Neuvaine au Sacré-Cœur de Jésus : Troisième jour : Tout donner, c’est aimer.
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Neuvaine au Sacré-Cœur de Jésus : Troisième jour : Tout donner, c’est aimer.
Tout donner, c’est aimer.
Troisième jour
Bonjour dans le Royaume de l’Amour ! Dans le décor, je suis entre le Sacré-Cœur et la Parole de Dieu. Tout est rouge, tout est rempli d’Amour. C’est vrai que le rouge me va bien ! L’Amour va bien à chacun d’entre nous ! En passant, merci pour tous les mots d’encouragements, les remerciements !
Aujourd’hui, pour notre troisième journée, il sera question de l’Amour qui est allé jusqu’au bout ! L’Amour du Sacré-Cœur, Jésus en croix.
Un jour, Jésus dit à Marguerite-Marie, lors de la troisième apparition : « Voici ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qui n’a rien épargné jusqu’à s’épuiser et se consumer sur la croix pour leur témoigner son amour. » Est-ce qu’on peut avoir un témoignage d’amour plus fort que quelqu’un qui donne sa vie pour moi ? Quelqu’un qui donne sa vie pour moi. Pour que moi j’aie la vie en plénitude sur cette terre et une vie éternelle de bonheur.
Marguerite-Marie, parlant du cœur de Jésus, dit : « Ce Divin Cœur me fût présenté comme sur un trône de flammes, plus rayonnant qu’un soleil et transparent comme un cristal, avec cette plaie adorable, et il était environné d’une couronne d’épines qui signifiait les piqûres que nos péchés lui faisaient, et une croix au-dessus qui signifiait que lors des premiers instants de son incarnation, c’est-à-dire au moment où le Sacré-Cœur fut formé, la croix fut plantée dans sa vie. Et la croix a rempli toute sa vie à travers des amertumes, des humiliations, des pauvretés, la douleur, le mépris. Le Sacré-Cœur de Jésus devait souffrir pendant tout le cours de sa vie et de sa passion. » Telle a été la vie de Jésus, et je ne vais pas revenir sur tout ce qui a été difficile dans la vie de Jésus, mais tu sais à quel point, dès le début de sa vie, toute cette histoire de Bethléem, de la fuite en Égypte, d’être à droite et à gauche, d’être rejeté par les siens. Combien la vie de Jésus a été marquée par la croix, et ce n’est pas seulement pendant les trois jours de la Passion que la croix était plantée dans la vie de Jésus. Je dois te dire que très souvent, à travers des petites croix dans ma vie, je disais à Jésus, dès le départ : « Jésus, si Toi Tu as vécu cela, eh bien, je sais que je peux encore le vivre avec Toi ! Je sais que si Tu l’as vécu, Tu vas le vivre en moi et je vais le vivre avec Toi. » Et toutes les douleurs que j’ai eues, toutes les croix que j’ai eues, Jésus les avaient toujours eues.
Mais comment Jésus a-t-Il pu porter toutes ses croix ? On va dire par Amour, mais il y a une manière concrète. Regarde le montant vertical de la croix, Jésus est descendu du ciel, Il est venu sur la terre, et Il est retourné vers son Père. À tout instant du jour et de la nuit, Jésus était au milieu de nous, mais toujours son Cœur s’élevait vers son Père. Et c’est vers son Père qu’Il retrouvait la consolation. Et Il aimait se rappeler qu’Il était venu au milieu de nous par amour pour tous ses frères de la terre. Et Il les embrassait tous.
On Lui faisait mal, Il offrait sa douleur à son Père, et Il continuait d’aimer ses frères. Si on Lui faisait mal par jalousie, Il offrait cette douleur à son Père pour que le jaloux soit guéri de sa jalousie. Ça, c’est de l’amour vrai et concret. Dans la vie de chacun de nous, il y en a des croix, et il y en a qui sont dues à notre propre péché, mais il y en a qui sont dues aux péchés des autres aussi. Et Dieu le sait et Dieu en tient compte. Et c’est pour cela, écoute bien ce que je vais te dire là : « Tu ne peux pas jamais te faire juge de ta propre conscience, juge de ce que tu as fait de bien ou de mal. Tu ne peux être ton propre juge. » Même si ton cœur te condamne, disait saint Jean, Dieu est plus grand que ton cœur parce que Dieu voit large et que toi, nous, moi, nous voyons de manière étroite et l’on se condamne et on se culpabilise. Aujourd’hui, je demande au Seigneur de nous libérer de ces fausses culpabilités qui nous replient sur nous-mêmes et qui nous empêchent, très souvent, d’aller de l’avant et d’aller avec l’élan d’amour qui nous habite !
Si c’est vrai que je ne peux pas me juger moi-même, alors je ne peux juger les autres. Pourtant, on le fait ! Mais il faut savoir que l’on ne peut pas le faire ! Il faut se corriger, puisque le jugement de l’autre appartient à Dieu. Est-ce que je sais dans quelles conditions cet enfant-là, cette personne-là, a été élevé ? Cet enfant peut avoir été élevé dans une très belle famille, mais où la loi du talion était en vigueur. Je te frappe, tu me frappes, je te frappe, tu me frappes, je te frappe, alors cette personne arrive en société, on lui fait quelque chose de mal, elle le redonne de l’autre côté. Mais pourquoi ? Parce qu’elle l’a appris lorsqu’elle était petite, il l’a appris lorsqu’il était petit. On en a tous une croix qui est bien plantée dans notre vie. On en a tous une, celle qu’on appelait l’autre jour « l’écharde dans notre chair ». C’est souvent une vraie croix que cette écharde. Et Dieu pourrait l’enlever, c’est vrai, mais penses-tu qu’Il ne t’aime pas, s’Il ne te l’enlève pas ? C’est que son plan est plus grand que ce que tu comprends et ce que tu sais. Alors, pour porter ta croix, faisons comme Jésus a fait. Tourne-toi avec ta croix vers le Père comme Jésus a fait et trouve consolation. Tu vas voir que Dieu va te consoler parce que ton histoire d’amour n’est jamais brisée avec Lui. Nous, on voudrait toujours recommencer, mais notre histoire d’amour avec le Bon Dieu n’est jamais brisée. Puis, offre ta douleur pour tes frères qui vivraient la même chose que toi. Effectivement, c’est ta mission de suppléance.
Jésus a pardonné, pardonne ! Jésus avait ce cœur comme disait Marguerite-Marie, son Cœur était sur un trône de flammes, flammes d’amour plus rayonnantes qu’un soleil. La croix apporte la lumière dans nos vies. Il était transparent, et ce que je trouve merveilleux dans ce que Jésus lui a dit : « Avec cette plaie adorable, et la couronne d’épines qui signifiait les piqûres que l’on a faites à son Cœur. » Tu t’imagines, ce que j’ai fait de mal, ce que tu as fait de mal, ce sont des piqûres au Cœur de Jésus ! C’est comme si Jésus veut toujours minimiser le mal qu’on Lui a fait. Ça c’est l’amour de Jésus.
Allons voir le Seigneur dans l’Eucharistie et demandons-lui, non seulement la capacité de pardonner, mais la capacité de ne plus nous juger, ni de juger les autres, mais plutôt la force d’aimer même celui qui m’a fait mal ! C’est héroïque, Dieu peut le faire, rien n’est impossible à Dieu.
Aujourd’hui, pour notre troisième journée, il sera question de l’Amour qui est allé jusqu’au bout ! L’Amour du Sacré-Cœur, Jésus en croix.
Un jour, Jésus dit à Marguerite-Marie, lors de la troisième apparition : « Voici ce Cœur qui a tant aimé les hommes, qui n’a rien épargné jusqu’à s’épuiser et se consumer sur la croix pour leur témoigner son amour. » Est-ce qu’on peut avoir un témoignage d’amour plus fort que quelqu’un qui donne sa vie pour moi ? Quelqu’un qui donne sa vie pour moi. Pour que moi j’aie la vie en plénitude sur cette terre et une vie éternelle de bonheur.
Marguerite-Marie, parlant du cœur de Jésus, dit : « Ce Divin Cœur me fût présenté comme sur un trône de flammes, plus rayonnant qu’un soleil et transparent comme un cristal, avec cette plaie adorable, et il était environné d’une couronne d’épines qui signifiait les piqûres que nos péchés lui faisaient, et une croix au-dessus qui signifiait que lors des premiers instants de son incarnation, c’est-à-dire au moment où le Sacré-Cœur fut formé, la croix fut plantée dans sa vie. Et la croix a rempli toute sa vie à travers des amertumes, des humiliations, des pauvretés, la douleur, le mépris. Le Sacré-Cœur de Jésus devait souffrir pendant tout le cours de sa vie et de sa passion. » Telle a été la vie de Jésus, et je ne vais pas revenir sur tout ce qui a été difficile dans la vie de Jésus, mais tu sais à quel point, dès le début de sa vie, toute cette histoire de Bethléem, de la fuite en Égypte, d’être à droite et à gauche, d’être rejeté par les siens. Combien la vie de Jésus a été marquée par la croix, et ce n’est pas seulement pendant les trois jours de la Passion que la croix était plantée dans la vie de Jésus. Je dois te dire que très souvent, à travers des petites croix dans ma vie, je disais à Jésus, dès le départ : « Jésus, si Toi Tu as vécu cela, eh bien, je sais que je peux encore le vivre avec Toi ! Je sais que si Tu l’as vécu, Tu vas le vivre en moi et je vais le vivre avec Toi. » Et toutes les douleurs que j’ai eues, toutes les croix que j’ai eues, Jésus les avaient toujours eues.
Mais comment Jésus a-t-Il pu porter toutes ses croix ? On va dire par Amour, mais il y a une manière concrète. Regarde le montant vertical de la croix, Jésus est descendu du ciel, Il est venu sur la terre, et Il est retourné vers son Père. À tout instant du jour et de la nuit, Jésus était au milieu de nous, mais toujours son Cœur s’élevait vers son Père. Et c’est vers son Père qu’Il retrouvait la consolation. Et Il aimait se rappeler qu’Il était venu au milieu de nous par amour pour tous ses frères de la terre. Et Il les embrassait tous.
On Lui faisait mal, Il offrait sa douleur à son Père, et Il continuait d’aimer ses frères. Si on Lui faisait mal par jalousie, Il offrait cette douleur à son Père pour que le jaloux soit guéri de sa jalousie. Ça, c’est de l’amour vrai et concret. Dans la vie de chacun de nous, il y en a des croix, et il y en a qui sont dues à notre propre péché, mais il y en a qui sont dues aux péchés des autres aussi. Et Dieu le sait et Dieu en tient compte. Et c’est pour cela, écoute bien ce que je vais te dire là : « Tu ne peux pas jamais te faire juge de ta propre conscience, juge de ce que tu as fait de bien ou de mal. Tu ne peux être ton propre juge. » Même si ton cœur te condamne, disait saint Jean, Dieu est plus grand que ton cœur parce que Dieu voit large et que toi, nous, moi, nous voyons de manière étroite et l’on se condamne et on se culpabilise. Aujourd’hui, je demande au Seigneur de nous libérer de ces fausses culpabilités qui nous replient sur nous-mêmes et qui nous empêchent, très souvent, d’aller de l’avant et d’aller avec l’élan d’amour qui nous habite !
Si c’est vrai que je ne peux pas me juger moi-même, alors je ne peux juger les autres. Pourtant, on le fait ! Mais il faut savoir que l’on ne peut pas le faire ! Il faut se corriger, puisque le jugement de l’autre appartient à Dieu. Est-ce que je sais dans quelles conditions cet enfant-là, cette personne-là, a été élevé ? Cet enfant peut avoir été élevé dans une très belle famille, mais où la loi du talion était en vigueur. Je te frappe, tu me frappes, je te frappe, tu me frappes, je te frappe, alors cette personne arrive en société, on lui fait quelque chose de mal, elle le redonne de l’autre côté. Mais pourquoi ? Parce qu’elle l’a appris lorsqu’elle était petite, il l’a appris lorsqu’il était petit. On en a tous une croix qui est bien plantée dans notre vie. On en a tous une, celle qu’on appelait l’autre jour « l’écharde dans notre chair ». C’est souvent une vraie croix que cette écharde. Et Dieu pourrait l’enlever, c’est vrai, mais penses-tu qu’Il ne t’aime pas, s’Il ne te l’enlève pas ? C’est que son plan est plus grand que ce que tu comprends et ce que tu sais. Alors, pour porter ta croix, faisons comme Jésus a fait. Tourne-toi avec ta croix vers le Père comme Jésus a fait et trouve consolation. Tu vas voir que Dieu va te consoler parce que ton histoire d’amour n’est jamais brisée avec Lui. Nous, on voudrait toujours recommencer, mais notre histoire d’amour avec le Bon Dieu n’est jamais brisée. Puis, offre ta douleur pour tes frères qui vivraient la même chose que toi. Effectivement, c’est ta mission de suppléance.
Jésus a pardonné, pardonne ! Jésus avait ce cœur comme disait Marguerite-Marie, son Cœur était sur un trône de flammes, flammes d’amour plus rayonnantes qu’un soleil. La croix apporte la lumière dans nos vies. Il était transparent, et ce que je trouve merveilleux dans ce que Jésus lui a dit : « Avec cette plaie adorable, et la couronne d’épines qui signifiait les piqûres que l’on a faites à son Cœur. » Tu t’imagines, ce que j’ai fait de mal, ce que tu as fait de mal, ce sont des piqûres au Cœur de Jésus ! C’est comme si Jésus veut toujours minimiser le mal qu’on Lui a fait. Ça c’est l’amour de Jésus.
Allons voir le Seigneur dans l’Eucharistie et demandons-lui, non seulement la capacité de pardonner, mais la capacité de ne plus nous juger, ni de juger les autres, mais plutôt la force d’aimer même celui qui m’a fait mal ! C’est héroïque, Dieu peut le faire, rien n’est impossible à Dieu.
Merci à vous, Famille Myriam !
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Lumen- Date d'inscription : 09/11/2021
Localisation : France
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