Les effets opérés en l’homme par la Charité
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Les effets opérés en l’homme par la Charité
Le premier effet opéré en l’homme par la charité, c’est de nous donner la vie spirituelle en Dieu. Manifestement, en effet, selon la nature, l’aimé est dans l’aimant. C’est pourquoi celui qui aime Dieu le possède en lui-même, conformément à cette parole de saint Jean (1 Jean 4, 16) : Quiconque demeure dans la charité demeure en Dieu et Dieu demeure en lui. C’est aussi la nature de l’amour de transformer, l’aimant en l’aimé. C’est pourquoi, si nous aimons des choses viles et caduques, nous devenons nous-mêmes vils et instables. On dit en effet en Osée (9, 10) : Vos pères, dit Dieu aux enfants d’Israël, sont devenus abominables, comme les idoles, objet de leur amour. Si, au contraire, nous, aimons Dieu, nous devenons divins, car, dit l’Apôtre (1 Co 6, 17), celui qui s’attache au Seigneur n’est avec lui qu’un seul esprit.
Le deuxième effet opéré en l’homme par la charité est l’observation des commandements divins. « L’amour de Dieu, dit en effet saint Grégoire, n’est jamais inactif; il opère de grandes choses s’il existe; mais s’il refuse d’agir, il montre par là, son inexistence. » C’est pourquoi la promptitude à accomplir les préceptes est un signe manifeste de la réalité de la charité. Nous voyons en effet que celui qui aime accomplit des actions grandes et difficiles pour celui qu’il aime. Jésus lui-même a dit (Jn. 14, 23) : Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole. Mais il faut observer que celui qui garde le commandement et, la loi de l’amour divin accomplit toute la loi.
Le troisième effet produit par la charité, c’est d’être un secours contre les adversités. A celui en effet qui possède la charité, l’adversité, quelle qu’elle soit, loin de nuire, se transforme en un bien salutaire, car, dit l’Apôtre (Rm. 8, 28), tout contribue au bien de ceux qui aiment Dieu. Il faut même ajouter : les choses contraires et difficiles paraissent douces à celui qui aime, comme nous-mêmes l’expérimentons.
Le quatrième effet de la charité est de nous conduire à la félicité. La béatitude éternelle en effet est promise seulement à ceux qui possèdent la charité ; car, sans la charité, tout est insuffisant (1 Cor 13). L’Apôtre écrit (2 Tim 4, 8) : il ne me reste qu’à recevoir la couronne de justice, qu’en ce jour-là me donnera le juste Juge, et non seulement à moi, mais à tous ceux qui auront attendu son apparition avec amour. Ainsi sont manifestés les quatre effets produits en nous par la charité. Il y en a en outre quelques autres opérés par elle, qu’on ne peut passer sous silence :
Le cinquième effet produit en nous par la charité, c’est de remettre tous nos péchés. Premièrement, en effet, elle opère la rémission des péchés. Notre propre expérience nous le rend clairement manifeste. Car si un : homme en offense un autre et ensuite l’aime intimement, à cause de l’amour que lui témoigne l’offenseur l’offensé lui pardonne son offense. De la même manière Dieu pardonne leurs péchés à ceux qui l’aiment. C’est pourquoi saint Pierre écrit (1 P, 4, 8) : La charité couvre une multitude des péchés. Et il dît bien : elle couvre, car Dieu ne voit plus leurs péchés pour les punir. Et c’est ce que manifeste surtout l’exemple de Marie-Madeleine, dont le Seigneur dit (Lc 7, 47) : Ses nombreux péchés lui sont pardonnés, et il en donne ensuite la raison : parce qu’elle a beaucoup aimé. Mais peut-être quelqu’un dirait-il : La charité suffit donc pour effacer, les péchés ; par conséquent, la pénitence n’est pas nécessaire. Il faut répondre par cette considération : Personne n’aime sincèrement, qui ne se repent pas sincèrement. Il est manifeste en effet que plus nous aimons quelqu’un, plus nous, avons de douleur, si nous, l’offensons. Et c’est là un des effets de la charité.
Le sixième effet produit en nous par la charité, c’est de nous enseigner tout ce qu’il est nécessaire de savoir pour être sauvé. La charité cause également l’illumination du cœur. Il est dit dans le livre de Job (37, 19) : Nous sommes tous enveloppés de ténèbres. Car il nous arrive fréquemment d’ignorer ce que nous devons faire et ce que nous devons désirer. Or c’est la charité qui nous enseigne tout ce qui est nécessaire au salut. C’est pourquoi saint Jean écrit (1 Jean 2, 27) : Son onction vous instruit de tout. Là en effet où est la charité, là est l’Esprit Saint, qui est l’onction du Seigneur; cet Esprit connaît tout et nous conduit dans la ‘voie droite’, comme il est dit au psaume 142 (10). C’est pourquoi il est écrit au livre de l’Ecclésiastique (2, 10) : Vous qui craignez, le Dieu, aimez-le, et vos cœurs seront remplis de lumière, pour connaître ce qui est nécessaire au salut.
Le septième effet produit par la charité, c’est de donner une joie parfaite, en faisant reposer, l’âme en Dieu. La charité produit aussi en nous une joie parfaite. Personne en effet ne possède vraiment la joie, s’il ne vit pas dans la charité. Car quiconque désire un bien, ne pourra trouver ni joie ni repos, aussi longtemps qu’il ne l’aura pas obtenu. Et il arrive ceci dans les choses temporelles : le bien que nous ne possédons pas, nous le désirons, et une fois possédé, nous le méprisons et il engendre notre dégoût. Mais il en va autrement dans les choses spirituelles. Et même, celui qui aime Dieu le possède; aussi l’âme de celui qui aime et désire le Seigneur se repose en lui. Car, dit saint Jean (1 Jean 4, 16), celui qui demeure dans la charité, demeure en Dieu et Dieu demeure en lui.
Le huitième effet produit par la charité, c’est de donner une paix parfaite, en rassasiant tous les désirs. En outre la charité produit en nous une paix parfaite. Il arrive en effet que les désirs des hommes se portent fréquemment vers les choses temporelles, mais leur âme, après être entrée en possession de ce qu’elle convoitait, n’est pas pour autant en repos; bien au contraire, aussitôt qu’elle entre en possession d’un bien temporel, elle en désire un autre. Le Seigneur dit en effet (Is. 57, 20) : Le cœur de l’impie est comme la mer agitée, qui ne peut se calmer; et il n’y a pas de paix pour les méchants. Mais il en va autrement dans la charité envers Dieu ; en effet celui qui aime possède une paix complète; car nous lisons dans le Psaume 119 (v. 165) : il y a une grande paix pour ceux qui aiment votre loi, Seigneur, et rien ne leur est une occasion de chute. Il en est ainsi, parce que Dieu seul peut rassasier entièrement nos désirs. Dieu en effet, dit l’Apôtre saint Jean (1 Jean 3, 20), est plus grand que notre cœur. Et c’est pourquoi saint Augustin écrit (Confessions L. 1) : « Vous nous avez fait pour vous, Seigneur, et notre cœur est sans repos, aussi longtemps qu’il ne se repose pas en vous ». Et il est dit au Psaume 102 (v. 5) : Le Seigneur remplit vos désirs, en vous comblant de biens.
Le neuvième effet produit en l’homme par la charité, c’est de lui conférer la très haute dignité d’ami de Dieu. Toutes les créatures en effet sont au service de la Majesté divine, (car toutes ont été faites par lui), comme sont au service d’un artisan les objets fabriqués par lui. Mais la charité fait du serviteur un affranchi et un ami. C’est pourquoi le Seigneur dit aux Apôtres (Jn. 15, 15) : Vous, je ne vous appelle plus serviteurs... mais amis. La Charité nous fait fils de Dieu : Cependant saint Paul n’est-il pas le serviteur du Christ et également les autres Apôtres, puisque dans leurs lettres, ils se donnent ce titre? A cette objection, il faut répondre : il existe deux espèces de servitude. La première est celle de la crainte, qui est une servitude pénible et non méritoire. Quiconque en effet s’abstient du péché, uniquement par crainte du châtiment, ne gagne pas de mérite ; mais il est encore serviteur. La seconde servitude est celle de l’amour. Quiconque en effet agit non par crainte de la justice de Dieu, mais par amour pour lui, celui-là n’agit pas comme un serviteur, mais comme un homme libre, parce qu’il agit de son plein gré. C’est de cette manière qu’agirent les Apôtres. Et c’est pourquoi le Christ leur dit : Je ne vous appellerai plus serviteurs. Et si nous demandons : Pourquoi? L’Apôtre répond (Rm 8, 15) : Vous n’avez pas reçu un esprit de servitude pour retomber dans la crainte; mais vous avez reçu un esprit de fils adoptifs. En effet il n’y a pas de crainte dans l’amour, comme dit saint Jean (1 Jean 4, 18), car la crainte suppose un châtiment. Cependant la charité ne nous fait pas seulement libres, elle nous fait aussi fils, de telle sorte, dit saint Jean (1 Jean 3, 1), que nous sommes appelés fils de Dieu et nous le sommes en réalité. C’est en effet lorsque l’étranger s’est acquis un droit à son héritage qu’il devient le fils adoptif de quelqu’un. Ainsi est-ce par la charité que nous acquérons un droit à l’héritage de Dieu, qui est la vie éternelle. Car, comme le dit saint Paul (Rm 8, 16-17), l’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes fils de Dieu. M’ais si nous sommes fils, nous sommes aussi héritiers; héritiers de ‘Dieu et cohéritiers du Christ. Le livre de la Sagesse dit également à propos des justes (5, 5) : Voici qu’ils ont été comptés parmi les fils de Dieu.
(Saint Thomas d’Aquin)
Le deuxième effet opéré en l’homme par la charité est l’observation des commandements divins. « L’amour de Dieu, dit en effet saint Grégoire, n’est jamais inactif; il opère de grandes choses s’il existe; mais s’il refuse d’agir, il montre par là, son inexistence. » C’est pourquoi la promptitude à accomplir les préceptes est un signe manifeste de la réalité de la charité. Nous voyons en effet que celui qui aime accomplit des actions grandes et difficiles pour celui qu’il aime. Jésus lui-même a dit (Jn. 14, 23) : Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole. Mais il faut observer que celui qui garde le commandement et, la loi de l’amour divin accomplit toute la loi.
Le troisième effet produit par la charité, c’est d’être un secours contre les adversités. A celui en effet qui possède la charité, l’adversité, quelle qu’elle soit, loin de nuire, se transforme en un bien salutaire, car, dit l’Apôtre (Rm. 8, 28), tout contribue au bien de ceux qui aiment Dieu. Il faut même ajouter : les choses contraires et difficiles paraissent douces à celui qui aime, comme nous-mêmes l’expérimentons.
Le quatrième effet de la charité est de nous conduire à la félicité. La béatitude éternelle en effet est promise seulement à ceux qui possèdent la charité ; car, sans la charité, tout est insuffisant (1 Cor 13). L’Apôtre écrit (2 Tim 4, 8) : il ne me reste qu’à recevoir la couronne de justice, qu’en ce jour-là me donnera le juste Juge, et non seulement à moi, mais à tous ceux qui auront attendu son apparition avec amour. Ainsi sont manifestés les quatre effets produits en nous par la charité. Il y en a en outre quelques autres opérés par elle, qu’on ne peut passer sous silence :
Le cinquième effet produit en nous par la charité, c’est de remettre tous nos péchés. Premièrement, en effet, elle opère la rémission des péchés. Notre propre expérience nous le rend clairement manifeste. Car si un : homme en offense un autre et ensuite l’aime intimement, à cause de l’amour que lui témoigne l’offenseur l’offensé lui pardonne son offense. De la même manière Dieu pardonne leurs péchés à ceux qui l’aiment. C’est pourquoi saint Pierre écrit (1 P, 4, 8) : La charité couvre une multitude des péchés. Et il dît bien : elle couvre, car Dieu ne voit plus leurs péchés pour les punir. Et c’est ce que manifeste surtout l’exemple de Marie-Madeleine, dont le Seigneur dit (Lc 7, 47) : Ses nombreux péchés lui sont pardonnés, et il en donne ensuite la raison : parce qu’elle a beaucoup aimé. Mais peut-être quelqu’un dirait-il : La charité suffit donc pour effacer, les péchés ; par conséquent, la pénitence n’est pas nécessaire. Il faut répondre par cette considération : Personne n’aime sincèrement, qui ne se repent pas sincèrement. Il est manifeste en effet que plus nous aimons quelqu’un, plus nous, avons de douleur, si nous, l’offensons. Et c’est là un des effets de la charité.
Le sixième effet produit en nous par la charité, c’est de nous enseigner tout ce qu’il est nécessaire de savoir pour être sauvé. La charité cause également l’illumination du cœur. Il est dit dans le livre de Job (37, 19) : Nous sommes tous enveloppés de ténèbres. Car il nous arrive fréquemment d’ignorer ce que nous devons faire et ce que nous devons désirer. Or c’est la charité qui nous enseigne tout ce qui est nécessaire au salut. C’est pourquoi saint Jean écrit (1 Jean 2, 27) : Son onction vous instruit de tout. Là en effet où est la charité, là est l’Esprit Saint, qui est l’onction du Seigneur; cet Esprit connaît tout et nous conduit dans la ‘voie droite’, comme il est dit au psaume 142 (10). C’est pourquoi il est écrit au livre de l’Ecclésiastique (2, 10) : Vous qui craignez, le Dieu, aimez-le, et vos cœurs seront remplis de lumière, pour connaître ce qui est nécessaire au salut.
Le septième effet produit par la charité, c’est de donner une joie parfaite, en faisant reposer, l’âme en Dieu. La charité produit aussi en nous une joie parfaite. Personne en effet ne possède vraiment la joie, s’il ne vit pas dans la charité. Car quiconque désire un bien, ne pourra trouver ni joie ni repos, aussi longtemps qu’il ne l’aura pas obtenu. Et il arrive ceci dans les choses temporelles : le bien que nous ne possédons pas, nous le désirons, et une fois possédé, nous le méprisons et il engendre notre dégoût. Mais il en va autrement dans les choses spirituelles. Et même, celui qui aime Dieu le possède; aussi l’âme de celui qui aime et désire le Seigneur se repose en lui. Car, dit saint Jean (1 Jean 4, 16), celui qui demeure dans la charité, demeure en Dieu et Dieu demeure en lui.
Le huitième effet produit par la charité, c’est de donner une paix parfaite, en rassasiant tous les désirs. En outre la charité produit en nous une paix parfaite. Il arrive en effet que les désirs des hommes se portent fréquemment vers les choses temporelles, mais leur âme, après être entrée en possession de ce qu’elle convoitait, n’est pas pour autant en repos; bien au contraire, aussitôt qu’elle entre en possession d’un bien temporel, elle en désire un autre. Le Seigneur dit en effet (Is. 57, 20) : Le cœur de l’impie est comme la mer agitée, qui ne peut se calmer; et il n’y a pas de paix pour les méchants. Mais il en va autrement dans la charité envers Dieu ; en effet celui qui aime possède une paix complète; car nous lisons dans le Psaume 119 (v. 165) : il y a une grande paix pour ceux qui aiment votre loi, Seigneur, et rien ne leur est une occasion de chute. Il en est ainsi, parce que Dieu seul peut rassasier entièrement nos désirs. Dieu en effet, dit l’Apôtre saint Jean (1 Jean 3, 20), est plus grand que notre cœur. Et c’est pourquoi saint Augustin écrit (Confessions L. 1) : « Vous nous avez fait pour vous, Seigneur, et notre cœur est sans repos, aussi longtemps qu’il ne se repose pas en vous ». Et il est dit au Psaume 102 (v. 5) : Le Seigneur remplit vos désirs, en vous comblant de biens.
Le neuvième effet produit en l’homme par la charité, c’est de lui conférer la très haute dignité d’ami de Dieu. Toutes les créatures en effet sont au service de la Majesté divine, (car toutes ont été faites par lui), comme sont au service d’un artisan les objets fabriqués par lui. Mais la charité fait du serviteur un affranchi et un ami. C’est pourquoi le Seigneur dit aux Apôtres (Jn. 15, 15) : Vous, je ne vous appelle plus serviteurs... mais amis. La Charité nous fait fils de Dieu : Cependant saint Paul n’est-il pas le serviteur du Christ et également les autres Apôtres, puisque dans leurs lettres, ils se donnent ce titre? A cette objection, il faut répondre : il existe deux espèces de servitude. La première est celle de la crainte, qui est une servitude pénible et non méritoire. Quiconque en effet s’abstient du péché, uniquement par crainte du châtiment, ne gagne pas de mérite ; mais il est encore serviteur. La seconde servitude est celle de l’amour. Quiconque en effet agit non par crainte de la justice de Dieu, mais par amour pour lui, celui-là n’agit pas comme un serviteur, mais comme un homme libre, parce qu’il agit de son plein gré. C’est de cette manière qu’agirent les Apôtres. Et c’est pourquoi le Christ leur dit : Je ne vous appellerai plus serviteurs. Et si nous demandons : Pourquoi? L’Apôtre répond (Rm 8, 15) : Vous n’avez pas reçu un esprit de servitude pour retomber dans la crainte; mais vous avez reçu un esprit de fils adoptifs. En effet il n’y a pas de crainte dans l’amour, comme dit saint Jean (1 Jean 4, 18), car la crainte suppose un châtiment. Cependant la charité ne nous fait pas seulement libres, elle nous fait aussi fils, de telle sorte, dit saint Jean (1 Jean 3, 1), que nous sommes appelés fils de Dieu et nous le sommes en réalité. C’est en effet lorsque l’étranger s’est acquis un droit à son héritage qu’il devient le fils adoptif de quelqu’un. Ainsi est-ce par la charité que nous acquérons un droit à l’héritage de Dieu, qui est la vie éternelle. Car, comme le dit saint Paul (Rm 8, 16-17), l’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes fils de Dieu. M’ais si nous sommes fils, nous sommes aussi héritiers; héritiers de ‘Dieu et cohéritiers du Christ. Le livre de la Sagesse dit également à propos des justes (5, 5) : Voici qu’ils ont été comptés parmi les fils de Dieu.
(Saint Thomas d’Aquin)
Thrd- Date d'inscription : 04/03/2011
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