COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : RESTAURER L’ÉTAT EN RESTAURANT LE ROI SOUVERAIN
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COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : RESTAURER L’ÉTAT EN RESTAURANT LE ROI SOUVERAIN
COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : RESTAURER L’ÉTAT EN RESTAURANT LE ROI SOUVERAIN
Bien Chère Âmes Fidèles,
Que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France. Restez ferme dans votre Foi. Dieu est auprès de vous...
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Avant tout, nous nous en remettons à vos prières...
Le nationalisme en France apparait au cours du XVIII° siècle dans la petite bourgeoisie, sous la plume des philosphes des lumières. Le nationalisme signifiait pour eux, à cette époque, que c'est le peuple qui incarne le pays, par opposition à la vision de l'ancien régime pour lequel le pays est incarné par le Roi de France.
Est arrivé le moment de redonner la parole au Roi :
1. Inscrire la préférence Royale dans la Constitution.
Qu'apporterait de mieux un Roi à la France ? Restaurée aujourd'hui, la Monarchie Légitime possèderait trois leviers pour gouverner, à savoir le COURAGE qu'apporte le long terme, la LIBERTE qu'apporte la Souveraineté, la JUSTICE qu'apporte l'esprit Chrétien.
La Constitution doit intégrer, d’une manière claire et indiscutable, le principe de la
préférence Royale. Elle se défoinit par une préférence nationale assise sur une préférence Chrétienne. Il est en effet nécessaire de réaffirmer la légitimité constitutionnelle du Roi, Chef de l'Etat, Père des armes et de la loi, en France Fils Aîné de l'Eglise également, qui assurera la priorité des citoyens Français en France sur les ressortissants étrangers, des Chrétiens sur les non-Chrètiesn, ce en matière de droits civiques, civils et sociaux. Ce principe est le corollaire de la nationalité qui réserve le droit de vote à toutes les élections aux seuls citoyens Français.
Le Roi Très Chrétien gouvernera avec l'aide du Conseil des Ministres, fera les lois avec l'aide du Conseil d'Etat et jugera en dernier ressort avec l'aide du Conseil Supérieur de la Magristrature, laissant la justice déléguée à des juges nommés et révoqués par lui.
2. Rétablir la primauté du droit Français sur le droit dérivé européen.
L’indispensable corollaire du principe constitutionnel de préférence Royale est la
primauté en France des lois Royales sur le droit dérivé européen, construction juridique émanant
des institutions euromondialistes.
3. Étendre le champ d’application du référendum.
Sur toutes les grandes questions dites de société qui, en réalité, engagent l’avenir de
notre Nation, le peuple doit être consulté par le Roi. La Constitution sera
modifiée pour élargir le champ d’application du référendum.
4. Créer le référendum d’initiative populaire.
Au-delà de cette extension, le peuple français, comme en Suisse ou en Italie, doit avoir
l’initiative du référendum. En recueillant les signatures d’un nombre suffisant d’électeurs,
les citoyens doivent pouvoir provoquer l’organisation d’un référendum tant au niveau
national que local.
5. Préciser le rôle du Conseil Constitutionnel.
Le Conseil Constitutionnel s’est érigé en tribunal idéologique pour juger de l’opportunité
politique des lois votées par le Parlement. Son rôle sera donc limité au contrôle de la
conformité des lois à la lettre des articles de la constitution. Il pourra devenir, sous la présidence du roi, une Cour Suprême de justice.
6. L’homme d’État doit diriger... l’État.
Le Roi est en charge de la Nation qu'il incarne et de l’État qu'il personifie : “L'Etat, c'est moi !”. Il trace la direction politique à suivre par les administrations, il en contrôle la réalisation, à charge pour les fonctionnaires de traduire ces directives en actes concrets, dans le respect des libertés
des citoyens.
Reprendre le contrôle des territoires de non-droit, se doter d’une justice forte et impitoyable avec les délinquants, maîtriser les frontières et les flux migratoires et faire prévaloir le bien commun sur les intérêts particuliers constituent les préalables indispensables à la restauration de l’autorité de l’État personifiée par la persoinne Royale. Il faut rétablir la discipline, l'ordre et la sécurité, et préserver l'intégrité territoriale de la France.
Les fonctionnaires et agents publics ne peuvent donc être élus parlementaires ou faire partie d’exécutifs locaux, sauf à démissionner de leur administration. L’administration des finances est un État dans l’État. Le Premier Ministre est subordonné au ministre des Finances et ce dernier à son administration. La direction du Budget, instrument essentiel des arbitrages gouvernementaux, sera donc rattachée au Premier Ministre.
7. Mettre en oeuvre la vraie décentralisation.
La décentralisation des années Quatre-vingts fut une fausse décentralisation ;
l’eurorégionalisme se fait contre la Nation au profit d’un jacobinisme eurofédéraliste. Le Roi devra mettre en place la vraie décentralisation et réinstaurer de véritables libertés locales
en France. Cela passe par les trois axes qui suivent.
Un axe politique d’abord, qui consiste à ramener à deux le nombre de collectivités locales
et à en changer le ressort : les départements et cantons sont devenus obsolètes, les
régions sont, pour beaucoup, artificielles, et seules subsiteront les communes et les provinces.
Nos communes où, selon l’expression de Tocqueville “réside la force des peuples libres”,
seront intégralement préservées et continueront à être la base des libertés locales. Elles
pourront, sans perdre leur autonomie, mettre en commun leurs services opérationnels (eau,
déchets...), sans qu’aucun mécanisme contraignant ne les oblige cependant à
l’intercommunalité.
La France sera divisée en une trentaine de provinces, d’importance sensiblement
équivalente. Elles auront des limites naturelles et humaines bien identifiées et
reprendront, pour l’essentiel, les compétences dévolues aux conseils généraux et
régionaux actuels.
Un axe financier ensuite, par une réforme des finances locales débouchant sur une
fiscalité clairement identifiable par le contribuable et responsabilisant les élus, sur la base
du coût réel des services, en limitant leur capacité d’emprunt, en démantelant l’économie
mixte locale (SEM) et en révisant les procédures d’urbanisme (POS, SDAU, ZAC...).
Un axe juridique enfin, en alignant les comptabilités des collectivités locales sur le droit
commun, en prohibant les financements croisés et les dépassements de compétences.
8. Rétablir l'hérédité Royale.
La continuité Royale, assurée par l'hérédité, retire le pouvoir aux luttes partisannes, aux ambitions personnelles et à la corruption, et peut dès lors assurer le Bien Commun du peuple Français et la PERENITE de la France comme de sa vocation Catholique, le Roi de France, nouveau Constantin, devant gouverner chrétienement “pour le Bien Commun et le salut de l'Etat (Edit de juillet 1717)” !
9. Traquer la corruption et châtier les corrompus.
Il y a, tout d’abord, la nécessaire et permanente répression judiciaire et la déchéance
après condamnation. Cependant, la corruption s’étant institutionnalisée, il faut que des
mécanismes permanents dans notre vie publique soient prévus pour y parer :
l’interdiction définitive de la réintégration dans le secteur public de hauts fonctionnaires
ayant opté pour le secteur privé, la mobilité systématique des fonctionnaires locaux
d’autorité appelés à traiter des procédures économiques, l’interdiction du cumul d’un
emploi de fonctionnaire d’autorité et d’un mandat parlementaire, la déclaration
obligatoire du patrimoine des élus dirigeant une collectivité ayant plus de 100 millions de
F. de budget, l’interdiction du cumul de la direction de grandes collectivités territoriales
et d’une fonction nationale.
A ces mesures visant les titulaires de fonctions publiques, viendront s’ajouter la remise à
plat des compétences entre l’État Royal et les collectivités locales (voir plus haut),
l’accroissement du contrôle et du rôle répressif de la Cour et des chambres régionales
des comptes et la publication de leurs avis, le renforcement des moyens et de la qualité
du contrôle de légalité préfectoral, l’extension aux élus locaux de la compétence de la
Cour de discipline budgétaire et financière, la création de pôles de prévention de la
corruption dans chaque ressort territorial important, en relation avec le SCPC (Service
Central de Prévention de la Corruption) du ministère de la Justice.
10. Mettre fin au financement public des groupes de pression.
Un nombre considérable d’organismes à statut associatif, dont l’objet social n’est en rien
utile à la collectivité nationale, est subventionné tant par les fonds européens que par
l’État, les régions, les départements, les communes. Ce détournement de l’argent public
doit cesser : une loi disposera que les organismes subventionnés sur fonds publics
doivent être d’intérêt purement local.
11. Supprimer l’E.N.A..
La suppression de cette école est évidemment nécessaire : on ne forme pas de la même
façon un sous-préfet, un consul de France, un inspecteur des finances. Les hauts
fonctionnaires seront recrutés par corps selon des concours particuliers dont les
programmes et la formation professionnelle varieront en fonction de leurs
responsabilités.
12. Déchoir tout élu refusant de révéler son appartenance à une organisation
secrète.
L’importance des oligarchies, groupes de pression et autres obédiences maçonniques est
un fait avéré dans la vie publique de notre pays. Aussi, tout dépositaire de l’autorité
publique devra-t-il signaler, sous peine de déchéance, son appartenance à ces sociétés,
obédiences ou organismes.
Cette mesure s’applique aujourd’hui en Angleterre sur proposition de Tony Blair.
13. Recentrer l’État sur ses compétences régaliennes.
Le XXe siècle aura été le siècle de l’État : ce n’est pas un hasard s’il a été aussi celui de
tous les génocides et de tous les totalitarismes. L’État Royal doit assumer préférentiellement ce
pourquoi il existe dans la société des hommes : la défense, l’action dipolomatique extérieure, la sûreté intérieure et la justice, la monnaie et les impôts, les réglementations de protection
(santé, consommation, environnement...), l’indépendance énergétique et alimentaire.
Il faut un Roi qui incarne l'autorité de l'Etat, autorité nécessair pour guider le le peuple qui lui est confié, un Roi qui fait office d’autorité morale, d'ambassadeur de son pays à l'étranger, garant de l’unité du pays, rappel de l’Histoire.
Pour le reste, les Français, dans les professions organisées, dans leurs assemblées
locales et législatives ELUES, auront la capacité de prendre en charge, par leurs initiatives, la prospérité quotidienne du Pays, le tout sous l'arbitrage serain du Roi : le Roi en ses Conseils, le peuple en ses Etats.
14. Clarifier les procédures de passation des marchés publics.
Trois mesures essentielles nous paraissent devoir être mises en oeuvre.
Pour ce qui est des marchés sur appel d’offres – toujours ouvert – il faut interdire
l’assistance à maîtrise d’ouvrage qui fait intervenir un intermédiaire (bureau d’études)
dans la définition des critères de choix ou la sélection des candidats à retenir.
La délégation de maîtrise d’ouvrage de la (ou des) collectivité(s) locale(s) à un organisme
différent du financeur public entraîne un dessaisissement grave de responsabilité ; c’est
aussi une source d’opacité. Elle doit être limitée à des équipements exceptionnels réalisés
par l’État (ex. Stade de France).
Enfin, les délégations de service public doivent être traitées en appel d’offres ouvert,
après enquête publique préalable permettant de juger les offres et performances des
candidats. La durée des conventions sera, au maximum, de 10 ans. L’attribution de la
délégation se fera par vote à bulletin secret de l’assemblée territoriale concernée.
15. Remettre la Fonction publique au service du Bien Commun.
Il est nécessaire de remettre la Fonction publique au service du Bien Commun : pour celà, le Roi introduira la doctrine sociale de l'Eglise dans sa polique.
Le titre de fonctionnaire sera réservé aux personnels de l’État employés aux tâches
régaliennes et l’accès à ces emplois sera réservé aux citoyens français. Le statut doit être
rénové pour que les règles qu’il formule tiennent davantage compte de l’intérêt du public.
L’égalité et la transparence seront de règle en matière d’avancement qui devra se faire
en majeure partie au mérite.
Le pluralisme dans la représentation professionnelle des fonctionnaires sera rétabli ainsi
qu’une formation professionnelle continue conduisant à leur réelle responsabilisation. Les
fonctionnaires possèdent des connaissances et un savoir-faire souvent inemployés : les
services publics développeront des prestations plus proches des modes de vie des
Français notamment les plus modestes (horaires, nouvelles technologies...).
16. Retrouver une vraie diplomatie Royale.
S’il fallait résumer l’occidentalisme, ce serait l’idée que la condition humaine est misérable d’origine et que les peuples européens sont la meilleure chose qui soit jamais arrivée, que leur existence et leur hégémonie, de par la liberté et les droits que la France octroient aux peuples voisins et amis, ont été profitables à tous. Ce serait la prise de conscience que ces droits octroyés n’ont jamais été naturels en vérité, ni réciproques, qu’ils émanaient d’une nature.
Entre la Révolution Industrielle et les Guerres Mondiales, les Français ont enduré beaucoup de souffrances pour accoucher du monde moderne, et en gardent de nombreux traumatismes qui les minent. De la même façon, ils sont éveillés comme personne d’autre à la douleur d’autrui. La décolonisation militairement n’a jamais été une victoire des pays colonisés sur les Européens. Elle a été d’abord un refus de la part des Français, au contraire des anglais, de commettre un bain de sang supplémentaire pour priver les autres de leur liberté. Constamment, les Français cherchent à améliorer les choses, à s’améliorer eux-mêmes. Et ils sont les seuls qui commettent des erreurs parce qu’ils sont les seuls qui essayent. Nous l’avons plus ou moins intégré inconsciemment. Les autres peuples peuvent commettre toutes les horreurs du monde, ça n’a aucune importance, car ils ne sont que « les autres peuples ». Les Français eux ne le peuvent pas. Ils ont une toute autre place dans l’inconscient planétaire.
Les discours post-modernes, même de droite, disent tous la même chose. Il faudrait que les Européens abandonnent leur fardeau, sortent de l’Histoire, qu’ils sortent de la modernité, qu’ils laissent la place à d’autres hégémonies, pour se retirer du monde. Mais c’est impossible. Parce qu’ils sont l’Histoire en vérité. Ils sont, réunits autour de la France, la dynamique à l’œuvre. Tout ce qui se passe à l’intérieur du cœur européen a des conséquences illimitées sur le reste du monde. Ils ont reçu un obscur don qui est un mélange de raison grecque et d’empathie Chrétienne, incarné et gravé en France dans la chair des Français. Non seulement ils se trahiraient eux-mêmes en reniant ce don, mais qu’ils persistent à exister est la seule chose qui permette de garder le monde meilleur.
Grace à la France Royale, l'Europe pourrait retrouver son identité Chrétienne. Celà signifie restaurer en France la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale. Faire retrouver à la France sa vocation Catholique et son âme mariale incarnée par N.D. de Paris, cathédrale voule par Philippe auguste pour remercier la Mère de Dieu de lui avoir obtenu la Victoire de Bouvine !
La condition humaine est misérable d'origine et les peuple Chrétiens sont la meilleure chsose qui soit arrivé dans l'Histoire. Il ne leur amanque plus qu'une France redevenue Catholique et Royale pour les rassembler.
Et voici, à partir de là, nos propositions pour une diplomatie Catholique et Royale :
1. Référence aux principes Chrétiens inscrite dans la constitution : d'où le respect de la Vie de la consception à la mort naturelle, l'affirmation du mariage fondé sur l'union librement consentit d'un homme et d'une femme, la responsabilité des parents dans l'éducation des enfants, un rappel de l'action politique des penseurs Catholiques-Sociaux.
2. Lutte contre la christianophobie.
3. Soutient politique aux communautés Chrétiennes dans les pays où elles sont menacées.
4. Politique d'immigration : oui à une immigration CHRETIENNE, de culture EUROPENNE ! Respecter le principe : “cujus regno, ejus religio”;
5. Vers une Europe Monarchique et Chrétienne.
Pour redonner de la Grandeur à la France, il faudra au Roi:
1. Se doter de moyens de la Grandeur (une diplomatie sérieuse appuyée sur une Armée solide et un Renseigenement conséquant).
2. La France Fille, Ainée de l’Eglise et Educatrice des Peuples.
3. La France défenseur des nations.
4. La France, promoteur du développement.
5. La France, pivot de l’Europe des Patries.
6. La France, partenaire de l’Afrique et du Moyen-Orient.
7. La France présente dans le monde.
8. La France, artisan de paix.
Depuis sa création, notre Gouvernement Royaliste Provisoire, institué comme un conseil de régence du Royaume de France en survivance, met en garde contre l’idéologie du « sans-frontiérisme » et rappelle l’urgence de RETABLIR EN FRANCE ET DANS SES PROVINCES D'OUTRE-MER UN ETAT FORT AUX MISSIONS REGALIENNES RESTAUREES. Nous avons la forte conviction que toute autre alternative conduirait inéluctablement à court terme à la ruine de l’Etat et à la disparition de la France.
Pour reconquérir nos libertés, protéger notre identité, rétablir notre souveraineté, rénover nos institutions.
-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeunne fille que l'on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d'Arc (François-Marie Algould) !
Toujours sous le signe du double-Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice , espoir et salut de la France.
Puisse Saint Louis nous éclairer.
Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO
Bien Chère Âmes Fidèles,
Que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France. Restez ferme dans votre Foi. Dieu est auprès de vous...
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Avant tout, nous nous en remettons à vos prières...
Le nationalisme en France apparait au cours du XVIII° siècle dans la petite bourgeoisie, sous la plume des philosphes des lumières. Le nationalisme signifiait pour eux, à cette époque, que c'est le peuple qui incarne le pays, par opposition à la vision de l'ancien régime pour lequel le pays est incarné par le Roi de France.
Est arrivé le moment de redonner la parole au Roi :
1. Inscrire la préférence Royale dans la Constitution.
Qu'apporterait de mieux un Roi à la France ? Restaurée aujourd'hui, la Monarchie Légitime possèderait trois leviers pour gouverner, à savoir le COURAGE qu'apporte le long terme, la LIBERTE qu'apporte la Souveraineté, la JUSTICE qu'apporte l'esprit Chrétien.
La Constitution doit intégrer, d’une manière claire et indiscutable, le principe de la
préférence Royale. Elle se défoinit par une préférence nationale assise sur une préférence Chrétienne. Il est en effet nécessaire de réaffirmer la légitimité constitutionnelle du Roi, Chef de l'Etat, Père des armes et de la loi, en France Fils Aîné de l'Eglise également, qui assurera la priorité des citoyens Français en France sur les ressortissants étrangers, des Chrétiens sur les non-Chrètiesn, ce en matière de droits civiques, civils et sociaux. Ce principe est le corollaire de la nationalité qui réserve le droit de vote à toutes les élections aux seuls citoyens Français.
Le Roi Très Chrétien gouvernera avec l'aide du Conseil des Ministres, fera les lois avec l'aide du Conseil d'Etat et jugera en dernier ressort avec l'aide du Conseil Supérieur de la Magristrature, laissant la justice déléguée à des juges nommés et révoqués par lui.
2. Rétablir la primauté du droit Français sur le droit dérivé européen.
L’indispensable corollaire du principe constitutionnel de préférence Royale est la
primauté en France des lois Royales sur le droit dérivé européen, construction juridique émanant
des institutions euromondialistes.
3. Étendre le champ d’application du référendum.
Sur toutes les grandes questions dites de société qui, en réalité, engagent l’avenir de
notre Nation, le peuple doit être consulté par le Roi. La Constitution sera
modifiée pour élargir le champ d’application du référendum.
4. Créer le référendum d’initiative populaire.
Au-delà de cette extension, le peuple français, comme en Suisse ou en Italie, doit avoir
l’initiative du référendum. En recueillant les signatures d’un nombre suffisant d’électeurs,
les citoyens doivent pouvoir provoquer l’organisation d’un référendum tant au niveau
national que local.
5. Préciser le rôle du Conseil Constitutionnel.
Le Conseil Constitutionnel s’est érigé en tribunal idéologique pour juger de l’opportunité
politique des lois votées par le Parlement. Son rôle sera donc limité au contrôle de la
conformité des lois à la lettre des articles de la constitution. Il pourra devenir, sous la présidence du roi, une Cour Suprême de justice.
6. L’homme d’État doit diriger... l’État.
Le Roi est en charge de la Nation qu'il incarne et de l’État qu'il personifie : “L'Etat, c'est moi !”. Il trace la direction politique à suivre par les administrations, il en contrôle la réalisation, à charge pour les fonctionnaires de traduire ces directives en actes concrets, dans le respect des libertés
des citoyens.
Reprendre le contrôle des territoires de non-droit, se doter d’une justice forte et impitoyable avec les délinquants, maîtriser les frontières et les flux migratoires et faire prévaloir le bien commun sur les intérêts particuliers constituent les préalables indispensables à la restauration de l’autorité de l’État personifiée par la persoinne Royale. Il faut rétablir la discipline, l'ordre et la sécurité, et préserver l'intégrité territoriale de la France.
Les fonctionnaires et agents publics ne peuvent donc être élus parlementaires ou faire partie d’exécutifs locaux, sauf à démissionner de leur administration. L’administration des finances est un État dans l’État. Le Premier Ministre est subordonné au ministre des Finances et ce dernier à son administration. La direction du Budget, instrument essentiel des arbitrages gouvernementaux, sera donc rattachée au Premier Ministre.
7. Mettre en oeuvre la vraie décentralisation.
La décentralisation des années Quatre-vingts fut une fausse décentralisation ;
l’eurorégionalisme se fait contre la Nation au profit d’un jacobinisme eurofédéraliste. Le Roi devra mettre en place la vraie décentralisation et réinstaurer de véritables libertés locales
en France. Cela passe par les trois axes qui suivent.
Un axe politique d’abord, qui consiste à ramener à deux le nombre de collectivités locales
et à en changer le ressort : les départements et cantons sont devenus obsolètes, les
régions sont, pour beaucoup, artificielles, et seules subsiteront les communes et les provinces.
Nos communes où, selon l’expression de Tocqueville “réside la force des peuples libres”,
seront intégralement préservées et continueront à être la base des libertés locales. Elles
pourront, sans perdre leur autonomie, mettre en commun leurs services opérationnels (eau,
déchets...), sans qu’aucun mécanisme contraignant ne les oblige cependant à
l’intercommunalité.
La France sera divisée en une trentaine de provinces, d’importance sensiblement
équivalente. Elles auront des limites naturelles et humaines bien identifiées et
reprendront, pour l’essentiel, les compétences dévolues aux conseils généraux et
régionaux actuels.
Un axe financier ensuite, par une réforme des finances locales débouchant sur une
fiscalité clairement identifiable par le contribuable et responsabilisant les élus, sur la base
du coût réel des services, en limitant leur capacité d’emprunt, en démantelant l’économie
mixte locale (SEM) et en révisant les procédures d’urbanisme (POS, SDAU, ZAC...).
Un axe juridique enfin, en alignant les comptabilités des collectivités locales sur le droit
commun, en prohibant les financements croisés et les dépassements de compétences.
8. Rétablir l'hérédité Royale.
La continuité Royale, assurée par l'hérédité, retire le pouvoir aux luttes partisannes, aux ambitions personnelles et à la corruption, et peut dès lors assurer le Bien Commun du peuple Français et la PERENITE de la France comme de sa vocation Catholique, le Roi de France, nouveau Constantin, devant gouverner chrétienement “pour le Bien Commun et le salut de l'Etat (Edit de juillet 1717)” !
9. Traquer la corruption et châtier les corrompus.
Il y a, tout d’abord, la nécessaire et permanente répression judiciaire et la déchéance
après condamnation. Cependant, la corruption s’étant institutionnalisée, il faut que des
mécanismes permanents dans notre vie publique soient prévus pour y parer :
l’interdiction définitive de la réintégration dans le secteur public de hauts fonctionnaires
ayant opté pour le secteur privé, la mobilité systématique des fonctionnaires locaux
d’autorité appelés à traiter des procédures économiques, l’interdiction du cumul d’un
emploi de fonctionnaire d’autorité et d’un mandat parlementaire, la déclaration
obligatoire du patrimoine des élus dirigeant une collectivité ayant plus de 100 millions de
F. de budget, l’interdiction du cumul de la direction de grandes collectivités territoriales
et d’une fonction nationale.
A ces mesures visant les titulaires de fonctions publiques, viendront s’ajouter la remise à
plat des compétences entre l’État Royal et les collectivités locales (voir plus haut),
l’accroissement du contrôle et du rôle répressif de la Cour et des chambres régionales
des comptes et la publication de leurs avis, le renforcement des moyens et de la qualité
du contrôle de légalité préfectoral, l’extension aux élus locaux de la compétence de la
Cour de discipline budgétaire et financière, la création de pôles de prévention de la
corruption dans chaque ressort territorial important, en relation avec le SCPC (Service
Central de Prévention de la Corruption) du ministère de la Justice.
10. Mettre fin au financement public des groupes de pression.
Un nombre considérable d’organismes à statut associatif, dont l’objet social n’est en rien
utile à la collectivité nationale, est subventionné tant par les fonds européens que par
l’État, les régions, les départements, les communes. Ce détournement de l’argent public
doit cesser : une loi disposera que les organismes subventionnés sur fonds publics
doivent être d’intérêt purement local.
11. Supprimer l’E.N.A..
La suppression de cette école est évidemment nécessaire : on ne forme pas de la même
façon un sous-préfet, un consul de France, un inspecteur des finances. Les hauts
fonctionnaires seront recrutés par corps selon des concours particuliers dont les
programmes et la formation professionnelle varieront en fonction de leurs
responsabilités.
12. Déchoir tout élu refusant de révéler son appartenance à une organisation
secrète.
L’importance des oligarchies, groupes de pression et autres obédiences maçonniques est
un fait avéré dans la vie publique de notre pays. Aussi, tout dépositaire de l’autorité
publique devra-t-il signaler, sous peine de déchéance, son appartenance à ces sociétés,
obédiences ou organismes.
Cette mesure s’applique aujourd’hui en Angleterre sur proposition de Tony Blair.
13. Recentrer l’État sur ses compétences régaliennes.
Le XXe siècle aura été le siècle de l’État : ce n’est pas un hasard s’il a été aussi celui de
tous les génocides et de tous les totalitarismes. L’État Royal doit assumer préférentiellement ce
pourquoi il existe dans la société des hommes : la défense, l’action dipolomatique extérieure, la sûreté intérieure et la justice, la monnaie et les impôts, les réglementations de protection
(santé, consommation, environnement...), l’indépendance énergétique et alimentaire.
Il faut un Roi qui incarne l'autorité de l'Etat, autorité nécessair pour guider le le peuple qui lui est confié, un Roi qui fait office d’autorité morale, d'ambassadeur de son pays à l'étranger, garant de l’unité du pays, rappel de l’Histoire.
Pour le reste, les Français, dans les professions organisées, dans leurs assemblées
locales et législatives ELUES, auront la capacité de prendre en charge, par leurs initiatives, la prospérité quotidienne du Pays, le tout sous l'arbitrage serain du Roi : le Roi en ses Conseils, le peuple en ses Etats.
14. Clarifier les procédures de passation des marchés publics.
Trois mesures essentielles nous paraissent devoir être mises en oeuvre.
Pour ce qui est des marchés sur appel d’offres – toujours ouvert – il faut interdire
l’assistance à maîtrise d’ouvrage qui fait intervenir un intermédiaire (bureau d’études)
dans la définition des critères de choix ou la sélection des candidats à retenir.
La délégation de maîtrise d’ouvrage de la (ou des) collectivité(s) locale(s) à un organisme
différent du financeur public entraîne un dessaisissement grave de responsabilité ; c’est
aussi une source d’opacité. Elle doit être limitée à des équipements exceptionnels réalisés
par l’État (ex. Stade de France).
Enfin, les délégations de service public doivent être traitées en appel d’offres ouvert,
après enquête publique préalable permettant de juger les offres et performances des
candidats. La durée des conventions sera, au maximum, de 10 ans. L’attribution de la
délégation se fera par vote à bulletin secret de l’assemblée territoriale concernée.
15. Remettre la Fonction publique au service du Bien Commun.
Il est nécessaire de remettre la Fonction publique au service du Bien Commun : pour celà, le Roi introduira la doctrine sociale de l'Eglise dans sa polique.
Le titre de fonctionnaire sera réservé aux personnels de l’État employés aux tâches
régaliennes et l’accès à ces emplois sera réservé aux citoyens français. Le statut doit être
rénové pour que les règles qu’il formule tiennent davantage compte de l’intérêt du public.
L’égalité et la transparence seront de règle en matière d’avancement qui devra se faire
en majeure partie au mérite.
Le pluralisme dans la représentation professionnelle des fonctionnaires sera rétabli ainsi
qu’une formation professionnelle continue conduisant à leur réelle responsabilisation. Les
fonctionnaires possèdent des connaissances et un savoir-faire souvent inemployés : les
services publics développeront des prestations plus proches des modes de vie des
Français notamment les plus modestes (horaires, nouvelles technologies...).
16. Retrouver une vraie diplomatie Royale.
S’il fallait résumer l’occidentalisme, ce serait l’idée que la condition humaine est misérable d’origine et que les peuples européens sont la meilleure chose qui soit jamais arrivée, que leur existence et leur hégémonie, de par la liberté et les droits que la France octroient aux peuples voisins et amis, ont été profitables à tous. Ce serait la prise de conscience que ces droits octroyés n’ont jamais été naturels en vérité, ni réciproques, qu’ils émanaient d’une nature.
Entre la Révolution Industrielle et les Guerres Mondiales, les Français ont enduré beaucoup de souffrances pour accoucher du monde moderne, et en gardent de nombreux traumatismes qui les minent. De la même façon, ils sont éveillés comme personne d’autre à la douleur d’autrui. La décolonisation militairement n’a jamais été une victoire des pays colonisés sur les Européens. Elle a été d’abord un refus de la part des Français, au contraire des anglais, de commettre un bain de sang supplémentaire pour priver les autres de leur liberté. Constamment, les Français cherchent à améliorer les choses, à s’améliorer eux-mêmes. Et ils sont les seuls qui commettent des erreurs parce qu’ils sont les seuls qui essayent. Nous l’avons plus ou moins intégré inconsciemment. Les autres peuples peuvent commettre toutes les horreurs du monde, ça n’a aucune importance, car ils ne sont que « les autres peuples ». Les Français eux ne le peuvent pas. Ils ont une toute autre place dans l’inconscient planétaire.
Les discours post-modernes, même de droite, disent tous la même chose. Il faudrait que les Européens abandonnent leur fardeau, sortent de l’Histoire, qu’ils sortent de la modernité, qu’ils laissent la place à d’autres hégémonies, pour se retirer du monde. Mais c’est impossible. Parce qu’ils sont l’Histoire en vérité. Ils sont, réunits autour de la France, la dynamique à l’œuvre. Tout ce qui se passe à l’intérieur du cœur européen a des conséquences illimitées sur le reste du monde. Ils ont reçu un obscur don qui est un mélange de raison grecque et d’empathie Chrétienne, incarné et gravé en France dans la chair des Français. Non seulement ils se trahiraient eux-mêmes en reniant ce don, mais qu’ils persistent à exister est la seule chose qui permette de garder le monde meilleur.
Grace à la France Royale, l'Europe pourrait retrouver son identité Chrétienne. Celà signifie restaurer en France la Monarchie Capétienne, Catholique et Royale. Faire retrouver à la France sa vocation Catholique et son âme mariale incarnée par N.D. de Paris, cathédrale voule par Philippe auguste pour remercier la Mère de Dieu de lui avoir obtenu la Victoire de Bouvine !
La condition humaine est misérable d'origine et les peuple Chrétiens sont la meilleure chsose qui soit arrivé dans l'Histoire. Il ne leur amanque plus qu'une France redevenue Catholique et Royale pour les rassembler.
Et voici, à partir de là, nos propositions pour une diplomatie Catholique et Royale :
1. Référence aux principes Chrétiens inscrite dans la constitution : d'où le respect de la Vie de la consception à la mort naturelle, l'affirmation du mariage fondé sur l'union librement consentit d'un homme et d'une femme, la responsabilité des parents dans l'éducation des enfants, un rappel de l'action politique des penseurs Catholiques-Sociaux.
2. Lutte contre la christianophobie.
3. Soutient politique aux communautés Chrétiennes dans les pays où elles sont menacées.
4. Politique d'immigration : oui à une immigration CHRETIENNE, de culture EUROPENNE ! Respecter le principe : “cujus regno, ejus religio”;
5. Vers une Europe Monarchique et Chrétienne.
Pour redonner de la Grandeur à la France, il faudra au Roi:
1. Se doter de moyens de la Grandeur (une diplomatie sérieuse appuyée sur une Armée solide et un Renseigenement conséquant).
2. La France Fille, Ainée de l’Eglise et Educatrice des Peuples.
3. La France défenseur des nations.
4. La France, promoteur du développement.
5. La France, pivot de l’Europe des Patries.
6. La France, partenaire de l’Afrique et du Moyen-Orient.
7. La France présente dans le monde.
8. La France, artisan de paix.
Depuis sa création, notre Gouvernement Royaliste Provisoire, institué comme un conseil de régence du Royaume de France en survivance, met en garde contre l’idéologie du « sans-frontiérisme » et rappelle l’urgence de RETABLIR EN FRANCE ET DANS SES PROVINCES D'OUTRE-MER UN ETAT FORT AUX MISSIONS REGALIENNES RESTAUREES. Nous avons la forte conviction que toute autre alternative conduirait inéluctablement à court terme à la ruine de l’Etat et à la disparition de la France.
Pour reconquérir nos libertés, protéger notre identité, rétablir notre souveraineté, rénover nos institutions.
-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeunne fille que l'on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d'Arc (François-Marie Algould) !
Toujours sous le signe du double-Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice , espoir et salut de la France.
Puisse Saint Louis nous éclairer.
Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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