Le concile de Vatican II (1962-1964) et l'islam
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Le concile de Vatican II (1962-1964) et l'islam
Le concile de Vatican II (1962-1964) et l'islam
© Ralph Stehly, Professeur d'histoire des religions, Université Marc Bloch, Strasbourg
Louis Massignon n'a pu assister qu' à la phase préparatoire du concile, Dieu l'ayant rappelé à Lui le 31 octobre 1962, au cours de la première session du concile (octobre-décembre 1962).
Le mot même d'islam n'avait même pas été prononcé.
Avant l'ouverture du concile, l'ensemble de la hiérarchie catholique, à l'exception des milieux directement concernés par l'islam, de quelques évêques et universités, et surtout de celui qui devait bientôt se nommer Paul VI, ne semblait pas exagérément préoccupée des questions concernant l'islam.. Et parmi ceux qui l'étaient un bon nombre n'envisageait l'islam que comme une erreur à réfuter, un danger à combattre.
Les réponses aux questionnaires envoyés aux évâques, aux universités et aux supérieurs religieux par la Commission anté-préparartoire du Concile (1959) en font foi. Les commissions préparatoires (1960) avaient exclu de leurs schémas toute proposition sur ce sujet.
D'où vint le renversement de tendance ?
C'est à l'occasion des débats sur le peuple juif que fut abordé pour la première fois la question de l'islam.
Lors de la deuxième session du concile (septembre-décembre 1963), le Cardinal Béa proposa un texte sur les juifs, inséré dans le schéma sur le mouvement oecuménque. Les évêques du Proche-Orient relevèrent avec vivacité les difficultés qui en résulteraient, étant donné le climat créé dans les pays arabes par la question de l'Etat d'Israël. Plusieurs, notamment le patriarche Maximos IV (melkite), demandèrent qu'à tout le moins le concile parlât aussi bien de l'islam. Or, entre la première et la deuxième session, Paul VI avait succédé ( en juin 1963) à Jean XXIII. Il était lui-même très ouvert au monde musulman par sa vie et son esprit. Les relations d'amitié et de confiance entre Mgr J. B. Martini (Paul VI) et Louis Massignon avaient porté leurs fruits.
Lors de la 3ème session du concile (septembre - décembre 1964), on se mit d'accord sur le texte suivant, inséré dans Lumen Gentium.
Lumen Gentium:
"Le dessein du salut embrasse aussi ceux qui reconnaissent le Créateur, et en premier lieu, les musulmans qui, professant avoir la foi d'Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, qui jugera les hommes au dernier jour".
Selon ce texte ce serait donc les relations amicales entre Louis Massignon et Paul 6 qui aurait provoquer ce changement d`analyse face a cette doctrine - entre l`an 700 et 1963 l`église et les Papes avaient considéré cette doctrine comme venant du malin.
Maintenant qui est l`orientaliste Louis Massignon
Parmi celles-ci, il faut évoquer, rapidement hélas, l’influence qu’a eue Louis Massignon en milieu catholique. Baptisé à sa naissance en 1883 mais élevé dans une famille ayant une foi assez particulière, Massignon découvrit l’Islam et l’Orient à la suite d’un voyage en Egypte avec son amant espagnol Luis De Cuadra, qui s’était fait musulman. Plus tard, selon ce qu’il raconte, il découvrit Dieu, en 1908, à Bagdad. Cette expérience solitaire, vécue sans contact avec les chrétiens autochtones, servira par la suite de base à sa théologie et à celle de ceux qu’il influença et qui, d’ailleurs, s’y réfèrent aujourd’hui encore. Massignon avait été faussement arrêté comme espion puis, et atteint de fièvre, fut hospitalisé ; c’est durant ces jours-là qu’il dit avoir fait une expérience religieuse « mystique », une « expérience de Dieu le Père », située en quelque sorte au-dessus du christianisme et de l’islam.
En réalité, cette expérience « mystique » n’était pas sans lien avec l’atmosphère dans laquelle il avait baigné dans son enfance et sa jeunesse ; son père, qui portait le nom d’artiste de Pierre Roche, n’était pas vraiment un athée ; il s’était lié à un prêtre défroqué (et ex-communié), l’abbé Boullan, qui avait élaboré une doctrine mystique par laquelle il imaginait que le chrétien pouvait se substituer au pécheur. En d’autres termes, le chrétien aurait le pouvoir de valoir à d’autres le salut, indépendamment de toute rencontre avec le Christ. Cette théorie-là de la substitution, à laquelle Jésus devient évidemment extrinsèque, donnera naissance à la mystique islamo-chrétienne de Massignon qu’il appellera plus tard lui-même en arabe badaliya, c’est-à-dire « substitution ». Dans cette pensée, l’évangélisation devient inutile, voire nuisible, puisque le dialogue mystique est lui-même instrument de salut. Louis Massignon réussit à en convaincre des autorités catholiques romaines, du fait de leur ignorance en matière d’islamologie. Après sa mort en 1962, ses adeptes créèrent ainsi à Rome le Pontificio Istituto di Studi Arabi e d’Islamistica (PISAI), où jusqu’il y a peu les cours étaient souvent en français, et que Benoît XVI voulut supprimer au début de son Pontificat ; mais il dût y renoncer.
Derrière cette institution existent des réseaux 2 qui, très concrètement, ont monopolisé les questions islamo-chrétiennes. Ceci a eu pour effet d’empêcher toute recherche scientifique islamologique en milieu catholique, au profit de la poursuite du rêve de Massignon. Néanmoins, certains responsables catholiques latins reconnaissent en privé ou même ouvertement parfois que les dizaines d’années d’existence du dialogue islamo-chrétien n’ont abouti qu’à l’établissement de liens personnels, avec parfois des retombées positives. Ce modèle de dialogue a d’ailleurs été copié un peu partout dans le monde, y compris à Tripoli sous l’égide de Mouammar Kadhafi.
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- 1200 ans de continuité brisée par une relation proche entre un Pape et un islamologue plus que douteux. Si ce Pape avait raison, l`islam se tranformera pour la premiere fois en Europe et si il a eu tort, l`Église sera martyrisée en Europe - le futur va nous le dire.
En tout les cas cela démontre que la liberté d`analyse sur l`islam a l`intérieur de l`église catholique est paralysée par une école de pensée idéologique sur le dialogue a tout prix qui risque de devenir par aveuglement idéologique lacheté et collaboration.
Comment expliquer cette incongruité.....
Si c'est l'archange Gabriel qui a parlé à Mohammed, comment peut-il dire que Jésus n'est pas le Fils de Dieu alors que c'est le même ange qui a dit à Marie:
""Sois sans crainte, Marie ; car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu concevras dans ton sein et enfanteras un fils, et tu l'appelleras du nom de Jésus. Il sera grand, et sera appelé Fils du Très-Haut. Le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père ; il régnera sur la maison de Jacob pour les siècles et son règne n'aura pas de fin." Mais Marie dit à l'ange : "Comment cela sera-t-il, puisque je ne connais pas d'homme ? " L'ange lui répondit : "L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi l'être saint qui naîtra sera appelé Fils de Dieu" - Luc 1, 30-35
Soit l'ange Gabriel est un menteur, soit c'est un démon qui a parlé à Mohammed. Et comme le démon est un menteur, le père du mensonge, on doit en conclure que ce n'est pas Gabriel qui a parlé à Mohammed.
© Ralph Stehly, Professeur d'histoire des religions, Université Marc Bloch, Strasbourg
Louis Massignon n'a pu assister qu' à la phase préparatoire du concile, Dieu l'ayant rappelé à Lui le 31 octobre 1962, au cours de la première session du concile (octobre-décembre 1962).
Le mot même d'islam n'avait même pas été prononcé.
Avant l'ouverture du concile, l'ensemble de la hiérarchie catholique, à l'exception des milieux directement concernés par l'islam, de quelques évêques et universités, et surtout de celui qui devait bientôt se nommer Paul VI, ne semblait pas exagérément préoccupée des questions concernant l'islam.. Et parmi ceux qui l'étaient un bon nombre n'envisageait l'islam que comme une erreur à réfuter, un danger à combattre.
Les réponses aux questionnaires envoyés aux évâques, aux universités et aux supérieurs religieux par la Commission anté-préparartoire du Concile (1959) en font foi. Les commissions préparatoires (1960) avaient exclu de leurs schémas toute proposition sur ce sujet.
D'où vint le renversement de tendance ?
C'est à l'occasion des débats sur le peuple juif que fut abordé pour la première fois la question de l'islam.
Lors de la deuxième session du concile (septembre-décembre 1963), le Cardinal Béa proposa un texte sur les juifs, inséré dans le schéma sur le mouvement oecuménque. Les évêques du Proche-Orient relevèrent avec vivacité les difficultés qui en résulteraient, étant donné le climat créé dans les pays arabes par la question de l'Etat d'Israël. Plusieurs, notamment le patriarche Maximos IV (melkite), demandèrent qu'à tout le moins le concile parlât aussi bien de l'islam. Or, entre la première et la deuxième session, Paul VI avait succédé ( en juin 1963) à Jean XXIII. Il était lui-même très ouvert au monde musulman par sa vie et son esprit. Les relations d'amitié et de confiance entre Mgr J. B. Martini (Paul VI) et Louis Massignon avaient porté leurs fruits.
Lors de la 3ème session du concile (septembre - décembre 1964), on se mit d'accord sur le texte suivant, inséré dans Lumen Gentium.
Lumen Gentium:
"Le dessein du salut embrasse aussi ceux qui reconnaissent le Créateur, et en premier lieu, les musulmans qui, professant avoir la foi d'Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, qui jugera les hommes au dernier jour".
Selon ce texte ce serait donc les relations amicales entre Louis Massignon et Paul 6 qui aurait provoquer ce changement d`analyse face a cette doctrine - entre l`an 700 et 1963 l`église et les Papes avaient considéré cette doctrine comme venant du malin.
Maintenant qui est l`orientaliste Louis Massignon
Parmi celles-ci, il faut évoquer, rapidement hélas, l’influence qu’a eue Louis Massignon en milieu catholique. Baptisé à sa naissance en 1883 mais élevé dans une famille ayant une foi assez particulière, Massignon découvrit l’Islam et l’Orient à la suite d’un voyage en Egypte avec son amant espagnol Luis De Cuadra, qui s’était fait musulman. Plus tard, selon ce qu’il raconte, il découvrit Dieu, en 1908, à Bagdad. Cette expérience solitaire, vécue sans contact avec les chrétiens autochtones, servira par la suite de base à sa théologie et à celle de ceux qu’il influença et qui, d’ailleurs, s’y réfèrent aujourd’hui encore. Massignon avait été faussement arrêté comme espion puis, et atteint de fièvre, fut hospitalisé ; c’est durant ces jours-là qu’il dit avoir fait une expérience religieuse « mystique », une « expérience de Dieu le Père », située en quelque sorte au-dessus du christianisme et de l’islam.
En réalité, cette expérience « mystique » n’était pas sans lien avec l’atmosphère dans laquelle il avait baigné dans son enfance et sa jeunesse ; son père, qui portait le nom d’artiste de Pierre Roche, n’était pas vraiment un athée ; il s’était lié à un prêtre défroqué (et ex-communié), l’abbé Boullan, qui avait élaboré une doctrine mystique par laquelle il imaginait que le chrétien pouvait se substituer au pécheur. En d’autres termes, le chrétien aurait le pouvoir de valoir à d’autres le salut, indépendamment de toute rencontre avec le Christ. Cette théorie-là de la substitution, à laquelle Jésus devient évidemment extrinsèque, donnera naissance à la mystique islamo-chrétienne de Massignon qu’il appellera plus tard lui-même en arabe badaliya, c’est-à-dire « substitution ». Dans cette pensée, l’évangélisation devient inutile, voire nuisible, puisque le dialogue mystique est lui-même instrument de salut. Louis Massignon réussit à en convaincre des autorités catholiques romaines, du fait de leur ignorance en matière d’islamologie. Après sa mort en 1962, ses adeptes créèrent ainsi à Rome le Pontificio Istituto di Studi Arabi e d’Islamistica (PISAI), où jusqu’il y a peu les cours étaient souvent en français, et que Benoît XVI voulut supprimer au début de son Pontificat ; mais il dût y renoncer.
Derrière cette institution existent des réseaux 2 qui, très concrètement, ont monopolisé les questions islamo-chrétiennes. Ceci a eu pour effet d’empêcher toute recherche scientifique islamologique en milieu catholique, au profit de la poursuite du rêve de Massignon. Néanmoins, certains responsables catholiques latins reconnaissent en privé ou même ouvertement parfois que les dizaines d’années d’existence du dialogue islamo-chrétien n’ont abouti qu’à l’établissement de liens personnels, avec parfois des retombées positives. Ce modèle de dialogue a d’ailleurs été copié un peu partout dans le monde, y compris à Tripoli sous l’égide de Mouammar Kadhafi.
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- 1200 ans de continuité brisée par une relation proche entre un Pape et un islamologue plus que douteux. Si ce Pape avait raison, l`islam se tranformera pour la premiere fois en Europe et si il a eu tort, l`Église sera martyrisée en Europe - le futur va nous le dire.
En tout les cas cela démontre que la liberté d`analyse sur l`islam a l`intérieur de l`église catholique est paralysée par une école de pensée idéologique sur le dialogue a tout prix qui risque de devenir par aveuglement idéologique lacheté et collaboration.
Comment expliquer cette incongruité.....
Si c'est l'archange Gabriel qui a parlé à Mohammed, comment peut-il dire que Jésus n'est pas le Fils de Dieu alors que c'est le même ange qui a dit à Marie:
""Sois sans crainte, Marie ; car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu concevras dans ton sein et enfanteras un fils, et tu l'appelleras du nom de Jésus. Il sera grand, et sera appelé Fils du Très-Haut. Le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père ; il régnera sur la maison de Jacob pour les siècles et son règne n'aura pas de fin." Mais Marie dit à l'ange : "Comment cela sera-t-il, puisque je ne connais pas d'homme ? " L'ange lui répondit : "L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi l'être saint qui naîtra sera appelé Fils de Dieu" - Luc 1, 30-35
Soit l'ange Gabriel est un menteur, soit c'est un démon qui a parlé à Mohammed. Et comme le démon est un menteur, le père du mensonge, on doit en conclure que ce n'est pas Gabriel qui a parlé à Mohammed.
Dernière édition par MichelT le Mer 6 Avr 2011 - 18:37, édité 1 fois
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Le concile de Vatican II (1962-1964) et l'islam
Un post intéressant venant d`un autre forum - Je suis d`accord avec l`auteur de ce post - quelque chose ne tourne définitivement pas rond! le blocage idéologique des pro-Massignons peut-etre.
J'ouvre ce topic non pas afin d'alimenter un débat souvent houleux sur cette question, mais afin de découvrir ou de re-découvrir ce qu'en dit toute la Tradition de l'Eglise Catholique au sujet de l'islam. Je ne veux pas influencer le topic, les propos rapportés ici sont facilement trouvables sur le net, je posterai les annotations des pages des livres ou l'islam est évoqué et enfin avec l'exposé par ce qu'en dit le Concile Vatican II et un évêque.
Ce que pense Monachorum sur l'islam c'est ce que pense seulement Monachorum et les autres administrateurs et modérateurs ne sont évidement pas concerné par mes propos en aucune manière que ce soit, histoire d'être bien clair.
Citation:
"L'ange gabriel descendît du ciel et trouva mahomet sur le mont Hira. Il se montra à lui et lui dit : "Salut à toi, Ô mahomet, apôtre d'allah". mahomet fut épouvanté. Il se leva, pensant qu'il était devenu fou. Il se dirigea vers le sommet pour se tuer en se précipitant du haut de la montagne. Mais gabriel le prit entre ses aîles et lui dit : "mahomet, tu es le prophète d'allah et je suis gabriel, l'ange d'allah qui t'apporte son message pour que tu le lises. mahomet lui répondit : " Comment lirais-je, moi qui ne sais pas lire ?". gabriel lui dit: "Lis au nom de ton seigneur, qui a tout créé."
Épître aux Galates, chapitre I verset 8.
Citation:
Si donc il arrivait qu’un homme ou qu’un ange, vînt à enseigner une doctrine opposée à ce qui a été transmis de Dieu, sa parole ne saurait prévaloir contre l’enseignement divin, de manière à le rendre inutile et à le faire rejeter; cet enseignement est plutôt contre lui, parce que celui qui parle ainsi doit être repoussé et exclus de la participation à l’enseignement qu’il attaque. Voilà pourquoi l’Apôtre dit que la dignité de la doctrine de l’Evangile, qui a été transmise par Dieu lui-même, est si haute, que si quelqu’un, soit un homme, soit un ange, venait à annoncer un Evangile autre que celui qui a été annoncé, il est anathème, c’est-à-dire, il doit être rejeté et repoussé.
Commentaire de l'épître de St Paul aux Galates par St Thomas d'Aquin
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Extrait : Et ne vous en étonnez pas ; car Satan lui-même se déguise en ange de lumière.
Dom Guéranger, Jésus-Christ Roi de l'Histoire, Collection sens de l'Histoire, Association saint Jérôme, 2005, p. 95-97
Citation:
Mais qui est allah du coran ? Certainement pas DIEU, mais plutot satan.
En fait et d'après la tradition mahometane c'est le nom d'une des 366 idoles vénérées de la " Kaaba ", la " pierre noire " que mahomet a proclamée supérieure aux autres en les supplantant. Cette pierre noire tombée du paradis était censée avoir le " pouvoir " de pardonner les péchés de ceux qui venaient l'embrasser et de leur donner une option pour être admis au paradis, on dit qu'à l'origine elle fut blanche mais à cause du péché des hommes elle devint noire, d'où l'importance pour un " fidèle " de se rendre en pèlerinage à la mecque au moins une fois dans sa vie.
Catéchisme de Saint Pie X
Citation:
Qu’est-ce que les infidèles ?
Les infidèles sont ceux qui ne sont pas baptisés et qui ne croient pas en Jésus-Christ ; soit qu’ils croient à de fausses divinités et les adorent, comme les idolâtres ; soit que tout en admettant le seul vrai Dieu ils ne croient pas au Christ Messie, venu en la personne de Jésus-Christ ou encore à venir : tels sont les mahométans et autres semblables.
Saint Jean Damascène et l'islam
Saint Jean Damascène est né vers 640 à Damas. Il portait le nom arabe de Mansour. Il devint administrateur des finances de la ville de Damas, qui avait dû capituler en 635 devant l'envahisseur musulman. Il se retira au monastère de Saint-Sabbas, près de Jérusalem où, après son ordination, il rédigea ses oeuvres théologiques. Il est mort vers 750, plus que centenaire. Honoré comme saint à la fois par les schismatiques et par les catholiques, sa Source de la connaissance a servi de manuel de théologie jusqu'au XIII ème siècle, et il fut même rangé parmi les Docteurs de l'Eglise par le pape Léon XIII en 1890. Jean Damascène a qualifié l'islam de 101ème secte chrétienne.
A quel titre pouvait-il le faire?
Pour répondre à cette question, il nous faut d'abord définir ce qu'est une secte. Pour le sociologue, la secte est un diverticule qui s'est séparé de l'Eglise-mère, et qui suit un processus évolutif qui la fait passer par des étapes assez clairement définies. Pour le juriste, et aussi le politicien, la secte est un mouvement qui est en infraction avec la législation, et plus particulièrement avec la législation concernant la protection des individus.
Quant au théologien, il définit la secte comme une hérésie.
Il y a enfin des mouvements sectaires qui ne se sont pas détachés d'une confession religieuse existante, mais qui naissent d'un conglomérat disparate de pensées et de pratiques religieuses variées. On préfère les appeler hypocritement : nouvelles religiosités ou spiritualités nouvelles. Sociologiquement, on ne peut qualifier l'islam de secte chrétienne ; son fondateur, Mohammed (570-632), est né dans un milieu polythéiste, peut-être hénothéiste (un Dieu dominant,dieu lune...). Cependant, lors de ses voyages en Syrie, mohammad avait rencontré le moine "chrétien" Bahira,ou plutot un hérétique arien. Plus tard à Marwa, près de la Mekke, il rencontrait souvent un esclave chrétien du nom de Djabr (Voir Sirâ du prophète). Une de ses concubines qu'il prit en 629, Myriam, était chrétienne. A la Mecque, vivaient des talmudistes, et Médine abritait trois tribus talmudistes constituant environ la moitié de la population, avant leur extermination. Khaïbar, située à quelque 250 km au nord de Médine, était une ville forte talmudiste. Rayhana, une concubine que mohammad prit en 627 était talmudiste, ainsi que Saffiyya qu'il épousa environ 629. Bien qu'il n'y eut pas encore, à l'époque de mahomet, de traduction complète de la sainte Bible en arabe, les récits de l'Ancien comme du Nouveau Testament circulaient, mais aussi des fables talmudiques et des légendes tirées d'écrits chrétiens apocryphes. L'islam prit ainsi naissance dans un bouillon culturel qui englobait polythéisme et hénothéisme, talmudisme et christianisme hérétique, mais aussi zoroastrisme, voire hindouisme. En utilisant la terminologie d'aujourd'hui, Saint Jean Damascène aurait dû qualifier l'islam de religiosité nouvelle. Juridiquement et politiquement, il faut distinguer entre l'islam modéré et Islam fondamentaliste/intégriste, ce dernier seul portant atteinte à la législation anti-chrétienne actuelle concernant la protection des individus. Le coran contient aussi de nombreuses réminiscences bibliques. Il rend un vibrant hommage à la fois à la Torah(tawrat) et à l'Evangile (Injil). Il reconnaît que ces livres, descendus de Dieu, sont véridiques (Sourate 'Al `Imran, III.3) ; les musulmans doivent y croire (Sourates Al-Baqara, II.87 ; 'Al `Imran, III.84 ; An-Nisa', IV.136). Le coran témoigne de la naissance virginale de Jésus (Sourates Al-'Anbiya',XXI.91 ; At-Tahrim, LXVI.12), de sa messianité (III.45 ; IV.157), de son prophétisme (III.49 ; IV.157, 171 ; Al-Ma'ida, V.46, 75 ; Maryam, XIX.30), de sa vie sans péché ( XIX.19 ; III.46) et le qualifie de Parole de vérité (XIX.34), de Parole de Dieu jeté en Marie (IV.171), de Verbe émané de Dieu (III.39, 45), d'Esprit émané de Dieu (IV.171 ; XXI.91 ; LXVI.12), mais sans reconnaître que Jésus est le Fils de Dieu. Saint Jean Damascène n'a pas seulement dénoncé cette dernière hérésie, mais encore celle qui déclare que la crucifixion était un faux-semblant (IV.157, 158).
Ici encore, la doctrine coranique diverge fondamentalement de la foi Chrétienne selon laquelle la crucifixion apporte au monde le salut. Non seulement le Nouveau Testament, mais déjà les prophéties de l'Ancien Testament attestent cette doctrine fondamentale. Une autre divergence concerne la résurrection de Jésus-Christ. Pour le coran, dans les versets cités
plus haut, Jésus est bien au ciel, auprès de Dieu ; il y a été élevé, mais sans passer par la mort et la résurrection. Saint Jean Damascène avait donc raison de qualifier l'islam d'hérésie ou de secte "chrétienne".
Mais juridiquement, qu'en est-il ? Une caractéristique des sectes que relèvent les juristes, c'est l'assujettissement des adeptes à leur mouvement et la très grande difficulté à en sortir.
Les mots "Islam" et "Musulman" signifient : soumission, sous-entendu : soumission à Dieu. C'est là une des injonctions de toutes les religions. Mais, dans l'islam, cette soumission est essentiellement une soumission aux lois de la Communauté (la Umma), au sein de laquelle s'exerce une rigoureuse surveillance réciproque. Aussi est-il difficile à un musulman de
sortir de son carcan religieux et adopter, par exemple, la foi Chrétienne. Il est alors considéré comme un renégat ou apostat et encourt la vindicte de ses anciens coreligionnaires, conformément à cet ordre du coran :"S'ils se détournent, saisissez-les, tuez-les, partout où vous les trouverez" (Sourate An-Nisa', IV.89).
Bref... Hérésie du mahometisme par Saint Jean Damascène
Voici un extrait du livre “Des hérésies” écrit par St Jean Damascène, considéré comme un des pères de l’Eglise d’Orient,
Introduction
1. Il y a aussi la religion des Ismaélites qui domine encore de nos jours, égare les peuples, et annonce la venue de l’antéchrist. Elle tire son origine d’Ismaël, le fils d’Abraham et d’Agar. Pour cette raison on les nomme Agarène et Ismaélites ; on les appelle aussi Sarrasins, ce qui signifie dépouillé par Sara. Agar répondit, en effet, à l’Ange : « Sara m’a renvoyée dépouillée ».
Ils étaient donc idolâtres et adoraient l’Etoile du Matin et Aphrodite, qu’ils ont appelée précisément Chabar dans leur langue, ce qui veut dire grande.
Apparition de l’Islam
Donc, jusqu’à l’époque d’Héraclius, ils ont ouvertement pratiqué l’idolâtrie. A partir de cette époque et jusqu’à nos jours un faux prophète, du nom de Mahomet, s’est levé parmi eux,
qui, après avoir pris connaissance, par hasard, de l’Ancien et du Nouveau Testament, et, de même, fréquenté vraisemblablement un moine arien, fonda sa propre hérésie. Après s’être conciliée la faveur du peuple en simulant la piété, il insinue qu’une Ecriture venue du ciel lui a été révélée par Dieu. Ayant rédigé dans son livre quelques doctrines risibles, il leur transmet cette façon d’adorer Dieu.
Théologie du coran
Il dit qu’il y a un seul Dieu, créateur de toutes choses, qu’Il n’a pas été engendré et qu’Il n’a pas engendré. Selon ses dires, le Christ est le Verbe de Dieu et son Esprit, mais il est crée
et il est un serviteur ; il est né sans semence de Marie, la s?ur de Moïse et d’Aaron. En effet dit-il, le Verbe et l’Esprit de Dieu sont entré en Marie et ont engendré Jésus, qui fut un prophète et un serviteur de Dieu. Et, selon lui, les juifs, au mépris de la Loi, voulurent le mettre en croix, et, après s’être emparés de lui, ils n’ont crucifié que son ombre. Le Christ lui ? même, dit-il, ne subit ni la croix ni la mort. En effet Dieu l’a pris près de lui dans le ciel, parce qu’Il l’aimait. Et il dit également, qu’une fois le Christ monté aux cieux, Dieu l’a interrogé en disant ? : « Jésus ! as-tu dis : je suis le fils de Dieu et Dieu ? » Jésus d’après lui, a répondu : « Sois miséricordieux envers moi, Seigneur ! Tu sais que je n’ai pas dit cela et que je ne dédaigne d’être ton serviteur. Mais les hommes mauvais ont écrit que j’avais fait cette déclaration ; ils ont menti à mon égard, et ils sont dans l’erreur ». Dieu, dit il, lui a répondu : « Je sais que tu n’as pas fait cette déclaration ».
La suite ici : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Saint Thomas d'Aquin et mahommad , Tiré de la Somme contre les Gentils (chapitre 6)
Citation:
Mahomet a séduit les peuples par des promesses de voluptés charnelles au désir desquelles pousse la concupiscence de la chair.(1) Lâchant bride à la volupté, il a donné des commandements conformes à ses promesses, auxquels les hommes charnels peuvent obéir facilement.
En fait de vérités, il n'en a avancé que de faciles à saisir par n'importe quel esprit médiocrement ouvert.
Par contre, il a entremêlé les vérités de son enseignement de beaucoup de fables et de doctrines les plus fausses.(2) Il n'a pas apporté de preuves surnaturelles, les seules à témoigner comme il convient en faveur de l'inspiration divine, à savoir quand une oeuvre visible qui ne peut être que l'oeuvre de Dieu prouve que le docteur de vérité est invisiblement inspiré. Il a prétendu au contraire qu'il était envoyé dans la puissance des armes, preuves qui ne font point défaut aux brigands et aux tyrans.
D'ailleurs, ceux qui dès le début crurent en lui ne furent point des sages instruits des sciences divines et humaines, mais des hommes sauvages, habitants des déserts, complètement ignorants de toute science de Dieu, dont le grand nombre l'aida, par la violence des armes, à imposer sa loi aux autres peuples. Aucune prophétie divine ne témoigne en sa faveur : bien au contraire, il déforme les enseignements de l'Ancien et du Nouveau Testament par des récits légendaires, comme c'est évident pour qui étudie sa loi.
Aussi bien, par une mesure pleine d'astuces, il interdit à ses disciples de lire les textes de l'Ancien et du Nouveau Testament qui pourraient le convaincre de fausseté.(3) C'est donc chose évidente que ceux qui ajoutent foi à sa parole croient à la légère.
Saint Alphonse-Marie de Liguori sur l'islam
Citation:
Du reste,pour connaitre l'impieté de cette loi,il suffit de savoir qu'elle permet à ses adeptes la vengeance,le vol,et les plaisirs charnels;bien plus,elle ne fait consister le paradis de la vie eternelle que dans les honteuses voluptés de la chair.
C'est donc une loi qui convient plutot à des betes qu'à des hommes doués de raison.
Je recommande la lecture de cet ouvrage, Saint Alphonse-Marie De Liguori et l'islam : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Oeuvres de ce Saint : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Extrait :
Citation:
Les mahometans avouent qu'avant la venue de mahomet, la loi Chrétienne existait déjà;et que cette loi enseignait la vraie doctrine...
Or;s'ils s'accordent qu'il fut un temps ou la doctrine de Jésus-Christ était vraie,ils doivent aussi convenir que celle de mahomet est fausse:car Jésus-Christ affirme que celui qui n'est point baptisé,ne peut etre sauvé(St Jean 3,5)...
Par conséquent,si la doctrine de Jésus-Christ a été vraie,je ne dis pas pendant une série de siècles,mais pendant un seul instant,il s'ensuit que la doctrine de mahomet n'a jamais pu l'etre,non plus que toute autre société de croyants,opposée à celle de Jésus-Christ...
Citation:
En effet,tous les tourments du monde ne peuvent faire un martyr:la seule cause qui fait les vrais martyrs,c'est de mourir pour la vérité de la foi ou pour la justice.
Or les mahometans vantent comme martyr ceux de leurs soldats qui ont succombé en combattant pour usurper le bien d'autrui:quel acte de justice que celui-là!
Citation:
Du reste, pour connaitre l'impieté de cette loi,il suffit de savoir qu'elle permet à ses adeptes la vengeance,le vol,et les plaisirs charnels;bien plus, elle ne fait consister le paradis de la vie eternelle que dans les honteuses voluptés de la chair.
C'est donc une loi qui convient plutot à des betes qu'à des hommes doués de raison.
Citation:
c'est au point que le mahometan avicenne,rougissant d'une semblable promesse,prétend que mahomet avait parlé à ce propos d'une manière allégorique;mais le coran n'admet nulle part cette interpretation d'avicenne.
Saint Alphonse-Marie De Liguori
Citation:
« Pour apprécier le Mahométisme, il faut le considérer dans son dogme, dans sa morale, dans ses lois, dans ses effets, dans son établissement.
1. Dans son dogme. Voici les principaux articles de son symbole : Il n'y a qu'un seul Dieu, mais sans distinction de personnes; Mahomet est son prophète. Les hommes sont nécessairement prédestinés au Ciel ou à l'Enfer : dogme qui anéantit la liberté et fait Dieu auteur du péché.[...] »
Catéchisme de persévérance par Mgr Gaume, Tome VI, p 21 (né à Fuans (Doubs) le 5 mai 1802 et mort le 19 novembre 1879, prêtre catholique, théologien et essayiste français)
Citation:
Le mahométisme est le triomphe ou plutôt l’usurpation de l’erreur sur la vérité, de l’iniquité sur la justice, de la barbarie sur l’humanité et la civilisation véritable.
Chacun doit, selon ses moyens, travailler à redresser ce renversement des choses ; l’individu chrétien comme individu, le roi chrétien comme roi, la nation chrétienne comme nation, l’Europe chrétienne comme Europe, l’humanité chrétienne ou l’Église catholique comme l’humanité régénérée par le Christ.
Les dernières paroles du mohammad
Citation:
Aisha et 'Abdullah bin 'Abbas rapportent qu'aux derniers moments de sa vie, l'Apôtre d'Allah couvrit son visage de sa 'khamisa', puis quand il eut chaud et manqua d'air, il l'ota de son visage et dit : "Qu'Allah maudisse les juifs et les chrétiens ; ils ont construit des lieux de prière sur la tombe de leurs Prophètes."
Note : En vertu du principe d'abrogation contenu dans le coran lui même, quand deux versets se contredisent, il faut conserver le plus récent, cette disposition précise du prophète de l'islam annule toutes les dispositions précédentes de charité vis à vis des juifs et des chrétiens.
Le concile Vatican II à marqué une étape décisive dans les relations islamo-chrétiennes. Deux documents conciliaires abordent le sujet :
Le premier est la constitution sur l'Eglise "LUMEN GENTIUM". Après avoir fait mention de la relation toute spéciale avec le peuple jui, "qui reçut les alliances et les promesses et dont le Christ est issu selon la chair", le texte cite immédiatement après les musulmans. "Le dessein de salut enveloppe également ceux qui reconnaissent le Créateur, en tout premier lieu les musulmans, qui professent avoir la foi d'Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, futur juge des hommes au dernier jour."
Le deuxième texte conciliaire qui aborde la question de l'islam est la déclaration "NOSTRA ÆTATE" sur "les relations de l'Eglise avec les religions non chrétiennes". Là encore, le ton est profondément optimiste. "L'Eglise regarde aussi avec estime les musulmans, qui adorent le Dieu un (...) ." Jusque-là, les relations entre l'islam et le christianisme étaient entachées par la polémique et le souci de convertir l'autre. Il a fallu attendre le grand orientaliste français Louis Massignon (1883-1962), chrétien fervent, pour que l'attitude de l'Eglise catholique évolue. Pour celui-ci, l'islam était une sorte de "schisme abrahamique", en tant qu'héritier d'ismaël, le fils d'Abraham et de sa servante Agar, recevant une part des bénédictions divines.
A plusieurs reprises, Jean paul II a insisté sur les points communs entre les deux religions. Aux Philippines en 1981, il a employé l'expression "mes frères" pour s'adresser aux musulmans. Son texte le plus important est la longue méditation qu'il a prononcée à Casablanca au Maroc, le 19 août 1985, devant des dizaines de milliers de jeunes musulmans. "Chrétiens et musulmans, nous avons beaucoup de choses en commun, comme croyants et comme hommes, a-t-il souligné. (...) Nous croyons au même Dieu, le Dieu unique."
(soit dit en passant qui est contraire à ce que les théologiens disent depuis 2000 ans mais passons)
La personnalité de l'antéchrist : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Voici ce que Mgr Lefebvre disait (A prendre comme ce qu'il est et je rappelle à toute fin utile que ce cardinal bien qu'étant "una cum", à été excommunié)
Citation:
En inspirant la religion islamique, le démon a véritablement empêché la conversion de millions d'hommes. Je me suis trouvé pendant quinze ans à Dakar avec trois millions de musulmans, cent mille catholiques et quatre cent mille animistes, et si pendant ces quinze ans on a pu convertir dix musulmans, c'est un maximum. Je veux dire les convertir vraiment, les faire passer de l'islam au catholicisme. Je ne dis pas qu'il n'y ait pas eu une certaine influence catholique grâce à nos écoles où nous avions jusqu'à 10 à 15% de musulmans. Je n'en voulais pas davantage, sinon ils auraient imposé l'islam dans nos écoles. Une fois qu'ils sont forts, ils s'imposent, prennent la tête du mouvement et essayent de convertir les autres. Quand ils sont faibles, ils écoutent et se taisent.
Les jeunes gens qui ont été dans nos écoles ont certainement été influencés, peut être certains d'entre eux ont-ils désiré le baptême c'est très possible. Mais c'est très difficile pour un jeune homme de se convertir au catholicisme, car il est chassé de sa famille, il sait qu'il risque même d'être empoisonné. […] Il n'y a que ceux qui sont étudiants en université qui arrivent à se convertir parce qu'ils sont indépendants. Ils savent que leur avenir est assuré; dont ils n'ont plus besoin de leur famille et partiront en Europe, ils peuvent se convertir. Mais convertir quelqu'un qui est dans sa famille, c'est pratiquement impossible. En inspirant la religion islamique; le démon a véritablement empêché la conversion de millions d'hommes »
Citation:
L'Église commença à voir en l'islam une religion et pas seulement une menace militaire. Les écrits religieux commencèrent alors à décrire l'islam et Mahomet comme étant inspiré par Satan, l'avant garde, à savoir l'Antéchrist ou comme l'Antéchrist lui-même.
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J'en terminerai avec Monseigneur Babini, évêque émérite de Grosseto
"Du point de vue doctrinal, ce n'est pas une erreur de définir l' Islam et Mahomet comme sataniques desquels le programme est la conquête de Rome, et donc de nous éloigner et de nous séparer de Dieu".
C"'est ce qu'affirme l'évêque émérite de Grosseto, Monseigneur Giacomo Babini. Il dit encore: " Je ne dis pas que l'Islam soit le diable, nous tomberions dans le risque de le voir de partout. Mais sans aucun doute dans l'Islam et dans Mahomet se cache le dessein du malin , qui est celui de nous séparer et de nous diviser , et de ce point de vue il est exact de définir l'Islam comme satanique , comme du reste le communisme qui rejette la religion".
Donc l' Islam est un péril certain, souvent sous-évalué. La religion fondée par Mahomet est violente...
Je crois que les chrétiens devraient redécouvrir l'esprit qui les portât à l'historique bataille de Lépante contre l'envahisseur islamique...
Un autre ennemi idéologique est le communisme qui par nature veut étouffer la religion et donc il est impensable qu'un catholique soit communiste ou ami de son ennemi naturel.
Catholicisme et communisme sont antithétiques et opposés".
Mgr annonce ainsi la fin de l'Islam "dans les pays islamiques nous assistons à d'incroyables incongruités. Nombreux sont ceux qui s'oublient, construisent des gratte-ciels pharaoniques et le peuple, les pauvres gens , meurent de faim.
Avec l'Islam il faut user théologiquement de la force et d'une pacifique tolérance zéro, comme pour le communisme.
Même l'Eglise s'abandonne souvent à un "bonnisme" suicidaire pour chercher un dialogue impossible et infructueux, qui n'apporte rien en aucun point. .../...
Je ne tombe pas dans les excès de voir satan partout, mais d'un autre coté, de nombreux évêques ont cédé sur ce point en oubliant sa présence dans le monde. Le mâlin n'est pas celui qui sent le soufre seulement, mais tout ce qui nous sépare de Dieu. Donc, si Mahomet est venu prêcher cela, la séparation violente d'avec le Christ, il a une intention satanique, comme du reste la dictature marxiste. Mais beaucoup de prêtres aujourd'hui font de la sociologie, oubliant de prêcher les réalités. Si nous avions les idées claires sur ces sujets, de nombreux péchés de la vie seraient évités".
Les évêques italiens ne mâchent pas leurs mots ! A quand la même franchise de la part de nos épiscopes français, fussent-ils émérites?
Extraits :"L'Islam est un châtiment de Dieu. Mahomet un affairiste hystérique, le Coran émane de Satan.../..
"IL y a quelques temps, j'ai dit à la Cei qu'il fallait se garder des insidiosités islamiques et les choses se sont vérifiées. Je me souviens d'un voyage en Terre Sainte (Son excellence révérendissime est aussi prieur de l'Ordre Equestre du Saint-Sepulcre de Jerusalem) et des insultes que me traduisait un confrère, lancées par un Imam . Il nous promettait le fer et le feu...la base est celle-ci: l'islam est violent pour la raison qu'il admet l'état de soumission et de guerre sainte. La violence est en lui-même, nul ne peut le nier. Dans le Coran il existe de belles pages, mais d'autres aussi d'extraordinaire férocité. .../... Je crois que tout ce qui n'est pas révélé par Dieu , en fait ce qui ne produit pas de sérénité, paix, joie, soit l'émanation du Malin .../...examinons les choses: il n'est pas faux de dire que le Coran provient de Satan - qui était Mahomet ? un fourbe et entreprenant bédouin qui sut unir à lui beaucoup de monde. Mais c'était aussi un hystérique , si l'on pense qu'il a eu la prétention de retenir le Coran, un livre en rien céleste, comme une révélation directe de Dieu !.../...aujourd'hui il y a beaucoup de sympathie et de tolérance envers l' Islam. Je me demande ce que l'on dirait de nous, catholiques, si on traitait les femmes de telle façon et si les hommes vivaient avec cinq fiancées ou épouses . Cette situation est immorale pour nous, pas pour eux. Pour nous chrétiens,c'est un désordre objectif, qui est réputé juste chez eux au nom d'une prétendue supériorité de l'homme.Dans l'Islam, n'existe pas la miséricorde, celle-ci, c'est le christianisme qui la met en avant."
Propos recueillis par Bruno Volpe (Pontifex Roma)
Les bonnes volontés de Vatican II se heurtent à la réalité et mêmes certains dignitaires de l'Église remettent en cause ces balivernes du dialogue inter-religion.
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D'après Ibn Hicham, Sirat-ar-Rasoul (Vie de mahomet) IX siècle.
J'ouvre ce topic non pas afin d'alimenter un débat souvent houleux sur cette question, mais afin de découvrir ou de re-découvrir ce qu'en dit toute la Tradition de l'Eglise Catholique au sujet de l'islam. Je ne veux pas influencer le topic, les propos rapportés ici sont facilement trouvables sur le net, je posterai les annotations des pages des livres ou l'islam est évoqué et enfin avec l'exposé par ce qu'en dit le Concile Vatican II et un évêque.
Ce que pense Monachorum sur l'islam c'est ce que pense seulement Monachorum et les autres administrateurs et modérateurs ne sont évidement pas concerné par mes propos en aucune manière que ce soit, histoire d'être bien clair.
Citation:
"L'ange gabriel descendît du ciel et trouva mahomet sur le mont Hira. Il se montra à lui et lui dit : "Salut à toi, Ô mahomet, apôtre d'allah". mahomet fut épouvanté. Il se leva, pensant qu'il était devenu fou. Il se dirigea vers le sommet pour se tuer en se précipitant du haut de la montagne. Mais gabriel le prit entre ses aîles et lui dit : "mahomet, tu es le prophète d'allah et je suis gabriel, l'ange d'allah qui t'apporte son message pour que tu le lises. mahomet lui répondit : " Comment lirais-je, moi qui ne sais pas lire ?". gabriel lui dit: "Lis au nom de ton seigneur, qui a tout créé."
Épître aux Galates, chapitre I verset 8.
Citation:
Si donc il arrivait qu’un homme ou qu’un ange, vînt à enseigner une doctrine opposée à ce qui a été transmis de Dieu, sa parole ne saurait prévaloir contre l’enseignement divin, de manière à le rendre inutile et à le faire rejeter; cet enseignement est plutôt contre lui, parce que celui qui parle ainsi doit être repoussé et exclus de la participation à l’enseignement qu’il attaque. Voilà pourquoi l’Apôtre dit que la dignité de la doctrine de l’Evangile, qui a été transmise par Dieu lui-même, est si haute, que si quelqu’un, soit un homme, soit un ange, venait à annoncer un Evangile autre que celui qui a été annoncé, il est anathème, c’est-à-dire, il doit être rejeté et repoussé.
Commentaire de l'épître de St Paul aux Galates par St Thomas d'Aquin
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Extrait : Et ne vous en étonnez pas ; car Satan lui-même se déguise en ange de lumière.
Dom Guéranger, Jésus-Christ Roi de l'Histoire, Collection sens de l'Histoire, Association saint Jérôme, 2005, p. 95-97
Citation:
Mais qui est allah du coran ? Certainement pas DIEU, mais plutot satan.
En fait et d'après la tradition mahometane c'est le nom d'une des 366 idoles vénérées de la " Kaaba ", la " pierre noire " que mahomet a proclamée supérieure aux autres en les supplantant. Cette pierre noire tombée du paradis était censée avoir le " pouvoir " de pardonner les péchés de ceux qui venaient l'embrasser et de leur donner une option pour être admis au paradis, on dit qu'à l'origine elle fut blanche mais à cause du péché des hommes elle devint noire, d'où l'importance pour un " fidèle " de se rendre en pèlerinage à la mecque au moins une fois dans sa vie.
Catéchisme de Saint Pie X
Citation:
Qu’est-ce que les infidèles ?
Les infidèles sont ceux qui ne sont pas baptisés et qui ne croient pas en Jésus-Christ ; soit qu’ils croient à de fausses divinités et les adorent, comme les idolâtres ; soit que tout en admettant le seul vrai Dieu ils ne croient pas au Christ Messie, venu en la personne de Jésus-Christ ou encore à venir : tels sont les mahométans et autres semblables.
Saint Jean Damascène et l'islam
Saint Jean Damascène est né vers 640 à Damas. Il portait le nom arabe de Mansour. Il devint administrateur des finances de la ville de Damas, qui avait dû capituler en 635 devant l'envahisseur musulman. Il se retira au monastère de Saint-Sabbas, près de Jérusalem où, après son ordination, il rédigea ses oeuvres théologiques. Il est mort vers 750, plus que centenaire. Honoré comme saint à la fois par les schismatiques et par les catholiques, sa Source de la connaissance a servi de manuel de théologie jusqu'au XIII ème siècle, et il fut même rangé parmi les Docteurs de l'Eglise par le pape Léon XIII en 1890. Jean Damascène a qualifié l'islam de 101ème secte chrétienne.
A quel titre pouvait-il le faire?
Pour répondre à cette question, il nous faut d'abord définir ce qu'est une secte. Pour le sociologue, la secte est un diverticule qui s'est séparé de l'Eglise-mère, et qui suit un processus évolutif qui la fait passer par des étapes assez clairement définies. Pour le juriste, et aussi le politicien, la secte est un mouvement qui est en infraction avec la législation, et plus particulièrement avec la législation concernant la protection des individus.
Quant au théologien, il définit la secte comme une hérésie.
Il y a enfin des mouvements sectaires qui ne se sont pas détachés d'une confession religieuse existante, mais qui naissent d'un conglomérat disparate de pensées et de pratiques religieuses variées. On préfère les appeler hypocritement : nouvelles religiosités ou spiritualités nouvelles. Sociologiquement, on ne peut qualifier l'islam de secte chrétienne ; son fondateur, Mohammed (570-632), est né dans un milieu polythéiste, peut-être hénothéiste (un Dieu dominant,dieu lune...). Cependant, lors de ses voyages en Syrie, mohammad avait rencontré le moine "chrétien" Bahira,ou plutot un hérétique arien. Plus tard à Marwa, près de la Mekke, il rencontrait souvent un esclave chrétien du nom de Djabr (Voir Sirâ du prophète). Une de ses concubines qu'il prit en 629, Myriam, était chrétienne. A la Mecque, vivaient des talmudistes, et Médine abritait trois tribus talmudistes constituant environ la moitié de la population, avant leur extermination. Khaïbar, située à quelque 250 km au nord de Médine, était une ville forte talmudiste. Rayhana, une concubine que mohammad prit en 627 était talmudiste, ainsi que Saffiyya qu'il épousa environ 629. Bien qu'il n'y eut pas encore, à l'époque de mahomet, de traduction complète de la sainte Bible en arabe, les récits de l'Ancien comme du Nouveau Testament circulaient, mais aussi des fables talmudiques et des légendes tirées d'écrits chrétiens apocryphes. L'islam prit ainsi naissance dans un bouillon culturel qui englobait polythéisme et hénothéisme, talmudisme et christianisme hérétique, mais aussi zoroastrisme, voire hindouisme. En utilisant la terminologie d'aujourd'hui, Saint Jean Damascène aurait dû qualifier l'islam de religiosité nouvelle. Juridiquement et politiquement, il faut distinguer entre l'islam modéré et Islam fondamentaliste/intégriste, ce dernier seul portant atteinte à la législation anti-chrétienne actuelle concernant la protection des individus. Le coran contient aussi de nombreuses réminiscences bibliques. Il rend un vibrant hommage à la fois à la Torah(tawrat) et à l'Evangile (Injil). Il reconnaît que ces livres, descendus de Dieu, sont véridiques (Sourate 'Al `Imran, III.3) ; les musulmans doivent y croire (Sourates Al-Baqara, II.87 ; 'Al `Imran, III.84 ; An-Nisa', IV.136). Le coran témoigne de la naissance virginale de Jésus (Sourates Al-'Anbiya',XXI.91 ; At-Tahrim, LXVI.12), de sa messianité (III.45 ; IV.157), de son prophétisme (III.49 ; IV.157, 171 ; Al-Ma'ida, V.46, 75 ; Maryam, XIX.30), de sa vie sans péché ( XIX.19 ; III.46) et le qualifie de Parole de vérité (XIX.34), de Parole de Dieu jeté en Marie (IV.171), de Verbe émané de Dieu (III.39, 45), d'Esprit émané de Dieu (IV.171 ; XXI.91 ; LXVI.12), mais sans reconnaître que Jésus est le Fils de Dieu. Saint Jean Damascène n'a pas seulement dénoncé cette dernière hérésie, mais encore celle qui déclare que la crucifixion était un faux-semblant (IV.157, 158).
Ici encore, la doctrine coranique diverge fondamentalement de la foi Chrétienne selon laquelle la crucifixion apporte au monde le salut. Non seulement le Nouveau Testament, mais déjà les prophéties de l'Ancien Testament attestent cette doctrine fondamentale. Une autre divergence concerne la résurrection de Jésus-Christ. Pour le coran, dans les versets cités
plus haut, Jésus est bien au ciel, auprès de Dieu ; il y a été élevé, mais sans passer par la mort et la résurrection. Saint Jean Damascène avait donc raison de qualifier l'islam d'hérésie ou de secte "chrétienne".
Mais juridiquement, qu'en est-il ? Une caractéristique des sectes que relèvent les juristes, c'est l'assujettissement des adeptes à leur mouvement et la très grande difficulté à en sortir.
Les mots "Islam" et "Musulman" signifient : soumission, sous-entendu : soumission à Dieu. C'est là une des injonctions de toutes les religions. Mais, dans l'islam, cette soumission est essentiellement une soumission aux lois de la Communauté (la Umma), au sein de laquelle s'exerce une rigoureuse surveillance réciproque. Aussi est-il difficile à un musulman de
sortir de son carcan religieux et adopter, par exemple, la foi Chrétienne. Il est alors considéré comme un renégat ou apostat et encourt la vindicte de ses anciens coreligionnaires, conformément à cet ordre du coran :"S'ils se détournent, saisissez-les, tuez-les, partout où vous les trouverez" (Sourate An-Nisa', IV.89).
Bref... Hérésie du mahometisme par Saint Jean Damascène
Voici un extrait du livre “Des hérésies” écrit par St Jean Damascène, considéré comme un des pères de l’Eglise d’Orient,
Introduction
1. Il y a aussi la religion des Ismaélites qui domine encore de nos jours, égare les peuples, et annonce la venue de l’antéchrist. Elle tire son origine d’Ismaël, le fils d’Abraham et d’Agar. Pour cette raison on les nomme Agarène et Ismaélites ; on les appelle aussi Sarrasins, ce qui signifie dépouillé par Sara. Agar répondit, en effet, à l’Ange : « Sara m’a renvoyée dépouillée ».
Ils étaient donc idolâtres et adoraient l’Etoile du Matin et Aphrodite, qu’ils ont appelée précisément Chabar dans leur langue, ce qui veut dire grande.
Apparition de l’Islam
Donc, jusqu’à l’époque d’Héraclius, ils ont ouvertement pratiqué l’idolâtrie. A partir de cette époque et jusqu’à nos jours un faux prophète, du nom de Mahomet, s’est levé parmi eux,
qui, après avoir pris connaissance, par hasard, de l’Ancien et du Nouveau Testament, et, de même, fréquenté vraisemblablement un moine arien, fonda sa propre hérésie. Après s’être conciliée la faveur du peuple en simulant la piété, il insinue qu’une Ecriture venue du ciel lui a été révélée par Dieu. Ayant rédigé dans son livre quelques doctrines risibles, il leur transmet cette façon d’adorer Dieu.
Théologie du coran
Il dit qu’il y a un seul Dieu, créateur de toutes choses, qu’Il n’a pas été engendré et qu’Il n’a pas engendré. Selon ses dires, le Christ est le Verbe de Dieu et son Esprit, mais il est crée
et il est un serviteur ; il est né sans semence de Marie, la s?ur de Moïse et d’Aaron. En effet dit-il, le Verbe et l’Esprit de Dieu sont entré en Marie et ont engendré Jésus, qui fut un prophète et un serviteur de Dieu. Et, selon lui, les juifs, au mépris de la Loi, voulurent le mettre en croix, et, après s’être emparés de lui, ils n’ont crucifié que son ombre. Le Christ lui ? même, dit-il, ne subit ni la croix ni la mort. En effet Dieu l’a pris près de lui dans le ciel, parce qu’Il l’aimait. Et il dit également, qu’une fois le Christ monté aux cieux, Dieu l’a interrogé en disant ? : « Jésus ! as-tu dis : je suis le fils de Dieu et Dieu ? » Jésus d’après lui, a répondu : « Sois miséricordieux envers moi, Seigneur ! Tu sais que je n’ai pas dit cela et que je ne dédaigne d’être ton serviteur. Mais les hommes mauvais ont écrit que j’avais fait cette déclaration ; ils ont menti à mon égard, et ils sont dans l’erreur ». Dieu, dit il, lui a répondu : « Je sais que tu n’as pas fait cette déclaration ».
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Saint Thomas d'Aquin et mahommad , Tiré de la Somme contre les Gentils (chapitre 6)
Citation:
Mahomet a séduit les peuples par des promesses de voluptés charnelles au désir desquelles pousse la concupiscence de la chair.(1) Lâchant bride à la volupté, il a donné des commandements conformes à ses promesses, auxquels les hommes charnels peuvent obéir facilement.
En fait de vérités, il n'en a avancé que de faciles à saisir par n'importe quel esprit médiocrement ouvert.
Par contre, il a entremêlé les vérités de son enseignement de beaucoup de fables et de doctrines les plus fausses.(2) Il n'a pas apporté de preuves surnaturelles, les seules à témoigner comme il convient en faveur de l'inspiration divine, à savoir quand une oeuvre visible qui ne peut être que l'oeuvre de Dieu prouve que le docteur de vérité est invisiblement inspiré. Il a prétendu au contraire qu'il était envoyé dans la puissance des armes, preuves qui ne font point défaut aux brigands et aux tyrans.
D'ailleurs, ceux qui dès le début crurent en lui ne furent point des sages instruits des sciences divines et humaines, mais des hommes sauvages, habitants des déserts, complètement ignorants de toute science de Dieu, dont le grand nombre l'aida, par la violence des armes, à imposer sa loi aux autres peuples. Aucune prophétie divine ne témoigne en sa faveur : bien au contraire, il déforme les enseignements de l'Ancien et du Nouveau Testament par des récits légendaires, comme c'est évident pour qui étudie sa loi.
Aussi bien, par une mesure pleine d'astuces, il interdit à ses disciples de lire les textes de l'Ancien et du Nouveau Testament qui pourraient le convaincre de fausseté.(3) C'est donc chose évidente que ceux qui ajoutent foi à sa parole croient à la légère.
Saint Alphonse-Marie de Liguori sur l'islam
Citation:
Du reste,pour connaitre l'impieté de cette loi,il suffit de savoir qu'elle permet à ses adeptes la vengeance,le vol,et les plaisirs charnels;bien plus,elle ne fait consister le paradis de la vie eternelle que dans les honteuses voluptés de la chair.
C'est donc une loi qui convient plutot à des betes qu'à des hommes doués de raison.
Je recommande la lecture de cet ouvrage, Saint Alphonse-Marie De Liguori et l'islam : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Oeuvres de ce Saint : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Extrait :
Citation:
Les mahometans avouent qu'avant la venue de mahomet, la loi Chrétienne existait déjà;et que cette loi enseignait la vraie doctrine...
Or;s'ils s'accordent qu'il fut un temps ou la doctrine de Jésus-Christ était vraie,ils doivent aussi convenir que celle de mahomet est fausse:car Jésus-Christ affirme que celui qui n'est point baptisé,ne peut etre sauvé(St Jean 3,5)...
Par conséquent,si la doctrine de Jésus-Christ a été vraie,je ne dis pas pendant une série de siècles,mais pendant un seul instant,il s'ensuit que la doctrine de mahomet n'a jamais pu l'etre,non plus que toute autre société de croyants,opposée à celle de Jésus-Christ...
Citation:
En effet,tous les tourments du monde ne peuvent faire un martyr:la seule cause qui fait les vrais martyrs,c'est de mourir pour la vérité de la foi ou pour la justice.
Or les mahometans vantent comme martyr ceux de leurs soldats qui ont succombé en combattant pour usurper le bien d'autrui:quel acte de justice que celui-là!
Citation:
Du reste, pour connaitre l'impieté de cette loi,il suffit de savoir qu'elle permet à ses adeptes la vengeance,le vol,et les plaisirs charnels;bien plus, elle ne fait consister le paradis de la vie eternelle que dans les honteuses voluptés de la chair.
C'est donc une loi qui convient plutot à des betes qu'à des hommes doués de raison.
Citation:
c'est au point que le mahometan avicenne,rougissant d'une semblable promesse,prétend que mahomet avait parlé à ce propos d'une manière allégorique;mais le coran n'admet nulle part cette interpretation d'avicenne.
Saint Alphonse-Marie De Liguori
Citation:
« Pour apprécier le Mahométisme, il faut le considérer dans son dogme, dans sa morale, dans ses lois, dans ses effets, dans son établissement.
1. Dans son dogme. Voici les principaux articles de son symbole : Il n'y a qu'un seul Dieu, mais sans distinction de personnes; Mahomet est son prophète. Les hommes sont nécessairement prédestinés au Ciel ou à l'Enfer : dogme qui anéantit la liberté et fait Dieu auteur du péché.[...] »
Catéchisme de persévérance par Mgr Gaume, Tome VI, p 21 (né à Fuans (Doubs) le 5 mai 1802 et mort le 19 novembre 1879, prêtre catholique, théologien et essayiste français)
Citation:
Le mahométisme est le triomphe ou plutôt l’usurpation de l’erreur sur la vérité, de l’iniquité sur la justice, de la barbarie sur l’humanité et la civilisation véritable.
Chacun doit, selon ses moyens, travailler à redresser ce renversement des choses ; l’individu chrétien comme individu, le roi chrétien comme roi, la nation chrétienne comme nation, l’Europe chrétienne comme Europe, l’humanité chrétienne ou l’Église catholique comme l’humanité régénérée par le Christ.
Les dernières paroles du mohammad
Citation:
Aisha et 'Abdullah bin 'Abbas rapportent qu'aux derniers moments de sa vie, l'Apôtre d'Allah couvrit son visage de sa 'khamisa', puis quand il eut chaud et manqua d'air, il l'ota de son visage et dit : "Qu'Allah maudisse les juifs et les chrétiens ; ils ont construit des lieux de prière sur la tombe de leurs Prophètes."
Note : En vertu du principe d'abrogation contenu dans le coran lui même, quand deux versets se contredisent, il faut conserver le plus récent, cette disposition précise du prophète de l'islam annule toutes les dispositions précédentes de charité vis à vis des juifs et des chrétiens.
Le concile Vatican II à marqué une étape décisive dans les relations islamo-chrétiennes. Deux documents conciliaires abordent le sujet :
Le premier est la constitution sur l'Eglise "LUMEN GENTIUM". Après avoir fait mention de la relation toute spéciale avec le peuple jui, "qui reçut les alliances et les promesses et dont le Christ est issu selon la chair", le texte cite immédiatement après les musulmans. "Le dessein de salut enveloppe également ceux qui reconnaissent le Créateur, en tout premier lieu les musulmans, qui professent avoir la foi d'Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, futur juge des hommes au dernier jour."
Le deuxième texte conciliaire qui aborde la question de l'islam est la déclaration "NOSTRA ÆTATE" sur "les relations de l'Eglise avec les religions non chrétiennes". Là encore, le ton est profondément optimiste. "L'Eglise regarde aussi avec estime les musulmans, qui adorent le Dieu un (...) ." Jusque-là, les relations entre l'islam et le christianisme étaient entachées par la polémique et le souci de convertir l'autre. Il a fallu attendre le grand orientaliste français Louis Massignon (1883-1962), chrétien fervent, pour que l'attitude de l'Eglise catholique évolue. Pour celui-ci, l'islam était une sorte de "schisme abrahamique", en tant qu'héritier d'ismaël, le fils d'Abraham et de sa servante Agar, recevant une part des bénédictions divines.
A plusieurs reprises, Jean paul II a insisté sur les points communs entre les deux religions. Aux Philippines en 1981, il a employé l'expression "mes frères" pour s'adresser aux musulmans. Son texte le plus important est la longue méditation qu'il a prononcée à Casablanca au Maroc, le 19 août 1985, devant des dizaines de milliers de jeunes musulmans. "Chrétiens et musulmans, nous avons beaucoup de choses en commun, comme croyants et comme hommes, a-t-il souligné. (...) Nous croyons au même Dieu, le Dieu unique."
(soit dit en passant qui est contraire à ce que les théologiens disent depuis 2000 ans mais passons)
La personnalité de l'antéchrist : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Voici ce que Mgr Lefebvre disait (A prendre comme ce qu'il est et je rappelle à toute fin utile que ce cardinal bien qu'étant "una cum", à été excommunié)
Citation:
En inspirant la religion islamique, le démon a véritablement empêché la conversion de millions d'hommes. Je me suis trouvé pendant quinze ans à Dakar avec trois millions de musulmans, cent mille catholiques et quatre cent mille animistes, et si pendant ces quinze ans on a pu convertir dix musulmans, c'est un maximum. Je veux dire les convertir vraiment, les faire passer de l'islam au catholicisme. Je ne dis pas qu'il n'y ait pas eu une certaine influence catholique grâce à nos écoles où nous avions jusqu'à 10 à 15% de musulmans. Je n'en voulais pas davantage, sinon ils auraient imposé l'islam dans nos écoles. Une fois qu'ils sont forts, ils s'imposent, prennent la tête du mouvement et essayent de convertir les autres. Quand ils sont faibles, ils écoutent et se taisent.
Les jeunes gens qui ont été dans nos écoles ont certainement été influencés, peut être certains d'entre eux ont-ils désiré le baptême c'est très possible. Mais c'est très difficile pour un jeune homme de se convertir au catholicisme, car il est chassé de sa famille, il sait qu'il risque même d'être empoisonné. […] Il n'y a que ceux qui sont étudiants en université qui arrivent à se convertir parce qu'ils sont indépendants. Ils savent que leur avenir est assuré; dont ils n'ont plus besoin de leur famille et partiront en Europe, ils peuvent se convertir. Mais convertir quelqu'un qui est dans sa famille, c'est pratiquement impossible. En inspirant la religion islamique; le démon a véritablement empêché la conversion de millions d'hommes »
Citation:
L'Église commença à voir en l'islam une religion et pas seulement une menace militaire. Les écrits religieux commencèrent alors à décrire l'islam et Mahomet comme étant inspiré par Satan, l'avant garde, à savoir l'Antéchrist ou comme l'Antéchrist lui-même.
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J'en terminerai avec Monseigneur Babini, évêque émérite de Grosseto
"Du point de vue doctrinal, ce n'est pas une erreur de définir l' Islam et Mahomet comme sataniques desquels le programme est la conquête de Rome, et donc de nous éloigner et de nous séparer de Dieu".
C"'est ce qu'affirme l'évêque émérite de Grosseto, Monseigneur Giacomo Babini. Il dit encore: " Je ne dis pas que l'Islam soit le diable, nous tomberions dans le risque de le voir de partout. Mais sans aucun doute dans l'Islam et dans Mahomet se cache le dessein du malin , qui est celui de nous séparer et de nous diviser , et de ce point de vue il est exact de définir l'Islam comme satanique , comme du reste le communisme qui rejette la religion".
Donc l' Islam est un péril certain, souvent sous-évalué. La religion fondée par Mahomet est violente...
Je crois que les chrétiens devraient redécouvrir l'esprit qui les portât à l'historique bataille de Lépante contre l'envahisseur islamique...
Un autre ennemi idéologique est le communisme qui par nature veut étouffer la religion et donc il est impensable qu'un catholique soit communiste ou ami de son ennemi naturel.
Catholicisme et communisme sont antithétiques et opposés".
Mgr annonce ainsi la fin de l'Islam "dans les pays islamiques nous assistons à d'incroyables incongruités. Nombreux sont ceux qui s'oublient, construisent des gratte-ciels pharaoniques et le peuple, les pauvres gens , meurent de faim.
Avec l'Islam il faut user théologiquement de la force et d'une pacifique tolérance zéro, comme pour le communisme.
Même l'Eglise s'abandonne souvent à un "bonnisme" suicidaire pour chercher un dialogue impossible et infructueux, qui n'apporte rien en aucun point. .../...
Je ne tombe pas dans les excès de voir satan partout, mais d'un autre coté, de nombreux évêques ont cédé sur ce point en oubliant sa présence dans le monde. Le mâlin n'est pas celui qui sent le soufre seulement, mais tout ce qui nous sépare de Dieu. Donc, si Mahomet est venu prêcher cela, la séparation violente d'avec le Christ, il a une intention satanique, comme du reste la dictature marxiste. Mais beaucoup de prêtres aujourd'hui font de la sociologie, oubliant de prêcher les réalités. Si nous avions les idées claires sur ces sujets, de nombreux péchés de la vie seraient évités".
Les évêques italiens ne mâchent pas leurs mots ! A quand la même franchise de la part de nos épiscopes français, fussent-ils émérites?
Extraits :"L'Islam est un châtiment de Dieu. Mahomet un affairiste hystérique, le Coran émane de Satan.../..
"IL y a quelques temps, j'ai dit à la Cei qu'il fallait se garder des insidiosités islamiques et les choses se sont vérifiées. Je me souviens d'un voyage en Terre Sainte (Son excellence révérendissime est aussi prieur de l'Ordre Equestre du Saint-Sepulcre de Jerusalem) et des insultes que me traduisait un confrère, lancées par un Imam . Il nous promettait le fer et le feu...la base est celle-ci: l'islam est violent pour la raison qu'il admet l'état de soumission et de guerre sainte. La violence est en lui-même, nul ne peut le nier. Dans le Coran il existe de belles pages, mais d'autres aussi d'extraordinaire férocité. .../... Je crois que tout ce qui n'est pas révélé par Dieu , en fait ce qui ne produit pas de sérénité, paix, joie, soit l'émanation du Malin .../...examinons les choses: il n'est pas faux de dire que le Coran provient de Satan - qui était Mahomet ? un fourbe et entreprenant bédouin qui sut unir à lui beaucoup de monde. Mais c'était aussi un hystérique , si l'on pense qu'il a eu la prétention de retenir le Coran, un livre en rien céleste, comme une révélation directe de Dieu !.../...aujourd'hui il y a beaucoup de sympathie et de tolérance envers l' Islam. Je me demande ce que l'on dirait de nous, catholiques, si on traitait les femmes de telle façon et si les hommes vivaient avec cinq fiancées ou épouses . Cette situation est immorale pour nous, pas pour eux. Pour nous chrétiens,c'est un désordre objectif, qui est réputé juste chez eux au nom d'une prétendue supériorité de l'homme.Dans l'Islam, n'existe pas la miséricorde, celle-ci, c'est le christianisme qui la met en avant."
Propos recueillis par Bruno Volpe (Pontifex Roma)
Les bonnes volontés de Vatican II se heurtent à la réalité et mêmes certains dignitaires de l'Église remettent en cause ces balivernes du dialogue inter-religion.
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D'après Ibn Hicham, Sirat-ar-Rasoul (Vie de mahomet) IX siècle.
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Le concile de Vatican II (1962-1964) et l'islam
Ca m'a tjs étonné que la vision de la béatitude céleste,pour l'Islam,est de devenir propriétaire de 10 vierges(je ne me rapelle pas si c'est le bon nombre mais l'idée est la).....Honnetement,je trouve que c'est banal(et ce n'est pas contre les femmes)si nous comparons avec ce que st Jean de la Croix et ste Thérese d'Avila nous annonce pour le ciel:un état de béatitude(plus que du bonheur) qui n'est pas de cette terre....Mahomet a séduit les peuples par des promesses de voluptés charnelles au désir desquelles pousse la concupiscence de la chair.(1) Lâchant bride à la volupté, il a donné des commandements conformes à ses promesses, auxquels les hommes charnels peuvent obéir facilement.
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