Neuvaine au Sacré-Cœur de Jésus : Neuvième jour : Fête du Sacré-Cœur
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Neuvaine au Sacré-Cœur de Jésus : Neuvième jour : Fête du Sacré-Cœur
Fête du Sacré-Cœur
Neuvième jour
Bonjour et bienvenue à la fête du Sacré-Cœur ! Fêtons-le, chantons-le, aimons-le, car Il nous aime d’un amour fou.
Qu’IL soit en fête le doux cœur de Jésus, que nous soyons en fête nous aussi qui sommes tellement aimés de ce cœur de Jésus. Toi, follement aimé du Sacré-Cœur, toi, moi, nous, comme nous sommes, avec nos limites, nos imperfections, ça ne dérange pas le Bon Dieu, Il veut nous aimer. Il est passionné de nous aimer. Un feu brûle dans son cœur pour nous le donner. C’est cela, la fête du Sacré-Cœur, et cette fête-là, c’est Lui qui l’a demandée, c’est Jésus qu’Il l’a demandée à Marguerite-Marie quand Il lui a dit : « Je te demande que le premier vendredi après l’octave du Saint-Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon divin cœur. » Alors vendredi après-midi, nous allons faire, à trois heures, une heure d’adoration de fête pour honorer, pour adorer, pour glorifier le cœur sacré de Jésus, avec les séraphins, les anges, avec les archanges avec tous les saints du ciel, dans notre petite chapelle.
Au début de la neuvaine, on voyait le premier message de Jésus à Marguerite-Marie quand Il Lui disait : « Viens te reposer sur ma divine poitrine. Prends le temps de me regarder, de me contempler. » Et le Seigneur pourrait te dire la même chose aujourd’hui. Prends ton crucifix, regarde-le, regarde Jésus, fais silence. Mets-le sur ton propre cœur, écoute-le et repose-toi sur Lui, Il est le Verbe, Il va te parler si tu fais silence, c’est certain. Il est le Verbe. Il y en a tellement qui en ont fait l’expérience. Il faut juste s’arrêter. Et Marguerite-Marie raconte : « Il me demande mon cœur, lequel je Lui ai supplié de prendre. Ce qu’Il fit, et Jésus mit mon cœur dans son cœur adorable à Lui. Et là, j’étais dans son cœur à Lui comme un petit atome, puis Jésus a repris mon cœur avec une flamme brûlante pour la déposer dans mon cœur à sa place, Il a remis mon cœur à sa place, mais un cœur brûlant, enflammé d’amour. » Merveilleux ! Merveilleux ! Merveilleux !
Et hier, je te disais que Marie veut faire naître et former d’autres cœurs sacrés sur notre terre ou d’autres cœurs consacrés à Jésus. Nous sommes tous consacrés par notre baptême, mais nous, nous avons à l’être en vérité, vraiment consacrés à Jésus. J’appartiens à Jésus, ce que je fais, je le fais avec Lui. Ce que je fais, je le fais pour Lui. Ce que je fais, je le fais comme Lui. Et je Le laisse faire en moi, en mon coeur qui Lui est consacré. Et cela, celle qui peut nous aider à le faire, nous allons la fêter demain, Marie, le Cœur Immaculé de Marie.
Ceux qui ont reçu cette flamme-là d’amour, ce sont des gens qui changent le monde. Ma maman, elle a reçu une flamme d’amour de dévouement du lever au coucher, et probablement que ta maman aussi. Flamme d’amour ! Elle n’est pas canonisée, mais moi je la canonise dans mon cœur. Regarde Mère Teresa, on la connaît tous, elle a reçu une flamme d’amour de compassion dans son cœur, et elle a fondé sa communauté. Mais elle-même, elle s’est mise à genoux, auprès des personnes de la rue. Ce n’est pas la grandeur de sa communauté qui a fait sa sainteté, c’est sa correspondance à ce que Dieu lui demandait de faire, elle-même. Regarde Jean XXIII, le saint Pape Jean XXIII, qu’est-ce qui a fait sa sainteté ? C’est la bonté de son cœur. Dieu a mis en son cœur une flamme de bonté, et il nous a tous gagnés par sa bonté, par sa bonhomie, on dirait presque. Saint Jean-Paul II, il a reçu une flamme du respect de la vie, de la dignité de la personne humaine, de sa naissance jusqu’à sa mort. Qu’est-ce qui a fait sa sainteté ? C’est cette flamme d’amour. Il respectait chaque personne qu’il rencontrait.
Sœur Jeanne, Sœur Jeanne notre fondatrice, permets-moi de t’en parler un petit peu. Pas parce que je veux la canoniser, mais parce que tu vas être d’accord avec moi, elle a reçu dans son âme une flamme de confiance filiale, d’abandon filial d’un cœur de pauvre pour vivre et nous faire vivre une expérience de providence. Merveilleux ! Merveilleux ! La merveille est sous nos yeux parce que le Message Lumière, la Famille Myriam, tout cela est né de la confiance filiale de Sœur Jeanne. Je te compte quelques histoires, d’accord, tu aimes les histoires toi aussi, moi aussi.
Sœur Jeanne, là, elle dépendait tellement de Dieu parce qu’elle avait confiance en Lui. Elle avait confiance en Lui. Un jour, une jeune, un samedi, vient la voir et lui demande (c’était avant la fondation de Myriam) une somme d’argent parce qu’elle devait aller chercher ses lunettes qu’elle avait brisées, et elle n’avait pas l’argent. Sœur Jeanne avait ce montant-là dans ses poches parce que le lundi suivant, elle allait chez le dentiste. Puis elle a donné l’argent à la jeune femme, le samedi. Puis on lui a dit : « Mais Sœur Jeanne, pourquoi tu lui donnes parce que tu en as besoin lundi ? » Elle avait confiance en Dieu. Elle a dit : « Elle en a besoin aujourd’hui, moi j’en ai besoin après-demain. Dieu pourvoira. » Et elle lui a donné. Et Dieu a pourvu ! Une flamme de confiance !
Au moment de la fondation de notre mission en Haïti, en fait, de deux missions en 1981, alors que la communauté n’avait que trois ans. Nous avons dit à Sœur Jeanne : « Sœur Jeanne, cela n’a pas de bon sens de fonder en Haïti, ouvrir deux maisons en même temps, cela n’a pas de bon sens. Nous n’avons pas de monde, pas d’argent, c’est fou ! » Sœur Jeanne a dit : « Ce ne sont pas les bonnes questions. La bonne question : quelle est la volonté de Dieu ? Est-ce que c’est un projet de Dieu ? Si c’est un projet de Dieu, faisons-Lui confiance, les choses vont arriver au fur et à mesure. » C’est comme chaque enfant qui arrive dans une famille, un enfant porte sa pitance. Dieu pourvoit à cet enfant-là, n’aie pas peur ! Une confiance filiale coulée dans le cœur de Sœur Jeanne pour la fondation de nos deux maisons qui sont florissantes et qui sont extraordinaires. Moi, je me souviens un jour, j’ai fait une erreur en évangélisation, une de mes premières évangélisations, et quand je suis allée au bureau de Sœur Jeanne, je lui ai raconté. Elle savait déjà ce que j’avais fait alors je me suis dit : « C'est fini pour moi. Je suis certaine que je ne retournerai pas en évangélisation demain matin. » Sr Jeanne me dit : « Est-ce que tu as compris maintenant ? » « Bien sûr que j’ai compris, bien sûr que j’ai compris ! » « Très bien, la semaine prochaine, nous avons une évangélisation et c’est toi qui vas partir, c’est toi qui vas aller, et tu seras chef d’équipe. Tu as compris, c’est ce qu’il faut. Entre-temps, je fais confiance au Seigneur et toi aussi fais-Lui confiance. »
La flamme de la confiance filiale brûlait dans son cœur.
Maintenant, en terminant, avant que l’on aille à la chapelle, quelle flamme d’amour a déposé dans ton cœur le Sacré-Cœur de Jésus ? Peut-être une nouvelle flamme cette année pendant la neuvaine, il y a un feu qui brûle dans ton cœur. Bravo ! Confie cette flamme à la Vierge Marie, et fais tout ce qu’elle te dira. Mais peut-être que tu as un attrait de grâce particulier, toi. Peut-être que tu es attiré par l’humilité ? Oh, tu ne la vis pas, mais cela, je ne suis pas surprise de cela, ce n’est pas facile, mais continue. Peut-être que c’est une flamme, peut-être que tu es attiré par le service, mais des fois la paresse peut nuire. Ne t’inquiète pas. Recommence ! Peut-être que c’est la flamme de la miséricorde ? Pardonner tout de suite, tu ne réussis pas tout le temps, moi non plus, mais commence ! Parce que c’est la flamme que Jésus nous a donnée.
Et Jésus te dit : « Voici ma flamme, je te la donne, elle est don de mon Sacré-Cœur. Voici ma flamme, je te la donne, fais-la brûler dans ton cœur. »
Allons à la chapelle dire merci à Jésus pour cette neuvaine merveilleuse que nous avons vécue.
Qu’IL soit en fête le doux cœur de Jésus, que nous soyons en fête nous aussi qui sommes tellement aimés de ce cœur de Jésus. Toi, follement aimé du Sacré-Cœur, toi, moi, nous, comme nous sommes, avec nos limites, nos imperfections, ça ne dérange pas le Bon Dieu, Il veut nous aimer. Il est passionné de nous aimer. Un feu brûle dans son cœur pour nous le donner. C’est cela, la fête du Sacré-Cœur, et cette fête-là, c’est Lui qui l’a demandée, c’est Jésus qu’Il l’a demandée à Marguerite-Marie quand Il lui a dit : « Je te demande que le premier vendredi après l’octave du Saint-Sacrement soit dédié à une fête particulière pour honorer mon divin cœur. » Alors vendredi après-midi, nous allons faire, à trois heures, une heure d’adoration de fête pour honorer, pour adorer, pour glorifier le cœur sacré de Jésus, avec les séraphins, les anges, avec les archanges avec tous les saints du ciel, dans notre petite chapelle.
Au début de la neuvaine, on voyait le premier message de Jésus à Marguerite-Marie quand Il Lui disait : « Viens te reposer sur ma divine poitrine. Prends le temps de me regarder, de me contempler. » Et le Seigneur pourrait te dire la même chose aujourd’hui. Prends ton crucifix, regarde-le, regarde Jésus, fais silence. Mets-le sur ton propre cœur, écoute-le et repose-toi sur Lui, Il est le Verbe, Il va te parler si tu fais silence, c’est certain. Il est le Verbe. Il y en a tellement qui en ont fait l’expérience. Il faut juste s’arrêter. Et Marguerite-Marie raconte : « Il me demande mon cœur, lequel je Lui ai supplié de prendre. Ce qu’Il fit, et Jésus mit mon cœur dans son cœur adorable à Lui. Et là, j’étais dans son cœur à Lui comme un petit atome, puis Jésus a repris mon cœur avec une flamme brûlante pour la déposer dans mon cœur à sa place, Il a remis mon cœur à sa place, mais un cœur brûlant, enflammé d’amour. » Merveilleux ! Merveilleux ! Merveilleux !
Et hier, je te disais que Marie veut faire naître et former d’autres cœurs sacrés sur notre terre ou d’autres cœurs consacrés à Jésus. Nous sommes tous consacrés par notre baptême, mais nous, nous avons à l’être en vérité, vraiment consacrés à Jésus. J’appartiens à Jésus, ce que je fais, je le fais avec Lui. Ce que je fais, je le fais pour Lui. Ce que je fais, je le fais comme Lui. Et je Le laisse faire en moi, en mon coeur qui Lui est consacré. Et cela, celle qui peut nous aider à le faire, nous allons la fêter demain, Marie, le Cœur Immaculé de Marie.
Ceux qui ont reçu cette flamme-là d’amour, ce sont des gens qui changent le monde. Ma maman, elle a reçu une flamme d’amour de dévouement du lever au coucher, et probablement que ta maman aussi. Flamme d’amour ! Elle n’est pas canonisée, mais moi je la canonise dans mon cœur. Regarde Mère Teresa, on la connaît tous, elle a reçu une flamme d’amour de compassion dans son cœur, et elle a fondé sa communauté. Mais elle-même, elle s’est mise à genoux, auprès des personnes de la rue. Ce n’est pas la grandeur de sa communauté qui a fait sa sainteté, c’est sa correspondance à ce que Dieu lui demandait de faire, elle-même. Regarde Jean XXIII, le saint Pape Jean XXIII, qu’est-ce qui a fait sa sainteté ? C’est la bonté de son cœur. Dieu a mis en son cœur une flamme de bonté, et il nous a tous gagnés par sa bonté, par sa bonhomie, on dirait presque. Saint Jean-Paul II, il a reçu une flamme du respect de la vie, de la dignité de la personne humaine, de sa naissance jusqu’à sa mort. Qu’est-ce qui a fait sa sainteté ? C’est cette flamme d’amour. Il respectait chaque personne qu’il rencontrait.
Sœur Jeanne, Sœur Jeanne notre fondatrice, permets-moi de t’en parler un petit peu. Pas parce que je veux la canoniser, mais parce que tu vas être d’accord avec moi, elle a reçu dans son âme une flamme de confiance filiale, d’abandon filial d’un cœur de pauvre pour vivre et nous faire vivre une expérience de providence. Merveilleux ! Merveilleux ! La merveille est sous nos yeux parce que le Message Lumière, la Famille Myriam, tout cela est né de la confiance filiale de Sœur Jeanne. Je te compte quelques histoires, d’accord, tu aimes les histoires toi aussi, moi aussi.
Sœur Jeanne, là, elle dépendait tellement de Dieu parce qu’elle avait confiance en Lui. Elle avait confiance en Lui. Un jour, une jeune, un samedi, vient la voir et lui demande (c’était avant la fondation de Myriam) une somme d’argent parce qu’elle devait aller chercher ses lunettes qu’elle avait brisées, et elle n’avait pas l’argent. Sœur Jeanne avait ce montant-là dans ses poches parce que le lundi suivant, elle allait chez le dentiste. Puis elle a donné l’argent à la jeune femme, le samedi. Puis on lui a dit : « Mais Sœur Jeanne, pourquoi tu lui donnes parce que tu en as besoin lundi ? » Elle avait confiance en Dieu. Elle a dit : « Elle en a besoin aujourd’hui, moi j’en ai besoin après-demain. Dieu pourvoira. » Et elle lui a donné. Et Dieu a pourvu ! Une flamme de confiance !
Au moment de la fondation de notre mission en Haïti, en fait, de deux missions en 1981, alors que la communauté n’avait que trois ans. Nous avons dit à Sœur Jeanne : « Sœur Jeanne, cela n’a pas de bon sens de fonder en Haïti, ouvrir deux maisons en même temps, cela n’a pas de bon sens. Nous n’avons pas de monde, pas d’argent, c’est fou ! » Sœur Jeanne a dit : « Ce ne sont pas les bonnes questions. La bonne question : quelle est la volonté de Dieu ? Est-ce que c’est un projet de Dieu ? Si c’est un projet de Dieu, faisons-Lui confiance, les choses vont arriver au fur et à mesure. » C’est comme chaque enfant qui arrive dans une famille, un enfant porte sa pitance. Dieu pourvoit à cet enfant-là, n’aie pas peur ! Une confiance filiale coulée dans le cœur de Sœur Jeanne pour la fondation de nos deux maisons qui sont florissantes et qui sont extraordinaires. Moi, je me souviens un jour, j’ai fait une erreur en évangélisation, une de mes premières évangélisations, et quand je suis allée au bureau de Sœur Jeanne, je lui ai raconté. Elle savait déjà ce que j’avais fait alors je me suis dit : « C'est fini pour moi. Je suis certaine que je ne retournerai pas en évangélisation demain matin. » Sr Jeanne me dit : « Est-ce que tu as compris maintenant ? » « Bien sûr que j’ai compris, bien sûr que j’ai compris ! » « Très bien, la semaine prochaine, nous avons une évangélisation et c’est toi qui vas partir, c’est toi qui vas aller, et tu seras chef d’équipe. Tu as compris, c’est ce qu’il faut. Entre-temps, je fais confiance au Seigneur et toi aussi fais-Lui confiance. »
La flamme de la confiance filiale brûlait dans son cœur.
Maintenant, en terminant, avant que l’on aille à la chapelle, quelle flamme d’amour a déposé dans ton cœur le Sacré-Cœur de Jésus ? Peut-être une nouvelle flamme cette année pendant la neuvaine, il y a un feu qui brûle dans ton cœur. Bravo ! Confie cette flamme à la Vierge Marie, et fais tout ce qu’elle te dira. Mais peut-être que tu as un attrait de grâce particulier, toi. Peut-être que tu es attiré par l’humilité ? Oh, tu ne la vis pas, mais cela, je ne suis pas surprise de cela, ce n’est pas facile, mais continue. Peut-être que c’est une flamme, peut-être que tu es attiré par le service, mais des fois la paresse peut nuire. Ne t’inquiète pas. Recommence ! Peut-être que c’est la flamme de la miséricorde ? Pardonner tout de suite, tu ne réussis pas tout le temps, moi non plus, mais commence ! Parce que c’est la flamme que Jésus nous a donnée.
Et Jésus te dit : « Voici ma flamme, je te la donne, elle est don de mon Sacré-Cœur. Voici ma flamme, je te la donne, fais-la brûler dans ton cœur. »
Allons à la chapelle dire merci à Jésus pour cette neuvaine merveilleuse que nous avons vécue.
Merci à vous, Famille Myriam ! Soyez bénie !
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
Localisation : France
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