Neuvaine au Sacré-Cœur de Jésus : Quatrième jour : Fête du Saint-Sacrement
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Neuvaine au Sacré-Cœur de Jésus : Quatrième jour : Fête du Saint-Sacrement
Fête du Saint-Sacrement
Quatrième jour
Bonjour ! Nous célébrons aujourd’hui une fête merveilleuse, celle de la Fête Dieu avec nous. Probablement que cela te rappelle des processions, des fleurs, des reposoirs, mais c’est encore la même réalité que l’on veut célébrer aujourd’hui, encore ce grand mystère parmi nous. Chaque fois que je dis : « Dieu parmi nous » cela me faire penser à l’Emmanuel, cela me fait penser à Noël. Les mages qui sont venus, les bergers, qu’est-ce qu’ils ont fait ? Ils se sont prosternés et ils ont adoré. Nous sommes venus l’adorer et reconnaître en Lui notre Roi.
Jésus disait à Marguerite-Marie : « J’ai soif, mais d’une soif si ardente d’être aimé des hommes au Saint-Sacrement, que cette soif me consume. » Jésus au Saint-Sacrement, c’est Jésus dans son cœur. Tu crois en sa présence, disons-lui tout de suite. C’est cela le plus important de cette fête : de savoir que l’Eucharistie, ce n’est pas un symbole, ce n’est pas une représentation. C’est vraiment le cœur de Jésus que tu tiens dans ta main, c’est ce que je vais t’expliquer tout à l’heure, un miracle extraordinaire de Buenos Aires. Mais d’abord, allons ensemble Lui chanter quelque chose : « Jésus, Tu es là dans l’Hostie, Jésus, je crois, tu es là. »
Jésus est là dans l’Eucharistie et je crois qu’Il est là. Et Il est là comme un mendiant d’amour. Penses-y, le Dieu, tout grand, tout-puissant, tout fort se fait mendiant de ton amour à toi ! Et aujourd’hui, si tu vas communier, tu vas tenir le corps, le cœur de Jésus, entre tes mains. Qu’est-ce que l’on peut dire ? Ce n’est pas l’objet d’un grand récit, ce n’est pas l’objet d’un grand sermon, c’est l’objet d’un grand Amour qui se livre pour moi, pour toi !
Adorer, c’est se prosterner devant l’abaissement de notre Dieu. Se prosterner dans notre pauvreté et se laisser élever par son abaissement. L’Eucharistie, c’est le sommet de la folie de l’Amour, c’est le sommet de la folie où la raison se tait, où le silence naît et renaît. Et quand on a tellement de bruit dans la tête, tellement de bruit dans le cœur, arrêtons-nous et allons adorer. C’est le lieu où le chant jaillit. Moi, plusieurs des chants que j’ai reçus l’ont été devant l’Eucharistie parce que l’on devient dépossédé de soi, on est en présence de l’Amour, et l’Esprit chante en nous pour glorifier le Fils du Père. Merveilleux et la joie fleurit ! Moi, je te garantis que chaque fois que l’on donne du temps, et tu le sais, chaque fois que l’on donne du temps, que l’on donne son cœur à Jésus dans l’Eucharistie, notre propre cœur bondit de joie, on rajeunit !
Je veux partager avec toi, à ce moment, l’histoire d’un miracle eucharistique qui s’est passée en 1996, à Buenos Aires. Peut-être que tu connais l’histoire, mais je veux te dire que personnellement, chaque fois que je la lis, mon cœur s’enflamme, peut-être à cause de la dimension scientifique, mais ça vient nous prouver à quel point l’Eucharistie, c’est vraiment Jésus, Jésus vivant. C’est cela le plus important de cette fête, c’est de la savoir et d’en faire l’expérience dans l’adoration.
Alors, pendant la messe, une personne retourne dans son banc et échappe l’hostie par terre. Elle la regarde et la voit un peu tâchée. Alors, elle se refuse de la prendre, pensant qu’elle était souillée. Une autre personne plus pieuse, la voit, la prend et après la messe, elle l’apporte au prêtre qui fait ce que l’Église demande, soit de prendre l’hostie et de la mettre dans l’eau, la laisser se dissoudre au tabernacle dans l’eau, et quelques jours après, de la consommer tout simplement. Mais ce qui est arrivé, c’est que l’on a vu du sang dans l’eau après un certain temps. Et la nouvelle est allée jusqu’à Mgr Bergoglio. L’hostie a été dans l’eau pendant quelque temps, puis elle a été dans l’eau déminéralisée pendant trois ans, et pendant ce temps, on a fait quelques examens, mais finalement, on a demandé de faire un examen au docteur Jugiba, qui est un docteur, un grand pathologiste cardiaque de New York qui ne croit pas, et à qui on n’a pas dit l’origine de l’échantillon qu’on lui apporte à analyser.
Alors voici sa première conclusion et quelques remarques qu’il a faites par la suite. Il a dit : « La matière analysée (c’est l’hostie, mais c’est seulement un petit fragment) est un fragment d’un muscle du cœur qui se situe dans la paroi du ventricule gauche près des valves. Ce muscle est responsable de la contraction du cœur. On doit se rappeler que le ventricule gauche agit comme une pompe qui envoie le sang dans tout le corps. Le muscle cardiaque est dans un état d’inflammation et contient un nombre important de globules blancs. Ceci indique que le cœur est vivant au moment où l’échantillon a été prélevé. J’affirme que le cœur était vivant, étant donné, que les globules blancs meurent en dehors d’un organisme non vivant. Ils ont besoin d’un organisme vivant pour se maintenir, donc leur présence (globules blancs) indique que le cœur était vivant quand l’échantillon a été prélevé. Par ailleurs, ces globules blancs avaient pénétré les tissus ce qui indique d’autant plus que le cœur a été soumis à un stress intense, comme si son propriétaire avait été battu sévèrement au niveau de la poitrine. » Les gens qui étaient là et qui ont lu le premier rapport et les journalistes étaient complètement sidérés. Ils ont demandé au docteur Jugiba si les globules blancs auraient pu être encore vivants, s’ils étaient demeurés dans l’eau ? Et ils lui ont dit ce qu’ils avaient fait avec le spécimen et le docteur ne comprenait rien. Et il a ajouté, vous devez m’expliquer une chose, si cet échantillon provient d’une personne morte, alors comment se peut-il que pendant que je l’examinais, les cellules de l’échantillon étaient en mouvement et pulsaient. Si le cœur provient d’une personne qui est morte en 1996, comment peut-il être encore en vie ? Et là, on lui a dit que l’échantillon venait d’une hostie consacrée, un pain sans levain. Alors, le docteur était complètement ahuri et il a dit : « Comment et pourquoi une hostie consacrée peut changer son caractère et devenir de la chair et du sang humain vivant ? Cela restera un inexplicable mystère pour la science, mystère totalement au-delà de ma compétence. » Et après, les scientifiques ont continué à analyser cet échantillon avec un échantillon du miracle de Lanciano, c’était exactement la même personne, le même type de sang, du groupe AB+ et ça portait aussi les caractéristiques avec les études d’ADN, les caractéristiques d’un homme qui était né au Moyen-Orient.
Extraordinaire. Extraordinaire, un échantillon qui a été gardé trois ans, une hostie consacrée trois ans dans l’eau déminéralisée, et quand on la regarde sous le microscope super sophistiqué de ce médecin, il voyait encore les globules blancs qui pulsaient. Jésus dans l’Eucharistie est vivant ! C’est tout ce que je peux dire, Il est vivant ! Alors, s’Il est vivant, allons le voir et n’arrête pas maintenant ton écoute. Prends le temps d’aller le rencontrer et de faire cette expérience. Jésus, tu es là dans l’Hostie, Jésus, je crois que tu es là. Tu es là tout grand, Tu es là tout aimant, Tu es là m’attendant et moi, je suis là venant pour T’aimer, venant pour T’implorer.
Jésus disait à Marguerite-Marie : « J’ai soif, mais d’une soif si ardente d’être aimé des hommes au Saint-Sacrement, que cette soif me consume. » Jésus au Saint-Sacrement, c’est Jésus dans son cœur. Tu crois en sa présence, disons-lui tout de suite. C’est cela le plus important de cette fête : de savoir que l’Eucharistie, ce n’est pas un symbole, ce n’est pas une représentation. C’est vraiment le cœur de Jésus que tu tiens dans ta main, c’est ce que je vais t’expliquer tout à l’heure, un miracle extraordinaire de Buenos Aires. Mais d’abord, allons ensemble Lui chanter quelque chose : « Jésus, Tu es là dans l’Hostie, Jésus, je crois, tu es là. »
Jésus est là dans l’Eucharistie et je crois qu’Il est là. Et Il est là comme un mendiant d’amour. Penses-y, le Dieu, tout grand, tout-puissant, tout fort se fait mendiant de ton amour à toi ! Et aujourd’hui, si tu vas communier, tu vas tenir le corps, le cœur de Jésus, entre tes mains. Qu’est-ce que l’on peut dire ? Ce n’est pas l’objet d’un grand récit, ce n’est pas l’objet d’un grand sermon, c’est l’objet d’un grand Amour qui se livre pour moi, pour toi !
Adorer, c’est se prosterner devant l’abaissement de notre Dieu. Se prosterner dans notre pauvreté et se laisser élever par son abaissement. L’Eucharistie, c’est le sommet de la folie de l’Amour, c’est le sommet de la folie où la raison se tait, où le silence naît et renaît. Et quand on a tellement de bruit dans la tête, tellement de bruit dans le cœur, arrêtons-nous et allons adorer. C’est le lieu où le chant jaillit. Moi, plusieurs des chants que j’ai reçus l’ont été devant l’Eucharistie parce que l’on devient dépossédé de soi, on est en présence de l’Amour, et l’Esprit chante en nous pour glorifier le Fils du Père. Merveilleux et la joie fleurit ! Moi, je te garantis que chaque fois que l’on donne du temps, et tu le sais, chaque fois que l’on donne du temps, que l’on donne son cœur à Jésus dans l’Eucharistie, notre propre cœur bondit de joie, on rajeunit !
Je veux partager avec toi, à ce moment, l’histoire d’un miracle eucharistique qui s’est passée en 1996, à Buenos Aires. Peut-être que tu connais l’histoire, mais je veux te dire que personnellement, chaque fois que je la lis, mon cœur s’enflamme, peut-être à cause de la dimension scientifique, mais ça vient nous prouver à quel point l’Eucharistie, c’est vraiment Jésus, Jésus vivant. C’est cela le plus important de cette fête, c’est de la savoir et d’en faire l’expérience dans l’adoration.
Alors, pendant la messe, une personne retourne dans son banc et échappe l’hostie par terre. Elle la regarde et la voit un peu tâchée. Alors, elle se refuse de la prendre, pensant qu’elle était souillée. Une autre personne plus pieuse, la voit, la prend et après la messe, elle l’apporte au prêtre qui fait ce que l’Église demande, soit de prendre l’hostie et de la mettre dans l’eau, la laisser se dissoudre au tabernacle dans l’eau, et quelques jours après, de la consommer tout simplement. Mais ce qui est arrivé, c’est que l’on a vu du sang dans l’eau après un certain temps. Et la nouvelle est allée jusqu’à Mgr Bergoglio. L’hostie a été dans l’eau pendant quelque temps, puis elle a été dans l’eau déminéralisée pendant trois ans, et pendant ce temps, on a fait quelques examens, mais finalement, on a demandé de faire un examen au docteur Jugiba, qui est un docteur, un grand pathologiste cardiaque de New York qui ne croit pas, et à qui on n’a pas dit l’origine de l’échantillon qu’on lui apporte à analyser.
Alors voici sa première conclusion et quelques remarques qu’il a faites par la suite. Il a dit : « La matière analysée (c’est l’hostie, mais c’est seulement un petit fragment) est un fragment d’un muscle du cœur qui se situe dans la paroi du ventricule gauche près des valves. Ce muscle est responsable de la contraction du cœur. On doit se rappeler que le ventricule gauche agit comme une pompe qui envoie le sang dans tout le corps. Le muscle cardiaque est dans un état d’inflammation et contient un nombre important de globules blancs. Ceci indique que le cœur est vivant au moment où l’échantillon a été prélevé. J’affirme que le cœur était vivant, étant donné, que les globules blancs meurent en dehors d’un organisme non vivant. Ils ont besoin d’un organisme vivant pour se maintenir, donc leur présence (globules blancs) indique que le cœur était vivant quand l’échantillon a été prélevé. Par ailleurs, ces globules blancs avaient pénétré les tissus ce qui indique d’autant plus que le cœur a été soumis à un stress intense, comme si son propriétaire avait été battu sévèrement au niveau de la poitrine. » Les gens qui étaient là et qui ont lu le premier rapport et les journalistes étaient complètement sidérés. Ils ont demandé au docteur Jugiba si les globules blancs auraient pu être encore vivants, s’ils étaient demeurés dans l’eau ? Et ils lui ont dit ce qu’ils avaient fait avec le spécimen et le docteur ne comprenait rien. Et il a ajouté, vous devez m’expliquer une chose, si cet échantillon provient d’une personne morte, alors comment se peut-il que pendant que je l’examinais, les cellules de l’échantillon étaient en mouvement et pulsaient. Si le cœur provient d’une personne qui est morte en 1996, comment peut-il être encore en vie ? Et là, on lui a dit que l’échantillon venait d’une hostie consacrée, un pain sans levain. Alors, le docteur était complètement ahuri et il a dit : « Comment et pourquoi une hostie consacrée peut changer son caractère et devenir de la chair et du sang humain vivant ? Cela restera un inexplicable mystère pour la science, mystère totalement au-delà de ma compétence. » Et après, les scientifiques ont continué à analyser cet échantillon avec un échantillon du miracle de Lanciano, c’était exactement la même personne, le même type de sang, du groupe AB+ et ça portait aussi les caractéristiques avec les études d’ADN, les caractéristiques d’un homme qui était né au Moyen-Orient.
Extraordinaire. Extraordinaire, un échantillon qui a été gardé trois ans, une hostie consacrée trois ans dans l’eau déminéralisée, et quand on la regarde sous le microscope super sophistiqué de ce médecin, il voyait encore les globules blancs qui pulsaient. Jésus dans l’Eucharistie est vivant ! C’est tout ce que je peux dire, Il est vivant ! Alors, s’Il est vivant, allons le voir et n’arrête pas maintenant ton écoute. Prends le temps d’aller le rencontrer et de faire cette expérience. Jésus, tu es là dans l’Hostie, Jésus, je crois que tu es là. Tu es là tout grand, Tu es là tout aimant, Tu es là m’attendant et moi, je suis là venant pour T’aimer, venant pour T’implorer.
Merci à vous, Famille Myriam !
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
Localisation : France
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