La vraie raison pour laquelle presque toutes les grandes entreprises américaines s'inclinent devant l'agenda LGBT-Woke

La vraie raison pour laquelle presque toutes les grandes entreprises américaines s'inclinent devant l'agenda LGBT et Woke

L'une des campagnes de pression les plus ingénieuses et les plus efficaces jamais menées par la gauche est le "Corporate Equality Index" du HRC, qui pendant deux décennies a joué un rôle déterminant pour inciter des centaines d'entreprises américaines à soutenir les objectifs en constante évolution des militants LGBT.

The real reason nearly all major US companies bow to the woke LGBT agenda


Opinion

14 mars 2023 – LifeSitenews – USA – Traduction automatique


(WND News Center) - La transformation de sociétés américaines autrefois saines comme Disney et Walmart en pivots du pouvoir LGBT, faisant avancer une révolution sexuelle et de genre extrêmement destructrice, n'est pas seulement une histoire tragique du déclin moral américain, mais aussi une qui offre des leçons vitales et méconnues sur les stratégies et tactiques de la gauche sexuelle.

Comment est-ce arrivé? Comment le mouvement autoproclamé « queer » (lesbien, gay, bisexuel, transgenre) a-t-il pu s'implanter si fortement dans les conseils d'administration des entreprises et, plus particulièrement, dans les services des ressources humaines ? Certes, une foule de facteurs ont contribué à la crise actuelle - la sécularisation croissante de la nation et l'abandon de l'éthique biblique, la dévotion de plus en plus servile des médias d'entreprise à tout ce qui concerne les LGBTQ, le "coming out" de millions d'Américains et la manipulation émotionnelle des êtres chers qui l'accompagne - pour n'en nommer que quelques-uns.

Mais un autre facteur vital mais largement invisible mérite l'attention : les stratégies astucieuses et les efforts organisationnels des militants qui travaillent à l'intérieur et à l'extérieur des entreprises pour pousser les grandes entreprises à servir l'agenda LGBT. Les militants homosexuels et trans de la plus grande organisation "queer" d'Amérique - la Human Rights Campaign, ou HRC - ont mis au point une stratégie d'entreprise qui rendrait le révérend Jesse Jackson et sa Rainbow Coalition verts de jalousie. Ils ont travaillé le système avec plus de perspicacité et d'engagement que leurs ennemis confessionnels, et ont gagné, en partie parce que tant de conservateurs ont abandonné plutôt que de risquer d'être traités de « fanatiques », « homophobes » et maintenant, « transphobes ».

Bien sûr, cela aide d'avoir les médias complètement dans votre faveur. Et pourtant, en mettant la politique de côté, chaque victoire LBGT, que ce soit dans une chambre législative, une salle d'audience ou un siège social du Fortune 500, est une victoire à la Pyrrhus, défiant la vérité de Dieu et érodant la moralité chrétienne de l'Amérique, sapant l'intégrité de ses institutions. , et finalement contribuant à la corruption de masse et à la séduction de ses enfants – une concession à «l'égalité» LGBT à la fois.

L'une des campagnes de pression les plus ingénieuses et les plus efficaces jamais menées par la gauche est le "Corporate Equality Index" du HRC, qui pendant deux décennies a joué un rôle déterminant pour inciter des centaines d'entreprises américaines à soutenir les objectifs en constante évolution des militants LGBT. Lorsque vous lisez qu'une entreprise géante a accordé une énorme subvention à une organisation gay et trans, ou a parrainé un défilé de «fierté», ou a lancé une publicité télévisée sexospécifique, c'est peut-être en partie parce que cette entreprise obtient des points dans l'indice d'égalité des entreprises, ou CEI, pour cela. (Vous pouvez consulter la note LGBTQ de n'importe quelle entreprise ICI ; voici la page détaillée de Walmart, qui a obtenu une note CEI "parfaite" de 100 % pour 2022, et Home Depot, qui a obtenu une note de 90 %.)

Une vidéo promotionnelle de la Human Rights Campaign Foundation pour sa "Transgender Toolkit for Employers" - qui fait partie de la CEI - parle de la nature révolutionnaire du travail de l'organisation, qui consiste à changer radicalement les normes sociales. La vidéo présente un homme, Jacob, vêtu d'une tenue féminine avec une coiffure de fille, portant du rouge à lèvres et du vernis à ongles et de grandes boucles d'oreilles. Identifié comme « executive assistant » à New York, Jacob parle de politiques dites « trans-inclusives » :

Vous devriez pouvoir venir au travail et porter une chose un jour qui est en quelque sorte lue comme un genre, puis venir travailler le lendemain et porter quelque chose d'autre qui est peut-être lu comme un genre différent », dit-il. «Je devrais pouvoir venir travailler un jour en pantalon et venir travailler un autre jour en jupe, et cela ne devrait pas être considéré comme incohérent. Cela devrait être vu comme moi qui apporte tout mon être au travail. … Les personnes transgenres et non conformes au genre font désormais partie intégrante du tissu du monde qui nous entoure.

L’immoralité sexuelle commercialisée comme « égalité » Mais d'abord, parlons un peu de la Human Rights Campaign, l'organisation sœur du HRCF, qui pourrait être plus précisément appelée (d'un point de vue biblique) la "Human Wrongs Campaign". HRC est le groupe de pression homosexuel-trans-bisexuel-«queer» le plus important et le mieux financé aux États-Unis et, en fait, dans le monde. Lancé en 1980, il est devenu le principal bras de pression professionnel de Washington, D.C. de la Gay Revolution, en croissance constante au point où il a déclaré des revenus totaux dépassant 46 millions de dollars en 2021. Les porte-parole du HRC ont affirmé respecter les droits religieux et se sont revêtus d'un vernis de modération pour renforcer le soutien des médias et du pouvoir au sein des coalitions libérales à l'intérieur du Beltway. En fin de compte, le HRC est devenu l'un des groupes d'intérêts démocrates les plus influents, à tel point que tous les présidents démocrates et les principaux candidats démocrates à la présidence depuis Bill Clinton se sont aventurés dans les dîners de collecte de fonds annuels du HRC pour montrer leur soutien aux « gays », puis aux droits transgenres. HRC est maintenant l'un des PAC les plus puissants de D.C., avec pratiquement tous ses dons de campagne allant aux démocrates.

Plus que tout autre groupe, HRC a «marqué» l'agenda homosexuel, choisissant un signe égal comme logo alors qu'il promouvait des euphémismes à consonance inoffensive comme «égalité», «l'amour doit vaincre la haine» et «l'amour c'est l'amour» pour mobiliser le sentiment pour son croisade révolutionnaire redéfinissant les droits civils et la moralité humaine. Mais derrière ce marketing astucieux, le HRC était solidaire d'autres militants "gays", appliquant le même modèle égalitaire radical assimilant les relations homosexuelles au lien conjugal traditionnel entre mari et femme. Traiter différemment les personnes « gay » et désormais « trans » revient à de la « haine » et du « sectarisme », selon leur formule. Et les membres du personnel du HRC n'ont pas hésité à utiliser de faux récits pour construire un pouvoir « gay » et diffamer les chrétiens, leur principal ennemi.

Par exemple, en 1998, lorsque Matthew Shepard, étudiant à l'université du Wyoming, a été assassiné, le HRC s'est joint à d'autres groupes d'activistes homosexuels pour se précipiter pour qualifier le meurtre de «crime de haine» et blâmer les conservateurs motivés par la foi (la «droite religieuse»). Les médias alimentant déjà cet angle simpliste, c'était un mensonge facile et pratique à exploiter et HRC a collecté beaucoup d'argent grâce au meurtre de Shepard. Longtemps après la fin de la campagne de propagande et de collecte de fonds, il est apparu que Shepard était un consommateur et un revendeur de méthamphétamine, et qu'il n'avait probablement pas été tué "juste pour être gay" comme le prétendait la mythologie médiatique, qu'il avait eu des relations sexuelles intermittentes avec son assassin, qui était également toxicomane et probablement sur une frénésie de méthamphétamine lorsque le meurtre a eu lieu.

Cela et bien d'autres ont été rapportés par l'écrivain gay Stephen Jimenez dans son livre de 2013, "The Book of Matt: The Real Story of the Murder of Matthew Shepard". Mais le HRC et l'ensemble du lobby « gay » avaient profité d'un mensonge, qu'eux-mêmes et leurs alliés corrompus des médias « grand public » utilisaient pour diaboliser les croyants. Aujourd'hui, le radicalisme du HRC est au grand jour alors qu'il a intensifié ses efforts pour endoctriner les très jeunes enfants, tout en affirmant que ce sont en fait les conservateurs qui "lancent une guerre culturelle contre nos enfants". Comme l'a récemment rapporté le Washington Stand, "HRC a fait campagne pour que les écoles publiques endoctrinent les enfants dès l'âge de la maternelle afin d'affirmer l'attirance pour le même sexe, la bisexualité, les pronoms transgenres et la fluidité des genres".

Un « tableau des résultats» unilatéral

En 2002, HRC a lancé le « Corporate Equality Index » par l'intermédiaire de sa branche de recherche, la Human Rights Campaign Foundation. La CEI est une «carte de pointage» d'entreprise intéressée et unilatérale qui note les entreprises de zéro à 100 en fonction de leur asservissement aux objectifs de l'agenda des militants LGBT, puis augmente ses critères tous les deux ans pour exiger une incitation accrue des entreprises à mériter un note "parfaite" continue.

Les entreprises obsédées par la conformité « DEI » (diversité, équité et inclusion) peuvent se vanter de leur score parfait dans le cadre du système de classement biaisé du HRC, mais au cours des années suivantes, elles subissent continuellement des pressions et sont manipulées pour « augmenter » leur adoption de plus en plus. des objectifs radicaux car, s'ils ne le font pas, ils perdront leur score de 100 CEI. Le tableau de bord anti-conservateur CEI ne prétend pas être objectif dans sa quête de "l'égalité queer sur le lieu de travail", comme le décrit une publication Web du HRC. La CEI contient même une disposition punitive qui empêche essentiellement les entreprises conformes de soutenir les groupes chrétiens et pro-famille opposés à l'agenda LGBTQ : toute entreprise jugée "coupable" d'un "défaut" anti-LGBTQ verra 25 points déduits de son score.

L'objectif et le génie manipulateur de la CEI est de pousser d'abord les entreprises à un score "parfait" de 100 %, pour lequel elles sont inscrites sur la liste du HRCF des "Meilleurs lieux de travail pour l'égalité LGBTQ". Ensuite, la société est effectivement enfermée dans le système avec ses demandes sans cesse croissantes ; s'il refuse, il risque d'être présenté comme un récidiviste qui n'est pas totalement «affirmant» LGBT.

Les entreprises suivantes font partie des entreprises qui obtiennent des scores parfaits dans l'indice d'égalité des entreprises 2022 (il ne s'agit que d'une liste partielle ; consultez la note CEI de toute grande entreprise ICI) : Anheuser-Busch Companies Inc. BlueCross BlueShield du Tennessee CarMax inc. Chobani Clorox Co. Coca-Cola Co. Comcast NBC Universal Aliments Del Monte, Inc. Équitable Groupe d'assurance des agriculteurs Banques de la Réserve fédérale (Atlanta, Boston, Chicago, Cleveland, Dallas, Kansas City, Minneapolis, New York, Philadelphie, Richmond, San Francisco et St. Louis) Fidelity National Information Services Inc. Placements Franklin Templeton GameStop Corp. General Mills inc. GlaxoSmithKline LLC GODADDY Inc. Google Inc. H&R Block inc. Cartes Hallmark Inc. Supermarchés Hannaford Hanover Insurance Group Inc. Hershey Co. Hertz Global Holdings Inc. HILTON Hyatt Hotels Corp. IKEA Holding US Inc. Iron Mountain inc. Johnson & Johnson Kellogg Co. Kohl's Corp. Kroger Co. Land O'Lakes Inc. Groupe Mutuel Liberté Lowe's Companies Inc. Marriott International Inc. Mars Inc. Mattel Inc. McDonald's Corp. Microsoft Corp. NASDAQ Inc. À l'échelle nationale Nestlé USA Inc. Office Dépôt Inc. Papa John's International Inc. PepsiCo Inc. Procter & Gamble Co. Ring Central Inc. S.C. Johnson & Son Inc. Scotts Miracle-Gro Company Shell Oil Co. Sherwin-Williams Co. Sirius XM Radio inc. Sony Corporation d'Amérique Groupe de ferme d'État Cible Corp. Tesla Inc. T-Mobile USA Inc. Twitter inc. United Parcel Service Inc. (UPS) Verizon Communications Inc. Walgreen Co. Walmart inc. Walt Disney Co. Wendy's Co. Yelp inc. Groupe Zillow

Les critères CEI 2023 — les plus radicaux à ce jour

Passant à la toute nouvelle série de demandes de l'indice d'égalité des entreprises pour 2023, la CEI a fait monter les enchères dans plusieurs domaines, notamment en exigeant «l'égalité» (lire: égalitarisme radical) dans la «formation de la famille» LGBT. Le HRC exige désormais "l'équivalence des prestations de formation de la famille des partenaires domestiques de même sexe et de sexe différent, quel que soit le sexe" (d'une valeur de 10 points sur le nouveau tableau de bord). Comme l'explique le rapport de la CEI, selon cette formule plus stricte, "les domaines qui seront évalués pour l'égalité comprennent": "Adoption; Cryoconservation (congélation d'ovules pour des raisons non médicales); Prise en charge du traitement de l'infertilité (hors fécondation in vitro) ; Couverture fécondité/fécondation in vitro ; et Avantages de la maternité de substitution.

Ce nouvel ensemble de revendications radicales amène « l'égalité » à de tout nouveaux niveaux. En traitant les avantages d'adoption pour les couples homosexuels de la même manière que pour les couples normaux, les sociétés conformes à l'IEC fourniront effectivement des incitations financières à la création de foyers homosexuels dans lesquels des enfants innocents se retrouvent orphelins de mère ou de père par conception. Les couples hétérosexuels reçoivent des traitements contre l'infertilité parce qu'ils ne peuvent pas concevoir d'enfants par le biais de relations sexuelles naturelles, normalement procréatrices. En revanche, les couples homosexuels sont par définition stériles. Deux personnes du même sexe ne peuvent jamais concevoir des enfants par elles-mêmes sans recourir à la reproduction hétérosexuelle sous une forme ou une autre.

Il est peu probable que le consommateur américain moyen veuille que son argent soit dépensé pour subventionner des politiques d'entreprise conçues pour créer des foyers qui privent intentionnellement les enfants d'une mère ou d'un père - et des foyers dans lesquels l'immoralité sexuelle et/ou la confusion des genres sont modélisées pour les enfants impressionnables comme normal et bon.

Réimprimé avec la permission du WND News Center.