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Neuvaine au Sacré-Cœur de Jésus : Huitième jour : Le nouveau de l'Esprit
par Lumen Jeu 15 Juin 2023 - 12:52
Le nouveau de l'Esprit
Huitième jour
Bonjour, bienvenue à toi que j’aime. Je dois te le dire, c’est un grand bonheur de pouvoir te rencontrer tous les jours, de partager avec toi, parce que c’est avec toi que je partage cet amour que j’ai pour Jésus. Tu sais, on fait cela entre amis.
Alors aujourd’hui, j’aimerais revenir sur la fin du message d’hier parce que pour moi, cela a été lumineux et cela a été un souffle, et j’espère que je te l’ai bien transmis parce que aujourd’hui, on continue dans ce souffle-là.
Tout d’abord, je te dirais va jusqu’au bout du message aujourd’hui parce que j’ai filmé quelque chose de très beau, un très beau coucher de soleil hier soir et je voudrais te l’offrir. Quand je vois quelque chose de beau comme cela, je me dis : « Ah, mon Dieu ! Mes gens qui sont à Montréal, mes gens qui sont dans le trafic, mes gens qui sont en appartement et qui ne voient pas ce que je vois, il faut que je le partage ! » Alors, tu vas voir cela à la fin du message.
Hier, je te disais : « Accueillir Marie chez nous, c’est accueillir Jésus, puisque là où est Marie, là aussi est Jésus. Et accueillir Jésus, c’est se laisser former par Marie pour qu’un autre Sacré-Cœur naisse dans le monde, un autre Sacré-Cœur que Jésus veut voir naître dans le monde par la formation mariale que Marie veut nous donner, à toi, toi et moi, et nous tous ensemble. Nous sommes ses nouveaux “Sacré-Cœur” dont Jésus a besoin. » Hier, je me disais que la tête me tourne un peu quand je dis des choses comme cela. Bien, aujourd’hui, j’ai lu quelque chose que Jésus a dit à Marguerite-Marie, et qui me le confirme; donc, si on est des fous, on va être des fous ensemble.
Jésus dit : « Mon cœur est si passionné d’amour pour les hommes et pour toi que ne pouvant plus contenir les flammes de son ardente charité, il faut qu’Il la répande par ton moyen. » Dieu décide de se servir de Marguerite-Marie. Un jour comme aujourd’hui, Il veut se servir de toi.
Et écoute ce que dit le Pape Paul VI, ce saint Pape Paul VI : « Nous aimons avec le cœur du Christ, nos défauts ne sont pas un obstacle à la mission. » N’oublie pas cela. On a des défauts et il ne faut pas attendre d’être parfaits pour se livrer à l’Amour, pour que l’Amour nous saisisse pour nous livrer au monde. Il ne faut pas attendre cela, ça n’arrivera jamais. Mais avec nos défauts, Dieu nous saisit et nous prend. Puis pourquoi ? Écoute encore ce que Jésus dit à Marguerite-Marie, c’est extraordinaire hein ? « Je t’ai choisie comme un abîme d’indignité (c’est plus qu’on pensait) et d’ignorance pour tout l’accomplissement de ce grand dessein, afin que tout soit fait par Moi. » Dieu, Jésus, nous prend, nous choisit tels que nous sommes, avec l’abîme de notre indignité, avec notre ignorance de savoir à qui cela va servir, mais Il a besoin de nous. Qu’est-ce que tu penses que l’on devrait Lui dire ? Qu’est-ce que tu penses ?
Écoute maintenant le Père Claude, Claude La Colombière, le directeur spirituel de Marguerite-Marie, cette prière-là, je pense que je vais l’apprendre par cœur, je la trouve extraordinaire. Je te la lis une fois, et peut-être deux fois. Peut-être que je pourrais l’écrire aussi. « Sacré-Cœur de Jésus (si tu aimes mieux, mon doux Jésus, si tu aimes mieux, Jésus miséricordieux, mon Jésus d’Amour, comme tu veux, mais nous sommes dans la neuvaine du Sacré-Cœur, et je pense que les dessins du décor nous le montrent bien), Sacré-Cœur de Jésus, enseigne-moi ce que je dois faire pour parvenir à la pureté de ton Amour duquel Tu m’as inspiré le désir, (c’est Dieu m’a inspiré cela). Je sens en moi une grande bonté, une grande volonté de Te plaire. Une grande impuissance d’en venir à bout sans une grande lumière de Ta part, et un secours très particulier que je ne puis attendre que de Toi. Fais en moi Ta volonté, Seigneur. Je m’y oppose, je le sens bien, mais je voudrais bien, il me semble ne pas m’y opposer. Alors c’est à Toi Seigneur de tout faire ! »
Merveilleux ! C’est merveilleux, il dit sa pauvreté, son incapacité, son grand désir que Dieu a Lui-même mis dans son cœur. Je te le relis. Le Père Claude parle en « vous », mais moi, je vais le mettre en « tu », c’est plus notre manière maintenant de faire.
« Sacré-Cœur de Jésus, enseigne-moi ce que je dois faire pour parvenir à la pureté de ton Amour duquel Tu m’as inspiré le désir. Je sens en moi une grande volonté de Te plaire et une grande impuissance d’en venir à bout sans une grande lumière et un secours très particulier que je ne puis attendre que de Toi. Fais en moi Ta volonté, Seigneur. Je m’y oppose, je le sens bien, mais je voudrais bien, ça me semble ne pas m’y opposer. C’est à Toi de tout faire, divin Sacré-Cœur de Jésus ! »
Le désir que j’ai, il vient de Dieu. La volonté de le réaliser, c’est en moi. La capacité de réaliser ce désir et cette volonté, elles ne sont pas en ma puissance, elles appartiennent à Dieu. C’est Dieu qui me rend capable de réaliser ce qu’Il veut pour moi. Alors, il faut juste reconnaître notre indigence, et lui dire de tout notre cœur ce chant que j’ai reçu en 2010, « Donne-moi ton cœur Seigneur » et voici les paroles :
Voici mon cœur, je te le donne, il est don de ma miséricorde. et c’est Dieu qui nous le dit : « Voici Louise mon cœur, je te le donne, il est don de ma miséricorde, voici Marie Lee, voici Jacques, mon cœur, je te le donne. » Avec mon cœur, tu pourras bien aimer, tout donner sans rien garder. Tu te livreras tout entier, tu te livreras pour l’humanité. C’est tellement beau ! Avec mon cœur, tu pourras accueillir les petits qu’Il me faut guérir. Les anciens qui sont sans soutien, tous les pauvres qui réclament du pain. Avec mon cœur, tu pourras chanter et surtout t’émerveiller. Les prouesses de l’Esprit Saint, dans ta vie et celles de tous les tiens. Avec mon cœur, tu pourras adorer de ton Père la sainte volonté. Obéir sans récriminer, pour goûter la vraie liberté. Avec mon cœur, avec le cœur de Jésus, tu pourras pardonner à tous ceux qui t’ont offensé, et tu pourras te pardonner, car toi aussi, tu les as offensés. Avec mon cœur, tu vivras uni à tes frères en Marie. La communion est un don de Dieu, prélude de la vraie vie dans les cieux. Avec mon cœur tu pourras souffrir, à la croix ne jamais fuir. Marie t’apprendra à offrir, dans la joie, pour aller au saint martyre. Écoute la conclusion. Voici mon cœur et ma couronne, Il est bien de ma miséricorde. Tu as dit oui à la porter, pour toi, elle a fleuri en sainteté. Voici mon cœur, je te le donne, il est don de ma miséricorde.
C’est Dieu qui te dit : « Voici mon cœur je te le donne. » Qu’est-ce qu’on va Lui répondre ? Seigneur, voici mon cœur je te le donne, je le donne à ta miséricorde. Alors maintenant, avant de se recueillir, allons voir ce que j’ai filmé pour toi :
Alors aujourd’hui, j’aimerais revenir sur la fin du message d’hier parce que pour moi, cela a été lumineux et cela a été un souffle, et j’espère que je te l’ai bien transmis parce que aujourd’hui, on continue dans ce souffle-là.
Tout d’abord, je te dirais va jusqu’au bout du message aujourd’hui parce que j’ai filmé quelque chose de très beau, un très beau coucher de soleil hier soir et je voudrais te l’offrir. Quand je vois quelque chose de beau comme cela, je me dis : « Ah, mon Dieu ! Mes gens qui sont à Montréal, mes gens qui sont dans le trafic, mes gens qui sont en appartement et qui ne voient pas ce que je vois, il faut que je le partage ! » Alors, tu vas voir cela à la fin du message.
Hier, je te disais : « Accueillir Marie chez nous, c’est accueillir Jésus, puisque là où est Marie, là aussi est Jésus. Et accueillir Jésus, c’est se laisser former par Marie pour qu’un autre Sacré-Cœur naisse dans le monde, un autre Sacré-Cœur que Jésus veut voir naître dans le monde par la formation mariale que Marie veut nous donner, à toi, toi et moi, et nous tous ensemble. Nous sommes ses nouveaux “Sacré-Cœur” dont Jésus a besoin. » Hier, je me disais que la tête me tourne un peu quand je dis des choses comme cela. Bien, aujourd’hui, j’ai lu quelque chose que Jésus a dit à Marguerite-Marie, et qui me le confirme; donc, si on est des fous, on va être des fous ensemble.
Jésus dit : « Mon cœur est si passionné d’amour pour les hommes et pour toi que ne pouvant plus contenir les flammes de son ardente charité, il faut qu’Il la répande par ton moyen. » Dieu décide de se servir de Marguerite-Marie. Un jour comme aujourd’hui, Il veut se servir de toi.
Et écoute ce que dit le Pape Paul VI, ce saint Pape Paul VI : « Nous aimons avec le cœur du Christ, nos défauts ne sont pas un obstacle à la mission. » N’oublie pas cela. On a des défauts et il ne faut pas attendre d’être parfaits pour se livrer à l’Amour, pour que l’Amour nous saisisse pour nous livrer au monde. Il ne faut pas attendre cela, ça n’arrivera jamais. Mais avec nos défauts, Dieu nous saisit et nous prend. Puis pourquoi ? Écoute encore ce que Jésus dit à Marguerite-Marie, c’est extraordinaire hein ? « Je t’ai choisie comme un abîme d’indignité (c’est plus qu’on pensait) et d’ignorance pour tout l’accomplissement de ce grand dessein, afin que tout soit fait par Moi. » Dieu, Jésus, nous prend, nous choisit tels que nous sommes, avec l’abîme de notre indignité, avec notre ignorance de savoir à qui cela va servir, mais Il a besoin de nous. Qu’est-ce que tu penses que l’on devrait Lui dire ? Qu’est-ce que tu penses ?
Écoute maintenant le Père Claude, Claude La Colombière, le directeur spirituel de Marguerite-Marie, cette prière-là, je pense que je vais l’apprendre par cœur, je la trouve extraordinaire. Je te la lis une fois, et peut-être deux fois. Peut-être que je pourrais l’écrire aussi. « Sacré-Cœur de Jésus (si tu aimes mieux, mon doux Jésus, si tu aimes mieux, Jésus miséricordieux, mon Jésus d’Amour, comme tu veux, mais nous sommes dans la neuvaine du Sacré-Cœur, et je pense que les dessins du décor nous le montrent bien), Sacré-Cœur de Jésus, enseigne-moi ce que je dois faire pour parvenir à la pureté de ton Amour duquel Tu m’as inspiré le désir, (c’est Dieu m’a inspiré cela). Je sens en moi une grande bonté, une grande volonté de Te plaire. Une grande impuissance d’en venir à bout sans une grande lumière de Ta part, et un secours très particulier que je ne puis attendre que de Toi. Fais en moi Ta volonté, Seigneur. Je m’y oppose, je le sens bien, mais je voudrais bien, il me semble ne pas m’y opposer. Alors c’est à Toi Seigneur de tout faire ! »
Merveilleux ! C’est merveilleux, il dit sa pauvreté, son incapacité, son grand désir que Dieu a Lui-même mis dans son cœur. Je te le relis. Le Père Claude parle en « vous », mais moi, je vais le mettre en « tu », c’est plus notre manière maintenant de faire.
« Sacré-Cœur de Jésus, enseigne-moi ce que je dois faire pour parvenir à la pureté de ton Amour duquel Tu m’as inspiré le désir. Je sens en moi une grande volonté de Te plaire et une grande impuissance d’en venir à bout sans une grande lumière et un secours très particulier que je ne puis attendre que de Toi. Fais en moi Ta volonté, Seigneur. Je m’y oppose, je le sens bien, mais je voudrais bien, ça me semble ne pas m’y opposer. C’est à Toi de tout faire, divin Sacré-Cœur de Jésus ! »
Le désir que j’ai, il vient de Dieu. La volonté de le réaliser, c’est en moi. La capacité de réaliser ce désir et cette volonté, elles ne sont pas en ma puissance, elles appartiennent à Dieu. C’est Dieu qui me rend capable de réaliser ce qu’Il veut pour moi. Alors, il faut juste reconnaître notre indigence, et lui dire de tout notre cœur ce chant que j’ai reçu en 2010, « Donne-moi ton cœur Seigneur » et voici les paroles :
Voici mon cœur, je te le donne, il est don de ma miséricorde. et c’est Dieu qui nous le dit : « Voici Louise mon cœur, je te le donne, il est don de ma miséricorde, voici Marie Lee, voici Jacques, mon cœur, je te le donne. » Avec mon cœur, tu pourras bien aimer, tout donner sans rien garder. Tu te livreras tout entier, tu te livreras pour l’humanité. C’est tellement beau ! Avec mon cœur, tu pourras accueillir les petits qu’Il me faut guérir. Les anciens qui sont sans soutien, tous les pauvres qui réclament du pain. Avec mon cœur, tu pourras chanter et surtout t’émerveiller. Les prouesses de l’Esprit Saint, dans ta vie et celles de tous les tiens. Avec mon cœur, tu pourras adorer de ton Père la sainte volonté. Obéir sans récriminer, pour goûter la vraie liberté. Avec mon cœur, avec le cœur de Jésus, tu pourras pardonner à tous ceux qui t’ont offensé, et tu pourras te pardonner, car toi aussi, tu les as offensés. Avec mon cœur, tu vivras uni à tes frères en Marie. La communion est un don de Dieu, prélude de la vraie vie dans les cieux. Avec mon cœur tu pourras souffrir, à la croix ne jamais fuir. Marie t’apprendra à offrir, dans la joie, pour aller au saint martyre. Écoute la conclusion. Voici mon cœur et ma couronne, Il est bien de ma miséricorde. Tu as dit oui à la porter, pour toi, elle a fleuri en sainteté. Voici mon cœur, je te le donne, il est don de ma miséricorde.
C’est Dieu qui te dit : « Voici mon cœur je te le donne. » Qu’est-ce qu’on va Lui répondre ? Seigneur, voici mon cœur je te le donne, je le donne à ta miséricorde. Alors maintenant, avant de se recueillir, allons voir ce que j’ai filmé pour toi :
Merci à vous, Famille Myriam ! Soyez bénie !
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