POUR DES JEUNES FRANCAIS
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POUR DES JEUNES FRANCAIS
Sous-titré Mémorial en réponse à un questionnaire, POUR UN JEUNE FRANCAIS, publié en 1949, ce livre est un riche ouvrage d’histoire des idées politiques de l’ATION FRANCAISE, dont la densité n’a d’égale que la solidité doctrinale de son auteur. Celui-ci, reconnu coupable « d’avoir entretenu des intelligences avec une puissance ennemie », fut condamné le 27 janvier 1945 par la Cour de Justice de Lyon à la réclusion criminelle à perpétuité. Enfermé dans les geoles de la République à Clairvaux, résolu à répondre à « un jeune Français, lettré, sérieux et curieux […], sur un temps dont [il est] témoin », Maurras relate en « deux cent cinquante pages de cette épistole géante » (En réponse à un questionnaire que Pierre de Boisdeffre lui avait soumis) les faits marquants de son temps et explique pourquoi, à la lumière des gabegies républicaines, il est impérieux « pour que la France vive », qu’elle ait un Roi.
Il est important de reprendre ce livre pour des jeunes Français d'aujourd'hui qui voudraient rester... Français.
LA REPUBLIQUE GERMANOMANIAQUE.
Maurras commence par observer que « les répercussions politiques de la défaite [de 1870] se sont traduites dans les attitudes successives de l’État Français ». Comment en effet, sinon par d’inconnus mystères, interpréter cette manie germanophile qui servit de ligne d’horizon à la politique –intérieure et extérieure– Française et n’empêcha nullement l’Europe de s’embraser en 1914 ? Malgré le désir brûlant de la Revanche, « véritable reine de France » selon une formule empruntée par Maurras, « la politique générale des maîtres du jour nous avait enlevé nos défenses intérieures et nos réactions naturelles contre le Reich bismarcko-wilhelminien, sans nous garantir le moins du monde aucune paix avec l’Allemagne » . Gambetta et ses zélateurs s’employèrent d’ailleurs énergiquement à « fabriquer de subtiles combinaisons de pacifisme antimilitariste et d’optimisme juridique ardemment poétisé ».
Maurras rappelle les Discours à la nation allemande de Fichte, miroir du germanisme, dont la lecture eût dû pourtant éclairer autant qu’alerter le gouvernement de la France sur les intentions profondes et viscérales d’une Allemagne mue par « l’inique folie [de son] nationalisme ». Pour Maurras, « Ce Coran luthérien, ce Mein Kampf avant la lettre (…) préludait à l’ensemencement hitlérien ». Depuis la réunification de l’Allemagne en 1989, on nous aura ressassé les vertus du couple franco-allemand en tant que moteur de l’Europe. Méprisant les leçons de l’Histoire, la France se sera de nouveau abîmée dans les errements de sa "germanofolie".
Qu’adviendrait-il, cependant, si les deux pays ne marchaient plus du même pas et adoptaient des positions géostratégiques contraires ?
LES MAITRES DE L'OLIGARCHIE.
Mais l’oligarchie aux rênes du pouvoir, naviguant à vue, incapable d’inscrire une politique cohérente dans la durée, pour cause d’échéances électorales, n’en a cure. Fort de ses deux maîtres que sont l’esprit révolutionnaire et le kantisme, l’Établissement – autre nom du Moloch oligarcho-démocratique –, prospère et endogame, se fonde « principalement sur l’existence d’une minorité organisée devenue la maîtresse des postes-clés politiques et sociaux ».
L’ivresse révolutionnaire alliée au poison kantien ont engendré l’individualisme, lequel, derrière Jules Ferry, a pour promoteur intarissable l’école laïque, ce foyer manqué de l’instruction où « le nombre des illettrés analphabètes ne s’est pas abaissé, au contraire ». Mais « Par la morale indépendante qu’est le petit nom du kantisme », l’oligarchie républicaine n’a eu de cesse de renverser les valeurs et d’ériger chacun en mesure de toute chose.
Le déracinement de l’individu de la véritable « morale [qui] a toujours eu en France un caractère dépendant (…) de toutes sortes d’habitudes immémoriales dont les majestés inégales étaient invoquées tour à tour » et l’encensement corrélatif de « l’autonomie de la Conscience dans la personne » eurent pour funeste conséquence l’avènement du « gouvernement d’opinion ». Pour tenir le peuple, il faut tenir sa pensée et « choisir son vote pour lui ». Tel est le lourd tribut de la « démocratie en action ». Citant Fustel de Coulanges, son maître, Charles Maurras reconnaît qu’« il n’y eut jamais de despotisme au monde qui pût faire autant de mal ».
UNE DOCTRINE DE SALUT PUBLIC.
Avant-guerre, après-guerre et soixante ans plus tard, tout a changé… en pire. La haine de soi, avatar de l’individualisme consumériste, est devenue religion d’État. « Les intérêts de Démos veulent que les petits Français soient instruits dans un esprit d’antagonisme mutuel ». La réécriture de l’Histoire officielle suscite un néo-patriotisme dévoyé qui, nous dit Maurras à la suite de Fustel, « n’est au fond que la haine de tout ce qui est Français. Il ne nous inspire que méfiance et indiscipline. Il nous pousse tout droit à la guerre civile ».
Maurras encourage donc à renouer avec la Politique, « souveraine responsable de la nation ». Pour cela, il importe de rétablir la nation, qui « est, au temporel, la condition de la vie de l’homme : d’elle et d’elle d’abord, dépendent les garanties des relations sociales privées comme aussi bien collectives, économiques […] ; toutes les autres s’effondrent […] quand la première n’est pas maintenue ».
Pour ce faire, enseigne Maurras, le principe du « nationalisme intégral », qui est la rencontre entre, d’une part, « l’État-Un et […] son autorité-née » -« le Roi dans ses conseils »- et, d’autre part, « des États-multiples et […] leurs libertés-nées » -« le Peuple en ses États »- est le plus puissant principe d’action politique à même de « prendre, effectivement, le contre-pied de ce mal [démocratique] ».
Le grand mérite de Maurras est d'avoir réussi, à l'aube du XXème siècle, à opérer la synthèse de la Contrerévolution et du nationalisme.
Le « nationalisme intégral » est à la fois le symbole et le résultat de cette synthèse. Le propre de l'ACTION FRANCAISE est ainsi de rappeler la formule traditionnelle, Royale, d'un ordre spécifiquement Français dans le contexte et avec le vocabulaire de la politique moderne.
À la lumière de ce qui précède, l'erreur d'interprétation évoquée plus haut se révèle être un contresens radical. En effet, le « nationalisme intégral » est un nationalisme modéré, tempéré par la tradition CATHOLIQUE, un nationalisme CHRETIEN en quelque sorte vacciné contre les dérives du césarisme, du fascisme ou du totalitarisme. Ces formes de « nationalitarismes » (terme forgé par les maurrassiens pour s'en distinguer) répondent à des logiques (légitimité charismatique, divinisation du peuple et de la volonté générale) fondamentalement étrangères au modèle de la monarchie traditionnelle -SLIQUE, CATHOLIQUE, CORPORATISTE, ANTI-COMMUNISTE- et décentralisée que nous défendons.
Après la condamnation en 1936 de l'Action Française par le Comte de Paris, l'Abbé Georges de Nantes, qui fut chroniqueur religieux du journal Aspect de la France, appellera à continuer l'oeuvre de restauration Monarchique tout en laissant humblement à Dieu le choix du Roi à venir :
-Dicuter du Prétendant, choisir son Prince, c'est déjà être républicain !
Et de lancer le mot d'ordre : POLITIQUE D'ABORD !
ppour Charles Maurras, cette poliyique ne pouvait être qu'une politique Chrétienne, la France étant "la nation des Frances qui a Dieu pour fondateur", et la France, "sans lévocation au Dieu qui aima les Français", étant un "concept dégénéré.
L'Abbé Georges de Nantes a bien saisi le rapprochment entre le POLITIQUE D'ABORD de Charles Maurras et le DIEU PREMIER SERVI de sainte Jeanne d'arc.
Maurras avait anticipé l'action future de l'Abbé de Nantes :
-Une ACTION FRANCAISE se reverra par la force des choses. Notre façon de combattre sera reprise, par le simple effet de la volonté interessée de la France, de la nôtre, qui durera en elle et qui sera précisément ce que les naufrageurs ne veulent pas. Nous avons falli leur ôter de la bouche leur sale gagne pain (le 6 Février 1934), le sale butin qu'il en tirait ! Or si tout passe, tout revient. Leur précautions ont beau être serrées comme des chaines. L'espérence est reine de tout politique : le desespoir est " la sottise absolue ". En sus de l'espérence il existe, au surplus, des assurences et des confiances qui, sans tenir à la foi religieuse, y ressemble sur le modeste plan de nos certitudes terrestres : je ne cesserai de répéter que les Français ont deux devoirs naturels , compter sur le patriotisme de leur pays, et se fier à son intelligence. Ils seront sauvés par l'un et par l'autre, celle-ci étant pénétrée, de plus en plus, par celui-là. Il sera beaucoups plus difficile à ces deux grandes choses Françaises de se détruire que de durer ou de vivre. Leur disparition simultanée leuir couterait plus d'effort que la plus âpre des persévérences dans l'être que les plus péibles maïeutique du renouveau (Charles Maurras, Pour un jeune Français, Editions Amiot-Dumont, p.222).
Le Marquis de la Franquerie ne s'y était pas trompé, qui écrivit dans les années 70 du XX° siècle un livre magistral : MAURRAS, GRAND DEFENSEUR DES VERITES ETERNELLES (Editions de Chiré).
Aujourd’hui comme hier, POUR UN JEUNE FRANCAIS n’a rien perdu de son acuité de jugement comme de son actualité, les maux semblables conduisant toujours aux mêmes effets désastreux et multiplicateurs.
Hervé J. VOLTO, CJA
_____________
A lire : Charles Maurras, POUR UN JEUNE FRANCAIS (Éd. Amiot-Dumont, Paris, 1949)
Il est important de reprendre ce livre pour des jeunes Français d'aujourd'hui qui voudraient rester... Français.
LA REPUBLIQUE GERMANOMANIAQUE.
Maurras commence par observer que « les répercussions politiques de la défaite [de 1870] se sont traduites dans les attitudes successives de l’État Français ». Comment en effet, sinon par d’inconnus mystères, interpréter cette manie germanophile qui servit de ligne d’horizon à la politique –intérieure et extérieure– Française et n’empêcha nullement l’Europe de s’embraser en 1914 ? Malgré le désir brûlant de la Revanche, « véritable reine de France » selon une formule empruntée par Maurras, « la politique générale des maîtres du jour nous avait enlevé nos défenses intérieures et nos réactions naturelles contre le Reich bismarcko-wilhelminien, sans nous garantir le moins du monde aucune paix avec l’Allemagne » . Gambetta et ses zélateurs s’employèrent d’ailleurs énergiquement à « fabriquer de subtiles combinaisons de pacifisme antimilitariste et d’optimisme juridique ardemment poétisé ».
Maurras rappelle les Discours à la nation allemande de Fichte, miroir du germanisme, dont la lecture eût dû pourtant éclairer autant qu’alerter le gouvernement de la France sur les intentions profondes et viscérales d’une Allemagne mue par « l’inique folie [de son] nationalisme ». Pour Maurras, « Ce Coran luthérien, ce Mein Kampf avant la lettre (…) préludait à l’ensemencement hitlérien ». Depuis la réunification de l’Allemagne en 1989, on nous aura ressassé les vertus du couple franco-allemand en tant que moteur de l’Europe. Méprisant les leçons de l’Histoire, la France se sera de nouveau abîmée dans les errements de sa "germanofolie".
Qu’adviendrait-il, cependant, si les deux pays ne marchaient plus du même pas et adoptaient des positions géostratégiques contraires ?
LES MAITRES DE L'OLIGARCHIE.
Mais l’oligarchie aux rênes du pouvoir, naviguant à vue, incapable d’inscrire une politique cohérente dans la durée, pour cause d’échéances électorales, n’en a cure. Fort de ses deux maîtres que sont l’esprit révolutionnaire et le kantisme, l’Établissement – autre nom du Moloch oligarcho-démocratique –, prospère et endogame, se fonde « principalement sur l’existence d’une minorité organisée devenue la maîtresse des postes-clés politiques et sociaux ».
L’ivresse révolutionnaire alliée au poison kantien ont engendré l’individualisme, lequel, derrière Jules Ferry, a pour promoteur intarissable l’école laïque, ce foyer manqué de l’instruction où « le nombre des illettrés analphabètes ne s’est pas abaissé, au contraire ». Mais « Par la morale indépendante qu’est le petit nom du kantisme », l’oligarchie républicaine n’a eu de cesse de renverser les valeurs et d’ériger chacun en mesure de toute chose.
Le déracinement de l’individu de la véritable « morale [qui] a toujours eu en France un caractère dépendant (…) de toutes sortes d’habitudes immémoriales dont les majestés inégales étaient invoquées tour à tour » et l’encensement corrélatif de « l’autonomie de la Conscience dans la personne » eurent pour funeste conséquence l’avènement du « gouvernement d’opinion ». Pour tenir le peuple, il faut tenir sa pensée et « choisir son vote pour lui ». Tel est le lourd tribut de la « démocratie en action ». Citant Fustel de Coulanges, son maître, Charles Maurras reconnaît qu’« il n’y eut jamais de despotisme au monde qui pût faire autant de mal ».
UNE DOCTRINE DE SALUT PUBLIC.
Avant-guerre, après-guerre et soixante ans plus tard, tout a changé… en pire. La haine de soi, avatar de l’individualisme consumériste, est devenue religion d’État. « Les intérêts de Démos veulent que les petits Français soient instruits dans un esprit d’antagonisme mutuel ». La réécriture de l’Histoire officielle suscite un néo-patriotisme dévoyé qui, nous dit Maurras à la suite de Fustel, « n’est au fond que la haine de tout ce qui est Français. Il ne nous inspire que méfiance et indiscipline. Il nous pousse tout droit à la guerre civile ».
Maurras encourage donc à renouer avec la Politique, « souveraine responsable de la nation ». Pour cela, il importe de rétablir la nation, qui « est, au temporel, la condition de la vie de l’homme : d’elle et d’elle d’abord, dépendent les garanties des relations sociales privées comme aussi bien collectives, économiques […] ; toutes les autres s’effondrent […] quand la première n’est pas maintenue ».
Pour ce faire, enseigne Maurras, le principe du « nationalisme intégral », qui est la rencontre entre, d’une part, « l’État-Un et […] son autorité-née » -« le Roi dans ses conseils »- et, d’autre part, « des États-multiples et […] leurs libertés-nées » -« le Peuple en ses États »- est le plus puissant principe d’action politique à même de « prendre, effectivement, le contre-pied de ce mal [démocratique] ».
Le grand mérite de Maurras est d'avoir réussi, à l'aube du XXème siècle, à opérer la synthèse de la Contrerévolution et du nationalisme.
Le « nationalisme intégral » est à la fois le symbole et le résultat de cette synthèse. Le propre de l'ACTION FRANCAISE est ainsi de rappeler la formule traditionnelle, Royale, d'un ordre spécifiquement Français dans le contexte et avec le vocabulaire de la politique moderne.
À la lumière de ce qui précède, l'erreur d'interprétation évoquée plus haut se révèle être un contresens radical. En effet, le « nationalisme intégral » est un nationalisme modéré, tempéré par la tradition CATHOLIQUE, un nationalisme CHRETIEN en quelque sorte vacciné contre les dérives du césarisme, du fascisme ou du totalitarisme. Ces formes de « nationalitarismes » (terme forgé par les maurrassiens pour s'en distinguer) répondent à des logiques (légitimité charismatique, divinisation du peuple et de la volonté générale) fondamentalement étrangères au modèle de la monarchie traditionnelle -SLIQUE, CATHOLIQUE, CORPORATISTE, ANTI-COMMUNISTE- et décentralisée que nous défendons.
Après la condamnation en 1936 de l'Action Française par le Comte de Paris, l'Abbé Georges de Nantes, qui fut chroniqueur religieux du journal Aspect de la France, appellera à continuer l'oeuvre de restauration Monarchique tout en laissant humblement à Dieu le choix du Roi à venir :
-Dicuter du Prétendant, choisir son Prince, c'est déjà être républicain !
Et de lancer le mot d'ordre : POLITIQUE D'ABORD !
ppour Charles Maurras, cette poliyique ne pouvait être qu'une politique Chrétienne, la France étant "la nation des Frances qui a Dieu pour fondateur", et la France, "sans lévocation au Dieu qui aima les Français", étant un "concept dégénéré.
L'Abbé Georges de Nantes a bien saisi le rapprochment entre le POLITIQUE D'ABORD de Charles Maurras et le DIEU PREMIER SERVI de sainte Jeanne d'arc.
Maurras avait anticipé l'action future de l'Abbé de Nantes :
-Une ACTION FRANCAISE se reverra par la force des choses. Notre façon de combattre sera reprise, par le simple effet de la volonté interessée de la France, de la nôtre, qui durera en elle et qui sera précisément ce que les naufrageurs ne veulent pas. Nous avons falli leur ôter de la bouche leur sale gagne pain (le 6 Février 1934), le sale butin qu'il en tirait ! Or si tout passe, tout revient. Leur précautions ont beau être serrées comme des chaines. L'espérence est reine de tout politique : le desespoir est " la sottise absolue ". En sus de l'espérence il existe, au surplus, des assurences et des confiances qui, sans tenir à la foi religieuse, y ressemble sur le modeste plan de nos certitudes terrestres : je ne cesserai de répéter que les Français ont deux devoirs naturels , compter sur le patriotisme de leur pays, et se fier à son intelligence. Ils seront sauvés par l'un et par l'autre, celle-ci étant pénétrée, de plus en plus, par celui-là. Il sera beaucoups plus difficile à ces deux grandes choses Françaises de se détruire que de durer ou de vivre. Leur disparition simultanée leuir couterait plus d'effort que la plus âpre des persévérences dans l'être que les plus péibles maïeutique du renouveau (Charles Maurras, Pour un jeune Français, Editions Amiot-Dumont, p.222).
Le Marquis de la Franquerie ne s'y était pas trompé, qui écrivit dans les années 70 du XX° siècle un livre magistral : MAURRAS, GRAND DEFENSEUR DES VERITES ETERNELLES (Editions de Chiré).
Aujourd’hui comme hier, POUR UN JEUNE FRANCAIS n’a rien perdu de son acuité de jugement comme de son actualité, les maux semblables conduisant toujours aux mêmes effets désastreux et multiplicateurs.
Hervé J. VOLTO, CJA
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A lire : Charles Maurras, POUR UN JEUNE FRANCAIS (Éd. Amiot-Dumont, Paris, 1949)
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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