George Orwell et l`Institut Travistock
Page 1 sur 1
George Orwell et l`Institut Travistock
Certaines idées de Orwell viendrait de l`Institut Travistock chargé d`appliquer les idées et les méthodes des sciences sociales à des problèmes de politique et de pratique
Dans son livre 1984 a la page 55 - Orwell définit la double- pensée - ou le relativisme de la pensée - tres actuel dans notre société - qui me fait penser ou Jardin d`Éden et au serpent qui attaque la Parole de Dieu et la Vérité divine par une pensée relative semant le doute chez Eve.
Extrait: Controle de la réalité (reality control). On disait en novlangue double-pensée.
En pleine conscience et avec une absolue bonne foi émettre des mensonges soigneusement agencés. Retenir simultanément deux opinions qui s`annulent alors qu`on les sait contradictoires et croire a toute deux. Employer la logique contre la logique. Répudier la morale alors que l`on se réclame d`elle. Croire en meme temps que la démocratie est impossible et que le parti est gardien de la démocratie. Oublier tout ce qu`il est nécéssaire d`oublier, puis le rappeler a sa mémoire quand on en a besoin, pour l`oublier plus rapidement encore. Surtout appliquer le meme processus au processus meme. La était l`ultime subtilité. Persuader consciemment l`inconscient puis devenir ensuite inconscient de l`acte d`hypnose que l`on vient de perpréter. La compréhension meme du mot double-pensée impliquait l`emploi de la double-pensée.
Présentation du Tavistock institute. Ou comment l’âme humaine est anéantie.
Par fonzibrain
L’institut Tavistock de Londres fut créée en 1920 à Tavistock Square comme clinique psychiatrique (la « Clinique Tavistock »), par Cyril Burt (1883-1971), expert en recherches sur le para-normal, et Hugh Crichton-Miller (1877-1959), vice-président de l’Institut « C.G. Jung » de Zürich.
En 1921, le onzième duc de Bedford, marquis de Tavistock, donna à l’Institut un siège où furent menées des recherches sur les psychoses traumatiques par bombardement sur des rescapés de la première guerre mondiale. Il s’agissait d’identifier, avec des critères scientifiques, le « seuil de rupture » de la résistance d’un être humain soumis à des sollicitations limites. Le projet était patronné par le Bureau pour la Guerre psychologique de l’armée britannique sous le commandement du psychiatre John Rawlings Rees.
En 1932 un réfugié d’Allemagne, Kurt Lewin, spécialiste en « dynamique des groupe », c’est-à-dire de techniques de manipulation de l’individu inséré dans un groupe, visant à lui faire acquérir une nouvelle personnalité et de nouvelles valeurs, devint directeur de l’Institut Tavistock. Lewin était le fondateur de la Clinique psychologique de Harvard, qui devait jouer un rôle essentiel pour convaincre les Américains à entrer en guerre contre les Allemands.
L’institut Tavistock, qui se développa comme le centre par excellence des recherches psychiatriques, fort de ses succès obtenus dans les deux guerres mondiales, changea en 1947 son nom en « Tavistock Institute for Human Relations ». Grâce aux financements de la Rockefeller Foundation et à des présences américaines qualifiantes, le nouvel Institut travaillait en synergie avec les Britanniques, notamment avec le vice-directeur de la Clinique Tavistock, déjà mentionné plus haut, J.R. Rees, co-fondateur de la Fédération mondiale de la Santé mentale1. Rappelons au passage que Rees eut pour étudiant un personnage, réfugié d’Allemagne, qui devait faire aux Etats-Unis une brillante carrière : Henry Alfred Kissinger.
Le but déclaré de l’Institut était, – et reste à ce jour -, d’ »appliquer les idées et les méthodes des sciences sociales à des problèmes de politique et de pratique », en développant des projets pour l’organisations des institutions, de l’industrie, du commerce, de la santé publique et de l’instruction. Un champ d’action multidisciplinaire qui va de l’anthropologie à l’économie, à la conduite organisationnelle, aux sciences politiques, à la psychanalyse2, à la psychologie et à la sociologie.
Dans la période immédiate de l’après-guerre, le problème auquel l’Institut Tavistock entendant donner une réponse efficace était la transposition dans les sociétés civiles de cette branche de la psychiatrie appliquée avec succès au cours de la seconde guerre mondiale, grâce essentiellement à l’oeuvre de John J. McCloy (un membre important de la Banque Kuhn & Loeb et de la Fondation Ford), et de William Paley (membre du B’nai B’rith, de la Pilgrims’ Society, de l’Ordre de Saint Jean de Jérusalem et du C.F.R.)3.
Le projet était ambitieux : appliquer directement au corps social les résultats de ces études sur le « point de rupture », mis au point au cours des deux guerres mondiales, pour détruire toute résistance psychologique dans l’individu et le mettre à la merci du Nouvel Ordre Mondial4.
L’un des plus étroits collaborateurs à l’époque du Tavistock Institute fut Max Horkheimer, l’un des pères de l’ »Ecole de Franckfort », fondée par la Fabian Society et qui traitait de sociologie et de psychologie marxiste. C’est de cette école que sortit Herbert Marcuse, qui joua un rôle de premier rang pour préparer la révolution culturelle de 1968 et le « saut de paradigme »5 qui en dériva. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, l’Ecole se transféra aux Etats-Unis, où elle poursuivit ses travaux sous la direction du Comité Juif Américain (A.J.C.). La guerre étant finie, Max Horkheimer contribua, avec Ignaz Bubis, à réintroduire en Allemagne le B’nai B’rith, la haute maçonnerie réservée aux seuls Juifs6.
Dans les années 60 ce fut en Tavistock qui, en collaboration avec les services secrets anglais, pilota l’expérience de la diffusion et de l’emploi de la drogue, surtout de la drogue produite artificiellement, le LSD7, dans le cadre de ce phénomène socialement déstabilisant, qui fut appelé « contre-culture ». Grâce aux larges subventions de la Fondation Ford, du Centre Britannique d’Etude sur l’Environnement, du Ministère de la Défense britannique, de l’Université de Harvard et du Conseil des Recherches en Sciences Sociales de Grande Bretagne. L’un des personnagles plus en vue de contre-culture de la drogue était Gregory Bateson, le père des hippies californiens, l’un des cinq savants de pointe du Tavistock qui effectuaient des expériences d »ingénierie sociale » avec usage de la drogue.
A l’époque, le R.I.I.A. se trouvait sous la direction de l’ex-directeur du fameux, « Observer » – propriété de la famille Astor – Andrew Shonfield (Bilderberg, Trilatérale), membre du Conseil d’Administration du Tavistock Institute et président du Conseil des Recherches en Sciences Sociales que nous avons mentionné.
Signalons qu’en 1967, sous la direction de Shonfield, qui dirigeait le groupe de psychologues du Tavistock, Ronald David Laing, publia un livre intitulé « The Politics of Experience », qui faisait l’apologie de la schizophrénie et de la drogue, dans lequel il affirmait que « la démence est l’unique forme de santé. »8
De nos jours, le Tavistock est sorte de laboratoire sophistiqué pour le contrôle sociale du R.I.I.A., sorte de voie du milieu entre un centre d’études psychiatriques et un centre de recherches militaires, qui publie un mensuel intitulé « Human Relations » (Ed. Plenum Press). L’objectif primaire du Tavistock, en dernière analyse, est la recherche des modalités pour provoquer « des mutations des paradigmes cultures » dans les sociétés humaines, par l’instauration de « climats sociaux perturbés » ou la manipulation des « dynamiques occultes de groupes. »
A titre d’étude, un cycle de conférences s’est tenu près l’Institut Tavistock en 1989 sur le thème : « Le rôle des Organisations non gouvernementales pour affaiblir les Etats Nationaux9″, dont les actes furent publiés en 1991 dans la revue « Human Relations ».
Le Tavistock Institute s’appuie sur des porte-voix comme la Ditchley Foundation, depuis sa fondation, et sur des sociétés de pensée comme le Club de Rome et les Cercles Bilderberg avec lesquels il collabore étroitement.
Le Tavistock dispose en outre d’un réseau américain qui comprend le Stanford Research Institute, fondé en 1946, consultant de multinationales du calibre de la Wells Fargo des Rothschild, de la Bank of America ou de la Betchel Corporation. Il exerce en outre une influence déterminante sur l’Association Nationale pour l’Instruction des Etats-Unis. Font partie de ce même réseau l’Esalen Institute, centre d’irradiation du mouvement New Age, le Centre for Strategic Studies de la Georgetown University de Washington (le C.S.I.S., auquel appartiennent les figures emblématiques de Kissinger et Brzezinski), l’Hudson Institute, spécialisé dans la politique de défense et assimilées.
Mais la véritable tête de pont Tavistock aux Etats-Unis est représentée par le grand « pensoir » américain, la Rand Corporation, constituée comme rempart du R.I.I.A., et donc du C.F.R., pour le contrôle de la politique américaine à tous les niveaux, relations internationales, armements, programmes spatiaux, politique intérieure, etc…
Le réseau de contrôle de la pensée de l’individu et des comportements collectifs visant à créer, avec le soutien des grandes Fondations, la pensée unique fondant une nouvelle échelle de valeurs « politically correct », s’est irradiée en quelques décennies – comme chacun le voit – dans tout l’Occident en s’imposant de façon inaperçue dans les politiques des Etats, dans le système d’éducation, dans le monde bancaire et des affaires, dans les habitudes, suscitant les états d’esprit indispensables pour tous les niveaux, flûte enchantée de l’AUTORITE pour conduire les peuples dans l’Ère de synthèse, vers la formidable homologation à l’idéologie de la Gnose.
1. En 1940, Rees définissait les objectifs de la psychiatrie en ces termes : « Nous devons viser à nous infiltrer dans chaque activité éducative de la vie nationale[...]. Nous avons lancé une offensive très fructueuse dans bon nombre de professions. Les deux plus faciles sont naturellement l’enseignement et l’Eglise ; les deux plus difficiles sont la justice et la médecine » (John Rawlings Rees, M.D. « Strategic Planning for Mental Health », « Mental Health 1″, n°4, oct. 1940, pp. 103-104).
2. Devant le siège du Tavistock Institute, au n°30 de Tabernacle Street à Londres, trône une statue de Sigmund Freud.
3. Eric Trist – Hugh Murray, « The Social Engagement of Social Science : A Tavistock Anthology », Philadelphia, The University of Pennsylvania Press, 1990, p.5.
4. L’in des objectifs est la destruction de l’agriculture traditionnelle fondée sur l’autosuffisance. L’agriculteur indépendant, en effet, est une menace pour le Nouvel Ordre Mondial globalisé. Tous doivent dépendre de tous et personne ne peut déroger à cette règle, surtout pas les autoproducteurs. De là la dépendance toujours plus lourde de l’agriculteur à l’égard de l’industrie, du marché qui fixe capricieusement les prix des récoltes, des prêts des banques pour l’achat de machines coûteuses et d’équipements nécessaires.
5. Paradigm shifts, ou l’étude de comment les mentalités collectives et les valeurs sociales communes peuvent changer – objet des recherches de « l’Ecole de Francfort. »
6. M. Blondet, « En Bosnie comme au Liban : Guerres programmées par les psychiatres ? », dans « Studi cattolici », septembre 1993, n° 391.
7. L’acide lysergique fut développé par la Sandoz AG, maison pharmaceutique suisse, propriété de la S.G. Warburg de Londres.
8. R.D. Laing, « the Politics of Experience & The Bird of Paradise », London, Penguin Books, 1990. Cf. E.I.R., « Dope, Inc », Washington D.C., 1992, p.285.
9. Ibid, A propos des O.N.G., le B’nai B’rith Jacques Attali dans son « Dictionnaire du XXIeme siècle », Roma, éd. Armando, 1999, écrit que celles-ci se substitueront à la dissolution des Etats, des partis, des syndicats, « embryon des futures organisations internationale » (p.196).
SOURCE :
Texte extrait du lire « Maçonnerie et sectes secrètes : Le côté caché de l’Histoire. »
Dans son livre 1984 a la page 55 - Orwell définit la double- pensée - ou le relativisme de la pensée - tres actuel dans notre société - qui me fait penser ou Jardin d`Éden et au serpent qui attaque la Parole de Dieu et la Vérité divine par une pensée relative semant le doute chez Eve.
Extrait: Controle de la réalité (reality control). On disait en novlangue double-pensée.
En pleine conscience et avec une absolue bonne foi émettre des mensonges soigneusement agencés. Retenir simultanément deux opinions qui s`annulent alors qu`on les sait contradictoires et croire a toute deux. Employer la logique contre la logique. Répudier la morale alors que l`on se réclame d`elle. Croire en meme temps que la démocratie est impossible et que le parti est gardien de la démocratie. Oublier tout ce qu`il est nécéssaire d`oublier, puis le rappeler a sa mémoire quand on en a besoin, pour l`oublier plus rapidement encore. Surtout appliquer le meme processus au processus meme. La était l`ultime subtilité. Persuader consciemment l`inconscient puis devenir ensuite inconscient de l`acte d`hypnose que l`on vient de perpréter. La compréhension meme du mot double-pensée impliquait l`emploi de la double-pensée.
Présentation du Tavistock institute. Ou comment l’âme humaine est anéantie.
Par fonzibrain
L’institut Tavistock de Londres fut créée en 1920 à Tavistock Square comme clinique psychiatrique (la « Clinique Tavistock »), par Cyril Burt (1883-1971), expert en recherches sur le para-normal, et Hugh Crichton-Miller (1877-1959), vice-président de l’Institut « C.G. Jung » de Zürich.
En 1921, le onzième duc de Bedford, marquis de Tavistock, donna à l’Institut un siège où furent menées des recherches sur les psychoses traumatiques par bombardement sur des rescapés de la première guerre mondiale. Il s’agissait d’identifier, avec des critères scientifiques, le « seuil de rupture » de la résistance d’un être humain soumis à des sollicitations limites. Le projet était patronné par le Bureau pour la Guerre psychologique de l’armée britannique sous le commandement du psychiatre John Rawlings Rees.
En 1932 un réfugié d’Allemagne, Kurt Lewin, spécialiste en « dynamique des groupe », c’est-à-dire de techniques de manipulation de l’individu inséré dans un groupe, visant à lui faire acquérir une nouvelle personnalité et de nouvelles valeurs, devint directeur de l’Institut Tavistock. Lewin était le fondateur de la Clinique psychologique de Harvard, qui devait jouer un rôle essentiel pour convaincre les Américains à entrer en guerre contre les Allemands.
L’institut Tavistock, qui se développa comme le centre par excellence des recherches psychiatriques, fort de ses succès obtenus dans les deux guerres mondiales, changea en 1947 son nom en « Tavistock Institute for Human Relations ». Grâce aux financements de la Rockefeller Foundation et à des présences américaines qualifiantes, le nouvel Institut travaillait en synergie avec les Britanniques, notamment avec le vice-directeur de la Clinique Tavistock, déjà mentionné plus haut, J.R. Rees, co-fondateur de la Fédération mondiale de la Santé mentale1. Rappelons au passage que Rees eut pour étudiant un personnage, réfugié d’Allemagne, qui devait faire aux Etats-Unis une brillante carrière : Henry Alfred Kissinger.
Le but déclaré de l’Institut était, – et reste à ce jour -, d’ »appliquer les idées et les méthodes des sciences sociales à des problèmes de politique et de pratique », en développant des projets pour l’organisations des institutions, de l’industrie, du commerce, de la santé publique et de l’instruction. Un champ d’action multidisciplinaire qui va de l’anthropologie à l’économie, à la conduite organisationnelle, aux sciences politiques, à la psychanalyse2, à la psychologie et à la sociologie.
Dans la période immédiate de l’après-guerre, le problème auquel l’Institut Tavistock entendant donner une réponse efficace était la transposition dans les sociétés civiles de cette branche de la psychiatrie appliquée avec succès au cours de la seconde guerre mondiale, grâce essentiellement à l’oeuvre de John J. McCloy (un membre important de la Banque Kuhn & Loeb et de la Fondation Ford), et de William Paley (membre du B’nai B’rith, de la Pilgrims’ Society, de l’Ordre de Saint Jean de Jérusalem et du C.F.R.)3.
Le projet était ambitieux : appliquer directement au corps social les résultats de ces études sur le « point de rupture », mis au point au cours des deux guerres mondiales, pour détruire toute résistance psychologique dans l’individu et le mettre à la merci du Nouvel Ordre Mondial4.
L’un des plus étroits collaborateurs à l’époque du Tavistock Institute fut Max Horkheimer, l’un des pères de l’ »Ecole de Franckfort », fondée par la Fabian Society et qui traitait de sociologie et de psychologie marxiste. C’est de cette école que sortit Herbert Marcuse, qui joua un rôle de premier rang pour préparer la révolution culturelle de 1968 et le « saut de paradigme »5 qui en dériva. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, l’Ecole se transféra aux Etats-Unis, où elle poursuivit ses travaux sous la direction du Comité Juif Américain (A.J.C.). La guerre étant finie, Max Horkheimer contribua, avec Ignaz Bubis, à réintroduire en Allemagne le B’nai B’rith, la haute maçonnerie réservée aux seuls Juifs6.
Dans les années 60 ce fut en Tavistock qui, en collaboration avec les services secrets anglais, pilota l’expérience de la diffusion et de l’emploi de la drogue, surtout de la drogue produite artificiellement, le LSD7, dans le cadre de ce phénomène socialement déstabilisant, qui fut appelé « contre-culture ». Grâce aux larges subventions de la Fondation Ford, du Centre Britannique d’Etude sur l’Environnement, du Ministère de la Défense britannique, de l’Université de Harvard et du Conseil des Recherches en Sciences Sociales de Grande Bretagne. L’un des personnagles plus en vue de contre-culture de la drogue était Gregory Bateson, le père des hippies californiens, l’un des cinq savants de pointe du Tavistock qui effectuaient des expériences d »ingénierie sociale » avec usage de la drogue.
A l’époque, le R.I.I.A. se trouvait sous la direction de l’ex-directeur du fameux, « Observer » – propriété de la famille Astor – Andrew Shonfield (Bilderberg, Trilatérale), membre du Conseil d’Administration du Tavistock Institute et président du Conseil des Recherches en Sciences Sociales que nous avons mentionné.
Signalons qu’en 1967, sous la direction de Shonfield, qui dirigeait le groupe de psychologues du Tavistock, Ronald David Laing, publia un livre intitulé « The Politics of Experience », qui faisait l’apologie de la schizophrénie et de la drogue, dans lequel il affirmait que « la démence est l’unique forme de santé. »8
De nos jours, le Tavistock est sorte de laboratoire sophistiqué pour le contrôle sociale du R.I.I.A., sorte de voie du milieu entre un centre d’études psychiatriques et un centre de recherches militaires, qui publie un mensuel intitulé « Human Relations » (Ed. Plenum Press). L’objectif primaire du Tavistock, en dernière analyse, est la recherche des modalités pour provoquer « des mutations des paradigmes cultures » dans les sociétés humaines, par l’instauration de « climats sociaux perturbés » ou la manipulation des « dynamiques occultes de groupes. »
A titre d’étude, un cycle de conférences s’est tenu près l’Institut Tavistock en 1989 sur le thème : « Le rôle des Organisations non gouvernementales pour affaiblir les Etats Nationaux9″, dont les actes furent publiés en 1991 dans la revue « Human Relations ».
Le Tavistock Institute s’appuie sur des porte-voix comme la Ditchley Foundation, depuis sa fondation, et sur des sociétés de pensée comme le Club de Rome et les Cercles Bilderberg avec lesquels il collabore étroitement.
Le Tavistock dispose en outre d’un réseau américain qui comprend le Stanford Research Institute, fondé en 1946, consultant de multinationales du calibre de la Wells Fargo des Rothschild, de la Bank of America ou de la Betchel Corporation. Il exerce en outre une influence déterminante sur l’Association Nationale pour l’Instruction des Etats-Unis. Font partie de ce même réseau l’Esalen Institute, centre d’irradiation du mouvement New Age, le Centre for Strategic Studies de la Georgetown University de Washington (le C.S.I.S., auquel appartiennent les figures emblématiques de Kissinger et Brzezinski), l’Hudson Institute, spécialisé dans la politique de défense et assimilées.
Mais la véritable tête de pont Tavistock aux Etats-Unis est représentée par le grand « pensoir » américain, la Rand Corporation, constituée comme rempart du R.I.I.A., et donc du C.F.R., pour le contrôle de la politique américaine à tous les niveaux, relations internationales, armements, programmes spatiaux, politique intérieure, etc…
Le réseau de contrôle de la pensée de l’individu et des comportements collectifs visant à créer, avec le soutien des grandes Fondations, la pensée unique fondant une nouvelle échelle de valeurs « politically correct », s’est irradiée en quelques décennies – comme chacun le voit – dans tout l’Occident en s’imposant de façon inaperçue dans les politiques des Etats, dans le système d’éducation, dans le monde bancaire et des affaires, dans les habitudes, suscitant les états d’esprit indispensables pour tous les niveaux, flûte enchantée de l’AUTORITE pour conduire les peuples dans l’Ère de synthèse, vers la formidable homologation à l’idéologie de la Gnose.
1. En 1940, Rees définissait les objectifs de la psychiatrie en ces termes : « Nous devons viser à nous infiltrer dans chaque activité éducative de la vie nationale[...]. Nous avons lancé une offensive très fructueuse dans bon nombre de professions. Les deux plus faciles sont naturellement l’enseignement et l’Eglise ; les deux plus difficiles sont la justice et la médecine » (John Rawlings Rees, M.D. « Strategic Planning for Mental Health », « Mental Health 1″, n°4, oct. 1940, pp. 103-104).
2. Devant le siège du Tavistock Institute, au n°30 de Tabernacle Street à Londres, trône une statue de Sigmund Freud.
3. Eric Trist – Hugh Murray, « The Social Engagement of Social Science : A Tavistock Anthology », Philadelphia, The University of Pennsylvania Press, 1990, p.5.
4. L’in des objectifs est la destruction de l’agriculture traditionnelle fondée sur l’autosuffisance. L’agriculteur indépendant, en effet, est une menace pour le Nouvel Ordre Mondial globalisé. Tous doivent dépendre de tous et personne ne peut déroger à cette règle, surtout pas les autoproducteurs. De là la dépendance toujours plus lourde de l’agriculteur à l’égard de l’industrie, du marché qui fixe capricieusement les prix des récoltes, des prêts des banques pour l’achat de machines coûteuses et d’équipements nécessaires.
5. Paradigm shifts, ou l’étude de comment les mentalités collectives et les valeurs sociales communes peuvent changer – objet des recherches de « l’Ecole de Francfort. »
6. M. Blondet, « En Bosnie comme au Liban : Guerres programmées par les psychiatres ? », dans « Studi cattolici », septembre 1993, n° 391.
7. L’acide lysergique fut développé par la Sandoz AG, maison pharmaceutique suisse, propriété de la S.G. Warburg de Londres.
8. R.D. Laing, « the Politics of Experience & The Bird of Paradise », London, Penguin Books, 1990. Cf. E.I.R., « Dope, Inc », Washington D.C., 1992, p.285.
9. Ibid, A propos des O.N.G., le B’nai B’rith Jacques Attali dans son « Dictionnaire du XXIeme siècle », Roma, éd. Armando, 1999, écrit que celles-ci se substitueront à la dissolution des Etats, des partis, des syndicats, « embryon des futures organisations internationale » (p.196).
SOURCE :
Texte extrait du lire « Maçonnerie et sectes secrètes : Le côté caché de l’Histoire. »
MichelT- Date d'inscription : 06/02/2010
Sujets similaires
» Ordo ab Chao - L`Institut Travistock pour les relations humaines
» George Soros finance « nous sommes la nation »
» Cardinal George : « mon successeur mourra en prison, et le sien martyr »
» Le milliardaire mondialiste George Soros achète 18 stations de radio hispanophones aux États-Unis
» Le Projet Russie de George Soros vise à capturer les États-nations dans la toile du mondialisme
» George Soros finance « nous sommes la nation »
» Cardinal George : « mon successeur mourra en prison, et le sien martyr »
» Le milliardaire mondialiste George Soros achète 18 stations de radio hispanophones aux États-Unis
» Le Projet Russie de George Soros vise à capturer les États-nations dans la toile du mondialisme
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum