L`Occident du 21 eme siecle est une Espagne du 15 eme siecle.

Quelques articles – Derrière le Nouvel Ordre Mondial....

Celui qui a essayé d`avertir

Édité par Fr. Leonard Feeney M.I.C.M. - Saint Benoît Centre
Mars 1959

En mémoire de William Thomas Walsh (traduction automatique)

Qui a essayé de nous avertir avant qu'il ne soit trop tard

Il y a dix ans le mois dernier, à Saint Agnes Hospital, White Plains, New York, William Thomas Walsh est décédé à l'âge de cinquante-sept. Sa mort a été remarquée, avec divers degrés de sympathie, dans les principaux journaux catholiques. Même le New York Times a publié un article nécrologique de taille, exceptionnelle dans lequel il résume la vie d'un homme dont les livres et les croyances était si apprécié dans le passé du Times.

Les informations biographiques dans tous ses récits véridiques étaient impeccable. Né dans le Connecticut, éduqué à Yale, William Thomas Walsh avait été un journaliste, professeur, historien, quelque chose comme un dramaturge et poète, et avait pris sa retraite comme professeur d'anglais à Manhattanville Collège plusieurs années avant sa mort. Il avait recu la médaille de Notre Dame du Laetare. Deux fois, il avait été décoré par le gouvernement de l'Espagne. En 1944, il avait remporté le Prix littéraire catholique de la Galerie de la vie des auteurs catholiques. La mort était venue après une longue maladie.

Pourtant, personne ne l'a crédité de ceci: que dans un âge où les catholiques étaient si généralement ignorants ( c`est encore trop vrai – incluant le clergé!) et si peu disposés à en apprendre, sur les grands dangers auxquels fait face l'Eglise de l'extérieur, et de l`intérieur il a compris ces dangers et comment ils se levèrent, et nous a laissé une étude de sa compréhension.

Avec la patience d'un chercheur minutieux et le zèle d'une foi catholique profonde, le Dr Walsh a tracée dans plusieurs études historiques les principaux courants de l'opposition actuelle à l'Eglise, à partir de la source de la Renaissance tardive et la Réforme.

Il a montré qu'il y avait une continuité dans le but et dans les plans des ennemis de l'Église, qui, entre eux, gardent une hiérarchie et une chaîne de commandement. Il a dit que si les catholiques veulent protéger leur foi, ils doivent reconnaître ces ennemis, faire leur apprentissage par l'expérience de l'Eglise avec ces ennemis dans le passé. Il a dit que nous devons faire cela, malgré l'atmosphère hostile dans lequel est plongée l'Eglise aujourd'hui, une atmosphère créée par les succès de ses ennemis. Il défend ces méthodes par lesquelles l'Eglise avait pendant tant de siècles, assurer sa défense contre ses ennemis, les méthodes que les critiques historiques ont malicieusement déformées, ou ridiculisées pour les taxer de «chasses aux sorcières.» - Les historiens protestants ont fait leur part dans ce travail de désinformation.


Dans une série de livres intitulée Philippe II, Isabelle d'Espagne, l'Inquisition, et sainte Thérèse d'Avila, Walsh expose et examine toutes les violentes attaques qui ont été portées contre l'Église depuis la fin du Moyen Age tardif. Il fait remarquer, que l`Espagne, est la seule nation catholique qui a fait face à toutes ces agressions et qui a survécu, comme nation catholique.

L'Espagne a été le premier des pays européen moderne a supporter le poids du problème juif. Sa solution décisive a été l'expulsion des Juifs espagnol en 1492. Ce fut l'année même où elle renversa le dernier des bastions musulmans au sein de ses frontières, mettant ainsi fin à une bataille de huit cent ans avec les ennemis islamiques de l'Église. De même, les menaces récurrentes de la maçonnerie et du protestantisme ont été réprimées par les politiques farouchement catholiques du gouvernement et par la persistance fidele du clergé espagnol.

Le Dr Walsh est à son meilleur pour recréer l'atmosphère d'intrigues qui ont accompagné les guerre religieuse du XVIe siècle. Dans les pages de Philippe II, il laisse une image inoubliable de la révolte des protestants: des fanatique ex-catholiques, les hommes d'université, la noblesse protestante avares, les marchands juifs omniprésents, les prêtres marrane, et l'expansion des centres d'Anvers, Genève et Londres tout en émoi pour la "nouvelle doctrine", (protestante) et agité par les complots d'une fraternité internationale et secrete. Car même dans les années 1500, la franc-maçonnerie est clairement à l'œuvre dans la bataille contre l'Eglise, et elle est déjà formée dans une grande partie de son identité actuelle . Il nous présente le symbolisme talmudique, le rituel païen, la haine de la Foi catholique, et partout l'influence des Juifs.

Walsh donne des détails sur la suppression par Philippe de la secte maçonnique des Illuminati (Alumbrados). Ils opéraient en Espagne, deux siècles avant leur réorganisation sous Adam Weishaupt, leur illumination des Loges françaises, leurs triomphes et leurs rôles sanglants et blasphématoires dans la Révolution française. Et tandis que Philippe, le dernier des rois puissants de l'Europe catholique, était pris dans une lutte interne pour écraser la Maçonnerie en Espagne, Elizabeth I d'Angleterre ouvre la porte à la propagation de la maconnerie à l'ensemble des pays protestants du Nord. Construire un empire anglais pour rivaliseravec l'empire catholique de l'Espagne est devenue un haute priorité judéo-maçonnique, sa réalisation ne tardera pas. Il est resté pour notre époque de voir l'abandon de l'Angleterre par ces mêmes forces internationales. Et cet abandon (en faveur de l`axe New York et Moscou de deux systèmes mondiaux) a mis l'Angleterre dans les rangs des puissances de second ordre.

Pour découvrir les origines de la pensée anti-chrétienne dans la société, actuelle, William Thomas Walsh a écrit des livres sur un certain nombre de thèmes qui prennent une nouvelle signification quand on les étudie en relation avec les questions profondes de la judéo-maçonnerie, de la révolte des protestants, et des principes de la Révolution française. Philippe II contient, entre tant d'autres choses, une étude unique sur le rôle d'un dirigeant catholique, ses luttes pour le vrai patriotisme, sur le service et le sacrifice pour la cause de la Foi, et aussi sur ses erreurs. Dans Sainte Thérèse d'Avila, il y a la leçon oubliée, de la puissance de la sainteté, et le jugement sincère de Walsh, que une femme catholique de courage peut conserver la foi de tout un peuple.

L`étude des meurtres rituels juifs et des vertus de plusieurs inquisiteurs espagnols sont deux des études les plus inusitées proposées par Walsh dans Isabelle d'Espagne et des personnages de l'Inquisition. Il raconte l'histoire de l'Enfant-Saint de Sepulveda et consacre un chapitre entier au Saint Enfant de La Guardia. Ces deux jeunes victimes ont subi la torture et la crucifixion aux mains de juifs radicaux pendant le règne de la reine Isabelle. Et suite à sa définition de l'Inquisition espagnole comme une "déclaration d'indépendance contre la domination des Juifs et des Maures», Walsh donne des comptes rendus détaillés de la trahisons des Marranes (les prétendus convertis du judaïsme) exposée par les inquisiteurs Dominicains.

Plus exceptionnelles encore est l`analyse sur le Talmud de Babylone dans le livre caractères de l'Inquisition. Walsh dit clairement pourquoi le Talmud est devenu le livre le plus brûlé dans la chrétienté, et pourquoi ses commentaires ont été parmi les premiers livres à être placé sur l'index de l'Église. Il fait une distinction claire entre la loi divine de l'Ancien Testament et le droit diabolique des rabbins du Talmud - citant les autorités à la fois juives et catholique, pour indiquer l'ampleur des attaques blasphématoires et obscènes du Talmud contre Notre Seigneur et de Sa Mère virginale.


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Obligé de creuser profondément dans le passé dans sa recherche sur les vérités historiques cachées, William Thomas Walsh n`jamais perdu de vue la scène actuelle. En scrutant les ennemis que l'Église dans les temps anciens, il aiguisa sa vision afin de reconnaître les dangers visant l`Église aujourd'hui. Ainsi, dans l'été de 1936, comme il travaillait sur les derniers chapitres de Philippe II, Walsh était douloureusement conscient des nouvelles en provenance de l'Espagne contemporaine – Les nouvelles des églises brûlées, des couvents détruits, les prêtres et les nonnes assassinés. Lorsque l'armée espagnole, commandée par le général Franco, se sont soulevés contre le gouvernement maçonnique-communiste qui a favorisé ces outrages, Walsh a assumé le rôle de défenseur des insurgés. Quelles que soient les défauts de Franco, lui et ses hommes étaient aussi pour défendre le Corps mystique du Christ, et William Thomas Walsh, un membre reconnaissants de ce Corps, était prêt à les défendre.

Quand la victoire finalement est venue pour les forces catholiques espagnoles, en 1939, William Thomas Walsh était étrangement solennel. Certes, le travail de trois ans en essayant de se faire entendre au-dessus des clameur anti-franco de la presse juive et maçonnique en Amérique avait été épuisant. Pourtant, c'était le genre de travail difficile qui ne lui faisait pas peur. Dans le dernier chapitre prophétique de caractères de l'Inquisition (publié en 1940), Walsh a révélé ce qui le troublait. Il avait pensé non pas a la victoire que l'Eglise venait de sécurisé en Espagne, mais au sujet de la future défaite imminente de l`Église en Amérique. "Ici, sur le dernier front et dans le crépuscule du monde», écrit-il, «le décor est planté pour la reconstitution d'une tragédie antique ... Ici nous avons la plupart des francs-maçons du monde, la majorité des Juifs dans le monde, la plupart de l'or et ses maîtres ... et parmi eux les héritiers de tous les ismes et des hérésies que l'Eglise catholique a dénoncé à travers les siècles, et quelques millions de bonnes gens désorientés qui ont cessé de croire en rien ... Le véritable test de notre expérience républicaine doit finalement être si elle accepte ou s'oppose à l'Église du Christ ... elle doit devenir soit un Etat catholique, ou un état d'esclaves. "( Il semble bien que il avait raison – les USA glissent vers le Nouvel Ordre Mondial et l`état-autoritaire)

Et Walsh peut pointer vers de nombreuses preuves, même dans les années 1940, que l'Amérique est vite tombé dans l'esclavage: « Il semble y avoir une guerre meurtrière entre le capitalisme international, retranchés dans les Etats-Unis et qui conduit progressivement ce pays a un accord vers une un socialisme d'État ... et, de l'autre côté, les formes apparemment plus impie du socialisme. "Mais, il se demande, comment empêcher ce socialisme américain, déjà acceptées et propagées par les forces dominantes de l`école et de l`enseignement dans ce pays ? Et avec une vision claire, en ces jours de pré-ONU, il conclut: «Comme le monde devient plus petit avec le temps, ne risque t`on pas de voir toutes les formes de socialisme se rassembler par des mains habiles dans un Etat mondial, comme beaucoup d'auteurs maçonniques l`ont préconisé. .. ? Cela est non seulement concevable, mais probable. "

Et que font les catholiques américains pour relever ce sombre défi ? C'est avec une grande détresse que William Thomas Walsh voit que comme dans les paroles de la figure évangélique, ils cachent la lumière de leur foi sous le boisseau. Refusant de prêcher les fortes vérités de la Foi, qui fera des convertis, mais aussi faira des ennemis, les catholiques américains se sont installés dans une complaisance stagnante.( A mon avis c`est pareil partout !)

Les voix fortes parmi les catholiques sont celles des libéraux qui protestent de leur loyauté aux principes de l'interreligieux, et donc qui conduisent les fidèles apathiques vers la destruction."

Maintenant, tous ces messieurs, ces libéraux catholiques ``ouvert d'esprit``», dit Walsh: «beaucoup d'entre eux sont dans l'enseignement de la prochaine génération de catholiques américains, et ils pensent sans doute qu'ils rendent un service à Dieu en lissant nos différences avec les autres, et en négligeant de lancer le défi que le christianisme a prononcé partout ailleurs dans le monde ... Mais si l'histoire du christianisme enseigne quelque chose, c'est que a partir de la pierre des églises profanées, abandonnées et volées, que si ils ont leurs voies ... ils vont nous conduire, si nous sommes assez stupides pour les suivre, à cet abîme dans lequel les catholiques anglais sont tombés, un par un et famille par famille, au seizième siècle. ... Notre seul espoir de gagner, pour le bien des millions de non-croyants qui nous entourent ... est de parler avec force de la vérité que Dieu nous a donné, quand cela plait et même quand cela déplait ... Cela va inévitablement amener la persécution sur nous ... Si nous sommes soupçonnés, ostracisé, insulté, affamés, battus, emprisonnés, nos paroles déformées , négligé, mis à mort dans un millier de nouveaux moyens - c'est ce que nous devons nous attendre en tant que chrétiens, et c'est une méthode qui se révélera aussi irrésistible dans le XXe siècle comme elle l` était dans le première et le deuxième siècle. Ou est-on imaginer que, ici en Amérique, il y une exception unique, le serviteur sera plus grand que son Seigneur? "


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A la fin de la Seconde Guerre mondiale, William Thomas Walsh voyagé au petit village de Fatima au Portugal. Il était venu pour apprendre de première main la terrible, et belle histoire de ce qui s'était passé en 1917: quand la Reine du Ciel est apparue à trois petits bergers et leur confie la connaissance que si le monde ne se convertis pas à son Cœur Immaculé, chaque nation, sans exception, sentirait la colère de son divin Fils.

Lorsque Walsh retourne aux États-Unis, c'était avec la conviction «que rien n'est aussi important que de faire connaître ce que la Mère de Dieu a demandé à lors de ces apparitions de 1917, qui pour certaines raisons ont été négligées, si déformée, si incompris. "En 1947, il fait la publication de Notre-Dame de Fatima, la plus populaire de ses livres, et le livre le plus populaire en anglais des apparitions de Fatima.

Ces mouvements anti-Eglise, ce mal présent qu'il avait tracé à travers cinq siècles jusqu'à nos jours conduit inexorablement à des avertissements de Notre Dame sur la vengeance divine sur le point de tomber sur le monde. Et Walsh avait même prévu la forme de cette vengeance. Il avait prédit Un monde uni dans le socialisme, en opposition à l'unité catholique de l'Église. Notre Dame de Fatima a averti que le communisme de la Russie se répandrait assurément afin de dominer le monde entier, dévastant l'Eglise dans le même temps, sauf si ses demandes étaient entendues.

Ainsi, dans toute l`appréciation de William Thomas Walsh, il y a inévitablement un acte d'accusation contre ceux qui par vocation et par la grâce de leur vocation devrait l`avoir rejoint - pour mener cette bataille contre les ennemis de l'Église . Que ces dirigeants ont manqué à leur obligation est la réalité centrale, et la tragédie, de notre temps. C'est une tragédie dans laquelle tous les catholiques américains ont accepté un rôle, et qui semble avancer rapidement vers son apogée.

The Point - texte original anglais


Le monde de Isabelle la catholique reine d`Espagne – 1451- 1504 - Des liens a faire avec notre époque

Pour Isabelle, le monde est un vaste champ de bataille ou des puissances et des principautés invisibles entre en collision depuis des siècles dans une lutte titanesque pour posséder l`âme de l`homme.

Pour elle, le fait central de l`histoire humaine est la crucifixion. Tout ce qui est arrivé depuis en 1500 ans s`explique dans sa vision du monde par la collision entre ceux qui acceptent et ceux qui rejettent le crucifié.

Les paroles du Christ résonne – Je n`apporte pas la paix mais l`épée - ou encore -Celui qui n`est pas avec moi est contre moi – La paix promise par le Christ a ses enfants est une paix intérieure de l`âme humaine et non pas une paix dans le monde terrestre qui est celui de la chute de l`homme en Éden.

L`Église ressemble à une cité assiégée, détestée et incomprise par « le Monde » (comme de nos jours!) tout comme le Christ l`avait dit mais impossible a détruire.
Cette vision du monde était facile accepter dans un pays qui était en lutte armée depuis 800 ans pour reconquérir son territoire. La chrétienté était depuis 15 siècles dans une lutte mortelle contre des ennemis extérieurs et intérieurs – principalement mahométans a l`extérieur et les hérésies chrétiennes et le judaïsme a l`intérieur.

Il lui semblait que quand les juifs avaient été assez fort, ils avaient persécutés les chrétiens a partir de la crucifixion, et que quand ils avaient été trop faibles pour le faire, ils menaient un combat secret contre l`Évangile en encourageant les rebellions chrétiennes, les sécessions et les hérésies.

Ils avaient lapidés St- Étienne et demandé le sang de St-Paul. Ils avaient enlevés des prophéties de l`Ancien Testament qui pour les chrétiens annonçaient le Christ. A cause de leurs excès contre les premiers convertis chrétiens, ils avaient été expulsés de Rome par l`empereur Claude.
Isabelle voyait St-Paul, le juif converti, comme le prototype des juifs convertis qui furent proche de son trône pendant son règne. St-Paul avait été victime de beaucoup de violences et de rejets venant des juifs. En Espagne les juifs étaient 200,000 officiellement mais il y avait aussi 3 millions de Nouveau Chrétiens, des juifs convertis en apparence mais qui pour beaucoup étaient déloyaux, pratiquaient le judaïsme en secret, et détenaient des postes élevée et puissant dans l`État.

Pendant 15 siècles, ils s`étaient enrichi et blasphémaient le Christ ( par l`étude du talmud de Babylone). Après la chute de Rome, l`Église se retrouva avec la tache écrasante d`assimiler et de civiliser des millions de barbares. Pendant ce temps, les juifs s`étaient répandu dans toute l`Europe gagnant des richesses matérielles parmi un peuple qu`ils considèrent comme moins intelligent (Voir le Talmud) et qui de son côté, les détestaient comme usuriers, étrangers et quelquefois comme exécuteurs des basse-œuvres du pouvoir.
Leur présence compliquait la diffusion de la foi qui n`était qu`un levain dans la masse du paganisme. L`Église réussie son écrasante mission d`imposer un ordre et une harmonie aux peuples barbares au point que au 13 eme siècle l`Église était en communion et identifiée a la société même. Ceci était inévitable a moins de devenir un simple professeur, une clique, un groupe d`élite se tenant au-dessus des masses concept refusé par son fondateur.

C`était inévitable mais cela impliquait pour l`Église de partager le sort dans une certaine mesure de cette société faite d`êtres humains avec toute leur faiblesses et leurs folies. Un des problème que elle n`avait jamais réglé était celui des enfants d`Israël. Pendant ce temps, trois grandes plaies s`abattent sur la chrétienté nouvelle – les Vikings, les Magyars et les Musulmans. La menace islamique sera la plus longue et la plus dangereuse.

Comme le calvinisme protestant, l`islam était plus proche par certains côtés du judaïsme que de la religion catholique, en fait, même si sa doctrine a été classifiée par certain comme hérésie chrétienne, elle demeure une imitation partielle du judaïsme ayant été influencée dans sa conception par les juifs de La Mecque. Il était donc compréhensible que les juifs seraient plus amicaux a ce culte que les chrétiens et si les musulmans ont quelquefois persécutés les juifs, ils étaient a cette époque plus tolérant que les chrétiens a leur égards ( cela a changé depuis la création d`Israël).

Fiers, guerriers, intolérants, le culte de l`islam s`étendit avec une rapidité étonnante devant les peuples désespérés d`orient. D`un côté, ce culte était plus facile a accepter que le christianisme car il flatte la nature humaine et pousse a assouvir les pulsions de l`homme tandis que la foi chrétienne enseigne au contraire à combattre et discipliner les pulsions humaines. Cette secte plaisait a des peuples barbares parceque il faisait des femmes leur esclave et que leur foi se prêchait par l`épée.

Comme le feu dans une forêt de bois mort et sec la doctrine islamique se répand dans le sud et l`ouest de l`Asie, dans l`est et l`intérieur de l`Afrique, et en Afrique du Nord le long des côtes face a une chrétienté affaibli occupée a civiliser les peuples barbares. Le point le plus faible de la défense chrétienne est l`Espagne, riche, populeuse et pacifique, gouvernée par des rois Wisigoths chrétiens. Au début du 8 eme siècle, les juifs d`Espagne, a travers leur cousins d`Afrique du Nord invitent les Maures à envahir l`Espagne. Divisés par des luttes internes les Goths sont facilement vaincus.

Comme un raz de marée, les conquérants musulmans avancent vers le nord a travers la péninsule. Certains habitant se convertissent a l`islam, les chrétiens loyaux fuient vers le nord dans les montagnes. Commence alors une lutte de plusieurs siècles pour la reconquête de leur terre.
En regagnant leurs terres les chrétiens vont se retrouver avec des populations musulmanes et juives qui vivaient de manière prospère sous Abd el Rahman ou d`autres califes servant souvent dans le commerce de la soie et le trafic d`esclave. Les musulmans voulaient connecter l`Europe a leur empire et lancent des raids dans le sud de la France pour être arrêté près de Tours par Charles Martel. Dans le train victorieux des arabes suivait les juifs qui partout avec leur individualisme sans-compromis s`installaient et influençaient leur environnement. Un archevêque de Lyon au 8eme siècle se plaignait de leur prospérité agressive dans le sud de la France.Le Languedoc avait tellement de juifs en nombres et influence que il était appelé – Judaïca Secunda – C`est dans cette société antagoniste a la foi chrétienne que naitra l`hérésie des Albigeois.

Source : Isabella of Spain – 1451-1504 par William Thomas Walsh
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Une guerre souterraine est en marche aux USA qui sont encerclés dans un puissant filet sioniste-talmudiste bien plus sournois et solide ( financier-politique-médiatique-sécuritaire) que celui qui entourait l`Espagne au 15 eme siecle.

Il est temps pour tout catholique de se procurer un bon vieux cathéchisme traditionnel pour enfant (genre "lumière du monde") pour avoir un résumé des vérités non négociables de notre foi, et les défendre.

Le catholicisme libéral, c'est la doctrine franc-maçonne présentée comme si elle était compatible avec la seule vraie religion.

Nous ne pouvons pas gommer des vérités telles que les suivantes:

Jésus est parfaitement homme et parfaitement Dieu. (Et pas à moitié homme, à moitié Dieu, ni homme puis Dieu).

Dieu est un en trois personnes.

Les animaux n'ont pas d'âme. Les anges n'ont pas de corps. Un homme ne peut pas devenir un ange. Un animal ne peut pas devenir un homme. Personne ne devient Dieu.

Les démons sont des anges déchus et ils existent.

Nul ne peut être sauvé s'il est marqué du péché originel, et seul le sang du Christ lave cette marque par le baptême.

L'hostie consacrée contient vraiment le corps et le sang, l'âme et la divinité de notre Seigneur Jésus-Christ. Ce n'est pas un symbole.

etc...

Annie

Je suis tout a fait d'accord avec vous a 500%...
Enfin une qui se lève comme St Jean Le Baptiste et qui crie dans le désert
de ce monde tout à l'enver et où chacun(es) des Catholiques où prêsque fait sa religion a son goût.....

Mille mercissssssss de votre présence sur ce Forum,
oui et que Dieu 3 fois Saint vous garde et vous bénisse toujours....

Mais soyez assurer que le malin va vous cogner fort, comme il le fait a tous ceux et celles qui tentent de rétablir la VÉRITÉ....

Je demeure en union de Prières avec vous

Merci Nila.

Tous les exemples que j'ai donnés viennent des attaques contre la Foi que mes enfants subissent, à l'école et souvent aussi... au catéchisme (les catéchistes ne rejettent jamais une opinion en disant qu'elle est contraire à l'enseignement de l'Eglise). Il faut rester fermes dans la foi parce que l'Ennemi tente de semer le doute.

les animaux ont une âme, le Très Saint dit qu'ils en ont une.
l'homme peut devenir un ange,le Christ lui même dans Marc 12 dit qu'a la résurrection on ne se marie pas, mais on est comme les anges dans les cieux.je m'aventurais pas a mettre sa parole en doute.le libre arbitre nous est offert.

qui peut dire autre chose et le remettre en question si se n'est le malin.
oubliez pas une chose,la tradition est d'homme faite pour l'homme.elle est pas de l'éternel.

@ Parfaitement d'accord avec vous. Ce qui est enseigné est une doctrine frisant l'athéisme. J'ai refusé d'étudier la théologie à l'université parce qu'on y enseigne que la résurrection n'est pas réelle mais une allégorie....quant aux animaux, je doute qu'ils aient une âme, puisqu'ils n'ont pas de conscience...

L'homme a été créé à la ressemblance de Dieu.

L'Eglise n'a jamais baptisé les animaux. Ce serait du pur blasphème.

Si il y a des plantes au paradis, il y aura des animaux aussi, mais les animaux et les plantes n'ont pas le libre-arbitre, ils ne peuvent décider eux-mêmes de leurs gestes, donc n'ont pas besoin de communier ni de se confesser pour effacer leurs péchés car ils n'en ont pas.

Nous serons fixés de l'autre côté, pour ma part si j'y ai droit, j'aimerais bien être entouré de plantes et d'animaux dans le paradis, je les aimes beaucoup mais c'est quand même Dieu que je préfère par dessus tout et que j'espère de tout mon coeur, mais d'un coeur encore trop tourmenté par les attraits du monde.

CEC

355 " Dieu créa l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa, homme et femme il les créa " (Gn 1, 27). L’homme tient une place unique dans la création : il est " à l’image de Dieu " (I) ; dans sa propre nature il unit le monde spirituel et le monde matériel (II) ; il est créé " homme et femme " (III) ; Dieu l’a établi dans son amitié (IV).

II. " Un de corps et d’âme "

362 La personne humaine, créée à l’image de Dieu, est un être à la fois corporel et spirituel. Le récit biblique exprime cette réalité avec un langage symbolique, lorsqu’il affirme que " Dieu modela l’homme avec la glaise du sol ; il insuffla dans ses narines une haleine de vie et l’homme devint un être vivant " (Gn 2, 7). L’homme tout entier est donc voulu par Dieu.

363 Souvent, le terme âme désigne dans l’Écriture Sainte la vie humaine (cf. Mt 16, 25-26 ; Jn 15, 13) ou toute la personne humaine (cf. Ac 2, 41). Mais il désigne aussi ce qu’il y a de plus intime en l’homme (cf. Mt 26, 38 ; Jn 12, 27) et de plus grande valeur en lui (cf. Mt 10, 28 ; 2 M 6, 30), ce par quoi il est plus particulièrement image de Dieu : " âme " signifie le principe spirituel en l’homme.



364 Le corps de l’homme participe à la dignité de l’" image de Dieu " : il est corps humain précisément parce qu’il est animé par l’âme spirituelle, et c’est la personne humaine toute entière qui est destinée à devenir, dans le Corps du Christ, le Temple de l’Esprit (cf. 1 Co 6, 19-20 ; 15, 44-45) :

Corps et âme, mais vraiment un, l’homme, dans sa condition corporelle, rassemble en lui-même les éléments du monde matériel qui trouvent ainsi, en lui, leur sommet, et peuvent librement louer leur Créateur. Il est donc interdit à l’homme de dédaigner la vie corporelle. Mais au contraire il doit estimer et respecter son corps qui a été créé par Dieu et qui doit ressusciter au dernier jour (GS 14, § 1).

365 L’unité de l’âme et du corps est si profonde que l’on doit considérer l’âme comme la " forme " du corps (cf. Cc. Vienne en 1312 : DS 902) ; c’est-à-dire, c’est grâce à l’âme spirituelle que le corps constitué de matière est un corps humain et vivant ; l’esprit et la matière, dans l’homme, ne sont pas deux natures unies, mais leur union forme une unique nature.

366 L’Église enseigne que chaque âme spirituelle est immédiatement créée par Dieu (cf. Pie XII, enc. " Humani generis ", 1950 : DS 3896 ; SPF 8 ) – elle n’est pas " produite " par les parents – ; elle nous apprend aussi qu’elle est immortelle (cf. Cc. Latran V en 1513 : DS 1440) : elle ne périt pas lors de sa séparation du corps dans la mort, et s’unira de nouveau au corps lors de la résurrection finale.

367 Parfois il se trouve que l’âme soit distinguée de l’esprit. Ainsi S. Paul prie pour que notre " être tout entier, l’esprit, l’âme et le corps " soit gardé sans reproche à l’Avènement du Seigneur (1 Th 5, 23). L’Église enseigne que cette distinction n’introduit pas une dualité dans l’âme (Cc. Constantinople IV en 870 : DS 657). " Esprit " signifie que l’homme est ordonné dès sa création à sa fin surnaturelle (Cc. Vatican I : DS 3005 ; cf. GS 22, § 5), et que son âme est capable d’être surélevée gratuitement à la communion avec Dieu (cf. Pie XII, Enc. " Humani generis ", 1950 : DS 3891).

Il y aura peut-être des animaux et des plantes au Paradis mais ça ne change rien. L'âme est ce qui fait la dignité de l'homme et sa ressemblance avec Dieu en la personne de Jésus-Christ, vrai homme (corps et âme) et vrai Dieu.

A aucune époque les Catholiques n'ont prétendu que les animaux avaient une âme. Cette croyance est due aux désordres de notre temps: la charité s'est éteinte et on aime plus son chien ou son chat que son voisin. C'est extrêmement grave et ce n'est pas parce que c'est Noël que nous ne devons pas défendre notre foi. Au contraire. L'enfant Jésus n'était pas un veau, même s'il est né dans une étable.



Quant aux Anges, êtres purement spirituels, ils n'ont jamais été des hommes et les hommes ne seront jamais des Anges. Le fait que le Sauveur indique qu'au Ciel, on est "comme des Anges" parce qu'on ne se marie pas affirme encore la différence entre les hommes et les anges. Les hommes peuvent avoir des enfants, mais c'est Dieu seul qui créera l'âme de ces enfants. Les anges n'ont pas la possibilité d'avoir des enfants. Leur nombre a été fixé dès leur création.

Les hommes sont en pélerinage sur la terre. Ceux qui auront mérité le salut vivront ensuite au Ciel, mais aucun être humain ne peut naître au Ciel. Quand la vie terrestre sera terminée, après le Fin du Monde et le Jugement Dernier, le nombre des élus, parfait dans le dessein de Dieu, n'évoluera pas.

je suis baptisé grâce au Très Saint donc Chrétien et reconnus en mon âme et conscience.Je n'est pas fait le catéchisme suite a une situation peut enviante que je ne dévoilerais pas ici en public.
avec le recul on est plus apte a discerner se qui est du créateur et se qu'il ne l'est pas.
que voulez vos,Galilée fut aussi accusé d'hérétique et pourtant la suite on la connait
de trop nombreuse Âme (ex de plus,la pucelle d’Orléans,Le chevalier François-Jean Lefebvre de La Barre) se sont retrouvé sur le bucher ou décapité ou parfois les deux alors que l'histoire prouve leurs innocences,l'église elle même a reconnus ces erreurs du passé.J'ai lu sur se forum que même des prêtres ne croyaient plus vraiment ou plus du tout a l'enfer,la c'est très grave.

le Christ lui même fut condamné a mort par des personnes qui croyaient et croient encore fermement détenir la vérité pour blasphème et la on ne parle plus d'un personnage ordinaire mais de notre Père Éternel fait homme pour nous sauver.

Maintenant,tout comme Rémi,on serat bien fixé un jours mais le plus tard possible tant qu'a faire
sa création est si belle que j'aimerais bien en profité encore très longtemps quand même et connaitre de mon vivant mes petits enfants si un jours ils leurs est permit d'en avoir.
alors excusez moi si je préfère croire sa parole au lieu de celle de l'homme.

ps:notre foi est un don que personne ici bas ne peut donner ou reprendre.