Comment survivre ?
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Spectre
Rémi
mariejesus
7 participants
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Comment survivre ?
Bonsoir,
Je veux savoir comment survivre, quand on ne se sent plus à sa place, sur la terre.
Je n'ai qu'une hâte c'est de rejoindre le Ciel.
Je tiens car je garde encore l'espérance, qui est Jesus, aussinon si je ne l'avais pas eu il y a longtemps que je ne serais plus de ce monde.
Rien ne va dans ma vie, malgré le fait que je me conforme à la volonté du Père, met je ne sais quelle est ma mission?
Ni ce que je fais sur terre, si ce n'est que souffrir.
Fraternellement
Je veux savoir comment survivre, quand on ne se sent plus à sa place, sur la terre.
Je n'ai qu'une hâte c'est de rejoindre le Ciel.
Je tiens car je garde encore l'espérance, qui est Jesus, aussinon si je ne l'avais pas eu il y a longtemps que je ne serais plus de ce monde.
Rien ne va dans ma vie, malgré le fait que je me conforme à la volonté du Père, met je ne sais quelle est ma mission?
Ni ce que je fais sur terre, si ce n'est que souffrir.
Fraternellement
mariejesus- Date d'inscription : 02/02/2013
Age : 37
Re: Comment survivre ?
mariejesus a écrit:Je veux savoir comment survivre, quand on ne se sent plus à sa place, sur la terre. Je n'ai qu'une hâte c'est de rejoindre le Ciel.
Cela est le lot de bon nombres de chrétiens, ce serait tellement plus joyeux auprès de Jésus.
mariejesus a écrit:Je tiens car je garde encore l'espérance, qui est Jesus, aussi non si je ne l'avais pas eu il y a longtemps que je ne serais plus de ce monde.
C'est aussi le lot de beaucoup, sans la foi nous serions probablement dans la vie mondaine à mettre tout notre temps à s'accumuler des trésors périssables, à perdre notre vie dans les plaisirs d'un instant mais nous avons la foi et l'espérance et nous devons par nos bonnes oeuvres amasser un trésor durable dans le ciel.
La souffrance est une mission, vous l'offrez à Dieu et elle sert aux autres et à vous-même, offrez vos souffrances pour les âmes du purgatoire ou pour quelques uns de vos proches ou pour les âmes égarées du monde pour leur conversion, c'est une mission que vous pouvez avoir, il suffit de l'accepter ou de la demander si tel est la Volonté de Dieu. Il y a aussi l'implication dans votre Église locale, le bénévolat dans les oeuvres de bienfaisances catholiques. Quelques fois on attend trop d'avoir une grande mission et on manque les petites innombrables qui s'offrent à nous et que l'on laisse passer.mariejesus a écrit:Rien ne va dans ma vie, malgré le fait que je me conforme à la volonté du Père, met je ne sais quelle est ma mission?
Ni ce que je fais sur terre, si ce n'est que souffrir.
Mon site Web : Garde des trois Blancheurs
Pour la défense de notre Église, une, sainte, catholique et apostolique
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Re: Comment survivre ?
Je veux savoir comment survivre, quand on ne se sent plus à sa place, sur la terre.
Votre place sur Terre vous revient de droit, sinon il y a longtemps que Dieu vous aurait rappelé à Lui! Je suis toujours aussi scandalisé quand je lis des gens (nombreux!) qui ont ce genre de pensé: qu'a-t-on bien pu leur mettre dans la tête pour qu'ils se sentent étrangers à leur propre monde? Soyez rassuré vous êtes ici chez vous ami Terrien
Je n'ai qu'une hâte c'est de rejoindre le Ciel.
Je tiens car je garde encore l'espérance, qui est Jesus, aussinon si je ne l'avais pas eu il y a longtemps que je ne serais plus de ce monde.
Rien ne va dans ma vie, malgré le fait que je me conforme à la volonté du Père, met je ne sais quelle est ma mission?
Ni ce que je fais sur terre, si ce n'est que souffrir.
Une mission? Pourquoi devriez vous forcément servir à quelque chose? La vie n'est pas une course à la performance, où il faut en permanence être utile, efficace, et se trouver une utilité aussitôt qu'on a accompli un travail, vite se ruer sur un autre pour pouvoir "mériter son os à moelle". On tente de nous le faire accepter dans notre société, il faut sans cesse avoir une activité, être rentable, générer un profit sous peine d'être "dispensable" et donc licencié, être sensible, rêveur, doux, aimant, compatissant, c'est bon pour les feignants et les bons à rien? Non non non et re-non! Vous pouvez très bien vivre simplement en profitant de la création, vous marier, avoir des enfants que vous aimerez, ou simplement des amis que vous soignerez, vous occuper d'un animal, d'une plante, travailler selon vos capacités et vos besoins, prier, vous intéresser à des sujets, on est pas obligés d'être des hyperactifs hyper-productifs pour vivre, contrairement à ce qu'on veut nous faire croire. Je n'ai pas beaucoup de connaissances de la Bible ou d'autres choses comme ça, mais si j'ai pu voir quelque chose, c'est par exemple dans des reportages, on voit des moines (je ne saurais plus dire lesquels) qui vouent leur vie au travail, mais il ne s'agit absolument pas du travail tel qu'on le connait nous, il s'agit d'actions mesurées, à échelle humaine, qui servent à l'entretien de leur lieu de vie, l'argent n'est qu'un moyen et non une fin, ils l'ont bien compris: travailler ne doit pas servir à nourrir des objectifs démesurés, mais doit être au service de l'humain ni plus ni moins, et se rendre malade parce que vous n'avez pas produit au delà de vos besoins ne servira qu'à... vous rendre malade justement.
Mais par contre pour que de telles choses arrivent, il faut déjà être ouvert à tout ça: être ouvert au fait d'avoir des personnes en plus dans sa vie, prêt à s'occuper d'autres personnes en plus de soi, d'être sur de pouvoir supporter les malheurs d'autrui et de ne pas leur exploser au visage à la moindre contrariété, ou par exemple être capable de supporter émotionnellement si quelqu'un d'autre est triste, or, en ce moment, vous semblez fragile, ce n'est peut-être pas le bon moment? Peut-être que justement le fait de n'avoir pas encore de but fait partie de ce qui est bon pour vous pour le moment, vous préparer, vous reposer, vous reconstruire? Il faut déjà pouvoir prendre soin de soi-même avant de s'atteler à des missions, des actions, des projets... S'occuper de soi n'est pas réservé aux égoïstes et aux feignants, c'est une nécessité vitale, si c'est ça dont vous avez besoin en ce moment, plus vite vous vous y mettrez, plus vite vous serez à même de commencer à suivre vos envies, réaliser des projets et d'essayer de faire des rencontres.
Moi je crois que quand on ne connait pas sa mission et qu'on ne sait pas dans quel sens aller, c'est qu'on est pas encore prêt à le voir parce que si on la voyait, on irait à son encontre vu qu'on est pas prêt... (c'est un peu tord neurone mais au fond ça aurait une logique). Il faut commencer par le commencement, personne ne naît avec des superpouvoirs, des supermuscles, un supercerveau qui sait déjà tout... Ces gens pour qui tout à l'air simple n'existent que dans notre imagination, et au passage nous donnent l'impression d'être tout petits et impuissants là où eux excellent, évidemment on ne peux pas se sentir bien en partant du principe qu'on devrait déjà être tout parfaits, là de suite.
Attention, je ne parle pas d'un bête "lâcher prise", c'est beaucoup plus subtil que de penser "on s'en fou on verra bien", le but est bien d'arriver à prendre sa vie en main, pour le bonheur personnel, et aussi pour pouvoir mieux la diriger selon ce qu'on trouve bon (donc dans ce cas là ce que Dieu trouve bon). Vous avez déjà essayé de prier pour être aidé et non pour savoir comment aider? En tout cas moi je compte bien prier pour que vous le soyez!
Spectre- Date d'inscription : 04/04/2014
Age : 30
Re: Comment survivre ?
@spectre
Je vous cite:
"Une mission? Pourquoi devriez vous forcément servir à quelque chose?"
Nous avons tous une mission sur terre. Chacun et chacune de nous est appelé à servir Dieu de différentes manières.
Les moines auxquels vous faites allusion semble fonctionner selon la règle de Saint-Benoît qui consiste en le travail manuel, favorisant la méditation. Cette disposition d'esprit rend propice la contemplation et la prière, tout en entretenant leur Foi et offerte pour le monde. Ils ont une mission, particulière, régler leur vie en tendant vers la perfection, c'est-à-dire en s'efforçant jour après jour de "s'oublier eux-même" afin d'offrir leur gestes, leurs pensées et leurs prières pour le Salut des âmes.
Nous ne sommes pas sur terre pour rien. Le pape, dans son allocution d'hier, expliquait justement l'importance de demander à Dieu le conseil de l'Esprit Saint afin de découvrir notre appel personnel, notre mission.
Voici le texte:
ROME, 20 mai 2014 (Zenit.org) - « Quelle est ta volonté pour moi ? » : c'est la question récurrente que le chrétien pose au Seigneur, déclare le pape François dans un tweet publié le 19 mai 2014.
« Quelqu’un qui écoute attentivement la Parole de Dieu et prie vraiment, demande toujours au Seigneur : quelle est ta volonté pour moi ? »
Lors de l'audience générale du 7 mai dernier, en méditant sur le don de conseil, le pape a expliqué : « Par le don de Conseil, Dieu lui-même illumine notre cœur pour nous faire comprendre la manière juste d’agir et de parler ainsi que pour nous indiquer la route à suivre. Le Saint Esprit nous rend sensible à sa voix, il oriente nos pensées et nos intentions selon le cœur de Dieu... Par la prière, dans l’intimité avec Dieu nous apprenons à lui demander quelle est sa volonté. »
Voici également une allocution du pape François conseillant ceux et celles qui ont "un coeur papillon":
Si tu as un "coeur papillon", demande l'Esprit-Saint
Homélie du 19 mai 2014
Anne Kurian
ROME, 20 mai 2014 (Zenit.org) - L'Esprit-Saint donne la « stabilité » et la « fermeté » du cœur pour affronter les vicissitudes de la vie, afin que le coeur de l'homme ne soit pas un « cœur papillon », affirme le pape François lors de la messe du 19 mai 2014 à Sainte-Marthe.
Le pape a commenté la première lecture (Ac 14,15-18), où saint Paul évangélise en Lycaonie après avoir fui Iconium, avec « un cœur ferme mais en mouvement continuel ».
Le chrétien aussi « traverse beaucoup d’événements, qui [le] bousculent dans un sens et dans un autre ». Et il est appelé à « demander la grâce d’avoir le cœur ferme, comme Paul ».
Le pape a décrit toutes les oeuvres de l'apôtre : « Pour ne pas se plaindre de la persécution, Paul est parti dans une autre ville : commencer à prêcher là, guérir un malade, se rendre compte que cet homme avait suffisamment de foi pour être guéri ; et ensuite, calmer ces gens enthousiastes qui voulaient lui offrir un sacrifice ; et après, proclamer qu’il n’y a qu’un seul Dieu, dans leur langage culturel à eux. Mais une chose après l’autre… Et cela ne peut venir que d’un cœur stable ».
« Pour être capable de tant de changements en peu de temps et pour affronter les situations de manière adéquate », le cœur de Paul est « établi dans l’Esprit-Saint », qui « enseignera tout » et « fera souvenir de tout » comme le dit le Christ dans l’Évangile (Jn 14,21-26) : c'est l'Esprit-Saint qui donne « la force, qui donne cette fermeté pour avancer dans la vie parmi tant de vicissitudes ».
Le pape a proposé un examen de conscience qu'il a longuement développé : « Comment est mon cœur ? Est-ce un cœur qui ressemble à un danseur, qui va d’un endroit à l’autre, qui ressemble à un papillon qui, aujourd’hui, aime bien ceci… ou est-ce un cœur stable ? Est-ce un cœur courageux, solide, ferme, ou est-ce un cœur qui a tellement peur qu’il cherche toujours à se cacher ? »
« De quoi notre cœur se préoccupe-t-il ? Quel est le trésor auquel notre cœur est attaché ? Est-ce un cœur établi dans les créatures, dans les problèmes...? Est-ce un cœur établi dans les dieux de tous les jours ou bien est-ce un cœur établi dans l’Esprit-Saint ? »
Il s'agit de « faire mémoire de tous les événements de chaque jour : à la maison, au travail, avec ses enfants, avec les personnes qui habitent avec soi, avec ses collègues, avec tout le monde » : « Est-ce que je me laisse porter par les événements ou est-ce que je vais vers eux avec un cœur stable qui sait où il est ? ».
« Seul l’Esprit-Saint donne fermeté au cœur », a conclu le pape en encourageant à méditer sur ce « beau cadeau », de Jésus : « cet Esprit de force, de conseil, qui aide à avancer au milieu des événements de chaque jour ».
Avec une traduction d'Hélène Ginabat
Je vous cite:
"Une mission? Pourquoi devriez vous forcément servir à quelque chose?"
Nous avons tous une mission sur terre. Chacun et chacune de nous est appelé à servir Dieu de différentes manières.
Les moines auxquels vous faites allusion semble fonctionner selon la règle de Saint-Benoît qui consiste en le travail manuel, favorisant la méditation. Cette disposition d'esprit rend propice la contemplation et la prière, tout en entretenant leur Foi et offerte pour le monde. Ils ont une mission, particulière, régler leur vie en tendant vers la perfection, c'est-à-dire en s'efforçant jour après jour de "s'oublier eux-même" afin d'offrir leur gestes, leurs pensées et leurs prières pour le Salut des âmes.
Nous ne sommes pas sur terre pour rien. Le pape, dans son allocution d'hier, expliquait justement l'importance de demander à Dieu le conseil de l'Esprit Saint afin de découvrir notre appel personnel, notre mission.
Voici le texte:
ROME, 20 mai 2014 (Zenit.org) - « Quelle est ta volonté pour moi ? » : c'est la question récurrente que le chrétien pose au Seigneur, déclare le pape François dans un tweet publié le 19 mai 2014.
« Quelqu’un qui écoute attentivement la Parole de Dieu et prie vraiment, demande toujours au Seigneur : quelle est ta volonté pour moi ? »
Lors de l'audience générale du 7 mai dernier, en méditant sur le don de conseil, le pape a expliqué : « Par le don de Conseil, Dieu lui-même illumine notre cœur pour nous faire comprendre la manière juste d’agir et de parler ainsi que pour nous indiquer la route à suivre. Le Saint Esprit nous rend sensible à sa voix, il oriente nos pensées et nos intentions selon le cœur de Dieu... Par la prière, dans l’intimité avec Dieu nous apprenons à lui demander quelle est sa volonté. »
Voici également une allocution du pape François conseillant ceux et celles qui ont "un coeur papillon":
Si tu as un "coeur papillon", demande l'Esprit-Saint
Homélie du 19 mai 2014
Anne Kurian
ROME, 20 mai 2014 (Zenit.org) - L'Esprit-Saint donne la « stabilité » et la « fermeté » du cœur pour affronter les vicissitudes de la vie, afin que le coeur de l'homme ne soit pas un « cœur papillon », affirme le pape François lors de la messe du 19 mai 2014 à Sainte-Marthe.
Le pape a commenté la première lecture (Ac 14,15-18), où saint Paul évangélise en Lycaonie après avoir fui Iconium, avec « un cœur ferme mais en mouvement continuel ».
Le chrétien aussi « traverse beaucoup d’événements, qui [le] bousculent dans un sens et dans un autre ». Et il est appelé à « demander la grâce d’avoir le cœur ferme, comme Paul ».
Le pape a décrit toutes les oeuvres de l'apôtre : « Pour ne pas se plaindre de la persécution, Paul est parti dans une autre ville : commencer à prêcher là, guérir un malade, se rendre compte que cet homme avait suffisamment de foi pour être guéri ; et ensuite, calmer ces gens enthousiastes qui voulaient lui offrir un sacrifice ; et après, proclamer qu’il n’y a qu’un seul Dieu, dans leur langage culturel à eux. Mais une chose après l’autre… Et cela ne peut venir que d’un cœur stable ».
« Pour être capable de tant de changements en peu de temps et pour affronter les situations de manière adéquate », le cœur de Paul est « établi dans l’Esprit-Saint », qui « enseignera tout » et « fera souvenir de tout » comme le dit le Christ dans l’Évangile (Jn 14,21-26) : c'est l'Esprit-Saint qui donne « la force, qui donne cette fermeté pour avancer dans la vie parmi tant de vicissitudes ».
Le pape a proposé un examen de conscience qu'il a longuement développé : « Comment est mon cœur ? Est-ce un cœur qui ressemble à un danseur, qui va d’un endroit à l’autre, qui ressemble à un papillon qui, aujourd’hui, aime bien ceci… ou est-ce un cœur stable ? Est-ce un cœur courageux, solide, ferme, ou est-ce un cœur qui a tellement peur qu’il cherche toujours à se cacher ? »
« De quoi notre cœur se préoccupe-t-il ? Quel est le trésor auquel notre cœur est attaché ? Est-ce un cœur établi dans les créatures, dans les problèmes...? Est-ce un cœur établi dans les dieux de tous les jours ou bien est-ce un cœur établi dans l’Esprit-Saint ? »
Il s'agit de « faire mémoire de tous les événements de chaque jour : à la maison, au travail, avec ses enfants, avec les personnes qui habitent avec soi, avec ses collègues, avec tout le monde » : « Est-ce que je me laisse porter par les événements ou est-ce que je vais vers eux avec un cœur stable qui sait où il est ? ».
« Seul l’Esprit-Saint donne fermeté au cœur », a conclu le pape en encourageant à méditer sur ce « beau cadeau », de Jésus : « cet Esprit de force, de conseil, qui aide à avancer au milieu des événements de chaque jour ».
Avec une traduction d'Hélène Ginabat
jaimedieu- Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 67
Localisation : Montréal, Québec Canada
Re: Comment survivre ?
Notre très Sainte Mère la Vierge Marie a dit à Sainte Bernadette Soubirous, à Lourdes :mariejesus a écrit:Ni ce que je fais sur terre, si ce n'est que souffrir.
"Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde, mais dans l'autre"
Aussi insoutenables et insupportables qu'elles soient, ces terribles souffrances sur terre ne sont rien comparé au Bonheur infini qu'il y a au Ciel, ont dit de nombreux Saints.
Ce sont des trésors accumulés pour la vraie Vie qui sera éternellement douce et heureuse.
C'est là haut que vous serez consolée et enfin Heureuse. D'ici là, il faut tenir pour tous ceux que vous aimez, pour notre doux Sauveur Jésus, et pour vous
Le Rosaire :
http://www.michaeljournal.org/rosaire3.htm
Et Jésus les appela, et dit : Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. (Luc 18:16)
Amazone- Modérateur
- Date d'inscription : 31/12/2010
Re: Comment survivre ?
Bonjour mariejésus, nous avons tous de temps en temps un passage à vide !
Il est parfois aussi nécessaire de voir un médecin pour remonter la pente et le moral.
Dieu ne nous a pas créés pour que nous soyons malheureux. Le bonheur est parfois dans les petits détails et c'est à nous de le donner, de témoigner de Jésus Ressuscité.
Mère Teresa disait :
« Nous ne saurons jamais tout le bien qu'un simple sourire peut être capable de faire. »
Il est parfois aussi nécessaire de voir un médecin pour remonter la pente et le moral.
Dieu ne nous a pas créés pour que nous soyons malheureux. Le bonheur est parfois dans les petits détails et c'est à nous de le donner, de témoigner de Jésus Ressuscité.
Mère Teresa disait :
« Nous ne saurons jamais tout le bien qu'un simple sourire peut être capable de faire. »
enfantdemarie- Date d'inscription : 18/04/2013
Re: Comment survivre ?
J'ai énormément confiance en Dieu, mais j'abandonne, plus je prie plus je suis affligée.
Pourquoi moi ?
Pourquoi moi ?
mariejesus- Date d'inscription : 02/02/2013
Age : 37
Re: Comment survivre ?
mariejesus a écrit:J'ai énormément confiance en Dieu, mais j'abandonne, plus je prie plus je suis affligée.
Pourquoi moi ?
Je sais que cela peut-être difficile, nous passons tous dans ces périodes de questionnements et de désirs d'abandon. Si vous devez faire un abandon c'est justement de vous abandonner dans les mains de Dieu.
Vous priez, si des doutes vous font souffrir, ne demandez pas à Dieu de ne plus souffrir mais de ne plus douter. Il est préférable de prier pour que Dieu vienne en aide aux autres plutôt qu'à soi, Dieu se chargera de vous puisque vous vous soucierez des autres davantage, que vous ferez passer les autres avant vous ainsi vous servez les autres et vous servez Dieu présent dans les autres tandis qu'en priant que pour soi on ne sert que soi. Ce qui permet d'oublier davantage ses soucis et de s'occuper de ceux des autres.
Mon site Web : Garde des trois Blancheurs
Pour la défense de notre Église, une, sainte, catholique et apostolique
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Re: Comment survivre ?
Le bonheur est accessible sur Terre, dès maintenant, c'est une promesse de Jésus.
Il est erroné de croire que sur Terre nous serions là dans un monde exclusivement de souffrance en attente du Paradis qui serait le seul coin de bonheur possible.
Le bonheur est possible sur Terre. Sinon, si on ne croit pas cela fermement, notre religion se désincarne et nous tombons dans le new age ou d'autres erreurs encore.
Donc, il est possible d'être heureux sur Terre et tous, nous avons une mission, un rôle à jouer pour la gloire du Christ Jésus.
C'est dans le plan de Dieu que nous ayons cette mission, mais à nous de la trouver, cas Dieu veux que nous nous retroussons les manche.
Pourquoi ? Je n'en sais rien ! Peut-être comme un père qui veux faire de ses fils des Hommes ?
Une forme d'éducation et de responsabilisation.
Nous avons un rôle à jouer et si nous ne le faisons pas, la boulot n'est pas fait, et le royaume de Dieu n'avance pas aussi vite que possible.
Ca n'est donc pas un petit détail.
Voilà pour les généralités.
Maintenant, mon fère ou ma soeur dans le Christ (je ne sais pas si vous êtes ma soeur ou mon frère dans le Christ :-)
Pour votre cas particulier, il vous faut creuser et comprendre le généèse de votre tristesse, car il y a une genèse à tout.
Evacuer cette compréhension, ce travail ... et vous ne progresserez pas.
Règle numéro 1 dans la bataille que vous vivez pour en sortir vivant et même grandie : faites vous aider, ne restez pas seul(e) !!!
Un père spirituel n'est pas un luxe dans notre société actuelle.
Validez avec lui que la nature de votre mal être est bien spirituel et vous progresserez avec ses conseils.
Il se peut aussi que votre mal être soit d'origine psychologique.
Il n'y a pas de honte à cela, faites vous suivre par un bon psy dans ce cas. Un psy chrétien naturellement car on trouve de tout dans ce milieu.
Dieu vous veux entier(e) et plein de bonheur pour travailler à sa vigne.
Ne désespérez pas et travailler, faites vous aider, posez vous les questions que vous ne vous êtes jamais posées pour comprendre ce qui vous arrive.
Tout s'explique toujours, croyez moi, je suis passé par là, moi aussi.
Confiance, oui, toujours dans le Christ, mais pas confiance molle, Jésus veux que nous nous battions avec lui.
Et croyez en la bonne nouvelle, comme on dit parfois à Pâques, Le bonheur est accessible dès ici bas, pas un bonheur parfait, c'est vrai, mais tout de même, le bonheur !
Il est erroné de croire que sur Terre nous serions là dans un monde exclusivement de souffrance en attente du Paradis qui serait le seul coin de bonheur possible.
Le bonheur est possible sur Terre. Sinon, si on ne croit pas cela fermement, notre religion se désincarne et nous tombons dans le new age ou d'autres erreurs encore.
Donc, il est possible d'être heureux sur Terre et tous, nous avons une mission, un rôle à jouer pour la gloire du Christ Jésus.
C'est dans le plan de Dieu que nous ayons cette mission, mais à nous de la trouver, cas Dieu veux que nous nous retroussons les manche.
Pourquoi ? Je n'en sais rien ! Peut-être comme un père qui veux faire de ses fils des Hommes ?
Une forme d'éducation et de responsabilisation.
Nous avons un rôle à jouer et si nous ne le faisons pas, la boulot n'est pas fait, et le royaume de Dieu n'avance pas aussi vite que possible.
Ca n'est donc pas un petit détail.
Voilà pour les généralités.
Maintenant, mon fère ou ma soeur dans le Christ (je ne sais pas si vous êtes ma soeur ou mon frère dans le Christ :-)
Pour votre cas particulier, il vous faut creuser et comprendre le généèse de votre tristesse, car il y a une genèse à tout.
Evacuer cette compréhension, ce travail ... et vous ne progresserez pas.
Règle numéro 1 dans la bataille que vous vivez pour en sortir vivant et même grandie : faites vous aider, ne restez pas seul(e) !!!
Un père spirituel n'est pas un luxe dans notre société actuelle.
Validez avec lui que la nature de votre mal être est bien spirituel et vous progresserez avec ses conseils.
Il se peut aussi que votre mal être soit d'origine psychologique.
Il n'y a pas de honte à cela, faites vous suivre par un bon psy dans ce cas. Un psy chrétien naturellement car on trouve de tout dans ce milieu.
Dieu vous veux entier(e) et plein de bonheur pour travailler à sa vigne.
Ne désespérez pas et travailler, faites vous aider, posez vous les questions que vous ne vous êtes jamais posées pour comprendre ce qui vous arrive.
Tout s'explique toujours, croyez moi, je suis passé par là, moi aussi.
Confiance, oui, toujours dans le Christ, mais pas confiance molle, Jésus veux que nous nous battions avec lui.
Et croyez en la bonne nouvelle, comme on dit parfois à Pâques, Le bonheur est accessible dès ici bas, pas un bonheur parfait, c'est vrai, mais tout de même, le bonheur !
zeugme- Date d'inscription : 04/04/2011
Localisation : France
Re: Comment survivre ?
Je mérite ce qu'il m'arrive, ma mère est la plus affligée et c'est moi qui l'agresse tout le temps.
Elle n'est pas bien, et je suis toujours en conflit, quand elle me critique au lieu de me taire j'envenime.
C'est moi qui vais la faire mourir, à cause de ma méchanceté.
Fraternellement
Elle n'est pas bien, et je suis toujours en conflit, quand elle me critique au lieu de me taire j'envenime.
C'est moi qui vais la faire mourir, à cause de ma méchanceté.
Fraternellement
mariejesus- Date d'inscription : 02/02/2013
Age : 37
Re: Comment survivre ?
Preznez un père spirituel et allez le voir au moins une fois par mois.
En vous confessant régulièrement, vous expérimenterez la tendresse et la patience de Jésus pour vous.
Laissez-vous guider et acceptez vos faiblesses, puisque Jésus lui-même les accepte !
Courage c'est un combat, un combat contre soi-même et contre le mal
Vous n'êtes ni perdu, ni damné ais aimé de Dieu. Jésus est le médecin venu pour les malades que nous sommes toius.
Il vous aime directement pour ces faiblesses, laissez-le venir les guérir.
Quelle chance d'être malade et de devoir être dans les bras du père pour qu'il nous soigne !
Beni soit cette faute qui nous vaut un tel sauveur !
En vous confessant régulièrement, vous expérimenterez la tendresse et la patience de Jésus pour vous.
Laissez-vous guider et acceptez vos faiblesses, puisque Jésus lui-même les accepte !
Courage c'est un combat, un combat contre soi-même et contre le mal
Vous n'êtes ni perdu, ni damné ais aimé de Dieu. Jésus est le médecin venu pour les malades que nous sommes toius.
Il vous aime directement pour ces faiblesses, laissez-le venir les guérir.
Quelle chance d'être malade et de devoir être dans les bras du père pour qu'il nous soigne !
Beni soit cette faute qui nous vaut un tel sauveur !
zeugme- Date d'inscription : 04/04/2011
Localisation : France
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