Horreur du Gender:A 10 ans,IL devient ELLe....
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Horreur du Gender:A 10 ans,IL devient ELLe....
Rappel du premier message :
Et ce lobby puissant qu'est le Gender est enseigné ds les manuels scolaires en France.La saviez vous?[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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A dix ans, il devient elle(03/09/2011)
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A seulement 10 ans, Jack a changé de sexe
A seulement dix ans, poussé par ses parents, Jack est devenu Jackie
BRUXELLES L'histoire se déroule dans l'Ohio et est relatée par ABC News. Rapidement intéressé par les mêmes choses que sa soeur, Jack a fini par déclarer à ses parents, à neuf ans, qu'il n'en pouvait plus d'être comme ça. "Je suis une fille", scandait-il.
Ses parents, John et Jennifer, qui s'étaient faits à l'idée que leur chérubin était homosexuel, ont du se résoudre à l'évidence : Jack est transsexuel. Pour que leur fils se sente bien dans sa peau, ils ont accédé à sa demande, en le faisant opérer. Et Jack de devenir Jackie...
Rédaction en ligne
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: Horreur du Gender:A 10 ans,IL devient ELLe....
Premièrement le changement de sexe et d'identité sont tous les deux de mauvaises choses moralement.
Le changement de sexe est de la mutilation, la personne avant de changer de sexe est pleinement fertile mais suite au changement de sexe elle devient complètement stérile. Imaginez aussi que la personne qui a changé de sexe et d'identité civile se présente devant l'Église et devant Dieu pour se marier, l'Église ne pourra pas accepter ce mariage car les deux personnes seront du même sexe originalement, soit un vrai homme né comme tel et un homme transformé en femme et vice-versa. Plus moyen aussi d'être baptisé comme adulte, d'être confirmé, d'être parrain ou marraine, de se marier ou d'entrer dans les ordres après une telle chirurgie, autrement dit changer de sexe et d'identité civile c'est automatiquement s'exclure soit-même de l'Église. C'est à bien y penser.
Une vidéo au sujet de l'absurde théorie du genre que les lgtb cherchent à faire avancer dans la société et une autre vidéo sur le transsexualisme et ses dangers moraux.
Le changement de sexe est de la mutilation, la personne avant de changer de sexe est pleinement fertile mais suite au changement de sexe elle devient complètement stérile. Imaginez aussi que la personne qui a changé de sexe et d'identité civile se présente devant l'Église et devant Dieu pour se marier, l'Église ne pourra pas accepter ce mariage car les deux personnes seront du même sexe originalement, soit un vrai homme né comme tel et un homme transformé en femme et vice-versa. Plus moyen aussi d'être baptisé comme adulte, d'être confirmé, d'être parrain ou marraine, de se marier ou d'entrer dans les ordres après une telle chirurgie, autrement dit changer de sexe et d'identité civile c'est automatiquement s'exclure soit-même de l'Église. C'est à bien y penser.
Une vidéo au sujet de l'absurde théorie du genre que les lgtb cherchent à faire avancer dans la société et une autre vidéo sur le transsexualisme et ses dangers moraux.
Re: Horreur du Gender:A 10 ans,IL devient ELLe....
En tout cas je dois dire que vous venez tous de faire un beau pied-de-nez à tout ceux qui diront que la religion catholique est désuète, vous venez tous de prouver qu'au contraire, elle n'a jamais été autant d'actualité! Donc suivant toute cette logique, la seule chose à faire qui soit acceptable pour un transsexuel est de conserver son corps et son mental tels qu'ils sont, comme n'importe qui en fait?
Nathan 1000, il est vrai que dans ma génération, les jeunes de mon âges se ressemblent tous, pourtant les filles portent des vêtements de fille et les garçons des vêtements de garçon (je veux dire, achetés au rayon fille ou au rayon garçon), mais quand on les regarde, mis à part les traits physiques, il n'y a pas grand chose qui les fait ressortir en tant que femme ou en tant qu'homme, on voit qu'ils ont des corps mâle ou femelle mais pas plus. Même les styles vestimentaires et les coupes de cheveux tendent à être mixte. C'est difficile de dire d'eux "untel a un comportement masculin" ou féminin, parce qu'ils ont tous des attitudes parfaitement mixtes. Je suis persuadé pourtant que c'est une bonne chose que d'être un homme bienveillant pour une femme bienveillante et inversement, voire même une chose fondamentalement indispensable. Le problème de simplement "croire" ça, c'est que si ça ne s'appuyait sur rien du tout de raisonné, je pourrais bien un jour cesser d'y croire, ou bien oublier ça en écoutant des théories du gender, alors que là au moins si jamais je suis tenté de pencher vers ça je peux repenser à tout ce raisonnement parfaitement logique qui m'avait amené à croire l'inverse!
Donc merci beaucoup encore!
Edit: justement, question, au sujet du mariage, un transsexuel (édit: non opéré) doit se marier avec quelqu'un de sexe opposé, de sexe ressenti opposé, ou bien ne doit pas se marier, et pourquoi?
Nathan 1000, il est vrai que dans ma génération, les jeunes de mon âges se ressemblent tous, pourtant les filles portent des vêtements de fille et les garçons des vêtements de garçon (je veux dire, achetés au rayon fille ou au rayon garçon), mais quand on les regarde, mis à part les traits physiques, il n'y a pas grand chose qui les fait ressortir en tant que femme ou en tant qu'homme, on voit qu'ils ont des corps mâle ou femelle mais pas plus. Même les styles vestimentaires et les coupes de cheveux tendent à être mixte. C'est difficile de dire d'eux "untel a un comportement masculin" ou féminin, parce qu'ils ont tous des attitudes parfaitement mixtes. Je suis persuadé pourtant que c'est une bonne chose que d'être un homme bienveillant pour une femme bienveillante et inversement, voire même une chose fondamentalement indispensable. Le problème de simplement "croire" ça, c'est que si ça ne s'appuyait sur rien du tout de raisonné, je pourrais bien un jour cesser d'y croire, ou bien oublier ça en écoutant des théories du gender, alors que là au moins si jamais je suis tenté de pencher vers ça je peux repenser à tout ce raisonnement parfaitement logique qui m'avait amené à croire l'inverse!
Donc merci beaucoup encore!
Edit: justement, question, au sujet du mariage, un transsexuel (édit: non opéré) doit se marier avec quelqu'un de sexe opposé, de sexe ressenti opposé, ou bien ne doit pas se marier, et pourquoi?
Spectre- Date d'inscription : 04/04/2014
Age : 30
Re: Horreur du Gender:A 10 ans,IL devient ELLe....
Spectre a écrit:En tout cas je dois dire que vous venez tous de faire un beau pied-de-nez à tout ceux qui diront que la religion catholique est désuète, vous venez tous de prouver qu'au contraire, elle n'a jamais été autant d'actualité! Donc suivant toute cette logique, la seule chose à faire qui soit acceptable pour un transsexuel est de conserver son corps et son mental tels qu'ils sont, comme n'importe qui en fait?
Dieu nous a recommandé d'être du monde mais de ne pas en faire parti ; c'est-à-dire d'être au milieux des gens mais de ne pas suivre la mentalité dominante du monde car ce monde a un prince qui est appelé satan et ce maitre du mensonge veut tout corrompre, de faire passer pour bien ce qui est mal et de faire passer pour mal ce qui est bien et ma foi il y arrive très bien vu comment les moeurs du monde courent à vitesse grand v vers la dépravation et l'apostasie générale et cela sans que la majorité des gens s'en aperçoive car tout est fait sous le couvert du bien (faussement bien). L'Église se doit d'être à contre courant car Dieu l'a établi non pour plaire aux hommes mais pour combattre le mal ce qui lui vaut d'être haïe et combattue par ceux qui prônent l'hédonisme et le vivre et laisser vivre, si l'Église voulait être aimé des hommes, Elle se prostituerait et renierait le Christ car le Christ a été haïe par le monde et ils l'ont crucifié car Il dénonçait le mal ambiant et l'Église catholique aujourd'hui fait de même et c'est pourquoi les gens l'ont en haine car ils ne comprennent plus la différence entre le bien et le mal.
Spectre a écrit:Edit: justement, question, au sujet du mariage, un transsexuel (édit: non opéré) doit se marier avec quelqu'un de sexe opposé, de sexe ressenti opposé, ou bien ne doit pas se marier, et pourquoi?
Question pas assez claire, dites un homme ou une femme de naissance à tendance transsexuelle
Re: Horreur du Gender:A 10 ans,IL devient ELLe....
Spectre a écrit:
Edit: justement, question, au sujet du mariage, un transsexuel (édit: non opéré) doit se marier avec quelqu'un de sexe opposé, de sexe ressenti opposé, ou bien ne doit pas se marier, et pourquoi?
C'est une très bonne question (ce sujet est très interessant, j'aimerais bien un de ces 4 aller boire un verre avec Spectre pour avoir une discution de vive voix… car trop la flème de lire des pavés et d'en écrire)
Bref, pour une personne "Transexuelle" (où transgenre) il PEUT se marier avec une personne de sexe opposé d'un point de vu physique. pouvoir dans le sens c'est permis…
Je sais plus qui disait "Tout est permis, mais tous n'est pas profitable" (en fait si, mais c'est pour voir si vous suivez) …
Donc si admétons un homme transgenre sort avec une femme… alors soit c'est une femme qui aime les femmes (pour avoir déjà fait l'experience, homme transgenre+lesbienne, ça va mal)
Sinon, une femme peut avoir du mal à supporter un homme qui à son coté féminin …
Et au final ça peut être lieu de souffrance pour les deux, alors dans ce cas, il est peut être plus sage de ne pas chercher à se marier…
Celà dit, Dieu dans sa grande sagesse peut avoir prévu pour un homme qui se sent femme, une femme pour qui ça sera l'idéal et qui l'aidera à s'assumer … Dans le genre de cas auquelles je pense, il y a les femmes ayant été abusé étant enfant, pour qui la "masculinité" fait peur, mais une relation asexuelle avec un homme peut permettre de s'accomplir…
giby- Date d'inscription : 04/03/2014
Re: Horreur du Gender:A 10 ans,IL devient ELLe....
Rémi a écrit:Question pas assez claire, dites un homme ou une femme de naissance à tendance transsexuelle
Ben je voulais dire la même question pour les deux cas de figure, celui de l'homme qui se sent femme ou de la femme qui se sent homme.
Donc se marier en prévoyant de rester dans une relation platonique est acceptable dans le cas ou au moins l'un des deux est transsexuel? Puisque du coup j'imagine mal un couple qui porte de si lourd problèmes niveau identité sexuelle faire un enfant et l'élever comme un enfant ou une enfant, ça doit forcément compliquer les choses pour le parent qui est transsexuel, vu qu'il a lui même un soucis avec ça. Est-il acceptable de faire un mariage en sachant depuis le départ qu'il ne fructifiera pas? Le but du mariage est-il unir deux personnes sous le regard de Dieu ET s'engager avec l'autre par cette union à faire perdurer l'oeuvre du créateur, ou bien est seulement unir deux personnes qui s'aiment?
A première vue comme ça si je devais me répondre moi-même je dirais que c'est la première, vu que dans le cas de la deuxième ça voudrait dire qu'on pourrait marier les humains avec les vers de Terre si ils s'aiment, mais mis à part que ce serait totalement fou, je trouverai ça totalement fou Mais bon idem, tout ça est irraisonné. C'est juste ce que ça me fait quand j'imagine un humain se marier avec un ver de Terre (vous pouvez comprendre je pense... je suis partagé entre le rire et l'horreur, et c'est très bizarre...)
Spectre- Date d'inscription : 04/04/2014
Age : 30
Re: Horreur du Gender:A 10 ans,IL devient ELLe....
Les enfants «ne sont pas des cobayes de laboratoire»
Première charge donc, la tentative de modifier la conception de la société avec le mariage homosexuel et l'enseignement de la théorie du genre dès le plus jeune âge. Devant les membres du Bureau catholique pour l'enfance - une œuvre fondée en 1948 par le père Gaston Courtois, un prêtre français pour aider les orphelins de guerre -, le Pape a rappelé: «Il importe de redire le droit des enfants à croître dans une famille, avec un papa et une maman capables de créer une ambiance adaptée à son développement et à sa maturation affective. Au cœur de cette relation, l'enfant continue à mûrir vis-à-vis de ce que représentent la masculinité et la féminité d'un père et d'une mère. Il se prépare ainsi à la maturité affective.»
Je crois que le message du Saint Père est assez clair.
Première charge donc, la tentative de modifier la conception de la société avec le mariage homosexuel et l'enseignement de la théorie du genre dès le plus jeune âge. Devant les membres du Bureau catholique pour l'enfance - une œuvre fondée en 1948 par le père Gaston Courtois, un prêtre français pour aider les orphelins de guerre -, le Pape a rappelé: «Il importe de redire le droit des enfants à croître dans une famille, avec un papa et une maman capables de créer une ambiance adaptée à son développement et à sa maturation affective. Au cœur de cette relation, l'enfant continue à mûrir vis-à-vis de ce que représentent la masculinité et la féminité d'un père et d'une mère. Il se prépare ainsi à la maturité affective.»
Je crois que le message du Saint Père est assez clair.
jaimedieu- Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 67
Localisation : Montréal, Québec Canada
Re: Horreur du Gender:A 10 ans,IL devient ELLe....
Les travaux de la neurobiologiste Catherine Vidal, en se basant sur des techniques d'imageries cérébrales comme l'IRM, montrent qu'à la naissance, seules 10 % des terminaisons nerveuses entre neurones sont réalisées et que les 90 % se construisent
« progressivement au gré des influences de la famille, de l'éducation, de la culture, de la société ».
Ainsi, « À la naissance, le bébé humain ne connaît pas son sexe » et si les femmes et des hommes adoptent des comportements de genre stéréotypés, « la raison tient d'abord à une empreinte culturelle rendue possible grâce aux propriétés de plasticité du cerveau humain ». Catherine Vidal réfute ainsi l'idée d'un « déterminisme biologique » et estime que du fait de la plasticité cérébrale, la différence entre les cerveaux des deux sexes est négligeable comparée aux différences individuelles.
Selon les travaux de Lise Eliott, bien que les « garçons et filles sont influencés dans l'utérus par différents gènes et différentes hormones qui leur sont propres », il n'y a pas de différences entre cerveaux de femmes et d'hommes (la seule étude démontrant une différence entre cerveau droit et cerveau gauche des femmes et des hommes ayant été contredite par une cinquantaine d'autres) : les différences comportementales entre garçons et filles s'expliquent par l'éducation parentale à la reconnaissance de soi comme appartenant à l'un ou l'autre des sexes.
Des études biaisées ?
Certains universitaires voient dans les études de genre une recherche biaisée.
L'anthropologue Frank Salter, sans remettre en cause l'ensemble des études de genre, les accuse de faire preuve d'une prévention contre la biologie
(« anti-biological bias ») et considère que « la biologie détermine si une personne a des organes reproducteurs mâles ou femelles, ce qui correspond habituellement à sa sexualité, la structure de son cerveau et à ses préférences. Aucun changement de coutumes, de lois, de croyances, d'endoctrinement ou de pratiques n'a ces effets. »
Pour la sociologue Helen Lindberg, certaines théories sociales féministes ne sont pas idéologiquement neutres et peuvent donner une vision biaisée de la société. Elle critique également ces théories comme manquant de cohérence et s'accordant mal avec les preuves empiriques.
« progressivement au gré des influences de la famille, de l'éducation, de la culture, de la société ».
Ainsi, « À la naissance, le bébé humain ne connaît pas son sexe » et si les femmes et des hommes adoptent des comportements de genre stéréotypés, « la raison tient d'abord à une empreinte culturelle rendue possible grâce aux propriétés de plasticité du cerveau humain ». Catherine Vidal réfute ainsi l'idée d'un « déterminisme biologique » et estime que du fait de la plasticité cérébrale, la différence entre les cerveaux des deux sexes est négligeable comparée aux différences individuelles.
Selon les travaux de Lise Eliott, bien que les « garçons et filles sont influencés dans l'utérus par différents gènes et différentes hormones qui leur sont propres », il n'y a pas de différences entre cerveaux de femmes et d'hommes (la seule étude démontrant une différence entre cerveau droit et cerveau gauche des femmes et des hommes ayant été contredite par une cinquantaine d'autres) : les différences comportementales entre garçons et filles s'expliquent par l'éducation parentale à la reconnaissance de soi comme appartenant à l'un ou l'autre des sexes.
Des études biaisées ?
Certains universitaires voient dans les études de genre une recherche biaisée.
L'anthropologue Frank Salter, sans remettre en cause l'ensemble des études de genre, les accuse de faire preuve d'une prévention contre la biologie
(« anti-biological bias ») et considère que « la biologie détermine si une personne a des organes reproducteurs mâles ou femelles, ce qui correspond habituellement à sa sexualité, la structure de son cerveau et à ses préférences. Aucun changement de coutumes, de lois, de croyances, d'endoctrinement ou de pratiques n'a ces effets. »
Pour la sociologue Helen Lindberg, certaines théories sociales féministes ne sont pas idéologiquement neutres et peuvent donner une vision biaisée de la société. Elle critique également ces théories comme manquant de cohérence et s'accordant mal avec les preuves empiriques.
jaimedieu- Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 67
Localisation : Montréal, Québec Canada
Re: Horreur du Gender:A 10 ans,IL devient ELLe....
Ben non contrairement à vous je crois, non, je sais que ces études disent vrai, cependant je ne vois pas pourquoi le fait que le genre soit donné par l'éducation + le physique et non pas par un fait physique uniquement devrait rendre la conception qu'on a du genre "pas bonne à garder". Pourquoi serait-ce une mauvaise chose que les comportements-selon-notre-sexe soient ainsi en étant été donné par l'image du père et de la mère? A ça je crois qu'on ne peut rien répondre, parce que la réponse est rien! Rien ne fait que ce serait mauvais Les faits biologiques dits par ces études sont vrais, réels, mais la conclusion qui en découle elle n'a aucun rapport, et n'aurait jamais du se retrouver comme "conséquence admise" de telles études.
Et soit-dit en passant ce n'est pas parce que 90% des synapses n'ont encore jamais eu lieu après la naissance que ça a forcément à voir avec l'identité de genre Se référer à ce que j'ai dit sur le pulse hormonal, ce sont les 10% premières qui se passent dans les premiers jours de vie et pendant la grossesse qui sont importants, parce que la nature faisant bien les choses, elle a mis en importance les comportements masculins/féminins, pour que l'espèce puisse perdurer (vous voyez ça marche aussi d'un point de vue biologique, pas seulement dans le cadre de la foi!). Ce ne sont pas les études qui sont biaisées mais les raisonnements de ceux qui leur font dire n'importe quoi!
Et soit-dit en passant ce n'est pas parce que 90% des synapses n'ont encore jamais eu lieu après la naissance que ça a forcément à voir avec l'identité de genre Se référer à ce que j'ai dit sur le pulse hormonal, ce sont les 10% premières qui se passent dans les premiers jours de vie et pendant la grossesse qui sont importants, parce que la nature faisant bien les choses, elle a mis en importance les comportements masculins/féminins, pour que l'espèce puisse perdurer (vous voyez ça marche aussi d'un point de vue biologique, pas seulement dans le cadre de la foi!). Ce ne sont pas les études qui sont biaisées mais les raisonnements de ceux qui leur font dire n'importe quoi!
Spectre- Date d'inscription : 04/04/2014
Age : 30
Re: Horreur du Gender:A 10 ans,IL devient ELLe....
Le DSM traite abondamment de ce sujet. En outre, il est établi que l'identité sexuelle se "fixe" lors de la période de l'adolescence (15-18 ans). Je ne saurais trop vous recommander le volume: "Psychiatrie Clinique, approche bio-psycho-sociale", (éd. Guétan Morin) volume rédigé en collectif (64 spécialistes) sous la supervision du docteur Pierre Lalonde et Frédérick Grunberg, psychiatres à l'institut Louis-H-Lafontaine à Montréal au Québec et dont plusieurs collaborateurs médecins possèdent une expertise notoire en pédo-psychiatrie.
Je crois que comme professionnelles (je pense que c'est le cas pour vous également), on ne saurait être trop prudentes en regard à des études très controversées. Nous devons également avoir un devoir de réserve, que l'éthique professionnelle nous recommande, concernant les pressions sociales et politiques favorisant l'acceptation d'un énoncé théorique, comme l'indique son expression même, "théorie du genre". Celle-ci exprime bien ce qu'elle est, c'est-à-dire une simple théorie.
En outre, il serait déplorable de négliger divers les facteurs psychosociaux directement reliées à la structuration de l'identité et à la construction du "MOI" (le Self), plus spécifiquement en ce XXI siècle, où nous sommes soumis à nombre de stimuli et d'influences de nature psychosociales de toutes sortes (idéologies, lobbys, volonté politique, etc.)
De plus, je crois qu'il est impératif de garder à l'esprit que certaines études sont conduites et réalisées de manière partiale, subventions oblige. De nombreux scientifiques de tout acabit dénoncent cette réalité depuis quelques années déjà.
Pour terminer, il est fréquent qu'une personne manifestant son désir de changer de sexe et qui et entreprend une démarche de psychologie des profondeurs prenne conscience de certains traumas refoulés au plus profond de l'inconscient, de par la gravité de leur nature. En tant que professionnelle, il m'est arrivé de rencontrer ce genre de cas.
Je ne nie pas qu'il puisse avoir des exceptions de la nature, mais de là à en faire un sujet d'enseignement dans l;es école, il y a, à mon avis, une ligne bio-éthique qu'il serait bien malsain de franchir.
Je crois que comme professionnelles (je pense que c'est le cas pour vous également), on ne saurait être trop prudentes en regard à des études très controversées. Nous devons également avoir un devoir de réserve, que l'éthique professionnelle nous recommande, concernant les pressions sociales et politiques favorisant l'acceptation d'un énoncé théorique, comme l'indique son expression même, "théorie du genre". Celle-ci exprime bien ce qu'elle est, c'est-à-dire une simple théorie.
En outre, il serait déplorable de négliger divers les facteurs psychosociaux directement reliées à la structuration de l'identité et à la construction du "MOI" (le Self), plus spécifiquement en ce XXI siècle, où nous sommes soumis à nombre de stimuli et d'influences de nature psychosociales de toutes sortes (idéologies, lobbys, volonté politique, etc.)
De plus, je crois qu'il est impératif de garder à l'esprit que certaines études sont conduites et réalisées de manière partiale, subventions oblige. De nombreux scientifiques de tout acabit dénoncent cette réalité depuis quelques années déjà.
Pour terminer, il est fréquent qu'une personne manifestant son désir de changer de sexe et qui et entreprend une démarche de psychologie des profondeurs prenne conscience de certains traumas refoulés au plus profond de l'inconscient, de par la gravité de leur nature. En tant que professionnelle, il m'est arrivé de rencontrer ce genre de cas.
Je ne nie pas qu'il puisse avoir des exceptions de la nature, mais de là à en faire un sujet d'enseignement dans l;es école, il y a, à mon avis, une ligne bio-éthique qu'il serait bien malsain de franchir.
jaimedieu- Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 67
Localisation : Montréal, Québec Canada
Re: Horreur du Gender:A 10 ans,IL devient ELLe....
Jaimedieu a écrit:Je ne nie pas qu'il puisse avoir des exceptions de la nature, mais de là à en faire un sujet d'enseignement dans l;es école, il y a, à mon avis, une ligne bio-éthique qu'il serait bien malsain de franchir.
En effet à part peut-être mentionner que des exceptions existent, c'est un sujet beaucoup trop complexe pour être abordé avant les études supérieures, parce que pour en comprendre la totalité il faut déjà savoir quelles hormones sont produites par quel organe, de quoi elles sont responsable niveau comportemental, avoir vu l'embryogenèse, fonctions endocriniennes, et surement plein d'autres choses dont je n'ai même pas eu vent, donc trop compliqué d'expliquer ça a des ados, ça prendrait trop de temps aussi, il y a plus important à faire à ce stade de la scolarité. Au collège on nous apprend comment l'adolescence transforme la petite fille en femme et le petit garçon en homme, mais je ne vois pas bien l'utilité d'expliquer en détail le cas des intersexués ou des transsexuels, parce qu'à cet âge là justement où on cherche à tout remettre en question, certains jeunes mal dans leur peau pourraient bien se dire "oui c'est surement mon cas si je me sens mal", ou comme vous le dites, attribuer un trauma refoulé à une identité de genre différente de celle du sexe alors que non, c'est un trauma et pas un fait physique. Et ce serait très grave que de jeunes gens se fassent opérer si ce n'est en fait pas leur cas, ils pourraient le regretter ensuite, mais une fois que c'est fait c'est irréversible! Et je trouve que s'en tenir aux modifications physiques dans l'enseignement public c'est bien suffisant, autrement on nous enseigne de façon "engagée", avec un parti pris, et je trouve ça très malhonnête, sachant qu'en plus les jeunes sont influençables!
Ce sont bel et bien des exceptions de la nature, et d'ailleurs il serait fou de croire que le transsexuel lorsque c'est réel choisit d'être transsexuel: le principe c'est bien que la personne n'aie pas choisi son sexe ressenti, tout comme elle n'a pas choisi son sexe apparent, contrairement à cette théorie du gender qui dit presque que se sentir homme ou femme est un choix... De même qu'une femme ou un homme qui n'a pas ce problème ne choisit pas de se sentir un homme (si tout se passe bien on ne se pose même pas la question, ou alors ça ne va pas plus loin que "et si j'avais été un homme/une femme?" et non pas "et si je l'étais en fait?"), il peut choisir de s'affirmer en tant qu'homme a un degré variable (avoir un comportement plus ou moins "conforme aux clichés"), mais n'a pas choisi de se sentir homme.
Sinon la période de l'adolescence "fixe" l'identité oui, mais elle ne la détermine pas, cela s'est fait depuis les premiers stades embryonnaires. Disons que pendant la période embryonnaire, le pulse c'est votre baptême d'identité sexuelle et que l'adolescence c'est votre confirmation ça doit aller de paire et être la conséquence logique de vos chromosomes, vos organes génitaux apparents, votre profil hormonal, tout ça est fait pour aller dans une même continuité, vous êtes livré en prêt-à-utiliser, pas en kit à monter soi-même, sauf anomalie.
jaimedieu a écrit:En outre, il serait déplorable de négliger divers les facteurs psychosociaux directement reliées à la structuration de l'identité et à la construction du "MOI" (le Self), plus spécifiquement en ce XXI siècle, où nous sommes soumis à nombre de stimuli et d'influences de nature psychosociales de toutes sortes (idéologies, lobbys, volonté politique, etc.)
Oui c'est sur, mais je vais me répéter, ce n'est pas parce qu'on a un comportement "typique" de notre sexe enseigné par des coutumes ou des habitudes que c'est nécessairement un comportement à mettre à la poubelle, je n'adhère pas à leurs idées de "tout ce qui n'est pas un fait biologique doit être éliminé", si on va par là plus besoin d'être gentil puisqu'il n'y a pas de "corps de gentil" et "corps de méchant", et qu'être gentil ou méchant n'est qu'une histoire d'éducation, donc ça ne veux rien dire... Enfin on comprend vite l'absurdité du truc
Spectre- Date d'inscription : 04/04/2014
Age : 30
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