COMBATTRE POUR LA VRAIE FRANCE
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COMBATTRE POUR LA VRAIE FRANCE
Pour les générations de français, d’aujourd’hui comme ceux de demain, qui veulent œuvrer pour le redressement de la France et sa gloire, ils devront d’abord apprendre à faire la distinction entre les deux France : celle née au Baptême de Clovis (An 496), culturelle et religieuse, Fille Aînée de l'Eglise et Educatrice des Peuples, et symbolisée par les Lys... et cellle née en 1789, idéoligique et maçonnique, laïque et athéisante et symbolisée par le drapeau tricolore. Car ce n’est pas en propageant l’erreur ou en interprétant cette dernière comme une tradition, qu’on pourra changer les choses. Si en 2 siècles les forces nationalistes et Contrerévolutionnaires ont échoué, c’est parce qu’il y a dans leurs principes ou leurs interprétations des erreurs émanant du patriotisme révolutionnaire. Nous l’avons bien vu entre autre avec Maurras…
Certains culpabiliseront en rétorquant « Oui mais que faites-vous de tous ceux qui sont morts sous le drapeau républicain ? » Notre réponse est très simple. Nous nous devons de respecter ces morts qui de leur vivant, ont cru se sacrifier pour la vraie France. Ils méritent notre respect. Mais pensez-vous vraiment que ces combattants se soient sacrifiés pour voir émerger une France comme la nôtre en ce début du XXIème siècle ? Si le soldat inconnu sous l’arc de Triomphe à Paris se réveillait et voyait la France d’aujourd’hui, croyez-vous vraiment qu’il estimerait que sa mort fut réellement utile ? On n'est pas sur qu'il serait content de voir qu'il est mort pour mettrre une massive immigration-invasion non Chrétienne que l'on présente comme “une chance pour la France”.
Bon, oui... la France est toujours un Royaume -un peuple et un territoire- aujourd'hui sous une Régence diabolique, alors que la Prusse par exemple n'existe plus comme Etat mais se réduite aujourd'hui à une zone géographique située entre le Nord-Est de l'allemagne et le Nord-Ouest de la Pologne !
Alors, devant le sacrifice de ces morts sous la bannière républicaine qui les a trahit, nous ne pouvons que combattre l’erreur qu’elle incarne, et offrir à ces combattants une France forte et glorieuse qui naîtra automatiquement de la déchéance de la république. C’est notre responsabilité vis-à-vis d’eux et même notre devoir ! Ayons toujours à l’esprit que la France n’est pas une civilisation à inventer. Elle est née du baptistère de Reims lors du Sacre de Clovis par Saint Rémi. Et ce dernier à sceller son destin par ces paroles :
-Apprenez mon Fils que le Royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l’Eglise Romaine, qui est la seule véritable église du Christ. Ce Royaume sera un jour grand entre tous les royaumes et il embrassera toutes les limites de l'Empire Romain et il soumettra tous les peuples à son sceptre, il durera jusqu'à la fin des temps. Il sera victorieux et prospère tant qu'il sera fidèle à la loi romaine, mais il sera rudement châtié toutes les fois qu'il sera infidèle à sa vocation.
Et les 1500 ans d’histoire qui succèderont au Sacre démontreront la véracité de ces paroles : Les Rois Mérovingiens fondent la France, terre des Francs, Royaume Très Chrétiene et Fille Aînée de l'Eglise et chassent l'hérésie aryenne, les Rois Carolingiens portent UNE FOI, UN ROI, UNE LOI de la Catalogne à la Pologne, les Rois Capétiens construisent les cathédrales et instituent la Chevalerie qu'ils envoient en Croisade pour libérer les Lieux Saints, les Capétiens-Valois fondent le Portectorat Français sur les Lieux Saints (qui ne sera abandonné qu'en 1926) et les Capétiens-Bourbons assoient le caractère Sacré de la Couronne et de l'Etat Français et organisent les missions Françaises en Amérique, en Afrique et en Asie avant de touner tous les arts baroues vers Dieu (c'est l'époque du Messia de Hendel, de l'Avé Maria, de la Grande Musique).
Chaque fois que la France a dévié de sa vocation chaque foi elle fut châtiée ! Nous l’avons vu avec les défaites successives de la Guerre de Cent-ans, les 8 guerres de religions dû à l’arrivé du protestantisme, la Révolution dite Française de 1789, les républiques qui successivement laïcisent, athéïsent puis islamisent la France, etc… Chaque fois que la France a dévié de sa vocation en reniant ses fondements, la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale, ou la foi en l’Eglise romaine, elle fût châtiée, et l'immigration-invasion non-Chrétienne qui met en danger l'identité Gallo-Romaine et Franco-Catholique de la France n’est qu’un énième châtiment issu de notre reniement de la vraie France.
C'est dans les pas des Croisés, des Compagnons de Sainte Jeanne d'Arc, des Mousquetaires du Roi, des Vendéens et des Chouans, des Chevaliers de la Foi, que nous devons placer notre combat. Le ralliement à la République de 1892 fut néfaste pour les forces traditonnelles de la vraie France, celle de la Contrerévolution, aboutissant au final à une desastreuse condamnation de l'Action Française en 1926 suivi du Concile Vatican II en 1962.
-Le Concile (de Vatican II), c'est 1789 dans l'Eglise (Carninal Léon Joseph Suenens) !
Et comme nous l'avons dit, 1789 marque la distinction entre deux types de sociéte se rendiquant chacune du nom de France. Le Concile Vatican II marquera lui aussi la distinction entre deux Eglises se revendiquant toutes deux du nom de Catholicisme. Sauf que, avant le Concile, plus précisément avant le Ralliement de 1892, il s'agissait du vrai Catholicisme, celui partiqué depuis les premières communautés Chrétiennes de l'Empire de Rome, celui de l'épopée des Croisades, celui défendu corps et âme par Sainte-Jeanne d'Arc, Apôtre et Martyre de la Royauté Universelle de N.S. Jésus-Christ et du caractère Sacré et Divin du Roi de France Son Lieutenant, bref, par la vraie France, qui fit la civilisation Chrétienne.
L'autre Catholicisme, celui d'après le Ralliement et plus précisément celui de Vatican II, c'est celui d'une sous-religion totlement affaiblie face à la République, dépourvue d'une réelle spiritualité, engendrant des messes dites modernes avec pour conséquance le vide totale de nos églises et une recul particulièrement pronocé de la partique religieuse au fil de années.
Vide compensé par la société de consomation ou par d'aiutre religiosités exotiques, bref un catholcisime d'apparence afin que puissse s'épanouir celle de la fausse religion enthropocentriste des droits de l'homme et se valeurs maçonniques, c'est à dire celle de la fause France d'après 1789.
Monseigneur Henri Delassus disait :
-La France est née, elle a vécu Catholique et Monarchique, sa naissance et sa prospérité ont été en raison directe du degré où elle s’est rattachée à son Église et à son Roi. Toutes les fois qu’au contraire ses énergies se sont exercées à l’encontre de ces deux idées directrices, l’organisation nationale a été profondément, dangereusement troublée. D’où cette impérieuse conclusion que la France ne peut cesser d’être catholique et monarchique sans cesser d’être la France (Monseigneur Henri Delassus, L’esprit familial, page 210).
Malheureusement, en gardant le nom de France, les révolutionnaires ont volonairement fait l'amalgame entre la France catholique et Royale, Fille Aînée de l'Eglise et Educatrice des Peuples, et la France républicaine idéologique, laïque et droits-de-l'hommistes. Bref être républicain, c'est rejeter la premiète défendre la seconde, promouvoir le drapeau bleu, blanc, rouge, la devise de la République -“Unité, Indivisibilité de la République, Liberté, Egalité, Fraternité ou la mort”, changée en Liberté, Egalité, Fraternité, après les horreurs de la Terreur et du génocide Vendéen- la Maseillaise, et les Droits de l'Homme imposés par la force.
Car comme le disait Jules Michelet :
-La vie du Catholicisme, c'est la mort de la République. La vie de la République, c'est la mort du Catholicisme !
Tout celà n'a rien à voir avec la France : il s'agit d'une société qui a usrpé le nom de France et a engendré une sous-France, dans les deux sens phonétiques du terme (sous-France = souffrance). C'est d'ailleurs cette distinction parfaite entre les deux France que faisaient les membres de le Conseil Supérieur de l'Armée Catholique et Royale de Vendée, qui résistaient à la Révolution dite Française au nom de l'Enfant-Roi Louis XVII alors à prisonnier au Temple malgrès qu'il ne fut agé que de 9 ans !
Charette, un des membres du Conseil Supérieur, dira :
-Notre Patrie à nous, c'est nos village, nos autels, nos tombeaux, tout ce que nos père ont aimè avant nous. Notre Patrie, cette notre Foi, notre terre, notre Roi... mais leur Patrie à eux, qu'est-ce que c'est ? Vous le comprenez, vous ? Ils veulent détruire les coutumes, l'ordre, la tradition... Alors qu'est-ce que c'est que cette Patrie nargante du passé sans fidélité, sans Amour ? Cette patrie de billebaude et d'irreligion ? Beau dicourt, n'est-ce pas ? Pour eux la Patrie semble n'être qu'une idée : pour nous, elle est une terre...
Un terre voulu Chrétienne. Et c'est pour la vraie France, Catholique et Royale que nous devons combattre. Et c'est le véritable Catholicisme que nous devons défendre, celui des Croisés, de Saint Louis, des compagnons de Jeanne d'Arc, des Ligueurs du temps d'Henri IV, celui des Mousquetaires du Roi, et des résistants Conterrévolutionaires de Vendée, des Chevaliers de la Foi qui firent tomber Napoléon et parmirent la Restauration, des Zouaves Pontificaux du Général de Sonis, .
-Avant d'être Royaliste, je suis Catholique et Français; je dirai même que je ne suis Royaliste que parce que suis Catholique et Français (Maurice d'Andigné) !
Alors, en attendant le Roi Très Chrètien, devons nous opérer un compromis nationaliste ? L'Union Sacrée n'est envisageable que si un danger étranger immédiat menace tout le pays et sa population, tous les Français, qu'ils soient républicains ou Royalistes, devant s'unir pour boutter l'étranger hosr de France comme lors de la Guerre 14-18 . Mais Charles Maurras lui-même nous a enseigné que “la tradition est critique” : nous n'assumons pas le tout de l'héritage Français. Nous ne faisons pas notre l'héritage des abominations de la Révolution, ni celles de la collaboration, ni celles de la Libération, ni celles du gaullisme complice du massacre et du génocide des Harkis de l'Algérie Française abandonnée.
Mais, nous, nous assumons avec fierté nos initiatives, nos choix et nos amitiés présentes ou passées. Le Royalisme en France, c'est avant tout un atitude culturelle Catholique : celui de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expendion-évangélisation dont Léon XIII reprendra l'idée : tout le contraire de l'actuel auro-mondialisme islamisant ! C'est au si un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est, enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne.
Une action politique Royaliste existe : celle de l'Action Française. Cependant, nous pensons que l'action Frannçaise seule et vouée à l'échec si elle ne s'appuie pas sur une réanimstion sociale et culturelle, spirituelle, intellectulle et morale.
-Une réaction est aujourd'hui plus que jamais nécessaire. Car la décadance des insitutions républicaines (on le vérifie avec la Charlicité), entraine celle des moeurs, qui est la mort de la Nation. la civilisation elle-même ne survivrait pas longtemps à la décompsition spirituelle de la France (François-Marie Algould).
Aujourd'hui, en ce début de XXI° siècle, nous voyons ce qu'il est advenu de ce grave avertissement. A cette décadance des insitutions entrainant celles des moeurs, se sont ajoutées les conséquances d'une immigration galoppante extra-européenne et non-Chrétienne, toute autre que celle en provenance de pays Chrétiens comme l'Italie, la Pologne, l'Espagne, le Portugal.
Et une véritable reconquète se fera par une politique Royaliste défendant les racines Chrétiennes de la France, notre identité Franco-Catholique, combattant pour les Valeurs défendant Chasse, pèche nature et Tradition.
POUR UNE VRAIE RECONQUETE, POUR LA VERITABLE FRANCE, ROYALISTES LEVEZ-VOUS !
Hervé J. VOLTO, CJA
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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