le monde. En Allemagne par exemple, des chiens ont réussi à identifier l’haleine de personnes atteintes de cancer du poumon. Un autre exploit a été réalisé en France par Olivier Cussenot, urologue et oncologue à l’hôpital Tenon, à Paris. Ce dernier a mis en évidence la capacité de chiens à détecter le cancer de la prostate dans les urines. D’autres travaux ont également démontré que des canidés pouvaient renifler le cancer de l’intestin dans les selles.
Une même odeur pour tous les cancers ?
Restait pourtant une question en suspens : quel est le composé olfactif que les cellules cancéreuses rejettent et que les chiens sentent ? Les études entreprises par Uri Yoel s’attachent à fournir une réponse. Deux chiens dressés pour reconnaître le cancer du sein ont été mis à contribution pour ces expériences. Le scientifique a testé leur capacité à reconnaître une boîte de culture contenant des cellules malignes parmi quatre autres boîtes. Les animaux ont brillamment relevé le défi.
« Ce qui est intéressant, c’est que les chiens dressés pour reconnaître des cellules mammaires tumorales sont également capables de reconnaître avec succès d’autres types de cellules cancéreuses, souligne Uri Yoel. Cela suggère que la molécule reniflée par les canidés serait la même pour tous les cancers. »
Des chiens qui sentent le cancer : cet axe de recherche étonnant est bien réel, et des chercheurs israéliens s’y sont consacrés. Cette piste pourrait permettre de développer de nouvelles méthodes de dépistage précoce de cette maladie.
Bien plus que de simples animaux domestiques, les chiens sont aussi de précieux alliés pour notre santé. Les personnes âgées le savent bien, et voient souvent leur état général s’améliorer en présence de ces animaux. Mais leur atout majeur pourrait venir de leur formidable odorat. En effet, les chiens possèdent un flair 10.000 à 20.000 fois plus développé que celui de l’Homme, et peuvent différencier des odeurs très proches.
Cette capacité olfactive a déjà été largement exploitée dans diverses applications humaines, comme la détection de séismes, de drogues, de personnes disparues ou de fuites de gaz. Mais ce n’est pas tout : l’odorat canin pourrait également être utilisé pour sentir un cancer ! C’est en tout cas la thématique de recherche d’Uri Yoel, chercheur à l’université Ben Gourion du Néguev, en Israël. Ces travaux montrent que les chiens sont capables de différencier les cellules cancéreuses des cellules saines en laboratoire. Futura-Sciences revient sur les progrès réalisés dans ce domaine de recherche surprenant.
L’odorat des chiens est très bon. Il serait 10.000 à 20.000 fois plus développé que celui de l'Homme.
Les chiens distinguent les cellules cancéreuses des autres
L’idée que les chiens puissent flairer un cancer n’est pas nouvelle. Elle est apparue pour la première fois en 1989, lorsqu’une femme a confié à son dermatologue que son chien reniflait constamment son grain de beauté cancéreux. Cette anecdote a été suivie de nombreuses autres similaires, et a amené certains scientifiques à s’interroger sur l’aptitude des chiens à sentir la maladie.
Des études sur ce thème ont ainsi émergé dans différents laboratoires à travers le monde. En Allemagne par exemple, des chiens ont réussi à identifier l’haleine de personnes atteintes de cancer du poumon. Un autre exploit a été réalisé en France par Olivier Cussenot, urologue et oncologue à l’hôpital Tenon, à Paris. Ce dernier a mis en évidence la capacité de chiens à détecter le cancer de la prostate dans les urines. D’autres travaux ont également démontré que des canidés pouvaient renifler le cancer de l’intestin dans les selles.
Une même odeur pour tous les cancers ?
Restait pourtant une question en suspens : quel est le composé olfactif que les cellules cancéreuses rejettent et que les chiens sentent ? Les études entreprises par Uri Yoel s’attachent à fournir une réponse. Deux chiens dressés pour reconnaître le cancer du sein ont été mis à contribution pour ces expériences. Le scientifique a testé leur capacité à reconnaître une boîte de culture contenant des cellules malignes parmi quatre autres boîtes. Les animaux ont brillamment relevé le défi.
« Ce qui est intéressant, c’est que les chiens dressés pour reconnaître des cellules mammaires tumorales sont également capables de reconnaître avec succès d’autres types de cellules cancéreuses, souligne Uri Yoel. Cela suggère que la molécule reniflée par les canidés serait la même pour tous les cancers. »
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Vers une première abolition d'une législation pro-avortement
Plus des 52.000 signatures nécessaires pour un referendum sur l’abolition de la loi, ont en effet été présentées début mai, dont celle de l’ancien président uruguayen Tabaré Vazquez.Medico (2004-2010), oncologue, qui s’opposa à la loi et se démit du parti socialiste.
Le 23 juin, les uruguayens seront appelés à voter sur la question : si 654.000 électeurs (25% de l’électorat) devaient se prononcer pour l’abolition de la loi, le parlement devra en prendre acte et affronter le problème.
Les évêques du pays ont mobilisé les catholiques, minoritaires par rapport aux non catholiques. Mais selon les prévisions, le quorum pourrait être atteint et stopper la loi.
Le principal artisan de l’interruption volontaire de grossesse en Uruguay est l’actuel sous-secrétaire de la santé publique, Leonel Brozzo, gynécologue qui, devant le sénat, avait fait état en 2003 de 150.000 avortements clandestins pratiqués chaque année, au grand dam de divers confrères qui ont qualifié ces chiffres d’impossibles et absurdes.
L’un d’eux est un des médecins du collège Bernard Nathanson, lui-même ancien partisan de l’avortement, qui a déclaré que la technique de fausser les statistiques est la même que celle utilisée dans les pays européens conne l’Espagne et l’Italie : gonfler le nombre des avortements clandestins et celui des femmes décédées par hémorragie pour atteindre ses objectifs.
L'Uruguay est un pays d’environ 3 millions ½ d’habitants. D’après le Dr. Omar França-Tarragó, professeur en bioéthique, « l’Uruguay compte 707.000 femmes en âge fertile (données de 2007), dont 70.000 sont stériles, 53.000 ont donné naissance à un enfant l’année dernière ». On présume qu’environ 100.000 femmes n’ont pas de relations sexuelles, que 250.000 utilisent un préservatif, que 100.000 portent la spirale, et que près de 250.000 cycles de contraception sont consommés chaque mois.
Sur la base de ces chiffres, combien de femmes pourraient avoir eu recours à l’avortement ? Pas plus de 27.000 ! Comment peut-il donc y avoir 150.000 femmes qui avortent clandestinement chaque année ?
Ces chiffres sont d’une telle exagération que les pro-avortements eux-mêmes les corrigèrent, parlant de 33.000 avortements pratiqués chaque année. Mais ces chiffres, bien que nettement inférieurs à ceux de Leonel Briozzo, restent exagérés : cela voudrait dire que 27.000 femmes ont plus d’une fois recours à l’interruption volontaire de grossesse chaque année.
L’avortement en Uruguay a été légalisé en décembre 2012, et il s’avère que le nombre des demandes légales d’avortement n’a pas atteint le nombre présumé d’avortements dits clandestins. Selon les données fournies par Leonel Briozzo lui-même, il y a eu 200 avortements légaux pratiqués durant le premier mois qui a suivi l’adoption de la loi, et entre 300 et 400 durant les quatre mois d’après. Actuellement on estime à 5.000 le nombre des avortements légaux par an.
Tous ces chiffres sont la preuve de tous les mensonges qui ont été dits pour faire passer la loi autorisant l’avortement. Le problème maintenant c’est que la libéralisation de l’interruption volontaire de grossesse tend à encourager son recours.
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Plus des 52.000 signatures nécessaires pour un referendum sur l’abolition de la loi, ont en effet été présentées début mai, dont celle de l’ancien président uruguayen Tabaré Vazquez.Medico (2004-2010), oncologue, qui s’opposa à la loi et se démit du parti socialiste.
Le 23 juin, les uruguayens seront appelés à voter sur la question : si 654.000 électeurs (25% de l’électorat) devaient se prononcer pour l’abolition de la loi, le parlement devra en prendre acte et affronter le problème.
Les évêques du pays ont mobilisé les catholiques, minoritaires par rapport aux non catholiques. Mais selon les prévisions, le quorum pourrait être atteint et stopper la loi.
Le principal artisan de l’interruption volontaire de grossesse en Uruguay est l’actuel sous-secrétaire de la santé publique, Leonel Brozzo, gynécologue qui, devant le sénat, avait fait état en 2003 de 150.000 avortements clandestins pratiqués chaque année, au grand dam de divers confrères qui ont qualifié ces chiffres d’impossibles et absurdes.
L’un d’eux est un des médecins du collège Bernard Nathanson, lui-même ancien partisan de l’avortement, qui a déclaré que la technique de fausser les statistiques est la même que celle utilisée dans les pays européens conne l’Espagne et l’Italie : gonfler le nombre des avortements clandestins et celui des femmes décédées par hémorragie pour atteindre ses objectifs.
L'Uruguay est un pays d’environ 3 millions ½ d’habitants. D’après le Dr. Omar França-Tarragó, professeur en bioéthique, « l’Uruguay compte 707.000 femmes en âge fertile (données de 2007), dont 70.000 sont stériles, 53.000 ont donné naissance à un enfant l’année dernière ». On présume qu’environ 100.000 femmes n’ont pas de relations sexuelles, que 250.000 utilisent un préservatif, que 100.000 portent la spirale, et que près de 250.000 cycles de contraception sont consommés chaque mois.
Sur la base de ces chiffres, combien de femmes pourraient avoir eu recours à l’avortement ? Pas plus de 27.000 ! Comment peut-il donc y avoir 150.000 femmes qui avortent clandestinement chaque année ?
Ces chiffres sont d’une telle exagération que les pro-avortements eux-mêmes les corrigèrent, parlant de 33.000 avortements pratiqués chaque année. Mais ces chiffres, bien que nettement inférieurs à ceux de Leonel Briozzo, restent exagérés : cela voudrait dire que 27.000 femmes ont plus d’une fois recours à l’interruption volontaire de grossesse chaque année.
L’avortement en Uruguay a été légalisé en décembre 2012, et il s’avère que le nombre des demandes légales d’avortement n’a pas atteint le nombre présumé d’avortements dits clandestins. Selon les données fournies par Leonel Briozzo lui-même, il y a eu 200 avortements légaux pratiqués durant le premier mois qui a suivi l’adoption de la loi, et entre 300 et 400 durant les quatre mois d’après. Actuellement on estime à 5.000 le nombre des avortements légaux par an.
Tous ces chiffres sont la preuve de tous les mensonges qui ont été dits pour faire passer la loi autorisant l’avortement. Le problème maintenant c’est que la libéralisation de l’interruption volontaire de grossesse tend à encourager son recours.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
La Suisse prête au dialogue sur une remise en cause du secret bancaire
Sous pression de la Commission européenne, la Suisse se dit prête à remettre en cause le principe du secret bancaire dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Une condition, cependant : que le futur règlement international soit encadré par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique), et non l’Union européenne.
Avec notre correspondant à Genève, Laurent Mossu
Le dos au mur, contrainte et forcée, la Suisse va se résigner à engager des négociations sur l’échange automatique des informations bancaires. Maintenant que la Commission de Bruxelles a reçu mandat des ministres des Finances pour lancer les pourparlers, la Suisse se dit prête au dialogue.
Dans le cadre de l'OCDE
Voilà en fait plusieurs mois que le vent a tourné et que Berne se prépare à l’inéluctable. La ministre des Finances, Eveline Widmer-Schlumpf, a été la première à prendre toute la mesure de la situation nouvelle et à se dire disposée à modifier la pratique bancaire en vigueur. Les banquiers eux-mêmes ont viré leur cuti qui, pour la plupart, n’acceptent plus d’argent non déclaré au fisc.
Cela étant, la Suisse pose une condition majeure : que le nouveau règlement soit une norme internationale unique concernant toutes les places financières, sans exception. Et que la négociation se déroule à l’OCDE, une organisation qui les réunit pratiquement toutes, et non pas à Bruxelles, avec la seule Union européenne.
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Sous pression de la Commission européenne, la Suisse se dit prête à remettre en cause le principe du secret bancaire dans le cadre de la lutte contre la fraude fiscale. Une condition, cependant : que le futur règlement international soit encadré par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique), et non l’Union européenne.
Avec notre correspondant à Genève, Laurent Mossu
Le dos au mur, contrainte et forcée, la Suisse va se résigner à engager des négociations sur l’échange automatique des informations bancaires. Maintenant que la Commission de Bruxelles a reçu mandat des ministres des Finances pour lancer les pourparlers, la Suisse se dit prête au dialogue.
Dans le cadre de l'OCDE
Voilà en fait plusieurs mois que le vent a tourné et que Berne se prépare à l’inéluctable. La ministre des Finances, Eveline Widmer-Schlumpf, a été la première à prendre toute la mesure de la situation nouvelle et à se dire disposée à modifier la pratique bancaire en vigueur. Les banquiers eux-mêmes ont viré leur cuti qui, pour la plupart, n’acceptent plus d’argent non déclaré au fisc.
Cela étant, la Suisse pose une condition majeure : que le nouveau règlement soit une norme internationale unique concernant toutes les places financières, sans exception. Et que la négociation se déroule à l’OCDE, une organisation qui les réunit pratiquement toutes, et non pas à Bruxelles, avec la seule Union européenne.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Une bonne nouvelle pour le côté "exemplatif" ! Merci Béa !
Poutine interdit à ses ministres de détenir des comptes à l’étranger
Le président russe Vladimir Poutine a promulgué mardi une loi interdisant aux ministres de disposer de comptes bancaires ou d’investissements boursiers à l’étranger.
Le texte interdit aux membres du gouvernement "d’ouvrir et de posséder des comptes, de conserver des fonds dans des banques étrangères hors du territoire de la Russie (...), de posséder ou d’utiliser des instruments financiers à l’étranger", détaille le site spécialisé dans la publication des lois garant.ru.
Il s’applique également à leurs conjoints et enfants mineurs, a précisé la même source.
L’amendement ne proscrit cependant pas, comme envisagé un temps par les députés, de détenir des biens immobiliers à l’étranger.
Il s’ajoute à une série de mesures déjà adoptées afin de lutter contre la corruption et renforcer la transparence du fonctionnement du gouvernement.
Le patrimoine des membres du gouvernement est par exemple rendu public chaque année.
La loi promulguée mardi a poussé Igor Chouvalov, le numéro deux du gouvernement, dont il est le membre le plus riche, à rapatrier en Russie ses actifs regroupés jusqu’alors sur les îles Vierges britanniques.
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Poutine interdit à ses ministres de détenir des comptes à l’étranger
Le président russe Vladimir Poutine a promulgué mardi une loi interdisant aux ministres de disposer de comptes bancaires ou d’investissements boursiers à l’étranger.
Le texte interdit aux membres du gouvernement "d’ouvrir et de posséder des comptes, de conserver des fonds dans des banques étrangères hors du territoire de la Russie (...), de posséder ou d’utiliser des instruments financiers à l’étranger", détaille le site spécialisé dans la publication des lois garant.ru.
Il s’applique également à leurs conjoints et enfants mineurs, a précisé la même source.
L’amendement ne proscrit cependant pas, comme envisagé un temps par les députés, de détenir des biens immobiliers à l’étranger.
Il s’ajoute à une série de mesures déjà adoptées afin de lutter contre la corruption et renforcer la transparence du fonctionnement du gouvernement.
Le patrimoine des membres du gouvernement est par exemple rendu public chaque année.
La loi promulguée mardi a poussé Igor Chouvalov, le numéro deux du gouvernement, dont il est le membre le plus riche, à rapatrier en Russie ses actifs regroupés jusqu’alors sur les îles Vierges britanniques.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
La star NBA d'Oklahoma City Kevin Durant promet 1 million de dollars
Kevin Durant, le joueur vedette des Oklahoma City Thunder en NBA, a promis mardi un don d'un million de dollars (775.000 EUR) pour financer les efforts de reconstruction dans la ville après le passage lundi d'une tornade destructrice qui a fait 24 morts.
Durant, 24 ans, qui joue à Oklahoma City depuis l'arrivée de la franchise dans cette ville en 2008 et qui a terminé trois fois meilleur marqueur de NBA, a fait don de l'argent à la Croix-Rouge par le biais de sa fondation.
La franchise du Thunder, finaliste NBA la saison passée, a également promis un don du même montant.
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Kevin Durant, le joueur vedette des Oklahoma City Thunder en NBA, a promis mardi un don d'un million de dollars (775.000 EUR) pour financer les efforts de reconstruction dans la ville après le passage lundi d'une tornade destructrice qui a fait 24 morts.
Durant, 24 ans, qui joue à Oklahoma City depuis l'arrivée de la franchise dans cette ville en 2008 et qui a terminé trois fois meilleur marqueur de NBA, a fait don de l'argent à la Croix-Rouge par le biais de sa fondation.
La franchise du Thunder, finaliste NBA la saison passée, a également promis un don du même montant.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Un livre universel sur la liberté
"Ce n'est pas de la littérature, c'est peut-être mieux que çà.", invitation à laquelle je n'ai pu résister...
L'éditeur a été bien inspiré d'aller chercher cette citation de Nicolas Bouvier, c'est quand même plus attractif que : "Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le goulag sans jamais oser le demander" ou "Petit manuel de survie en Sibérie".
Car oui, chers lecteurs, autant vous le dire tout de suite, ne vous laissez pas embobiner par la somptueuse photographie de la couverture, il s'agit bien d'un livre sur le goulag, quoi de mieux pour se mettre en train en cette rentrée...
L'histoire (vraie) est celle de Slavomir dit "Slav", un officier polonais de 24 ans, fait prisonnier par les Soviétiques en 1939 et condamné à 25 années de travaux forcés dans un des "pires goulag" (hyperbole?) de Sibérie.
Après une interminable et attroce déportation en wagon plombé jusqu'au bout du monde, je veux parler du camp 303 de Yakoutsko, les nombreux déportés doivent faire face à des conditions de vie extraordinairement difficiles. Ils dorment à même la neige avant de pouvoir construire eux mêmes leurs baraquements, la nourriture est frugale, la vermine règne sur le camp.
Sous la houlette de Slav, un petit groupe d'irréductibles décide de tenter l'impossible, une évasion vers le sud avec en ligne de mire l'Inde et la liberté, un incroyable périple de plusieurs milliers de kilomètres sans boussole, sans équipement, sans provisions et sans autre assistance que celle des trop rares habitants des steppes.
"A marche forcée" fait partie de cette catégorie de livres à lire absolument, ce récit haletant a une portée universaliste et parlera à toutes les générations. On a immédiatement envie d'en conseiller la lecture autour de soi car chaque lecteur y puisera du courage et de l'inspiration.
Ces hommes nous rappellent une chose évidente et très simple mais que nous avons tendance à oublier : la liberté a un prix. Grâce à ce témoignage, gardons en mémoire l'histoire de ces hommes courageux qui se sont battus pour un idéal : vivre en hommes libres et qui pour cela ont payés, pour certains d'entre eux, le prix ultime.
(Commentaire d'un blogueur)
"Ce n'est pas de la littérature, c'est peut-être mieux que çà.", invitation à laquelle je n'ai pu résister...
L'éditeur a été bien inspiré d'aller chercher cette citation de Nicolas Bouvier, c'est quand même plus attractif que : "Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le goulag sans jamais oser le demander" ou "Petit manuel de survie en Sibérie".
Car oui, chers lecteurs, autant vous le dire tout de suite, ne vous laissez pas embobiner par la somptueuse photographie de la couverture, il s'agit bien d'un livre sur le goulag, quoi de mieux pour se mettre en train en cette rentrée...
L'histoire (vraie) est celle de Slavomir dit "Slav", un officier polonais de 24 ans, fait prisonnier par les Soviétiques en 1939 et condamné à 25 années de travaux forcés dans un des "pires goulag" (hyperbole?) de Sibérie.
Après une interminable et attroce déportation en wagon plombé jusqu'au bout du monde, je veux parler du camp 303 de Yakoutsko, les nombreux déportés doivent faire face à des conditions de vie extraordinairement difficiles. Ils dorment à même la neige avant de pouvoir construire eux mêmes leurs baraquements, la nourriture est frugale, la vermine règne sur le camp.
Sous la houlette de Slav, un petit groupe d'irréductibles décide de tenter l'impossible, une évasion vers le sud avec en ligne de mire l'Inde et la liberté, un incroyable périple de plusieurs milliers de kilomètres sans boussole, sans équipement, sans provisions et sans autre assistance que celle des trop rares habitants des steppes.
"A marche forcée" fait partie de cette catégorie de livres à lire absolument, ce récit haletant a une portée universaliste et parlera à toutes les générations. On a immédiatement envie d'en conseiller la lecture autour de soi car chaque lecteur y puisera du courage et de l'inspiration.
Ces hommes nous rappellent une chose évidente et très simple mais que nous avons tendance à oublier : la liberté a un prix. Grâce à ce témoignage, gardons en mémoire l'histoire de ces hommes courageux qui se sont battus pour un idéal : vivre en hommes libres et qui pour cela ont payés, pour certains d'entre eux, le prix ultime.
(Commentaire d'un blogueur)
- Spoiler:
- ameraboire.over-blog.com/article-a-marche-forcee-slavomir-rawicz-110589142.html
etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Première victoire. L’amendement Sommaruga sur la théorie du genre retiré !
Première victoire. L’amendement Sommaruga qui ouvrait la voie à l’enseignement obligatoire de la « théorie du genre » à l’école primaire vient d’être retiré par les sénateurs.
Vous avez été plus de 270 000 à signer notre pétition demandant le retrait de cet amendement. Votre détermination et votre mobilisation ainsi que les nombreuses actions de « lobbying » menées par l’équipe de l’observatoire de la théorie du genre ont finalement contraint le gouvernement à accepter une modification de son texte.
Comme nous vous l’annoncions le 17 mai dernier, plusieurs sénateurs de l’opposition avaient accepté de défendre un amendement visant à supprimer de l’article 31 de la loi Peillon toutes références au « genre ». Le gouvernement et le rapporteur du projet de loi craignant certainement de nouvelles polémiques ont fini par accepter leur demande.
Si nous avons ainsi remporté une première bataille contre les militants de la théorie du genre, il reste bien des combats à livrer.
Rester mobiliser contre les avancées de la théorie du genre
À partir de la rentrée prochaine des cours d’éducation sexuelle seront obligatoires pour tous les élèves à partir de 6 ans. Selon certains experts, consultés par le ministère pour la mise en place de cet enseignement, l’objectif est de « dépasser la binarité historique entre féminin et masculin ». Sic !
L’un des plus importants syndicats enseignants, le SNUipp-FSU, a présenté, il y a quelques jours, le guide qu’il a édité pour former les enseignants à la déconstruction des stéréotypes de genre dès l’école primaire.
L’enseignement est appelé à ne plus se fonder « sur le postulat de la complémentarité des sexes ».
Les enseignants sont invités à s’appuyer sur le dispositif « Ligne Azur 2012 ». Ce site internet extrêmement militant prétend, par exemple, que l’identité de genre comme l’identité sexuelle ne seraient fondées que sur le simple sentiment d’appartenir à un genre ou un autre, sans que des données anatomiques ou biologiques n’entrent en considération. Sic !.
Le choix des livres proposés aux enfants est aussi très inquiétant. Les enseignants sont invités à s’appuyer pour leurs cours sur des ouvrages comme : « Papa porte une robe », « L’histoire du petit garçon qui était une petite fille », « Le petit garçon qui aimait le rose », ou encore « Mademoiselle Zazie a-t-elle un zizi ».
Ce syndicat milite également pour la généralisation de « l’éducation neutre », malgré les risques qu’elle fait courir aux jeunes enfants.
Ces exemples récents nous invitent donc à poursuivre et à amplifier notre mobilisation pour faire connaître les dangers de la théorie du genre, à informer les parents pour qu’ils soient vigilants sur ce qu’apprennent leurs enfants, enfin nous devons continuer à lutter contrela diffusion de la théorie du genre dans les manuels scolaires.
Le combat de l’observatoire ne fait que débuter, mais cette première victoire obtenue démontre qu’ensemble nous pouvons faire reculer le gouvernement dans ce domaine.
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Première victoire. L’amendement Sommaruga qui ouvrait la voie à l’enseignement obligatoire de la « théorie du genre » à l’école primaire vient d’être retiré par les sénateurs.
Vous avez été plus de 270 000 à signer notre pétition demandant le retrait de cet amendement. Votre détermination et votre mobilisation ainsi que les nombreuses actions de « lobbying » menées par l’équipe de l’observatoire de la théorie du genre ont finalement contraint le gouvernement à accepter une modification de son texte.
Comme nous vous l’annoncions le 17 mai dernier, plusieurs sénateurs de l’opposition avaient accepté de défendre un amendement visant à supprimer de l’article 31 de la loi Peillon toutes références au « genre ». Le gouvernement et le rapporteur du projet de loi craignant certainement de nouvelles polémiques ont fini par accepter leur demande.
Si nous avons ainsi remporté une première bataille contre les militants de la théorie du genre, il reste bien des combats à livrer.
Rester mobiliser contre les avancées de la théorie du genre
À partir de la rentrée prochaine des cours d’éducation sexuelle seront obligatoires pour tous les élèves à partir de 6 ans. Selon certains experts, consultés par le ministère pour la mise en place de cet enseignement, l’objectif est de « dépasser la binarité historique entre féminin et masculin ». Sic !
L’un des plus importants syndicats enseignants, le SNUipp-FSU, a présenté, il y a quelques jours, le guide qu’il a édité pour former les enseignants à la déconstruction des stéréotypes de genre dès l’école primaire.
L’enseignement est appelé à ne plus se fonder « sur le postulat de la complémentarité des sexes ».
Les enseignants sont invités à s’appuyer sur le dispositif « Ligne Azur 2012 ». Ce site internet extrêmement militant prétend, par exemple, que l’identité de genre comme l’identité sexuelle ne seraient fondées que sur le simple sentiment d’appartenir à un genre ou un autre, sans que des données anatomiques ou biologiques n’entrent en considération. Sic !.
Le choix des livres proposés aux enfants est aussi très inquiétant. Les enseignants sont invités à s’appuyer pour leurs cours sur des ouvrages comme : « Papa porte une robe », « L’histoire du petit garçon qui était une petite fille », « Le petit garçon qui aimait le rose », ou encore « Mademoiselle Zazie a-t-elle un zizi ».
Ce syndicat milite également pour la généralisation de « l’éducation neutre », malgré les risques qu’elle fait courir aux jeunes enfants.
Ces exemples récents nous invitent donc à poursuivre et à amplifier notre mobilisation pour faire connaître les dangers de la théorie du genre, à informer les parents pour qu’ils soient vigilants sur ce qu’apprennent leurs enfants, enfin nous devons continuer à lutter contrela diffusion de la théorie du genre dans les manuels scolaires.
Le combat de l’observatoire ne fait que débuter, mais cette première victoire obtenue démontre qu’ensemble nous pouvons faire reculer le gouvernement dans ce domaine.
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Titi- Date d'inscription : 28/09/2012
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Je cherchais quelque chose depuis deux jours déjà - et voilà ! Merci !
etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
La prière a vaincu !!!
Après plus de sept ans d'acharnement, la Cour d'appel a tranché en faveur du maire de Saguenay Jean Tremblay,...
Il a qualifié de «victoire historique», mardi, cette décision qui casse un jugement du Tribunal des droits de la personne qui soutenait que la prière portait atteinte au droit à la liberté de conscience et de religion du citoyen Alain Simoneau et qu'il fallait aussi retirer le crucifix et la statue du Sacré-Coeur de la salle du conseil de l'hôtel de ville.
«Une victoire historique» - selon le maire (Reportage 17h)
Jean Tremblay a louangé son conseil, qui selon lui l'a appuyé sans réserve depuis le début de cette histoire qui a commencé en 2006.
«La prière au conseil municipal était celle faite depuis 100 ans au Saguenay! Ce n'est pas moi qui l'ai introduite», a-t-il dit, lors d'une conférence de presse, mardi, en ajoutant qu'il en était de même pour les objets religieux.
avec une VIDEO sous le lien
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Après plus de sept ans d'acharnement, la Cour d'appel a tranché en faveur du maire de Saguenay Jean Tremblay,...
Il a qualifié de «victoire historique», mardi, cette décision qui casse un jugement du Tribunal des droits de la personne qui soutenait que la prière portait atteinte au droit à la liberté de conscience et de religion du citoyen Alain Simoneau et qu'il fallait aussi retirer le crucifix et la statue du Sacré-Coeur de la salle du conseil de l'hôtel de ville.
«Une victoire historique» - selon le maire (Reportage 17h)
Jean Tremblay a louangé son conseil, qui selon lui l'a appuyé sans réserve depuis le début de cette histoire qui a commencé en 2006.
«La prière au conseil municipal était celle faite depuis 100 ans au Saguenay! Ce n'est pas moi qui l'ai introduite», a-t-il dit, lors d'une conférence de presse, mardi, en ajoutant qu'il en était de même pour les objets religieux.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Le groupe américain Monsanto a annoncé jeudi qu’il retirait toutes ses demandes d’autorisation de culture génétiquement modifiées dans l’UE. Mais le fournisseur de semences cherchera toujours à obtenir des autorisations pour importer des récoltes OGM en Europe.
Action de communication ? Fatigue du géant de l’agrochimie peinant depuis de nombreuses années à obtenir l’accord de l’Union européenne pour la culture d’organismes génétiquement modifiés (OGM) ?
L’annonce de Monsanto du retrait de ses demandes d’autorisation de cultures d’OGM, à l’exception du maïs MON810 - cultivé en Espagne et au Portugal, sur le territoire européen a suscité de nombreuses réactions ce jeudi. Du soulagement à l’expectative des antis en passant par l’agacement des pros.
Et pour cause, si les détracteurs de Monsanto peuvent se réjouir que l’hostilité de l’opinion publique européenne ait eu raison du projet de culture OGM du groupe, ils n’en restent pas moins dubitatifs par rapport à l’avenir du marché agroalimentaire européen. Certes, le n°1 des biotechnologies n’est pas parvenu à convaincre les citoyens européens des mérites de la culture d’OGM mais leur victoire reste relative. "Monsanto introduit depuis des années une demi-douzaine de demandes d’autorisation de culture pour des semences de maïs et de soja OGM mais on est toujours nulle part. Partant de ce constat, Monsanto a préféré mettre un terme à ces demandes pour se concentrer sur sa capacité d’importer des OGM dans l’UE" , explique Brandon Mitchener, représentant du semencier américain en Europe.
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Pas marrante, l’amarante…
Cinq mille hectares de culture de soja transgénique ont été abandonnés par les agriculteurs en Géorgie, et 50.000 autres sont gravement menacés par une mauvaise herbe impossible à éliminer, tandis que le phénomène s’étend à d’autres états. La cause : un gène de résistance aux herbicides ayant apparemment fait le grand bond entre la graine qu’il est censé protéger et l’amarante, une plante à la fois indésirable et envahissante…
En 2004, un agriculteur de Macon, au centre de la Géorgie (à l’est des Etats-Unis), applique à ses cultures de soja un traitement herbicide au Roundup, comme il en a l’habitude. Curieusement, il remarque que certaines pousses d’amarantes (amarante réfléchie, ou Amarantus retroflexus L.), une plante parasite, n’en semblent pas incommodées… Pourtant, ce produit est élaboré à partir de glyphosphate, qui est à la fois l’herbicide le plus puissant et le plus utilisé aux Etats-Unis.
Depuis, la situation a empiré. Actuellement, et rien qu’en Géorgie, 50.000 hectares sont atteints et nombre d’agriculteurs ont été contraints d’arracher leurs mauvaises herbes à la main… quand c’est possible, considérant l’étendue des cultures. A l’épicentre du phénomène, 5.000 hectares ont été tout simplement abandonnés.
Comment en est-on arrivé là ?
Tous les champs victimes de cette envahissante mauvaise herbe avaient été ensemencés avec des graines Roundup Ready, produites par la société Monsanto. Celles-ci comportent une semence ayant reçu un gène de résistance au Roundup, un herbicide également produit par Monsanto. L’argument publicitaire de la firme repose sur le moindre coût représenté par le traitement d’une culture ainsi protégée contre un herbicide total auquel elle est devenue insensible, plutôt que de l’application d’un herbicide sélectif, plus cher à l’achat.
Selon un groupe de scientifiques du Centre for Ecology and Hydrology, organisation britannique à Winfrith (Dorset), il y aurait eu transfert de gènes entre la plante OGM et certaines herbes indésirables, comme l’amarante. Bien que considéré comme très faible car n’ayant jamais été détecté lors d’essais, le risque ne serait cependant pas nul.
Pour Brian Johnson, généticien et chercheur britannique, spécialisé, entre autres, dans les problèmes liés à l’agriculture, la cause ne fait aucun doute. « Il n’est nécessaire que d’un seul évènement (croisement) réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est engendrée, la nouvelle plante est titulaire d’un avantage sélectif énorme, et elle se multiplie rapidement, martèle-t-il. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium, a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation. »
La firme Monsanto ne nie pas le problème. Lors d’une interview accordée sur la chaîne de télévision France24, Rick Cole, responsable du développement technique, a estimé que ces « super mauvaises herbes » (superweeds, un terme désormais souvent employé) peuvent être maîtrisées. Pourtant, un communiqué émanant directement de la firme annonce que les vendeurs incitent les agriculteurs à alterner Roundup et un autre herbicide comme le 2-4-D (acide 2,4-dichlorophénoxyacétique).
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Des agriculteurs américains reviennent sur les problèmes qu'ils ont rencontrés à cause des cultures OGM. D'une partn car ils se sont sentis trompés voire floués par Monsanto, d'autre part parce que leurs champs ont été contaminés par des cultures transgéniques. Tandis que d'autres n'avaient pas trouvé de débouchés pour leurs récoltes. Tous dénoncent les pratiques commerciales des semenciers OGM.
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Action de communication ? Fatigue du géant de l’agrochimie peinant depuis de nombreuses années à obtenir l’accord de l’Union européenne pour la culture d’organismes génétiquement modifiés (OGM) ?
L’annonce de Monsanto du retrait de ses demandes d’autorisation de cultures d’OGM, à l’exception du maïs MON810 - cultivé en Espagne et au Portugal, sur le territoire européen a suscité de nombreuses réactions ce jeudi. Du soulagement à l’expectative des antis en passant par l’agacement des pros.
Et pour cause, si les détracteurs de Monsanto peuvent se réjouir que l’hostilité de l’opinion publique européenne ait eu raison du projet de culture OGM du groupe, ils n’en restent pas moins dubitatifs par rapport à l’avenir du marché agroalimentaire européen. Certes, le n°1 des biotechnologies n’est pas parvenu à convaincre les citoyens européens des mérites de la culture d’OGM mais leur victoire reste relative. "Monsanto introduit depuis des années une demi-douzaine de demandes d’autorisation de culture pour des semences de maïs et de soja OGM mais on est toujours nulle part. Partant de ce constat, Monsanto a préféré mettre un terme à ces demandes pour se concentrer sur sa capacité d’importer des OGM dans l’UE" , explique Brandon Mitchener, représentant du semencier américain en Europe.
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Pas marrante, l’amarante…
Cinq mille hectares de culture de soja transgénique ont été abandonnés par les agriculteurs en Géorgie, et 50.000 autres sont gravement menacés par une mauvaise herbe impossible à éliminer, tandis que le phénomène s’étend à d’autres états. La cause : un gène de résistance aux herbicides ayant apparemment fait le grand bond entre la graine qu’il est censé protéger et l’amarante, une plante à la fois indésirable et envahissante…
En 2004, un agriculteur de Macon, au centre de la Géorgie (à l’est des Etats-Unis), applique à ses cultures de soja un traitement herbicide au Roundup, comme il en a l’habitude. Curieusement, il remarque que certaines pousses d’amarantes (amarante réfléchie, ou Amarantus retroflexus L.), une plante parasite, n’en semblent pas incommodées… Pourtant, ce produit est élaboré à partir de glyphosphate, qui est à la fois l’herbicide le plus puissant et le plus utilisé aux Etats-Unis.
Depuis, la situation a empiré. Actuellement, et rien qu’en Géorgie, 50.000 hectares sont atteints et nombre d’agriculteurs ont été contraints d’arracher leurs mauvaises herbes à la main… quand c’est possible, considérant l’étendue des cultures. A l’épicentre du phénomène, 5.000 hectares ont été tout simplement abandonnés.
Comment en est-on arrivé là ?
Tous les champs victimes de cette envahissante mauvaise herbe avaient été ensemencés avec des graines Roundup Ready, produites par la société Monsanto. Celles-ci comportent une semence ayant reçu un gène de résistance au Roundup, un herbicide également produit par Monsanto. L’argument publicitaire de la firme repose sur le moindre coût représenté par le traitement d’une culture ainsi protégée contre un herbicide total auquel elle est devenue insensible, plutôt que de l’application d’un herbicide sélectif, plus cher à l’achat.
Selon un groupe de scientifiques du Centre for Ecology and Hydrology, organisation britannique à Winfrith (Dorset), il y aurait eu transfert de gènes entre la plante OGM et certaines herbes indésirables, comme l’amarante. Bien que considéré comme très faible car n’ayant jamais été détecté lors d’essais, le risque ne serait cependant pas nul.
Pour Brian Johnson, généticien et chercheur britannique, spécialisé, entre autres, dans les problèmes liés à l’agriculture, la cause ne fait aucun doute. « Il n’est nécessaire que d’un seul évènement (croisement) réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est engendrée, la nouvelle plante est titulaire d’un avantage sélectif énorme, et elle se multiplie rapidement, martèle-t-il. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium, a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation. »
La firme Monsanto ne nie pas le problème. Lors d’une interview accordée sur la chaîne de télévision France24, Rick Cole, responsable du développement technique, a estimé que ces « super mauvaises herbes » (superweeds, un terme désormais souvent employé) peuvent être maîtrisées. Pourtant, un communiqué émanant directement de la firme annonce que les vendeurs incitent les agriculteurs à alterner Roundup et un autre herbicide comme le 2-4-D (acide 2,4-dichlorophénoxyacétique).
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Des agriculteurs américains reviennent sur les problèmes qu'ils ont rencontrés à cause des cultures OGM. D'une partn car ils se sont sentis trompés voire floués par Monsanto, d'autre part parce que leurs champs ont été contaminés par des cultures transgéniques. Tandis que d'autres n'avaient pas trouvé de débouchés pour leurs récoltes. Tous dénoncent les pratiques commerciales des semenciers OGM.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
La Grande-Bretagne veut bloquer la pornographie en ligne sur ses ordinateurs
AFP
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«Certaines recherches sont si abjectes, ne laissant aucun doute sur l’intention malade et malveillante de l’internaute, qu’il ne devrait pas y avoir de réponse du tout», a déclaré M. Cameron dans un discours lundi à Londres. «J’ai donc un message très clair pour Google, Bing, Yahoo! et le reste. Vous avez un devoir d’agir sur cette question - un devoir moral.»
Le chef du gouvernement britannique met depuis quelques mois la pression sur les firmes de l’Internet pour qu’elles s’attaquent aux abus. Deux importants procès sur des meurtres sexuels d’enfants ont établi que les deux tueurs impliqués avaient précédemment fait des recherches de pornographie infantile sur internet.
Selon des extraits du discours rendus public par son cabinet, M. Cameron compte donner aux entreprises jusqu’au mois d’octobre pour prendre des mesures, estimant que tous les «grands cerveaux» travaillant pour elles devraient surmonter les éventuelles difficultés techniques.
«Je peux vous dire que nous sommes déjà en train de regarder les options législatives dont nous disposons pour forcer des mesures», a-t-il expliqué. «Il s’agit simplement de détruire ce contenu dégoûtant - et nous ferons tout le nécessaire», doit-il ajouter.
Des entreprises comme Google assurent qu’elles enlèvent déjà toute image abusive d’enfant dès leur signalement, et le géant américain dit avoir «une attitude de tolérance zéro» face à ces contenus.
AFP
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«Certaines recherches sont si abjectes, ne laissant aucun doute sur l’intention malade et malveillante de l’internaute, qu’il ne devrait pas y avoir de réponse du tout», a déclaré M. Cameron dans un discours lundi à Londres. «J’ai donc un message très clair pour Google, Bing, Yahoo! et le reste. Vous avez un devoir d’agir sur cette question - un devoir moral.»
Le chef du gouvernement britannique met depuis quelques mois la pression sur les firmes de l’Internet pour qu’elles s’attaquent aux abus. Deux importants procès sur des meurtres sexuels d’enfants ont établi que les deux tueurs impliqués avaient précédemment fait des recherches de pornographie infantile sur internet.
Selon des extraits du discours rendus public par son cabinet, M. Cameron compte donner aux entreprises jusqu’au mois d’octobre pour prendre des mesures, estimant que tous les «grands cerveaux» travaillant pour elles devraient surmonter les éventuelles difficultés techniques.
«Je peux vous dire que nous sommes déjà en train de regarder les options législatives dont nous disposons pour forcer des mesures», a-t-il expliqué. «Il s’agit simplement de détruire ce contenu dégoûtant - et nous ferons tout le nécessaire», doit-il ajouter.
Des entreprises comme Google assurent qu’elles enlèvent déjà toute image abusive d’enfant dès leur signalement, et le géant américain dit avoir «une attitude de tolérance zéro» face à ces contenus.
etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Morgan Lake a cru que sa dernière heure avait sonné, vendredi dernier. Alors qu’elle circulait sur le Chesapeake Bay Bridge, dans l’Etat du Maryland, la jeune femme a aperçu, horrifiée, un camion se rapprocher dans son rétroviseur.
Arrivant à tout vitesse, le camion n’a pu ralentir et est venu emboutir la voiture de la jeune femme, qui a du même coup perdu le contrôle. Percutant une rembarde puis l’autre, la voiture est ensuite passée au-dessus, faisant une chute terrible de plus de 12 mètres.
D’abord paniquée, pensant que «c’était fini» selon le témoignage offert aux médias américains, Morgan a ensuite «décidé» «qu’elle ne pouvait pas mourir ainsi». Prisonnière des flots et de sa voiture, elle a ainsi réussi, courageusement, à s’extirper de la carcasse et gagner la rive en nageant.
Un vrai miracle car Morgan s’en est sortie sans une seule égratignure. «Un signe», selon elle.
Regardez la vidéo et écoutez le récit complet de Morgan sur le site de Fox News.
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Arrivant à tout vitesse, le camion n’a pu ralentir et est venu emboutir la voiture de la jeune femme, qui a du même coup perdu le contrôle. Percutant une rembarde puis l’autre, la voiture est ensuite passée au-dessus, faisant une chute terrible de plus de 12 mètres.
D’abord paniquée, pensant que «c’était fini» selon le témoignage offert aux médias américains, Morgan a ensuite «décidé» «qu’elle ne pouvait pas mourir ainsi». Prisonnière des flots et de sa voiture, elle a ainsi réussi, courageusement, à s’extirper de la carcasse et gagner la rive en nageant.
Un vrai miracle car Morgan s’en est sortie sans une seule égratignure. «Un signe», selon elle.
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Aujourd'hui, le parlement du Texas a franchi la dernière étape de notre effort historique pour protéger la vie". Ces propos, sortis de la bouche du républicain Rick Perry, n'ont certainement pas fait l'unanimité aux États-Unis.
Car ce 18 juillet, l'un des projets de loi les plus restrictifs sur l'avortement a été adopté au Texas, et ce malgré une première obstruction d'élus démocrates qui avaient fait échouer un texte similaire fin juin. D'une manière assez saisissante par ailleurs, puisque la sénatrice démocrate Wendy Davis avait réussi à invalider le vote en discourant 11 heures durant sans interruption.
Le texte interdit les avortements après 20 semaines de grossesse, sauf si la santé de la femme est en danger immédiat, impose des conditions très strictes aux médecins pour le pratiquer, et demande qu'un médecin soit présent lors de la prise du traitement abortif. Selon les militants du droit à l'avortement, la nouvelle loi conduira à la fermeture de presque tous les centres d'avortements du Texas, n'en laissant plus que 5 sur les 42 actuels.
Si la loi est passée, la protestation aussi. Symbolisée par... un tampon hygiénique avec, très vite, l'apparition du hashtag #tampongate sur Twitter. Nombreux ont été les utilisateurs du réseau à inviter quiconque à jeter des tampons sur le décrié gouverneur républicain du Texas Rick Perry.
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Note personnelle :
Le gouverneur républicain oserait-il aller plus loin et restreindre l'emploi des armes de poing dans son état ? Hum, touche pas à mon révolver !!!
Car ce 18 juillet, l'un des projets de loi les plus restrictifs sur l'avortement a été adopté au Texas, et ce malgré une première obstruction d'élus démocrates qui avaient fait échouer un texte similaire fin juin. D'une manière assez saisissante par ailleurs, puisque la sénatrice démocrate Wendy Davis avait réussi à invalider le vote en discourant 11 heures durant sans interruption.
Le texte interdit les avortements après 20 semaines de grossesse, sauf si la santé de la femme est en danger immédiat, impose des conditions très strictes aux médecins pour le pratiquer, et demande qu'un médecin soit présent lors de la prise du traitement abortif. Selon les militants du droit à l'avortement, la nouvelle loi conduira à la fermeture de presque tous les centres d'avortements du Texas, n'en laissant plus que 5 sur les 42 actuels.
Si la loi est passée, la protestation aussi. Symbolisée par... un tampon hygiénique avec, très vite, l'apparition du hashtag #tampongate sur Twitter. Nombreux ont été les utilisateurs du réseau à inviter quiconque à jeter des tampons sur le décrié gouverneur républicain du Texas Rick Perry.
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Le gouverneur républicain oserait-il aller plus loin et restreindre l'emploi des armes de poing dans son état ? Hum, touche pas à mon révolver !!!
etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
Re: Le fil des bonnes nouvelles !
Il est des jours où les anges gardiens prennent des apparences tout à fait originales. Et bonne nouvelle pour les adeptes de toasts, sachez que même votre sachet de pain de mie pourrait un jour vous sauver la vie.
En sortant du supermarché ce jour là, Liz Douglas, une mère de famille anglaise de 51 ans, ne se doutait pas de l’aventure qu’elle allait vivre quelques minutes plus tard.
Au volant de sa Nissan, son sac de courses calé sur le siège arrière, elle prend le chemin du retour. Soudain, elle perd le contrôle, heurte un poteau télégraphique et part en tonneau. Un accident qui aurait pu avoir des conséquences fâcheuses s’il n’y avait pas eu… ce providentiel paquet de pain de mie ! Par un concours de circonstances aussi heureux qu’incroyable, le paquet de pain de mie s’est échappé, dans le tumulte, du sac de course pour venir se caler entre la tête de Liz Douglas et le plafond de sa voiture.
Une protection inespérée contre les chocs de l’accident. Lorsque les pompiers sont arrivés, près d’une heure plus tard, pour porter secours à la quinquagénaire et la désincarcérer, le paquet de pain de mie n’avait pas bougé. Et la mère de famille s’en est sortie avec seulement quelques égratignures. « Je crois que je resterai fidèle à cette marque pour le restant de ma vie », a déclaré Liz Douglas une fois remise du choc.
Une bonne nouvelle pour Hovis, le fabricant anglais de pain de mie.
Nathalie Mayer, pour newzitiv.com
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En sortant du supermarché ce jour là, Liz Douglas, une mère de famille anglaise de 51 ans, ne se doutait pas de l’aventure qu’elle allait vivre quelques minutes plus tard.
Au volant de sa Nissan, son sac de courses calé sur le siège arrière, elle prend le chemin du retour. Soudain, elle perd le contrôle, heurte un poteau télégraphique et part en tonneau. Un accident qui aurait pu avoir des conséquences fâcheuses s’il n’y avait pas eu… ce providentiel paquet de pain de mie ! Par un concours de circonstances aussi heureux qu’incroyable, le paquet de pain de mie s’est échappé, dans le tumulte, du sac de course pour venir se caler entre la tête de Liz Douglas et le plafond de sa voiture.
Une protection inespérée contre les chocs de l’accident. Lorsque les pompiers sont arrivés, près d’une heure plus tard, pour porter secours à la quinquagénaire et la désincarcérer, le paquet de pain de mie n’avait pas bougé. Et la mère de famille s’en est sortie avec seulement quelques égratignures. « Je crois que je resterai fidèle à cette marque pour le restant de ma vie », a déclaré Liz Douglas une fois remise du choc.
Une bonne nouvelle pour Hovis, le fabricant anglais de pain de mie.
Nathalie Mayer, pour newzitiv.com
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etienne lorant- Date d'inscription : 25/11/2010
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