USA: Le documentaire de D'Souza soulève la question suivante : L'Amérique est-elle en train de devenir un État policier?
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USA: Le documentaire de D'Souza soulève la question suivante : L'Amérique est-elle en train de devenir un État policier?
Le documentaire alarmant de Dinesh D'Souza soulève la question suivante : L'Amérique est-elle en train de devenir un État policier ?
Le régime autorise l'anarchie pure, sans aucune conséquence pour ses populations clientes, tout en exerçant une tyrannie extrême sur ceux qu'il considère comme des ennemis politiques.
Note: par exemple pensons aux évènements de l`été 2020 à Seattle ou les politiciens de gauche ont permis aux groupes anarchistes de l`extrême-gauche comme les Antifa de prendre le contrôle de 6 quartiers de la ville laissant les populations a la merci des extrémistes - des élus de gauche militaient pour enlever les budgets de la police.
7 Novembre 2023 - LifeSiteNews
Note : Cet article a été traduit automatiquement en français. (extraits)
(LifeSiteNews) - Le dernier film de Dinesh D'Souza, "État policier comprime en deux heures plusieurs années d'histoire d'un comportement tyrannique croissant de la part des services de renseignement et des forces de l'ordre, qui cherchent à criminaliser et à contrôler les conservateurs, les chrétiens et, fondamentalement, et les citoyens de droite.
Un thème qui revient tout au long du documentaire est résumé par D'Souza lorsqu'il déclare : "Les États policiers sont cruels. Ils détruisent les gens et les familles, mais ils s'en moquent. Il est plus important pour eux de nous faire taire si nous nous exprimons de la mauvaise manière." L'un des éléments caractéristiques de l'État policier est qu'il s'agit d'un État à parti unique. Toute opposition effective est éliminée", a déclaré M. D'Souza. Un service de renseignement intérieur ne sert qu'un seul maître : Le gouvernement qui les paie. Il ne sert pas le peuple américain", a expliqué George Hill, l'un des dénonciateurs du FBI qui ont participé au film.
Le film relate l'expérience d'Américains ordinaires qui se retrouvent soudainement traités comme des ennemis de l'État pour avoir simplement participé à une manifestation ou à un rassemblement, pour avoir été pro-vie ou pour avoir pris la parole lors d'une réunion d'un conseil d'administration d'une école pour dénoncer les matériels pornographiques promus dans les programmes scolaires de la maternelle à la terminale. Ils se retrouvent pris dans un enchevêtrement cauchemardesque de menaces de la part des forces de l'ordre et de problèmes juridiques bien réels, et font souvent l'objet d'inculpations et de condamnations largement disproportionnées par rapport à ce dont l'État a choisi de les accuser.
Journaliste Julie Kelly, qui a fait un travail incroyable sur le sort des prisonniers politiques du 6 janvier détenus à Washington, a planté le décor :
Des dizaines d'agents du FBI armés de béliers débarquent chez vous pour terroriser votre voisinage et vous terroriser, vous sortent de chez vous à moitié vêtus, refusent de vous délivrer un mandat, saccagent votre maison, vous emmènent au bureau local du FBI où vous êtes interrogés sans même avoir la possibilité d'avoir accès à un avocat. Le film raconte en détail plusieurs exemples d'individus pris dans l'engrenage anti-conservateur du gouvernement au cours des dernières années, notamment des manifestants pacifiques Pro-vie. Mark Houck et Bevelyn Beatty Williams accusés d'avoir violé la Loi FACE, le manifestant pacifique du 6 janvier Matthew Perna, qui s'est tragiquement suicidé après avoir été menacé de plusieurs années de prison suite à une accusation renforcée de terrorisme. Le président Donald Trump que LlÉtat profond cherche à l'empêcher de se présenter aux élections de 2024. Nous vivons une époque périlleuse", a déclaré Sherrona Bishop, fondatrice de America's Mom, dont le domicile a été perquisitionné par des agents du FBI en tenue militaire. "C'est désormais un État policier. Ils ont les pleins pouvoirs. Ils ont militarisé le ministère de la justice à maintes reprises.
Le président Obama a "retourné l'État contre les républicains et les conservateurs"
L'animateur de radio conservateur Dan Bongino, ancien policier et agent des services secrets qui a coproduit le film, a déclaré que s'il devait situer le moment où les États-Unis ont basculé d'une république constitutionnelle à un État policier, il s'agirait du..Patriot Act. La loi a été promulguée peu après le 11 septembre, soi-disant pour lutter contre le terrorisme en provenance de l'étranger. M. Bongino a expliqué que la mission du FBI avait été étendue de l'application de la loi au renseignement intérieur. L'agence avait carte blanche pour faire ce qu'elle voulait. "Après le 11 septembre, toutes les barrières qui avaient été érigées entre le contre-espionnage et les enquêtes criminelles ont été supprimées", a déclaré l'avocat John O'Connor. Sous le président Bush, nous avons vu ces outils utilisés contre les musulmans, mais le président Obama a franchi un nouveau palier : il a retourné l'État contre les républicains et les conservateurs", a déclaré M. D'Souza.
Comment les choses ont-elles évolué au point que pratiquement toutes les agences gouvernementales s'alignent contre les conservateurs ?
Les agences doivent créer une demande pour leurs services, explique Peter Schweizer, auteur d'enquêtes conservatrices. "L'une des façons dont ces agences gouvernementales y parviennent est de modifier leur mission. Elles passent de ce qui était autrefois le terrorisme intérieur à l'extrémisme intérieur. Et elles considèrent l'extrémisme d'une manière qui fait que toute personne de droite ou de centre pourrait être un extrémiste intérieur. "Dans les entrailles de ces groupes de travail inter-agences, ils ont élaboré des listes de surveillance, des listes de censure et des listes de cibles, a ajouté M. D'Souza. Au début du film, D'Souza a présenté une litanie de déclarations d'hommes politiques et de journalistes qui ont critiqué la militarisation croissante du gouvernement contre les citoyens ordinaires.
Le gouvernement a dit aux citoyens américains qu'ils ne pouvaient pas aller à l'église le dimanche", a déclaré le député Jim Jordan, faisant référence aux bouclages du COVID-19. "Mais ce qui est vraiment effrayant, c'est ce que nous avons vu sortir du bureau du FBI de Richmond : Si vous êtes un catholique pro-vie, pro-famille, ils vous définissent comme radical".
"Les républicains sont poursuivis pour des crimes pour lesquels les démocrates sont relâchés", a déclaré le sénateur Rand Paul. Plus loin, M. D'Souza reprend ce sentiment : "Le FBI protège les crimes des démocrates et les démocrates protègent les crimes du FBI. Nous n'avons pas de chars, de machines et d'armes visibles sur Pennsylvania Avenue à Washington D.C.", note Kash Patel, ancien avocat du Conseil de sécurité nationale et de la Chambre des représentants des États-Unis. "Les Soviétiques avaient un style d'État policier plus manifeste. Mais cela ne veut pas dire que nous n'avons pas les prémices d'un tel État ici, en Amérique". Je pense que les gens ont parfois l'impression que les gens vont marcher au pas de l'oie dans la rue en portant des uniformes avec des croix gammées", a déclaré M. Schweizer. "Non, c'est généralement un bureaucrate sans visage qui travaille dans un sous-sol quelque part et qui poursuit les objectifs plus vastes qui ont été établis par des dirigeants puissants. Les Chinois savent plus ou moins que c'est le président Xi qui dirige", a déclaré Darren Beattie, fondateur et rédacteur en chef de la revue Revolver News".L'État policier américain est opaque. Il n'est pas évident de savoir qui est vraiment en charge".
Se faisant l'avocat du diable, M. Beattie a posé une question qui préoccupe de nombreuses personnes :
C'est très simple : Le régime autorise l'anarchie pure et simple, sans aucune conséquence pour ses populations clientes, et il exerce une tyrannie extrême sur ceux qu'il considère comme des ennemis politiques. "L'Amérique sera-il un État policier à part entière , déclare M. D'Souza à la fin du film. "Dans un pays libre, le gouvernement existe pour servir les citoyens. Dans un État policier, le gouvernement déclare la guerre aux citoyens".
Les USA sont un pays très divisé
Le régime autorise l'anarchie pure, sans aucune conséquence pour ses populations clientes, tout en exerçant une tyrannie extrême sur ceux qu'il considère comme des ennemis politiques.
Note: par exemple pensons aux évènements de l`été 2020 à Seattle ou les politiciens de gauche ont permis aux groupes anarchistes de l`extrême-gauche comme les Antifa de prendre le contrôle de 6 quartiers de la ville laissant les populations a la merci des extrémistes - des élus de gauche militaient pour enlever les budgets de la police.
7 Novembre 2023 - LifeSiteNews
Note : Cet article a été traduit automatiquement en français. (extraits)
(LifeSiteNews) - Le dernier film de Dinesh D'Souza, "État policier comprime en deux heures plusieurs années d'histoire d'un comportement tyrannique croissant de la part des services de renseignement et des forces de l'ordre, qui cherchent à criminaliser et à contrôler les conservateurs, les chrétiens et, fondamentalement, et les citoyens de droite.
Un thème qui revient tout au long du documentaire est résumé par D'Souza lorsqu'il déclare : "Les États policiers sont cruels. Ils détruisent les gens et les familles, mais ils s'en moquent. Il est plus important pour eux de nous faire taire si nous nous exprimons de la mauvaise manière." L'un des éléments caractéristiques de l'État policier est qu'il s'agit d'un État à parti unique. Toute opposition effective est éliminée", a déclaré M. D'Souza. Un service de renseignement intérieur ne sert qu'un seul maître : Le gouvernement qui les paie. Il ne sert pas le peuple américain", a expliqué George Hill, l'un des dénonciateurs du FBI qui ont participé au film.
Le film relate l'expérience d'Américains ordinaires qui se retrouvent soudainement traités comme des ennemis de l'État pour avoir simplement participé à une manifestation ou à un rassemblement, pour avoir été pro-vie ou pour avoir pris la parole lors d'une réunion d'un conseil d'administration d'une école pour dénoncer les matériels pornographiques promus dans les programmes scolaires de la maternelle à la terminale. Ils se retrouvent pris dans un enchevêtrement cauchemardesque de menaces de la part des forces de l'ordre et de problèmes juridiques bien réels, et font souvent l'objet d'inculpations et de condamnations largement disproportionnées par rapport à ce dont l'État a choisi de les accuser.
Journaliste Julie Kelly, qui a fait un travail incroyable sur le sort des prisonniers politiques du 6 janvier détenus à Washington, a planté le décor :
Des dizaines d'agents du FBI armés de béliers débarquent chez vous pour terroriser votre voisinage et vous terroriser, vous sortent de chez vous à moitié vêtus, refusent de vous délivrer un mandat, saccagent votre maison, vous emmènent au bureau local du FBI où vous êtes interrogés sans même avoir la possibilité d'avoir accès à un avocat. Le film raconte en détail plusieurs exemples d'individus pris dans l'engrenage anti-conservateur du gouvernement au cours des dernières années, notamment des manifestants pacifiques Pro-vie. Mark Houck et Bevelyn Beatty Williams accusés d'avoir violé la Loi FACE, le manifestant pacifique du 6 janvier Matthew Perna, qui s'est tragiquement suicidé après avoir été menacé de plusieurs années de prison suite à une accusation renforcée de terrorisme. Le président Donald Trump que LlÉtat profond cherche à l'empêcher de se présenter aux élections de 2024. Nous vivons une époque périlleuse", a déclaré Sherrona Bishop, fondatrice de America's Mom, dont le domicile a été perquisitionné par des agents du FBI en tenue militaire. "C'est désormais un État policier. Ils ont les pleins pouvoirs. Ils ont militarisé le ministère de la justice à maintes reprises.
Le président Obama a "retourné l'État contre les républicains et les conservateurs"
L'animateur de radio conservateur Dan Bongino, ancien policier et agent des services secrets qui a coproduit le film, a déclaré que s'il devait situer le moment où les États-Unis ont basculé d'une république constitutionnelle à un État policier, il s'agirait du..Patriot Act. La loi a été promulguée peu après le 11 septembre, soi-disant pour lutter contre le terrorisme en provenance de l'étranger. M. Bongino a expliqué que la mission du FBI avait été étendue de l'application de la loi au renseignement intérieur. L'agence avait carte blanche pour faire ce qu'elle voulait. "Après le 11 septembre, toutes les barrières qui avaient été érigées entre le contre-espionnage et les enquêtes criminelles ont été supprimées", a déclaré l'avocat John O'Connor. Sous le président Bush, nous avons vu ces outils utilisés contre les musulmans, mais le président Obama a franchi un nouveau palier : il a retourné l'État contre les républicains et les conservateurs", a déclaré M. D'Souza.
Comment les choses ont-elles évolué au point que pratiquement toutes les agences gouvernementales s'alignent contre les conservateurs ?
Les agences doivent créer une demande pour leurs services, explique Peter Schweizer, auteur d'enquêtes conservatrices. "L'une des façons dont ces agences gouvernementales y parviennent est de modifier leur mission. Elles passent de ce qui était autrefois le terrorisme intérieur à l'extrémisme intérieur. Et elles considèrent l'extrémisme d'une manière qui fait que toute personne de droite ou de centre pourrait être un extrémiste intérieur. "Dans les entrailles de ces groupes de travail inter-agences, ils ont élaboré des listes de surveillance, des listes de censure et des listes de cibles, a ajouté M. D'Souza. Au début du film, D'Souza a présenté une litanie de déclarations d'hommes politiques et de journalistes qui ont critiqué la militarisation croissante du gouvernement contre les citoyens ordinaires.
Le gouvernement a dit aux citoyens américains qu'ils ne pouvaient pas aller à l'église le dimanche", a déclaré le député Jim Jordan, faisant référence aux bouclages du COVID-19. "Mais ce qui est vraiment effrayant, c'est ce que nous avons vu sortir du bureau du FBI de Richmond : Si vous êtes un catholique pro-vie, pro-famille, ils vous définissent comme radical".
"Les républicains sont poursuivis pour des crimes pour lesquels les démocrates sont relâchés", a déclaré le sénateur Rand Paul. Plus loin, M. D'Souza reprend ce sentiment : "Le FBI protège les crimes des démocrates et les démocrates protègent les crimes du FBI. Nous n'avons pas de chars, de machines et d'armes visibles sur Pennsylvania Avenue à Washington D.C.", note Kash Patel, ancien avocat du Conseil de sécurité nationale et de la Chambre des représentants des États-Unis. "Les Soviétiques avaient un style d'État policier plus manifeste. Mais cela ne veut pas dire que nous n'avons pas les prémices d'un tel État ici, en Amérique". Je pense que les gens ont parfois l'impression que les gens vont marcher au pas de l'oie dans la rue en portant des uniformes avec des croix gammées", a déclaré M. Schweizer. "Non, c'est généralement un bureaucrate sans visage qui travaille dans un sous-sol quelque part et qui poursuit les objectifs plus vastes qui ont été établis par des dirigeants puissants. Les Chinois savent plus ou moins que c'est le président Xi qui dirige", a déclaré Darren Beattie, fondateur et rédacteur en chef de la revue Revolver News".L'État policier américain est opaque. Il n'est pas évident de savoir qui est vraiment en charge".
Se faisant l'avocat du diable, M. Beattie a posé une question qui préoccupe de nombreuses personnes :
C'est très simple : Le régime autorise l'anarchie pure et simple, sans aucune conséquence pour ses populations clientes, et il exerce une tyrannie extrême sur ceux qu'il considère comme des ennemis politiques. "L'Amérique sera-il un État policier à part entière , déclare M. D'Souza à la fin du film. "Dans un pays libre, le gouvernement existe pour servir les citoyens. Dans un État policier, le gouvernement déclare la guerre aux citoyens".
Les USA sont un pays très divisé
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
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