Le Mois de Notre Dame du Sacré Coeur.
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Le Mois de Notre Dame du Sacré Coeur.
Rappel du premier message :
C'est à vous, après Dieu, que le monde doit le précieux trésor qu'il possède aujourd'hui en Notre-Dame du Sacré-Cœur. Quand ce nouveau nom donné à la Mère de Dieu fut prononcé pour la première fois devant Votre Grandeur, votre âme si pieuse tressaillit de joie. Puis, avec la haute intelligence et la perspicacité qui vous distinguent, vous avez examiné la valeur de ce titre, et, voyant tout ce qu'il renfermait de glorieux pour Marie et de consolant pour ses enfants, vous daignâtes l'approuver et le bénir. Dès lors, il devint cher aux fidèles et fécond en merveilles. En quelques mois il se trouva sur toutes les lèvres et dans tous les cœurs. Instruit des prodiges qu'il opérait chaque jour, vous avez compris, Monseigneur, que là se trouvait un immense trésor et qu'il fallait en enrichir la terre. Jetant un coup d'œil sur l'Église et sur le monde, vous avez vu les abîmes se creuser, les dangers imminents se manifester et les causes difficiles et désespérées se multiplier; le Cœur de Jésus, source unique de toutes les grâces, vous a paru, comme à l'immortel Pie IX, le remède à tous nos maux. Mais, comme dans les desseins du Très-Haut tout nous vient par Marie, Votre Grandeur a cru devoir confier à Celle qui règne sur le Cœur d'un Dieu, tous ces grands intérêts, et, à cet effet, vous avez fondé le 11 avril 1864, une Association en l'honneur de Notre-Dame du Sacré-Cœur pour le succès des causes difficiles et désespérées tant dans l'ordre spirituel que dans l'ordre temporel. Le Vicaire de Jésus-Christ, sur la demande de Votre Grandeur, a daigné approuver et enrichir de précieuses indulgences cette oeuvre dont les effets sont de plus en plus merveilleux. Pour répondre au désir des associés, qui dépassent aujourd'hui cent mille, nous avons entrepris ce modeste travail dont le but est de mieux faire connaître les grandeurs, la puissance et la miséricorde de Notre-Dame du Sacré-Cœur. La renommée, sans cesse grandissante, de la Souveraine Maîtresse du Cœur de Jésus, les miracles et les faveurs sans nombre obtenus devant son image ou par l'invocation de son Nom divin, nous font espérer que ces considérations ne seront pas sans opportunité. Tels sont, Monseigneur, les motifs qui nous ont déterminés à composer ce livre dont nous avons l'honneur de faire hommage à Votre Grandeur. Permettez-nous, en le plaçant sous vos augustes auspices, de demander à votre bénédiction le gage du bien qu'il peut opérer.
Nous avons fait examiner l'ouvrage ayant pour titre : Trente-et-une considérations sur Marie, Reine du Cœur de Jésus, suivies d'histoires qui montrent sa puissance. D'après le témoignage favorable qui Nous en a été rendu, non-seulement Nous en autorisons l'impression, mais encore Nous en conseillons instamment la lecture aux personnes pieuses, et nous faisons des vœux pour qu'il se répande le plus possible parmi les fidèles et même dans les communautés religieuses.
Ô Joseph, je sens mon impuissance à d'écrire la joie que j'éprouve à vous offrir ce livre. Si dans ces modestes pages se cache une étincelle d'amour; si elles doivent faire naître dans les âmes de bonnes pensées et de doux sentiments; la bénédiction de Jésus et de Notre-Dame du Sacré-Cœur en fait les messagères de la divine Miséricorde, si par elles, en un mot, la grâce dont le Sacré-Cœur est la source, s'épanche sur ceux qui les liront, cette joie sera à son comble. Ce livre est, du reste, un témoignage de reconnaissance pour le puissant secours que vous m'avez prêté. Commencé sous vos auspices, il se termine le jour même de votre fête, et, remis entre vos mains, il attend de vous que vous ouvriez pour lui les immenses trésors dont vous avez été établi le dépositaire et le gardien : je veux dire le Cœur Sacré de Jésus et le Cœur Immaculé de Marie. Ô saint Joseph, bénissez et rendez efficace l'essai de mon zèle et de mon amour.
19 mars 1865, fête de saint Joseph.
Le Ciel s'est toujours plu à créer dans le cours des temps des institutions en harmonie, avec ses desseins et les besoins des âmes. Notre siècle s'est ouvert sous les auspices de Marie. Les ruines désastreuses que la grande Révolution venait de semer partout dans les intelligences et dans les cœurs, réclamaient impérieusement le secours efficace de Celle qui est appelée la réparatrice des maux de l'humanité ; aussi, le culte de l'auguste Vierge a-t-il répandu sur la France et sur le monde un vif éclat, et la promulgation du dogme de l'Immaculée Conception, en donnant a ce culte son dernier couronnement et en couvrant la Mère de Dieu d'une gloire incomparable, a ouvert une ère de grandeur et de régénération. Depuis lors un nouveau soleil, s'élançant plus radieux de cette resplendissante aurore, inonde de plus en plus de ses feux et pénètre de sa chaleur bienfaisante les esprits et les cœurs. Ce nouveau soleil, qui s'était déjà levé sur l'univers au XVIIe siècle, est le Cœur de Jésus, la source de toutes les grâces, le foyer du véritable amour et de tous les nobles sentiments, l'âme de nos âmes et la vie de notre vie. Depuis, le 8 décembre 1854, jour à jamais mémorable, la dévotion au Sacré-Cœur a fait des progrès immenses; elle s'est répandue partout, et aujourd'hui elle étend son influence salutaire dans toutes les contrées du globe. L'heure du règne du divin Cœur, prédit par saint Jean à sainte Gertrude, et annoncé pat Nôtre-Seigneur lui-même, est sonnée. La béatification de la vénérable Marguerite Marie Alacoque, l'amante par excellente du Sacré-Cœur, et la révélatrice de cette dévotion , va lui donner un nouvel élan et contribuer puissamment à sa diffusion. Et l'auguste Vierge Marie, qui nous a donné cette source intarissable de bénédictions, viendra encore sous un nouveau nom l'épancher sur le monde; le titre de Notre-Dame du Sacré Cœur, dont elle décorée, et que l'immortel Pie IX a daigné sanctionner, nous dit assez les sublimes fonctions qu'elle remplit dans cette régénération des âmes et de la société, par le Cœur de son Fils; et la fin du XIXe siècle, tout en appartenant excellemment au Sacré-Cœur, appartiendra aussi à Celle qui en est la Maîtresse et la Reine. Pour répondre au désir des nombreux enfants de Notre Dame du Sacré-Cœur, nous avons cru devoir composer cet ouvrage. Les trente et une considérations qu'il renferme ont pour but de nous faire mieux comprendre les grandeurs de Notre-Dame du Sacré-Cœur, la puissance sans bornes qu'elle exerce sur le Cœur de son Fils et l'immense désir qu'elle a de répandre sur nous tous les trésors d'amour et de miséricorde dont Elle est la dispensatrice. Ce livre, sollicité avec empressement et attendu avec impatience, pourra servir utilement pendant le mois de Mai; les réflexions qu'il fournit faisant ressortir les illustres prérogatives, de la Mère de Dieu, nous apprendront à aller au Cœur de Jésus par Celle qui en est la Dame, et nous disposeront à célébrer avec plus de fruit le Mois du Sacré-Cœur dont celui de Marie n'est que l'aurore ou la préparation.
Chaque considération se termine par une allégorie pleine d'intérêt et par une histoire qui démontre la puissance et la bonté de Notre-Dame du Sacré-Cœur. C'est au milieu d'occupations incessantes et d'interruptions continuelles que ce modeste travail, récemment commencé, s'est poursuivi; aussi, pieux lecteurs, nous comptons beaucoup sur votre indulgence. Si ces lignes tracées à la hâte vous inspirent cependant quelques bonnes pensées, calment vos inquiétudes, raniment votre confiance, déposent la joie dans vos coeurs attristés et excitent votre amour envers Notre-Dame du Sacré-Cœur, veuillez prier pour nous, et nous vous promettons en retour de ne pas vous oublier auprès de la toute puissante Reine du Cœur de Jésus. O Notre-Dame du Sacré-Cœur ! c'est uniquement pour votre gloire que nous avons entrepris cet ouvrage. C'est témérité de notre part... Pardonnez-nous... Nous n'avons fait qu'affaiblir vos louanges, mais d'autres, nous l'espérons, parleront de vos grandeurs avec l'éloquence et es charmes du style qui leur conviennent. Conformément au décret du Pape Urbain VIII, nous déclarons n'ajouter qu'une foi purement humaine aux grâces, révélations, faits miraculeux rapportés dans cet ouvrage, excepté en ce qui a été confirmé par la sainte Eglise catholique, apostolique et romaine, et soumettre le tout au jugement du Saint-Siège, auquel seul appartient la décision de pareilles matières, et duquel je suis et je veux être en tout et partout le fils le plus soumis.
Le Mois de Notre Dame du Sacré Cœur
A Monseigneur C. A. De la Tour d'Auvergne, Archevêque de Bourges
Monseigneur,
A Monseigneur C. A. De la Tour d'Auvergne, Archevêque de Bourges
Monseigneur,
C'est à vous, après Dieu, que le monde doit le précieux trésor qu'il possède aujourd'hui en Notre-Dame du Sacré-Cœur. Quand ce nouveau nom donné à la Mère de Dieu fut prononcé pour la première fois devant Votre Grandeur, votre âme si pieuse tressaillit de joie. Puis, avec la haute intelligence et la perspicacité qui vous distinguent, vous avez examiné la valeur de ce titre, et, voyant tout ce qu'il renfermait de glorieux pour Marie et de consolant pour ses enfants, vous daignâtes l'approuver et le bénir. Dès lors, il devint cher aux fidèles et fécond en merveilles. En quelques mois il se trouva sur toutes les lèvres et dans tous les cœurs. Instruit des prodiges qu'il opérait chaque jour, vous avez compris, Monseigneur, que là se trouvait un immense trésor et qu'il fallait en enrichir la terre. Jetant un coup d'œil sur l'Église et sur le monde, vous avez vu les abîmes se creuser, les dangers imminents se manifester et les causes difficiles et désespérées se multiplier; le Cœur de Jésus, source unique de toutes les grâces, vous a paru, comme à l'immortel Pie IX, le remède à tous nos maux. Mais, comme dans les desseins du Très-Haut tout nous vient par Marie, Votre Grandeur a cru devoir confier à Celle qui règne sur le Cœur d'un Dieu, tous ces grands intérêts, et, à cet effet, vous avez fondé le 11 avril 1864, une Association en l'honneur de Notre-Dame du Sacré-Cœur pour le succès des causes difficiles et désespérées tant dans l'ordre spirituel que dans l'ordre temporel. Le Vicaire de Jésus-Christ, sur la demande de Votre Grandeur, a daigné approuver et enrichir de précieuses indulgences cette oeuvre dont les effets sont de plus en plus merveilleux. Pour répondre au désir des associés, qui dépassent aujourd'hui cent mille, nous avons entrepris ce modeste travail dont le but est de mieux faire connaître les grandeurs, la puissance et la miséricorde de Notre-Dame du Sacré-Cœur. La renommée, sans cesse grandissante, de la Souveraine Maîtresse du Cœur de Jésus, les miracles et les faveurs sans nombre obtenus devant son image ou par l'invocation de son Nom divin, nous font espérer que ces considérations ne seront pas sans opportunité. Tels sont, Monseigneur, les motifs qui nous ont déterminés à composer ce livre dont nous avons l'honneur de faire hommage à Votre Grandeur. Permettez-nous, en le plaçant sous vos augustes auspices, de demander à votre bénédiction le gage du bien qu'il peut opérer.
Je suis avec un profond respect,
Monseigneur,
De Votre Grandeur,
Le très humble et dévoué fils dans les très Saints Cœurs de Jésus, Marie et Joseph,
Jules Chevalier, Miss. S. C.
Monseigneur,
De Votre Grandeur,
Le très humble et dévoué fils dans les très Saints Cœurs de Jésus, Marie et Joseph,
Jules Chevalier, Miss. S. C.
Approbation
Nous avons fait examiner l'ouvrage ayant pour titre : Trente-et-une considérations sur Marie, Reine du Cœur de Jésus, suivies d'histoires qui montrent sa puissance. D'après le témoignage favorable qui Nous en a été rendu, non-seulement Nous en autorisons l'impression, mais encore Nous en conseillons instamment la lecture aux personnes pieuses, et nous faisons des vœux pour qu'il se répande le plus possible parmi les fidèles et même dans les communautés religieuses.
Donné à Bourges, le 25 avril 1865, en la fête de saint Marc,
C.-A., Archevêque de Bourges.
C.-A., Archevêque de Bourges.
Dédicace à Saint Joseph
Ô Joseph, je sens mon impuissance à d'écrire la joie que j'éprouve à vous offrir ce livre. Si dans ces modestes pages se cache une étincelle d'amour; si elles doivent faire naître dans les âmes de bonnes pensées et de doux sentiments; la bénédiction de Jésus et de Notre-Dame du Sacré-Cœur en fait les messagères de la divine Miséricorde, si par elles, en un mot, la grâce dont le Sacré-Cœur est la source, s'épanche sur ceux qui les liront, cette joie sera à son comble. Ce livre est, du reste, un témoignage de reconnaissance pour le puissant secours que vous m'avez prêté. Commencé sous vos auspices, il se termine le jour même de votre fête, et, remis entre vos mains, il attend de vous que vous ouvriez pour lui les immenses trésors dont vous avez été établi le dépositaire et le gardien : je veux dire le Cœur Sacré de Jésus et le Cœur Immaculé de Marie. Ô saint Joseph, bénissez et rendez efficace l'essai de mon zèle et de mon amour.
19 mars 1865, fête de saint Joseph.
Préface
Le Ciel s'est toujours plu à créer dans le cours des temps des institutions en harmonie, avec ses desseins et les besoins des âmes. Notre siècle s'est ouvert sous les auspices de Marie. Les ruines désastreuses que la grande Révolution venait de semer partout dans les intelligences et dans les cœurs, réclamaient impérieusement le secours efficace de Celle qui est appelée la réparatrice des maux de l'humanité ; aussi, le culte de l'auguste Vierge a-t-il répandu sur la France et sur le monde un vif éclat, et la promulgation du dogme de l'Immaculée Conception, en donnant a ce culte son dernier couronnement et en couvrant la Mère de Dieu d'une gloire incomparable, a ouvert une ère de grandeur et de régénération. Depuis lors un nouveau soleil, s'élançant plus radieux de cette resplendissante aurore, inonde de plus en plus de ses feux et pénètre de sa chaleur bienfaisante les esprits et les cœurs. Ce nouveau soleil, qui s'était déjà levé sur l'univers au XVIIe siècle, est le Cœur de Jésus, la source de toutes les grâces, le foyer du véritable amour et de tous les nobles sentiments, l'âme de nos âmes et la vie de notre vie. Depuis, le 8 décembre 1854, jour à jamais mémorable, la dévotion au Sacré-Cœur a fait des progrès immenses; elle s'est répandue partout, et aujourd'hui elle étend son influence salutaire dans toutes les contrées du globe. L'heure du règne du divin Cœur, prédit par saint Jean à sainte Gertrude, et annoncé pat Nôtre-Seigneur lui-même, est sonnée. La béatification de la vénérable Marguerite Marie Alacoque, l'amante par excellente du Sacré-Cœur, et la révélatrice de cette dévotion , va lui donner un nouvel élan et contribuer puissamment à sa diffusion. Et l'auguste Vierge Marie, qui nous a donné cette source intarissable de bénédictions, viendra encore sous un nouveau nom l'épancher sur le monde; le titre de Notre-Dame du Sacré Cœur, dont elle décorée, et que l'immortel Pie IX a daigné sanctionner, nous dit assez les sublimes fonctions qu'elle remplit dans cette régénération des âmes et de la société, par le Cœur de son Fils; et la fin du XIXe siècle, tout en appartenant excellemment au Sacré-Cœur, appartiendra aussi à Celle qui en est la Maîtresse et la Reine. Pour répondre au désir des nombreux enfants de Notre Dame du Sacré-Cœur, nous avons cru devoir composer cet ouvrage. Les trente et une considérations qu'il renferme ont pour but de nous faire mieux comprendre les grandeurs de Notre-Dame du Sacré-Cœur, la puissance sans bornes qu'elle exerce sur le Cœur de son Fils et l'immense désir qu'elle a de répandre sur nous tous les trésors d'amour et de miséricorde dont Elle est la dispensatrice. Ce livre, sollicité avec empressement et attendu avec impatience, pourra servir utilement pendant le mois de Mai; les réflexions qu'il fournit faisant ressortir les illustres prérogatives, de la Mère de Dieu, nous apprendront à aller au Cœur de Jésus par Celle qui en est la Dame, et nous disposeront à célébrer avec plus de fruit le Mois du Sacré-Cœur dont celui de Marie n'est que l'aurore ou la préparation.
Chaque considération se termine par une allégorie pleine d'intérêt et par une histoire qui démontre la puissance et la bonté de Notre-Dame du Sacré-Cœur. C'est au milieu d'occupations incessantes et d'interruptions continuelles que ce modeste travail, récemment commencé, s'est poursuivi; aussi, pieux lecteurs, nous comptons beaucoup sur votre indulgence. Si ces lignes tracées à la hâte vous inspirent cependant quelques bonnes pensées, calment vos inquiétudes, raniment votre confiance, déposent la joie dans vos coeurs attristés et excitent votre amour envers Notre-Dame du Sacré-Cœur, veuillez prier pour nous, et nous vous promettons en retour de ne pas vous oublier auprès de la toute puissante Reine du Cœur de Jésus. O Notre-Dame du Sacré-Cœur ! c'est uniquement pour votre gloire que nous avons entrepris cet ouvrage. C'est témérité de notre part... Pardonnez-nous... Nous n'avons fait qu'affaiblir vos louanges, mais d'autres, nous l'espérons, parleront de vos grandeurs avec l'éloquence et es charmes du style qui leur conviennent. Conformément au décret du Pape Urbain VIII, nous déclarons n'ajouter qu'une foi purement humaine aux grâces, révélations, faits miraculeux rapportés dans cet ouvrage, excepté en ce qui a été confirmé par la sainte Eglise catholique, apostolique et romaine, et soumettre le tout au jugement du Saint-Siège, auquel seul appartient la décision de pareilles matières, et duquel je suis et je veux être en tout et partout le fils le plus soumis.
J. C. Miss. S.-C.
Dernière édition par Lumen le Sam 12 Nov 2022 - 19:38, édité 1 fois (Raison : formatage)
Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
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Re: Le Mois de Notre Dame du Sacré Coeur.
Trentième jour
Trentième Considération
Notre Dame du Sacré Cœur avocate des causes
difficiles et désespérées
« Espérez contre toute espérance » (Romains 4: 18)
Trentième Considération
Notre Dame du Sacré Cœur avocate des causes
difficiles et désespérées
« Espérez contre toute espérance » (Romains 4: 18)
Revêtue du Soleil de justice, Marie dans le Ciel fait, resplendir, aux yeux de tous, les splendeurs de sa gloire ineffable. Mais les rayons de son Cœur sont plus pénétrants mille fois que ceux de sa beauté. Elle sait que sa maternité divine lui donne droit d'appeler tous les élus ses fils, tous les Anges ses serviteurs; aussi, se multipliant, pour ainsi dire, en eux. Elle se sert de leurs cœurs pour multiplier aussi les élans de son amour; Elle réunit leurs louanges à ses louanges, leurs hymnes aux siens, pour les offrir au Cœur de son souverain Roi. C'est là le but unique vers lequel se dirigent et se dirigeront toujours les aspirations de son âme; et si Dieu lui donne la royauté du Ciel, s'il veut qu'Elle soit la Reine des Saints et qu'Elle leur témoigne à tous les plus tendres sentiments de sollicitude, Elle verra Jésus-Christ eu chacun d'eux, et dans leurs cœurs celui de son divin Fils. Elle les aimera comme Jésus Christ les aime et comme Elle aime Jésus. Oui, au Ciel chaque Saint peut s'écrier avec plus de raison qu'ici-bas : « Je vis; mais non, ce n'est pas moi qui vis, c'est mon Sauveur qui vit en moi; c'est Lui qui en moi triomphe, rend gloire à son Père, est couronné de mérites... c'est Lui qui en chacun de nous est tout ce que nous sommes ». Marie trouve donc réalisé dans la patrie un rêve de son Cœur maternel; Elle trouve le Cœur de Jésus multiplié dans tous les cœurs. Elle peut le considérer dans les formes innombrables que la grâce varie en les proportionnant aux âmes. Elle peut s'écrier : « J'aime les Anges; j'aime les patriarches; j'aime les Saints; mais non, ce n'est point eux que j'aime, c'est le Cœur de Jésus qui est en eux et qui se manifeste au dehors par leur gloire, leur sainteté et leurs actions ». Pénétrer toujours davantage dans le sacré Cœur, l'aimer et l'adorer, c'est le Ciel de Marie.
Le Cœur de Jésus va pendant une éternité entière rendre au centuple à Marie les témoignages d'amour qu'Il en a reçus ici-bas. A Lui de Lui donner des joies encore plus grandes que les douleurs dont Elle fut l'innocente victime; à Lui de L'élever selon la mesure des humiliations profondes qu'Elle, a subies et de L'enrichir des immenses trésors de la divinité. Si l'œil de l'homme n'a jamais vu, ni son oreille entendu, ni son cœur compris ce que Dieu prépare à ceux qui L'aiment, aucune langue humaine n'essaiera de raconter les prodiges de gloire dont Marie sera éternellement l'objet. Assise à la droite de son Fils, cette Mère tout aimable est rentrée en possession de son unique bien sans craindre de le perdre jamais plus. Elle entend ce roi du Ciel Lui dire avec un amour ineffable : « Vous avez captivé mon Cœur, ô ma Mère, par les charmes de vos vertus, je captive maintenant le vôtre par mes attraits tout-puissants; vous m'avez fait du bien pendant les années de mon passage au milieu des hommes, je veux vous en faire toujours et vous combler sans cesse de nouvelles faveurs; vous m'êtes demeurée unie malgré tous les obstacles, vous vous êtes déclarée ma Mère, mon refuge, ma protectrice, je veux que votre union avec moi soit indissoluble; je me déclare même dans le Ciel votre Fils, votre trésor, votre éternel défenseur... Parlez, ô Mère, et je serai heureux de répondre à votre voix; demandez, et votre prière sera si efficace que les hommes vous appelleront avec reconnaissance Notre-Dame du Sacré-Cœur ».
Le Cœur de Jésus ne se contente pas d'honorer sa Mère, de L'offrir à l'amour et à la vénération du Ciel, II veut encore que toute la terre la bénisse et La regarde comme la plus sûre espérance du monde entier. C'est rendre hommage au Très-Haut que de rendre hommage à Marie. C'est parler de Jésus que de parler de sa Mère. Un Dieu nous a donné le premier l'exemple de l'amour que nous devons porter à cette Reine du Ciel : II nous en a fait un commandement spécial lorsque, du haut de la croix, II nous a dit en nous montrant la Vierge : « Voilà votre Mère ». Sachons donc recourir en toute confiance à Marie. Dans nos projets, nos peines, nos travaux, nos tentations, invoquons-La. Que son nom se trouve souvent sur nos lèvres; que ses vertus soient le constant modèle de toute notre vie; que notre âme soit heureuse se de dire ouvertement enfant de Marie, et d'établir souveraine sur notre pauvre cœur Celle qui règne par la puissance de l'amour sur le Cœur sacré de Jésus Christ.
Allégorie
L'Église nous représente unis dans un même amour et dans un même culte, le sacré Cœur de Jésus et le Cœur immaculé de Marie. Ces deux Cœurs se sont rencontrés sur la terre pour se captiver l'un l'autre, et ils se rencontrent encore sur nos autels pour y recevoir le tribut de notre foi et de notre vénération. Le Cœur de Marie a été créé pour recevoir celui de Jésus, et le Cœur de Jésus, dont le but est de sanctifier le monde, a offert, comme prémices à son Père céleste, le Cœur sans tache de sa Mère bien aimée. Le Cœur de Jésus est surmonté d'une croix et environné d'une sanglante couronne; il vient en effet pour souffrir; il recevra l'humiliation pour récompense. Dans bien des âmes, son sacrifice ne produira que des ronces, mais de ces ronces il s'en fait une couronne pour nous crier au jour de l'éternelle justice : « Pouvais-je vous aimer davantage ? Je me suis fait un diadème de vos ingratitudes; mon amour a changé vos insultes en sacrifice, vos coups en matière d'expiation et d'indulgence ». Le Cœur de Marie est entouré d'une couronne de roses; ce sont les fleurs produites par les épines de Jésus; ce sont les fleurs destinées à consoler ce Roi de la souffrance et de l'amour. Le Cœur de Jésus s'est voilé de tristesse pour nous revêtir de vertus; et dans sa Mère paraît ce premier fruit de sacrifice. Le Cœur de Jésus est blessé; une source d'eau vive en coule pour nous purifier, et une source de sang pour désaltérer notre soif. Jésus sait maintenir ouverte sa blessure d'amour sans garder le fer déicide. Le Cœur de Marie est transpercé, selon la parole de Syméon, et ce glaive n'est autre, que l'amour même de Jésus, glaive qui a frappé au vif et qui demeure pour toujours dans la blessure. Ce en quoi ces deux Cœurs se rapprochent et se ressemblent, c'est l'amour; tous deux jettent vers le Ciel des flammes ardentes qui consument, eu s'unissant, un holocauste d'agréable odeur. Qui ne voit, d'après ces réflexions, que Marie est vraiment Notre Dame du Sacré Cœur ?
Histoire
Monsieur le Supérieur, ce n'est que d'hier que je m'intitule avec consolation l'enfant de Notre Dame du Sacré Cœur, et déjà je viens vous demander des prières d'actions de grâces. Dans un moment d'angoisse, voyant l'enfant nouveau-né de ma sœur sur le point de mourir, je l'ai consacré, en union avec sa mère, à Marie, invoquée sous ce nouveau titre: et j'ai promis à Notre Dame du Sacré Cœur que, si elle conservait à ses parents alarmés ce petit ange consolateur, il porterait toujours Sa médaille, et qu'une messe serait dite en actions de grâces à Issoudun. Je viens donc, Monsieur le Supérieur, vous faire savoir que Marie a entendu mes vœux, et qu'elle nous a conservé ce cher enfant. Je vous prie de vouloir bien m'aider à accomplir cette douce dette de la reconnaissance, en célébrant le saint Sacrifice promis, et en m'expédiant des médailles...
Notre Dame du Sacré Cœur : Espérance des Désespérés
Souviens-Toi, Notre Dame du Sacré Cœur, des merveilles que fit pour Toi le Seigneur.
Il t'a choisie pour Mère, et Te voulut près de Sa Croix;
Il Te fait partager Sa Gloire, Il écoute Ta prière.
Offre-Lui nos louanges et nos actions de grâces;
présente-Lui nos demandes
(présenter ici ses intentions).
Fais nous vivre comme Toi dans l'Amour de Ton Fils, pour que Son Règne vienne !
Conduis tous les hommes à la Source d'Eau Vive qui jaillit de Son Cœur,
répandant sur le monde l'espoir et le Salut, la Justice et la Paix.
Vois votre confiance, réponds à notre appel,
et montre-Toi toujours notre Mère !
Amen.
Notre Dame du Sacré Cœur, prie pour nous !
Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
Localisation : France
Re: Le Mois de Notre Dame du Sacré Coeur.
Trente et unième jour
Trente et unième Considération
Fête patronale de Notre-Dame du Sacré-Cœur
« Mon Fils, donnez-moi votre Cœur » (Proverbes 23, 26)
Trente et unième Considération
Fête patronale de Notre-Dame du Sacré-Cœur
« Mon Fils, donnez-moi votre Cœur » (Proverbes 23, 26)
Le Cœur de Jésus ne cesse de dévoiler au monde les prérogatives de Marie. Chaque siècle, ce Dieu aimant laisse échapper aux yeux des hommes une étoile nouvelle pour embellir la couronne de sa Mère. La Maternité divine, la Virginité perpétuelle, la Conception immaculée sont venues tour à tour agrandir dans notre cœur l'image de cette Reine du Ciel et augmenter la joie que nous avions de L'aimer. Un titre nouveau vient de se révéler à la terre : le Cœur de Jésus, honoré dans tout l'univers avec une piété si fervente, a tourné vers Marie nos regards, et nous avons salué avec enthousiasme celte Vierge si aimable, Notre-Dame du Sacré-Cœur. Ce nom inattendu a trouvé de l'écho dans les cœurs chrétiens; on l'a répété avec amour; on ira le redisant sans cesse. De nouveaux horizons s'ouvrent à l'âme pieuse lorsqu'elle pense à Notre Dame du Sacré-Cœur. Mais ici laissons parler un éminent Évêque de France: « C'est une pensée sainte et consolante, dit ce vénérable Prélat, que celle d'honorer et d'invoquer Marie sous le titre de Notre-Dame du Sacré-Cœur. En prenant la nature humaine, le Verbe divin s'est approprié tous les éléments qui le composent; dans l'état de perfection à laquelle L'éleva l'union hypostatique, debuit per omnia fratribus similari. Il a dû se rendre en tout semblable à ses frères (Hébreux 11: 17). Notre Seigneur possède dans le degré le plus éminent, le sentiment de l'amour filial, l'un des plus nobles du cœur humain, et, loin de s'en dépouiller, depuis sa Résurrection et sa glorieuse Ascension, Il l'eût dilaté, fortifié, élevé à sa plus haute puissance, s'il était permis de le dire, dans son état de transfiguration bienheureuse; où il est assis à la droite de son Père. De là, il est facile de conclure que l'auguste Vierge Marie possède sur son Cœur divin un souverain pouvoir; qu'Elle en est véritablement la Dame ou la Reine; c'est pourquoi Elle a été appelée justement, par un de ses plus dévots serviteurs, une toute puissance suppliante : omnipotentia supplex. On est donc assuré d'aller au Cœur de Jésus par le Cœur de Marie, et c'est une douce consolation pour les pauvres humains que d'invoquer, comme leur tendre Mère, Celle qui peut comme le Père céleste, dire à notre grand Médiateur : « Vous êtes mon Fils. C'est pourquoi répétons souvent avec foi, espérance et amour : « Notre Dame du Sacré Cœur, priez pour nous ».
Marie peut donc en s'adressant à son Fils lui dire : « Mon Fils, donnez-moi votre Cœur.... Praebe, Filii, Cor, tuum mihi.... Déjà comme votre Mère, je le possède, mais je le veux pour y puiser des grâces sans nombre et les distribuer aux hommes, que j'ai droit d'appeler mes enfants. Donnez-moi votre Cœur; établissez m'en la Souveraine d'une manière publique, afin qu'on s'adresse à moi pour l'aimer; que ma nouvelle mission dans le monde soit d'unir tous les cœurs à votre Cœur, ma nouvelle gloire d'être saluée par le chrétien : Notre-Dame du Sacré-Cœur.... Votre Cœur m'appartient... c'est de mon sang le plus pur qu'il a été formé; c'est moi qui lui ai témoigné le plus d'amour; je lui suis demeurée constamment unie; je ne l'ai point abandonné dans ses tristesses; je l'ai imité dans ses vertus : qu'il me soit donné de le faire maintenant régner dans toutes les âmes !... Mon Fils, donnez-moi votre Cœur, ce sera mon instrument de conquête, la lumière dont j'éclairerai le monde, le feu dont j'embraserai tous les cœurs, le moyen par lequel je Vous glorifierai et Vous témoignerai ma reconnaissance pour tous les biens dont Vous avez comblé votre servante en l'établissant Souveraine de votre Sacré-Cœur. »
Si Marie s'adresse ainsi à son divin Fils, n'a-t-elle pas le droit de dire à chacun de nous : « Mon Fils, donne-moi ton cœur, consacre-le moi, abandonne-le moi tout entier; je te le demande pour lui faire aimer le Sacré-Cœur, pour l'unir à ce foyer du véritable amour, à cette source de tous les biens? Mon Fils, donne-moi ton cœur, je le purifierai, je l'ornerai de vertus, je l'animerai de ma charité, avant de l'offrir au Cœur de ton souverain Maître. Donne-moi ton cœur et je te donnerai celui de Jésus. Quel échange plus heureux pourras-tu jamais faire? Regarde, d'une main j'ai le Cœur de Jésus-Christ, de l'autre les cœurs de tous ceux qui sont fidèles à ma voix, et ma mission est de les unir pour qu'il n'y ait plus qu'un seul Cœur qui les embrasse tous, le Cœur sacré de Jésus, dont je suis la sante Souveraine pour toujours ».
Allégorie
Sur les rivages de la mer, un jeune enfant s'efforçait d'introduire dans un creux fait dans le sable toutes les eaux de l'Océan. Allant de la mer au rivage et du rivage à la mer, il ne pouvait chaque fois apporter qu'une goutte à son insuffisant bassin. Frappante image ! Marie est la mer, les grains de sable les fidèles, l'enfant l'âme pieuse qui, dans quelques paroles, voudrait raconter toutes les grandeurs de Marie. Béni soit Dieu ! jamais un rêve pareil ne se réalisera. Toujours, l'Église nous l'assure par bouche de ses Docteurs, Marie sera au-dessus de toute parole; Elle aura toujours de nouvelles grâces et de nouveaux titres; à chaque siècle, le Cœur de Jésus découvrira une prérogative nouvelle pour honorer la mémoire de sa Mère; les fidèles, toujours plus rassasiés à mesure qu'ils recevront davantage, s'écrieront : « De Marie jamais assez ! De Maria numquam satis ! ». Comment épuiser les richesses immenses que doit renfermer en Elle une Vierge digne d'être appelée par tous Notre Dame du Sacré Cœur?
Histoire
Monsieur le Supérieur, combien je suis heureuse de connaître Notre Dame du Sacré Cœur! Elle vient de me montrer que je suis son enfant privilégiée, et qu'une entière confiance en sa protection n'est pas placée en vain. Aussi m'efforcerai-je de répandre partout où je le pourrai la dévotion à Marie sous ce beau titre. Percluse des jambes, et dans le plus pitoyable état de santé, c'est à cette bonne Mère que je dois le parfait usage de mes membres. Aussitôt que je connus cette aimable dévotion, j'invoquai tout particulièrement Notre-Dame du Sacré-Cœur; je la priai avec confiance; il me semblait qu'avec un titre aussi grand j'arriverais droit au Cœur de Jésus par Marie, la Souveraine Maîtresse de son divin Cœur. J'ai fait la sainte communion en son honneur et je me suis trouvée mieux portante. Peu de jours après, j'ai pu sortir et aller d'un pas sûr, sans aucun appui, à la paroisse pour assister aux offices Jamais je n'ai joui d'une aussi bonne santé que maintenant; pas même de convalescence! Oh! qu'elle est bonne, Marie !!! Que je suis heureuse de pouvoir aller la remercier à son autel, et lui dire que nia reconnaissance sera éternelle! Faites remercier, dans votre pieuse réunion du jeudi, Notre-Dame du Sacré-Cœur, pour un si grand bienfait.
Monsieur le Supérieur, que de bien opère la dévotion à Notre-Dame du Sacré-Cœur ! Vous avez trouvé le vrai trésor caché à une époque où il y a tant d'entraînement pour le sensualisme et le bien-être de la vie. II fallait une puissante médiatrice ; nous l'avions déjà, il est vrai, mais vous avez trouvé un titre près duquel rien ne résiste et qui flatte le Cœur de Marie, qui ne pourrait rester froid quand, dans un mouvement général, tant d'enfants s'unissent pour la proclamer Notre-Dame du Sacré-Cœur. On sent que ce beau nom porte les âmes à l'amour et à la confiance. Tous d'un commun accord proclament Marie la Souveraine Maîtresse du Cœur de Jésus; on dirait que chacun voit une puissance supérieure dans cette invocation. Ici, il y a un mouvement très grand pour le bien. Des familles éloignées de Dieu, hostiles même à la religion, qu'on avait inscrites à leur insu dans l'archiconfrérie de Notre-Dame du Sacré-Cœur, changent subitement comme par miracle. Leurs idées se modifient; elles deviennent plus conciliantes et de quelques-unes nous avons obtenu ce qu'on était loin de pouvoir espérer. Oh! Marie est puissante et, avec son titre nouveau, nous pouvons tout attendre. Gloire et amour à Dame du Sacré-Cœur ! Remerciez avec nous, en union avec les associés, la sainte Vierge qui répand en ce moment dans notre ville tant de grâces. L'amour et la miséricorde de Dieu gagnent les âmes... Et c'est Notre-Dame du Sacré-Cœur qui nous obtient un si grand bien. Béni soit toujours ce divin nom, qui n'a pu prendre naissance que dans le Cœur embrasé d'amour de Jésus!.
Notre Dame du Sacré Cœur : Espérance des Désespérés
Souviens-Toi, Notre Dame du Sacré Cœur, des merveilles que fit pour Toi le Seigneur.
Il t'a choisie pour Mère, et Te voulut près de Sa Croix;
Il Te fait partager Sa Gloire, Il écoute Ta prière.
Offre-Lui nos louanges et nos actions de grâces;
présente-Lui nos demandes
(présenter ici ses intentions).
Fais nous vivre comme Toi dans l'Amour de Ton Fils, pour que Son Règne vienne !
Conduis tous les hommes à la Source d'Eau Vive qui jaillit de Son Cœur,
répandant sur le monde l'espoir et le Salut, la Justice et la Paix.
Vois votre confiance, réponds à notre appel,
et montre-Toi toujours notre Mère !
Amen.
Notre Dame du Sacré Cœur, prie pour nous !
Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
Localisation : France
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