Marie Julie Jahenny sur le grand monarque
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Marie Julie Jahenny sur le grand monarque
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Dieu annonce par l'intermédiaire de la stigmatisée Marie Julie Jahenny
un nouveau "Roi" pour la France
Messages de l'année 1880
(...) "Je suis le Roi de l'Univers. J'ai voulu donner à la France un roi qu'elle a refusé; mais celui que je veux lui donner, elle l'acceptera, le demandera, le placera sur son cœur.
Mais, avant d'avoir ce Roi, la France aura une crise et une tempête violente... Après je vous donnerai un second Roi. J'ai déjà voulu vous le donner; je le redonnerai une seconde fois."(...)
Mes enfants, un grand nombre de ces malheureux qui vont livrer mon peuple à la fureur de ces tigres dévorants, un grand nombre ne périra pas pendant la grande terreur qui sera plus noire que le plafond des abîmes. Mon Fils en laissera beaucoup, presque jusqu'à la fin de cette terrible révolution sanglante.
Voici son dessein : il veut les laisser pour que, de leurs yeux corrompus et corrupteurs, ils voient celui qui est appelé le Sauveur de la France.
Ce sera après une perte immense de tant de chrétiens, de tant d'arbres qui peuplent la France. Ces arbres, c'est mon peuple. Le Sauveur viendra, sous leurs yeux, au milieu de son royaume dépeuplé. Ces arbres seront couchés à terre, sans mouvement... des corps sans vie. (...)
(...) Le Roi que le ciel a élu sera proclamé malgré les hommes, malgré la préférence pour un autre qui n'a ni titre ni dignité pour être proclamé. On ne voudrait pas sortir de la souche séparée qui régnait dernièrement. (la famille d'Orléans)
- O Bonne Mère, ce serait pour notre royaume (la Bretagne) un autre poison à boire !
- Mes enfants, mon Roi est le proclamé du Ciel. Ses fidèles amis seront ses compagnons de triomphe. Tous les amis de ce noble Roi, de ce côté-ci, marcheront à sa rencontre, portant la noble bannière blanche décorée de fleurs royales. Cette bannière ne sera déployée, par les amis de ce côté-ci, qu'en approchant pour saluer le Roi.
Ensuite, cette bannière développée remontera dans ce pauvre royaume, foulant ses terres malgré le parti opposé. Elle flottera sous le souffle d'un vent froid, et sous un firmament étoilé, par un temps sec, malgré le peu de chaleur du soleil.
Mes enfants, la générosité de ce Roi ne se connaîtra pas. On voudra soumettre le peuple ignorant à cette persuasion...
- Je ne connais pas ce mot, Bonne Mère.
- Je veux dire : on voudra persuader que le royaume sera plus malheureux et plus étroitement soumis que sous le règne de celui qui prétendra venir.
Cette persuasion s'étendra partout rapidement. Dans le trouble à son sujet, il circulera des listes de signatures de la part de ceux qui ne veulent pas de son règne.
- Déjà, il en a passé, Bonne Mère.
- Celles qui ont passé, mes enfants, sont bien faibles à côté de celles que l'on fera passer... Tout ce qui se passera encore ne servira à rien. Il a, debout, de fidèles amis qui feront beaucoup pour lui.
Ce beaucoup viendra de mon Fils... Oui, il régnera. Il visitera la terre des martyrs et la Ville Éternelle.
Il sera d'une grande utilité pour l'Eglise, qui souffrira encore dans les autres nations, quand la paix régnera dans celle-ci. (...)
Message du 17 juin 1880
Marie Julie entre dans le degré suprême du soleil, où elle voit toute chose par elle-même.
Elle annonce la difficile arrivée du nouveau Messie, appelé Henri V.
Le premier, comte de Chambord, n'ayant pas régné, le titre reste libre pour un second.
L'extase a été notée par Adolphe Charbonnier.
(...)
Ses lèvres répétaient, à voix basse, des prières qu'on ne pouvait entendre. Comme elle ne pouvait remuer son bras raidi le long du corps, sa mère lui a fait, avec de l'eau bénite, les purifications dont l'extase est toujours précédée.
Puis l'extase a commencé à voix haute.
Gloire au Père...
(...)
«Maintenant, dit le Seigneur, je ne communiquerai plus mes révélations comme au temps passé.
Elles partiront de l'âme, dans le soleil, pour arriver aux oreilles attentives des serviteurs choisis. Toutes ces choses, qui vont sortir de moi-même, auront un cachet différent. Maintenant, que son âme entre dans la profondeur de sa mission divine ! Qu'elle développe, par mon Esprit divin, tout ce que la lumière ouvre devant elle ! »
La paix sera lente à entrer dans notre patrie (la France), une paix véritable aux yeux de Dieu, bonne et sainte.
Quand on annoncera cette paix profonde, qui paraîtra ressembler à celle du temps des rois catholiques et fidèles, c'est à ce moment qu'une attaque violente et une tempête furieuse viendront tout agiter, en un bouleversement effroyable.
Ce bouleversement ne viendra que des hommes qui n'auront pas cessé de régner avec leurs lois de la terre. Dans ce grand renversement qui, de notre patrie, se propagera ailleurs dans le monde, tout semblera atteindre la frayeur d'une nouvelle terreur.
On verra tout se remuer et se renverser avec lenteur. Alors ce sera le dernier effort qui enveloppera presque toute la France, entrée dans l'épouvante et les gémissements.
C'est dans ce coup, dirigé contre la plus grande partie des hommes de ce siècle, qu'aura lieu le départ du Roi, attendu comme un autre Messie, pour rapporter l'honneur et la dignité avec la couronne profanée et le manteau blanc qui, maintenant, est changé en manteau rouge.
Ce sera le départ du Roi Henri V : il viendra pendant que les voix terribles de l'orage et du tumulte retentiront encore. «A nous, diront-elles, d'être une fois de plus vainqueurs en tout ! » Cette dernière parole réduira tous ceux qui sont opposés à la venue du «Prédestiné». Cela se fera par Dieu et la très Sainte Vierge.
L'entrée du Roi sera une prédestination selon la grâce. Déjà toute la France lui est donnée ; elle est confiée à la sollicitude de son cœur. Déjà il règne, sans régner visiblement, mais il règne par la grâce d'une prédestination. C'est la grâce que le Seigneur fait à son peuple qui a persévéré dans l'attente du nouveau Messie, qui a conservé une croyance sincère en son retour, malgré la division du peuple, malgré les voix qui répètent comme impossible la rentrée du Messie nouveau que sera le Roi.
Cette furieuse tempête sera comme les tourbillons qui passent. Elle aveuglera les yeux de ceux qui s'opposeront à l'entrée du Roi. Il traversera leurs rangs ; il passera au milieu de leur cortège révolté, sans qu'aucun de ses ennemis ne puisse mettre obstacle à sa montée sur le trône.
A son arrivée, le trône ne sera pas vide. Le nouveau Messie, sans un mot, sans une parole, s'inclinera simplement devant la place qui est celle de son règne. II ne soufflera pas un mot.
Alors il y aura deux combats : l'un à droite, l'autre à gauche. Ce sera une sorte de dispute violente.
Le nouveau Messie aura marché au milieu de tous les supplices qui tuent les chrétiens.
Il arrivera, sain et sauf, près de la place qui lui est réservée. Il la saluera, genou en terre.
Mais, dans le soleil, je ne le vois pas saluer celui qui y sera et refusera de descendre.
Celui-ci s'obstinera, avec rage, à persister dans le règne qui lui aura été donné par le droit des voix de la majorité.
A ce moment, le nouveau Messie aura une épreuve qui n'est encore connue de personne mais qui, aujourd'hui, sera révélée clairement. Du côté du midi, bien près d'une ville menacée (sans doute
Marseille), il se trouvera un religieux d'un ordre qui existe depuis longtemps. Le soleil ne dit pas son nom. Ce religieux, sur un ordre qu'il dira venu de Dieu ou de Saint Raphaël ou de Saint Paul, fera circuler partout les trois points suivants :
Il prétendra que le nouveau Messie, appelé Henri V, n'est pas élu pour sauver la France, et que jamais la pensée de Dieu n'a révélé cette élection à aucune âme, que c'est une fausse prophétie.
Il attaquera violemment le Sauveur de la France. Ses révélations seront écrites par volumes, avec rapidité, dans le but de jeter sur lui un affreux manteau de reproches aussi infâmes que pervers.
Une circulaire de ce religieux sera remise à ceux qui, déjà, auront placé sur le trône français celui que le Roi doit détrôner et renverser de fond en comble.
Ce religieux, déjà âgé mais pas encore dans l'âge mûr, aura assez d'expérience pour être conscient du mal qu'il se chargera de faire.
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La prière est à l’âme ce que la respiration est au corps.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: Marie Julie Jahenny sur le grand monarque
Un chose importante sur le Roi caché Henri V de la Croix : le Roi caché aurait très tôt été averti des dessins de la Divine Providence, comme il a été révélé à Marie-Julie Jahenny dans l'extase du 9 Juillet 1882, il se préparerait dans le secret à sa Mission Divine et il attendrait avec impatience le général de la Loire Inférieure qui viendra le chercher avec une petite armée, dont un contingant breton.
IL CONNAIT DONC SA PROPRE IDENTITE, et en attendant, Marie le cache sous son menteau, protègeant en attendant comme un fils...
IL CONNAIT DONC SA PROPRE IDENTITE, et en attendant, Marie le cache sous son menteau, protègeant en attendant comme un fils...
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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