COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : DÉFENDRE LE DOMAINE MARITIME FRANÇAIS
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COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : DÉFENDRE LE DOMAINE MARITIME FRANÇAIS
COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : DÉFENDRE LE DOMAINE MARITIME FRANÇAIS
Bien Chère Âmes Fidèles,
Que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France. Restez ferme dans votre Foi. Dieu est auprès de vous...
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islAmisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Mais comment traiter du problême de la défense du domaine maritime Français selon l'optique Royaliste ?
Avant tout, nous nous en remettons à vos prières...
Ensuite, Richelieu n'a pas que permis de sortir des guerres de Religion et de la guerre de Trente Ans : il a avant tout donné une flotte de guerre et de commerce à la France, a relancé l'économie, noué des alliances.
Enfin, il y a trois sortes d'intérets vitaux :
1. L'exercice de la libre souveraineté.
2. La protection d'un population.
3. l'intégrité du territoire.
La défense de l'Outre-Mer Français participe de la défense des intérets vitaux. Et la défense du domaine maritime Français concourt à défendre l'Outre-Mer. Surtout que de nombreuses provinices d'Outre-Mer sont précisément... des îles !!!
Les mesures suivantes devront donc être adoptés en Métropole comme en Outre-Mer :
1. Donner à la Marine nationale une forte capacité d’intervention.
La multiplication des crises locales redonne toute son importance à l’outil maritime,
quelque peu délaissé lors de la guerre froide. La France doit donc disposer d’au moins
trois porte-avions à propulsion nucléaire (nous en avions 4 sous De gaulle, nous n'avons qu'un osus Macron), noyau d’une force maritime d’intervention significative, avec son aviation embarquée et les navires de débarquement et de soutien correspondants.
2. Créer un corps de garde-côtes et renforcer la protection de nos côtes.
La France n’a pas actuellement les moyens de faire parfaitement respecter sa
souveraineté le long de ses côtes et les règles maritimes internationales en Manche, au
large de la Bretagne, le long de ses côtes méditerranéennes ou en Outre-Mer, comme l’a prouvé l’échouage volontaire, devant Saint-Tropez, d’un cargo chargé d’immigrants kurdes
clandestins en février 2001. Comme le prouvent tous les jours les débarquements de commoriens à Mayotte. La France renforcera donc ses moyens maritimes de souveraineté ainsi que les personnels chargés de vérifier le bon État des navires entrant ou sortant de ses ports. Elle crééra un corps de garde-côtes pour renforcer la protection de nos côtes.
La France n'a pas actuellement de corps de garde-côtes mais l'origine de la garde-côte remonterait au Moyen Age (Les milices gardes-côtes par Léon Hennet). Un « guet de la mer » existait (principalement en Bretagne, Normandie et Picardie, plus sujettes aux incursions des anglais). Cet usage était établi sur les articles 28, 29 et 30 de l'Ordonnance Royale de 1517 qui plaçait les agrdes cotes sous l'autorité du Grand Amiral de France. Le service de la garde-côte proprement dit n'est défini que dans l''Ordonnace de février 1543, sur le fait de l'amirauté.
Pour la première fois, dans une règlement du 12 mai 1696, l'expression de milices maritimes est appliqué à la garde-côte. Le service dure 20 ans puis les miliciens sont ensuite exempts de taille le reste de leur vie (La réforme de la milice des Grades Cotes de 1756, in sur infobretagne.com, consulté le 18 août 2019). Les provinces côtières sont divisées en capitaineries. Chaque capitainerie est aux ordres d'un capitaine, un major et un lieutenant, qui, commissionnés par le Roi prennent l'attache de l'Amiral de France. Par exemple en 1756 en Bretagne le Duc d'Aiguillon rénove considérablement les structures et le matériel des milices garde-côtes. Les garde-côtes furent ainsi assemblés pendant la Guerre de Sucession d'Autriche, la Guerre de Sept Ans, etc...
Les Chevaliers de Saint-Lazarre, réuni à l’Ordre de N.D. du Mont Carmel en 1608, aident leur protecteur, le Roi de France, en fonction de ses désirs, dans le secours aux vieux soldats, dans la course bararesque ou sus à l’anglais en armant dix frégates à Saint Malo, en créant en 1667 l’Académie Royale de Marine à Paris ou en administrant toutes les léproseries et Hôtel-Dieu du Royaume entre 1672 et 1693. Les Chevaliers de Saint Lazarre organisent sur le modèle de l’Ordre de Malte, les premiers services ambulanciers de France, les ambulances de l’Ordre de Saint Lazarre étant des calèches tirées par des chevaux et faisant gratuitement un service s’apparentant à notre moderne SAMU.
Nous avons là un service de gerade de côtes et de secour en mer.
Le littoral est équipé de postes d'observations de la milice garde-côte chargée de surveiller le littoral afin de prévenir des invasions ennemies, notamment anglaises. À partir de la Révolution française la surveillance des côtes est transférée au service des douanes ; les différents postes d'observation sont aménagés et reliés entre eux par le "chemin des douaniers", transformé souvent de nos jours en sentier de grande randonnée.
La France était doté depuis 1878 d’une organisation originale pour son action en mer reposant sur la coordination des administrations agissant en mer (Marine nationale, gendarmerie maritime, douanes, affaires maritimes, police nationale, gendarmerie nationale, sécurité civile, société natioanle de sauvetage en mer (SNSM) ) sous l’autorité unique d’un délégué du gouvernement, par bassin maritime : le Préfet Maritime en métropole et le Préfet de zone de défense outre-mer.
La création de la « fonCtion Garde-Côtes », prévue dans le Livre bleu, stratégie nationale pour la mer et les océans (Décret du 6 aout 2002), est l’une des décisions prises par le Comité interministériel de la Mer du 8 décembre 2009, pour mettre en place un dispositif plus cohérent. La fonction garde-côtes a pour but d’améliorer la cohérence de l’action des administrations maritimes et d’offrir une meilleure visibilité à l’international. Elle est placée sous l’autorité du Premier ministre et mise en œuvre par le Secrétarait Général de la Mer. la mesure phare est d'avoir retiré la fonction « garde-côtes » à la Marine Nationale et aux Préfets Maritimes, et d'avoir recréé un nouveau service civil placée sous l’autorité du Premier ministre et mise en œuvre par le secrétaire général de la Mer. « En créant la fonction “garde-côtes”, la France répond d'abord au souci de l'Europe de mettre en place une politique maritime intégrée. La fonction “garde-côtes” matérialise les moyens dont l'État dispose pour assurer l'ensemble des missions de son action en mer » (extrait du Livre bleu). De leurs côtés, les Gardes-Côtes des Dounes Françaises et la Gandaremerie maritime continuent à exister sous les tutelles respectives du ministère des Finances et des Armées.
Nous proposons que la création de véritables « garde-côtes » uniques, la réforme de la fonction de « garde-côtes » sur le modèle des Etats Unis devant permettre de renforcer la coopération interministérielle et inter-administrations. Le Secrétariat Général de la Mer (SGMer) sera placé sous l'autorité du Chef d'Etat, la Défense appartenant au demonaine régalien.
L'institution de cette nouvelle fonction s'accompagne de la création d'un Comité directeur de la fonction « garde-côtes » et d'un Centre de suivi et d'analyse de la situation maritime mondiale qui agit au profit des autorités et de l'ensemble des administrations ou services. Nous demandons que l'expérimentation en Polynésie Française d'un centre unique d'action de l'État en mer soit étendue à toutes les cotes Françaises de Métropole et d'Outre-Mer.
La France prendra également toute mesure destinée à parer à un danger éventuel de pollution maritime, s’il le faut de manière unilatérale.
3. Lancer un grand plan de développement maritime et portuaire.
Une politique systématique de soutien du pavillon français sera entreprise, la gestion des
investissements et des installations portuaires étant confiée aux professions concernées.
Des plans par bassin portuaire coordonneront toutes les activités de mer, militaire et de
service public, douanes et souveraineté, commerce, pêche et aquaculture, navigation
fluviale et canaux à grand gabarit.
Ces activités seront regroupées sous une autorité ministérielle unique (au lieu de quatre actuellement). Les navires de commerce battant pavillon français bénéficieront d’une très large défiscalisation et les charges sociales sur les gens de mer seront réduites.
Nous proposons ici que chaque province d'Outre-Mer donnant sur la mer possède un port en eaux profondes.
4. Doter la France d’une flotte autonome de pétroliers.
La France, 6e importateur mondial de pétrole et dont le brut vient pour 60% de pays
situés hors d’Europe, ne dispose pas d’une flotte nationale de transport d’hydrocarbures.
Sur sa flotte actuelle – plus que réduite – les pétroliers sont les parents pauvres et les
plus anciens en âge. Une flotte Française de transport des hydrocarbures, correctement
entretenue et remplacée à intervalle régulier, aura pour avantage de diminuer le risque
de pollution et de donner à notre pays plus de poids pour faire appliquer des
réglementations draconiennes en matière de sécurité des navires le long de ses côtes.
5. Promouvoir la pêche maritime.
La pêche, secteur vital pour notre auto-suffisance alimentaire, a été sacrifiée à “l’Europe
bleue”. Il est donc nécessaire de redonner à la pêche française tous ses moyens, de
défendre nos droits de pêche, c’est-à-dire de recréer les conditions d’existence d’une
pêche nationale débarrassée des directives de Bruxelles. Des crédits bonifiés à long
terme pour l’achat ou la construction de bateaux seront proposés aux pêcheurs
artisanaux, en vue de maintenir le plein emploi et d’améliorer notre capacité de prise.
Les acquisitions ou rachat de flottes de pêche françaises par des pêcheries étrangères
seront interdites. Le patrimoine naturel et les réserves de pêche de notre mer territoriale
seront protégés des chalutages excessifs que pratiquent les pêcheurs de certains pays.
Les périodes annuelles de pêche seront modulées, sous la responsabilité de la profession,
pour permettre la reconstitution de la ressource. Enfin, la fiscalité relative à la pêche sera
révisée de manière à revenir au taux moyen en vigueur dans les autres pays européens.
Le gazole sera détaxé.
Toutes ses mesures seront mise en place après consultation des élite locales.
Pour reconquérir nos libertés, protéger notre identité, rétablir notre souveraineté, rénover nos institutions.
-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeunne fille que l'on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d'Arc (François-Marie Algould) !
Toujours sous le signe du double-Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice , espoir et salut de la France.
Puisse Saint-Louis nous éclairer.
Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO
Bien Chère Âmes Fidèles,
Que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France. Restez ferme dans votre Foi. Dieu est auprès de vous...
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islAmisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Mais comment traiter du problême de la défense du domaine maritime Français selon l'optique Royaliste ?
Avant tout, nous nous en remettons à vos prières...
Ensuite, Richelieu n'a pas que permis de sortir des guerres de Religion et de la guerre de Trente Ans : il a avant tout donné une flotte de guerre et de commerce à la France, a relancé l'économie, noué des alliances.
Enfin, il y a trois sortes d'intérets vitaux :
1. L'exercice de la libre souveraineté.
2. La protection d'un population.
3. l'intégrité du territoire.
La défense de l'Outre-Mer Français participe de la défense des intérets vitaux. Et la défense du domaine maritime Français concourt à défendre l'Outre-Mer. Surtout que de nombreuses provinices d'Outre-Mer sont précisément... des îles !!!
Les mesures suivantes devront donc être adoptés en Métropole comme en Outre-Mer :
1. Donner à la Marine nationale une forte capacité d’intervention.
La multiplication des crises locales redonne toute son importance à l’outil maritime,
quelque peu délaissé lors de la guerre froide. La France doit donc disposer d’au moins
trois porte-avions à propulsion nucléaire (nous en avions 4 sous De gaulle, nous n'avons qu'un osus Macron), noyau d’une force maritime d’intervention significative, avec son aviation embarquée et les navires de débarquement et de soutien correspondants.
2. Créer un corps de garde-côtes et renforcer la protection de nos côtes.
La France n’a pas actuellement les moyens de faire parfaitement respecter sa
souveraineté le long de ses côtes et les règles maritimes internationales en Manche, au
large de la Bretagne, le long de ses côtes méditerranéennes ou en Outre-Mer, comme l’a prouvé l’échouage volontaire, devant Saint-Tropez, d’un cargo chargé d’immigrants kurdes
clandestins en février 2001. Comme le prouvent tous les jours les débarquements de commoriens à Mayotte. La France renforcera donc ses moyens maritimes de souveraineté ainsi que les personnels chargés de vérifier le bon État des navires entrant ou sortant de ses ports. Elle crééra un corps de garde-côtes pour renforcer la protection de nos côtes.
La France n'a pas actuellement de corps de garde-côtes mais l'origine de la garde-côte remonterait au Moyen Age (Les milices gardes-côtes par Léon Hennet). Un « guet de la mer » existait (principalement en Bretagne, Normandie et Picardie, plus sujettes aux incursions des anglais). Cet usage était établi sur les articles 28, 29 et 30 de l'Ordonnance Royale de 1517 qui plaçait les agrdes cotes sous l'autorité du Grand Amiral de France. Le service de la garde-côte proprement dit n'est défini que dans l''Ordonnace de février 1543, sur le fait de l'amirauté.
Pour la première fois, dans une règlement du 12 mai 1696, l'expression de milices maritimes est appliqué à la garde-côte. Le service dure 20 ans puis les miliciens sont ensuite exempts de taille le reste de leur vie (La réforme de la milice des Grades Cotes de 1756, in sur infobretagne.com, consulté le 18 août 2019). Les provinces côtières sont divisées en capitaineries. Chaque capitainerie est aux ordres d'un capitaine, un major et un lieutenant, qui, commissionnés par le Roi prennent l'attache de l'Amiral de France. Par exemple en 1756 en Bretagne le Duc d'Aiguillon rénove considérablement les structures et le matériel des milices garde-côtes. Les garde-côtes furent ainsi assemblés pendant la Guerre de Sucession d'Autriche, la Guerre de Sept Ans, etc...
Les Chevaliers de Saint-Lazarre, réuni à l’Ordre de N.D. du Mont Carmel en 1608, aident leur protecteur, le Roi de France, en fonction de ses désirs, dans le secours aux vieux soldats, dans la course bararesque ou sus à l’anglais en armant dix frégates à Saint Malo, en créant en 1667 l’Académie Royale de Marine à Paris ou en administrant toutes les léproseries et Hôtel-Dieu du Royaume entre 1672 et 1693. Les Chevaliers de Saint Lazarre organisent sur le modèle de l’Ordre de Malte, les premiers services ambulanciers de France, les ambulances de l’Ordre de Saint Lazarre étant des calèches tirées par des chevaux et faisant gratuitement un service s’apparentant à notre moderne SAMU.
Nous avons là un service de gerade de côtes et de secour en mer.
Le littoral est équipé de postes d'observations de la milice garde-côte chargée de surveiller le littoral afin de prévenir des invasions ennemies, notamment anglaises. À partir de la Révolution française la surveillance des côtes est transférée au service des douanes ; les différents postes d'observation sont aménagés et reliés entre eux par le "chemin des douaniers", transformé souvent de nos jours en sentier de grande randonnée.
La France était doté depuis 1878 d’une organisation originale pour son action en mer reposant sur la coordination des administrations agissant en mer (Marine nationale, gendarmerie maritime, douanes, affaires maritimes, police nationale, gendarmerie nationale, sécurité civile, société natioanle de sauvetage en mer (SNSM) ) sous l’autorité unique d’un délégué du gouvernement, par bassin maritime : le Préfet Maritime en métropole et le Préfet de zone de défense outre-mer.
La création de la « fonCtion Garde-Côtes », prévue dans le Livre bleu, stratégie nationale pour la mer et les océans (Décret du 6 aout 2002), est l’une des décisions prises par le Comité interministériel de la Mer du 8 décembre 2009, pour mettre en place un dispositif plus cohérent. La fonction garde-côtes a pour but d’améliorer la cohérence de l’action des administrations maritimes et d’offrir une meilleure visibilité à l’international. Elle est placée sous l’autorité du Premier ministre et mise en œuvre par le Secrétarait Général de la Mer. la mesure phare est d'avoir retiré la fonction « garde-côtes » à la Marine Nationale et aux Préfets Maritimes, et d'avoir recréé un nouveau service civil placée sous l’autorité du Premier ministre et mise en œuvre par le secrétaire général de la Mer. « En créant la fonction “garde-côtes”, la France répond d'abord au souci de l'Europe de mettre en place une politique maritime intégrée. La fonction “garde-côtes” matérialise les moyens dont l'État dispose pour assurer l'ensemble des missions de son action en mer » (extrait du Livre bleu). De leurs côtés, les Gardes-Côtes des Dounes Françaises et la Gandaremerie maritime continuent à exister sous les tutelles respectives du ministère des Finances et des Armées.
Nous proposons que la création de véritables « garde-côtes » uniques, la réforme de la fonction de « garde-côtes » sur le modèle des Etats Unis devant permettre de renforcer la coopération interministérielle et inter-administrations. Le Secrétariat Général de la Mer (SGMer) sera placé sous l'autorité du Chef d'Etat, la Défense appartenant au demonaine régalien.
L'institution de cette nouvelle fonction s'accompagne de la création d'un Comité directeur de la fonction « garde-côtes » et d'un Centre de suivi et d'analyse de la situation maritime mondiale qui agit au profit des autorités et de l'ensemble des administrations ou services. Nous demandons que l'expérimentation en Polynésie Française d'un centre unique d'action de l'État en mer soit étendue à toutes les cotes Françaises de Métropole et d'Outre-Mer.
La France prendra également toute mesure destinée à parer à un danger éventuel de pollution maritime, s’il le faut de manière unilatérale.
3. Lancer un grand plan de développement maritime et portuaire.
Une politique systématique de soutien du pavillon français sera entreprise, la gestion des
investissements et des installations portuaires étant confiée aux professions concernées.
Des plans par bassin portuaire coordonneront toutes les activités de mer, militaire et de
service public, douanes et souveraineté, commerce, pêche et aquaculture, navigation
fluviale et canaux à grand gabarit.
Ces activités seront regroupées sous une autorité ministérielle unique (au lieu de quatre actuellement). Les navires de commerce battant pavillon français bénéficieront d’une très large défiscalisation et les charges sociales sur les gens de mer seront réduites.
Nous proposons ici que chaque province d'Outre-Mer donnant sur la mer possède un port en eaux profondes.
4. Doter la France d’une flotte autonome de pétroliers.
La France, 6e importateur mondial de pétrole et dont le brut vient pour 60% de pays
situés hors d’Europe, ne dispose pas d’une flotte nationale de transport d’hydrocarbures.
Sur sa flotte actuelle – plus que réduite – les pétroliers sont les parents pauvres et les
plus anciens en âge. Une flotte Française de transport des hydrocarbures, correctement
entretenue et remplacée à intervalle régulier, aura pour avantage de diminuer le risque
de pollution et de donner à notre pays plus de poids pour faire appliquer des
réglementations draconiennes en matière de sécurité des navires le long de ses côtes.
5. Promouvoir la pêche maritime.
La pêche, secteur vital pour notre auto-suffisance alimentaire, a été sacrifiée à “l’Europe
bleue”. Il est donc nécessaire de redonner à la pêche française tous ses moyens, de
défendre nos droits de pêche, c’est-à-dire de recréer les conditions d’existence d’une
pêche nationale débarrassée des directives de Bruxelles. Des crédits bonifiés à long
terme pour l’achat ou la construction de bateaux seront proposés aux pêcheurs
artisanaux, en vue de maintenir le plein emploi et d’améliorer notre capacité de prise.
Les acquisitions ou rachat de flottes de pêche françaises par des pêcheries étrangères
seront interdites. Le patrimoine naturel et les réserves de pêche de notre mer territoriale
seront protégés des chalutages excessifs que pratiquent les pêcheurs de certains pays.
Les périodes annuelles de pêche seront modulées, sous la responsabilité de la profession,
pour permettre la reconstitution de la ressource. Enfin, la fiscalité relative à la pêche sera
révisée de manière à revenir au taux moyen en vigueur dans les autres pays européens.
Le gazole sera détaxé.
Toutes ses mesures seront mise en place après consultation des élite locales.
Pour reconquérir nos libertés, protéger notre identité, rétablir notre souveraineté, rénover nos institutions.
-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeunne fille que l'on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d'Arc (François-Marie Algould) !
Toujours sous le signe du double-Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice , espoir et salut de la France.
Puisse Saint-Louis nous éclairer.
Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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