Le Mois de Sainte Marie Madeleine
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Le Mois de Sainte Marie Madeleine
Rappel du premier message :
Prélude : Pénétrons avec un saint respect dans le Cœur sacré de Jésus, au lendemain du mois qui lui a été tout spécialement consacré, et supplions-le de nous manifester les sublimes mystères de sa tendre miséricorde envers les pécheurs.
Au seul nom de Madeleine, l'âme tressaille ! Ce nom remet devant les yeux, comme en un tableau raccourci mais complet, d'une part les merveilleuses tendresses de la miséricorde divine envers les âmes, et de l'autre l'immense besoin que les âmes ont de la grâce de Dieu, pour vaincre leurs ennemis et surmonter leur faiblesse native.
Marie de Béthanie, autrement Marie-Madeleine, était issue de race noble ; sa famille, considérable en Judée, lui assurait un rang distingué dans le monde, où son esprit naturel, sa brillante éducation et son incomparable beauté la firent rechercher de bonne heure par une foule de courtisans, empressés à rendre hommage aux rares qualités de cette âme imprudente.
Ah ! quel don fatal que la richesse, la beauté, la jeunesse, la tendresse du cœur, l'imagination, l'esprit, la science, en un mot tout ce que le monde estime, honore et courtise ! Marie-Madeleine était merveilleusement douée sous tous ces rapports. Elle y trouva la ruine de sa vertu et la perte de ce que nous avons de plus précieux : l'honneur de l'âme.
Elle aurait pu utiliser ces dons et s'en servir pour édifier le monde, pour répandre autour d'elle le règne de Dieu et pour forcer les âmes à confesser que Dieu seul est grand et que tout doit être employé à son service. Elle aurait dû se considérer comme dépositaire des dons de Dieu, se souvenant qu'un jour il lui serait demandé compte de leur administration et que, les détourner de leur légitime emploi est un crime d'infidélité et un vol fait à l'auteur de tout don. Elle aurait pu trouver dans les biens dont elle fut comblée un moyen admirable de sanctification personnelle, en vivant dans la pratique austère du renoncement et en usant de ses biens sans y attacher son cœur.
Mais, ce jeune cœur oublia tous ses devoirs. Emportée par la fougue ardente de ses passions, enivrée par l'encens qui brûlait sans cesse autour d'elle, Marie-Madeleine se livra à tous ses désirs. Son cœur insatiable voulait être aimé, son esprit cherchait à briller sur un vaste théâtre, sa beauté l'entraînait à cette vaniteuse recherche des applaudissements auxquels la ces femme ne sait pas être insensible, sa richesse lui fournissait tous les moyens de satisfaire jusqu'à ses moindres caprices, sa grande naissance et la position de sa famille lui ouvraient toutes les portes, et lui assuraient un accueil distingué partout.
Combien elle alla loin dans la voie que lui ouvrirent tous moyens de perdition, c'est ce que l'Évangéliste nous apprend en deux expressions, dont le laconisme laisse entrevoir toute la triste vérité ! « Cette femme, nous dit saint Luc, était pécheresse dans la cité ! » Et ailleurs, après l'avoir nommée, le même Évangéliste ajoute : « C'est celle de qui sept démons étaient sortis ! » Pécheresse dans la cité et possédée de sept démons ! Voilà donc où aboutirent toutes les vaines recherches de Madeleine à la poursuite du plaisir et au service du monde.
La voyant passer, couverte des parures de sa vanité, entourée d'adulations, éclatante d'orgueil et de beauté criminelle, les sages hochaient la tête et les mères disaient à leurs enfants : « Voilà la pécheresse ! » tant les scandales de sa vie coupable étaient connus et publics. Et, au ciel, les anges se voilaient la face et l'Esprit-Saint se contristait, en considérant son âme que sept démons possédaient, cette âme qui eût pu être si belle et que les vices, venus l'un après l'autre, avaient envahie pour entretenir la beauté et la rendre misérablement esclave de ses honteuses passions.
Ô mon Jésus, ce n’est point sans dessein que vous avez conserver ces tristes souvenirs de la vie de votre admirable servante, et c'est à vous comme elle, que je veux...
Résolution : … Méditer sérieusement sur l'emploi des dons de la nature et de la grâce.
Bouquet spirituel : « Sept démons sortirent d'elle ». (Lc. 8, 2).
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Le Mois de Sainte Marie Madeleine
Premier jour
1er Juillet
Madeleine pécheresse
Premier jour
1er Juillet
Madeleine pécheresse
Prélude : Pénétrons avec un saint respect dans le Cœur sacré de Jésus, au lendemain du mois qui lui a été tout spécialement consacré, et supplions-le de nous manifester les sublimes mystères de sa tendre miséricorde envers les pécheurs.
Méditation
Au seul nom de Madeleine, l'âme tressaille ! Ce nom remet devant les yeux, comme en un tableau raccourci mais complet, d'une part les merveilleuses tendresses de la miséricorde divine envers les âmes, et de l'autre l'immense besoin que les âmes ont de la grâce de Dieu, pour vaincre leurs ennemis et surmonter leur faiblesse native.
Marie de Béthanie, autrement Marie-Madeleine, était issue de race noble ; sa famille, considérable en Judée, lui assurait un rang distingué dans le monde, où son esprit naturel, sa brillante éducation et son incomparable beauté la firent rechercher de bonne heure par une foule de courtisans, empressés à rendre hommage aux rares qualités de cette âme imprudente.
Ah ! quel don fatal que la richesse, la beauté, la jeunesse, la tendresse du cœur, l'imagination, l'esprit, la science, en un mot tout ce que le monde estime, honore et courtise ! Marie-Madeleine était merveilleusement douée sous tous ces rapports. Elle y trouva la ruine de sa vertu et la perte de ce que nous avons de plus précieux : l'honneur de l'âme.
Elle aurait pu utiliser ces dons et s'en servir pour édifier le monde, pour répandre autour d'elle le règne de Dieu et pour forcer les âmes à confesser que Dieu seul est grand et que tout doit être employé à son service. Elle aurait dû se considérer comme dépositaire des dons de Dieu, se souvenant qu'un jour il lui serait demandé compte de leur administration et que, les détourner de leur légitime emploi est un crime d'infidélité et un vol fait à l'auteur de tout don. Elle aurait pu trouver dans les biens dont elle fut comblée un moyen admirable de sanctification personnelle, en vivant dans la pratique austère du renoncement et en usant de ses biens sans y attacher son cœur.
Mais, ce jeune cœur oublia tous ses devoirs. Emportée par la fougue ardente de ses passions, enivrée par l'encens qui brûlait sans cesse autour d'elle, Marie-Madeleine se livra à tous ses désirs. Son cœur insatiable voulait être aimé, son esprit cherchait à briller sur un vaste théâtre, sa beauté l'entraînait à cette vaniteuse recherche des applaudissements auxquels la ces femme ne sait pas être insensible, sa richesse lui fournissait tous les moyens de satisfaire jusqu'à ses moindres caprices, sa grande naissance et la position de sa famille lui ouvraient toutes les portes, et lui assuraient un accueil distingué partout.
Combien elle alla loin dans la voie que lui ouvrirent tous moyens de perdition, c'est ce que l'Évangéliste nous apprend en deux expressions, dont le laconisme laisse entrevoir toute la triste vérité ! « Cette femme, nous dit saint Luc, était pécheresse dans la cité ! » Et ailleurs, après l'avoir nommée, le même Évangéliste ajoute : « C'est celle de qui sept démons étaient sortis ! » Pécheresse dans la cité et possédée de sept démons ! Voilà donc où aboutirent toutes les vaines recherches de Madeleine à la poursuite du plaisir et au service du monde.
La voyant passer, couverte des parures de sa vanité, entourée d'adulations, éclatante d'orgueil et de beauté criminelle, les sages hochaient la tête et les mères disaient à leurs enfants : « Voilà la pécheresse ! » tant les scandales de sa vie coupable étaient connus et publics. Et, au ciel, les anges se voilaient la face et l'Esprit-Saint se contristait, en considérant son âme que sept démons possédaient, cette âme qui eût pu être si belle et que les vices, venus l'un après l'autre, avaient envahie pour entretenir la beauté et la rendre misérablement esclave de ses honteuses passions.
Ô mon Jésus, ce n’est point sans dessein que vous avez conserver ces tristes souvenirs de la vie de votre admirable servante, et c'est à vous comme elle, que je veux...
Résolution : … Méditer sérieusement sur l'emploi des dons de la nature et de la grâce.
Bouquet spirituel : « Sept démons sortirent d'elle ». (Lc. 8, 2).
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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Re: Le Mois de Sainte Marie Madeleine
Le Mois de Sainte Marie Madeleine
Trentième jour
30 juillet
La Mort
Trentième jour
30 juillet
La Mort
Prélude : Marie-Madeleine est à genoux, en extase, défaillant sous la violence de l'amour. Les Anges s'approchent pour recevoir son âme.
Méditation
« Enfin, dit le plus ancien biographe de notre sainte, l'heure approchait où la sainte âme de Madeleine devait être affranchie de sa mortelle enveloppe, l'heure où elle allait pénétrer dans les tabernacles éternels à la porte desquels elle frappait depuis si longtemps, l'heure où il lui serait donné de se réunir esprit à esprit, cœur à cœur, et pour toujours, à son Seigneur et Sauveur. Le Fils de Dieu lui apparut, et elle vit le Désiré de son âme, Jésus-Christ en personne, environné d'une multitude d’Anges, qui, dans sa miséricorde, l'appelait à lui et la conviait à la gloire du céleste royaume. « Venez, ma bien-aimée, et je vous placerai sur mon trône, car le roi, beau entre tous les enfants des hommes, est épris de votre beauté; et Celui qui a reçu de votre piété généreuse, lorsqu'il était sur la terre, ce que réclamaient les besoins de son corps, veut que vous receviez maintenant en retour, de sa divine munificence, dans la société de ses Anges et pour toute l'éternité, les joies et les triomphes de la vie céleste ».
Mais elle, trouvant que la réunion au divin Bien-Aimé tardait trop, soupirait, disant : « Hélas ! que mon exil est prolongé ! Voilà bien des années que j'habite parmi les tristes enfants de Cédar. Il y a longtemps que mon âme est en ce monde comme en un lieu de bannissement... Qui me donnera des ailes comme à la colombe, pour voler vers mon Dieu et y trouver mon repos ?... Comme le cerf altéré soupire après les sources d'eau vive, mon âme, blessée des flèches de votre amour, soupire après vous, ô mon Dieu !... Tirez mon âme de la prison de ce corps, afin que je bénisse votre saint nom. Les justes attendent que vous placiez sur ma tête la couronne de votre justice ».
Ainsi soupirait Madeleine, empruntant les paroles sacrées du royal psalmiste. Son âme se détachait ainsi peu à peu des liens du corps. Oh ! combien cette captivité lui pesait ! Ce corps, qu'elle avait tant flatté autrefois, comme il lui était maintenant à charge ! Tant que le Christ vivait, elle pouvait employer ses sens à l'adoration et au service du Maître : ses yeux contemplaient avec amour l'humanité adorable du Sauveur, ses oreilles entendaient avec délices les harmonies qui tombaient des lèvres divines de Jésus, ses lèvres se collaient avec transport sur ses pieds sacrés, ses mains s'employaient à ce service que les Anges envient. Mais aujourd'hui, il n'est plus là ! Elle ne l'entend plus, elle ne le voit plus, elle ne peut plus le servir dans sa maison.
Comme elle a été longue l'attente ! trente ans, son divin Bien-Aimé l'a tenue loin de sa présence sensible, afin d'épurer son amour et d'accroître ses mérites. Oui, Ô sainte amante de Jésus, c'est votre doux Maître qui l'a dit : « Bienheureux ceux qui ont cru sans voir ! » Longtemps, vous avez vu des yeux de votre corps l'objet de votre amour, maintenant il vous faut croire et aimer sans voir, et, dans ce supplice de tous les jours, mériter la béatitude qu'il vous réserve.
Une dernière fois, Maximin, l’Évêque, l'ami, le guide de Madeleine, vient d'Aix sur l'ordre qu'il en a reçu du ciel. Il arrive là où la sainte martyre de l'amour divin l'attend ; il célèbre une dernière fois les saints mystères pour elle, et lui présente l'hostie.
Avec quel élan Madeleine se précipite vers l'Eucharistie. L'Eucharistie, c'est Jésus sous des voiles, et les voiles tombent !
À peine l'hostie sainte s'est-elle reposée dans le sanctuaire de son cœur, que, sous l'effort de l'amour, Marie-Madeleine expire. Ô bienheureuse mort ! Ô doux martyre !
Résolution : Demander souvent à Dieu la grâce d'une bonne mort, par l'intercession de sainte Marie-Madeleine.
Bouquet spirituel : « La part que Madeleine a choisie, ne lui sera point enlevée ». (Lc. 10, 42).
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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Re: Le Mois de Sainte Marie Madeleine
Le Mois de Sainte Marie Madeleine
Trente-et-unième jour
31 juillet
Les Reliques
Trente-et-unième jour
31 juillet
Les Reliques
Prélude : Transportons-nous auprès du tombeau qui garde les restes sacrés de sainte Madeleine, pour les vénérer et les baiser avec amour.
Méditation
Après la mort de Madeleine, dit Raban-Maur, l’Évêque Maximin embauma avec des parfums précieux son corps vénérable, le plaça dans un superbe mausolée, et fit élever au lieu où ces restes sacrés avaient été déposés, une basilique d'une magnifique architecture. Sur son tombeau de marbre blanc, on voit gravées, d'un côté les circonstances de sa conversion chez Simon le Pharisien, de l'autre les pieux devoirs qu'elle rendit au Sauveur pour sa sépulture.
« Le corps de la bienheureuse Marie-Madeleine, ajoute le Bréviaire marseillais, dérobé aux incursions des barbares, était depuis longtemps demeuré caché, lorsque, l'an 1281, un synode fut tenu à Saint Maximin, pour en faire la recherche ; il fut convoqué par le zèle et la piété du prince Charles d'Anjou, sous la présidence de Guillaume Lelong, cardinal de la sainte Eglise romaine, et chancelier du royaume. Quatre archevêques, cinq évêques, dix abbés, un grand nombre de docteurs en théologie et d'hommes religieux y assistèrent : après avoir, selon les formes prescrites, examiné et discuté les preuves, les écrits et les monuments relatifs à cette affaire, le synode décréta solennellement que les reliques retrouvées étaient les restes véritables et authentiques de sainte Madeleine. Boniface VIII confirma ce décret, qui fut reçu avec une grande dévotion par tous les fidèles.
Ainsi Madeleine, qui autrefois avait cherché avec tant d'ardeur le corps de son Sauveur après sa résurrection, eut la gloire que son corps qui, après sa mort, avait été perdu, fut recherché avec sollicitude.
Toute la Provence se réjouit de l'invention de ce corps, qui avait été victime de la pénitence, ayant plus vécu de la vie du Sauveur qu'elle aimait, que par le souffle de sa propre existence. Le Christ nous a rendu ce corps et a comblé de gloire le deuil de son sépulcre, pour que nous y courions à l'odeur des parfums de Madeleine, et qu'en retrouvant le corps de la Pénitente, nous recevions aussi son esprit de pénitence. Il ne sert de rien en effet de célébrer l'invention de Madeleine, si, en même temps, nous n'imitons pas sa contrition.
Réjouissons-nous, puisque Madeleine est retrouvée, et retrouvons-nous dans la véritable voie, hors de laquelle le péché nous avait perdus, et, en célébrant cette solennité, n'omettons pas d'en recueillir les fruits.
La voilà donc retrouvée, la perle des reliques ; examinons de plus près le chef de la bienheureuse Madeleine, il est encore composé de tous ses os, et il inspire la pénitence. D'habitude les corps morts inspirent l'horreur, celui-ci fait naître, d'une façon admirable, l'amour et la vénération; en effet, le plus grand miracle resplendit sur cette tête : il semble que Madeleine ait dit à la mort ce que le Christ dit autrefois à Madeleine : « Ne me touchez pas ». La mort n'a pas osé atteindre cette partie du corps, que le Sauveur consacra avec ses doigts, et qui parait encore retenir le souffle de vie ».
C'est auprès des saintes reliques de Madeleine que nous terminerons la méditation de ses vertus et de ses gloires. En échange du bonheur avec lequel nous avons contemplé, durant tout ce mois, les gloires de sa pénitence et de son amour, demandons-lui de nous inspirer le désir d'imiter ses vertus héroïques et de transformer notre âme par la mortification d'une vie pénitente.
Ô sainte amante de Jésus, donnez-nous un peu de cet amour qui a faite si grande devant Dieu, devant les anges et devant les hommes.
Résolution : Faire, au moins en esprit, le pèlerinage de la sainte Baume.
Bouquet spirituel : « Partout où l'Evangile sera prêché, on racontera d'elle, à sa gloire, ce qu'elle a fait ». (Mc 14, 9).
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