COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : ETRE CORPORATISTE AUJOURD'HUI
Forum l'Arche de Marie :: LE MONDE ET LA POLITIQUE :: POLITIQUE ET NOUVELLES DU MONDE :: Retour de la monarchie en France et ailleurs
Page 1 sur 1
COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : ETRE CORPORATISTE AUJOURD'HUI
COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : ETRE CORPORATISTE AUJOURD'HUI
Bien Chère Âmes Fidèles,
Que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France. Restez ferme dans votre Foi. Dieu est auprès de vous...
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Ce titre nous a été inspiré par un essai du R.P. Benjaimin Guillemin.
Mais avant tout, nous nous en remettons à vos prières...
Ensuite... parler de corporatisme à l'ère industriel peut apparaître anachronique.
Ce fut un effet de la Révolution d'abolir tout attachement de la personne à un groupe naturel allant de la famille, à l'école au métier, à la commune, la région ou la nation, et de considérer l'individu isolé évoluant dans une masse informe et anonyme.
La loi Le Chapelier affirmait qu' « il n'y a plus que l'intéret particulier de chaque individu et l'intéret général ».
Cet individualisme de principe engendra les deux doctrine aussi funeste l'une que l'autre :
1. Le libéralisme sans règle où s'affrontent en permanance des hommes et des intérets. Système porté à son paroxisme avec le capitalisme.
2. Le socialime, son antagoniste, où les individus sont noyés dans une masse anonyme, gérée par des technocrates selon des méthodes scientifiques et planificatrices. C'est le société concentrationnaire que nous connaissons à des degrès divers. Système porté à son paroxisme avec la lutte des classes communisme.
Les partisans conscients ou inconscients de ces deux tendences donnent un sens péjoratif au corporatisme. On qualifie ainsi des situations qui n'ont rien à voir avec avec lui, comme le syndicalisme qui, pour être légitime quand il défend les droits naturels des personnes, n'en est pas moins entâché de cet esprit de classe généré par les exès du libéralisme.
Pour nous, Royalistes parce que Catholiques et Français, l''État doit reconnaître les droits des communautés spirituelles, familiales, professionnelles et territoriales au sein desquelles l'homme prend le sens de sa responsabilité sociale et trouve appui pour la défense de ses libertés.
Acquise par le travail et maintenue par l'épargne familiale, la propriété est un droit inviolable, justifié par la fonction sociale qu'elle confère à son détenteur ; nul ne peut en être privé que pour cause d'utilité publique et sous condition d'une juste indemnité : le squat est un crime et un délit qui sera traité en terme de flagrant délit.
L'organisation Chrétienne des professions, sous le contrôle de l'État, arbitre et garant de l'intérêt général, a pour objet de rendre employeurs et salariés solidaires de leur entreprise, de mettre fin à l'antagonisme des classes et de supprimer la condition prolétarienne.
Par une représentation assurée à tous les échelons du travail, les professions organisées participent à l'action économique et sociale de l'État. Référendum pour remplacer les partits politiques par des corporations de métiers organisées Chrétiennement : Les citoyens désigneront librement par suffrage leurs représentants aux assemblées locales et nationales, ainsi qu'aux organismes professionnels et corporatifs.
Sauf dans les élections de caractère professionnel, un suffrage supplémentaire est attribué aux chefs de familles nombreuses en raison de leurs responsabilités et de leurs charges.
La liberté et la dignité de la personne humaine sont des valeurs suprêmes et des biens intangibles. Leur sauvegarde exige de l'État l'ordre et la justice, et des citoyens la discipline.
1. On parlait autrefois de métiers, de jurandes, ou de corps...
Corps. Il n'y a pas d'autre mot pour désigner les corps intermédiaires. Dans le bâtiment on parle de « corps d'état ». par extension la « corporation » désigne souvent une organisation professionnelle : on parle de corps de ballet, de corps diplomatique ou diplomatique, de corps électoral, de corps préfectoral, ou judicaire, du corps enseignant ou médical, du corps des architectes des Monuments historiques... de la corpo de droit... les militaires rentrent à leur « corps » (de troupe : officiers et hommes confondus) et non à leur « communauté de métier » même s'il s'agit du métierdes armes. On a l'esprit de corps.
Corps appelle naturellement corporatisme et corporation. Il n'y a pas d'autre mot. Il faut le réhabiliter en le justifiant.
2. La doctrine sociale de l'Eglise.
Fondamentalement corporatiste, elle se définit toujours par les termes « corporation », de « corps », de « communauté de métier » ou de « corps intermédiaires », que l'on trouve dans tous les documents pontificaux.
La doctrine sociale de l'Eglise propose, établie une hiérarchie de valeurs entre les différents éléments qui concourent à la production : les apporteurs de capitaux, les patrons et les gestionaires, les salariés en insistant sur le principe d'union qui doit gérer leurs rapports :
-elle se fonde sur la propriété privée, en fixant les limites ;
-elle considère l'homme comme le sujet actif de l'économie, en le responsabilisant ;
-elle exalte la fonction sociale du travail
-elle présente l'économie et ses mécanismes comme un moyen et non comme une fin avec la nécessité de fixer des règles au marché ;
Comme son nom l'indique, c'est bien une doctrine sociale, en ce sens que la finalité essentielle de l'économie est d'assurer à l'homme tous les moyens matériels et culturels pour atteindre la fin ultime de son existance : le salut éternel. Saint Ignace l'a ainsi formulée :
-L'homme est créé pour louer, honorer et servir Dieu, Notre Seigneur, et par ce moyen sauver notre âme. Les autres choses qui sont sur terre sont créées à cause de l'homme et pour l'aider dans la poursuite de la fin que Dieu lui a marqué en le créant. D'où il suit qu'il doit en faire usage autant qu'elles le conduisent vers sa fin et s'en dégager autant qu'elles l'en détournent.
Pour résumer et définir en quelques mots la doctrine sociale de l'Eglise, on peut dire qu'elle est essentiellement une doctrine de corps intermédiaires :
-leur vocation est avant tout sociale, en vertu du principe de totalité selon chaque personne est intégrée dans son groupe naturel et concourt à son bien commun ;
-ils possèdent leur souveraineté propre et leur autonomie
-ils possèdent les solidarité primaires, chacun à leur niveau ;
-ils s'articulent entre eux selon le principe de subsidiarité.
Simone Weil a pu observer que « l'homme vit dans de toutes petites communautés ». Et une formule populaire condense bien ce va-et-vient permanant entre principe de totalité et principe de subsdiarité : un pour tous et tous pour un !
Ettre corporatistes aujourd'hui, c'est comme être de modernes Mousquetaires du Roi un pour tous et tous pour un ! Et la corporation pourrait remplacer ausssi bien les partis politiques de l'actuel régime républicain comme les syndicats, dont beaucoups appellent à réformer.
3. Mais pour être corporatiste, il faut à la France une religion d'Etat.
Nos propositions pour une France Chrétienne :
-inscription des préceptes Chrétiens dans la constitution, et pour celà abolition de la loi de séparation de l'eglise et de l'Etat,
-respect de la Vie de sa conception jusqu'à sa fin naturelle,
-affirmation de la Famille basée sur le libre mariage à l'église d'un homme et d'une femme,
-responsabilité des parents dans l'éducation de leurs enfants,
-reprise de la continuité politique des penseurs Catholiques Sociaux
-politique d'immigration : oui à l'immigration, mais une immigration Chrétienne, de culture auropéenne, respecter le principe : « cujus regno, ejus religio »,
-lutter contre la christianophobie,
-soutien politique des communautés Chrétiennes dans les pays où elles sont menacées.
Pour reconquérir nos libertés, protéger notre identité, rétablir notre souveraineté, rénover nos institutions.
-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeunne fille que l'on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d'Arc (François-Marie Algould) !
Toujours sous le signe du double-Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice , espoir et salut de la France.
Puisse Saint Louis nous éclairer.
Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO
Bien Chère Âmes Fidèles,
Que Saint Louis et Sainte Jeanne D’Arc vous accompagnent !
Quelques mots pour vous remercier de croire en la Mission qui est confiée au Roi de France. Restez ferme dans votre Foi. Dieu est auprès de vous...
Le Royalisme en France, c'est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d'expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l'idée : tout le contraire de l'actuel euro-mondialisme islamisant ! C'est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c'est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C'est enfin, face à la masse, l'affirmation de la personne... voulue Chrétienne.
Ce titre nous a été inspiré par un essai du R.P. Benjaimin Guillemin.
Mais avant tout, nous nous en remettons à vos prières...
Ensuite... parler de corporatisme à l'ère industriel peut apparaître anachronique.
Ce fut un effet de la Révolution d'abolir tout attachement de la personne à un groupe naturel allant de la famille, à l'école au métier, à la commune, la région ou la nation, et de considérer l'individu isolé évoluant dans une masse informe et anonyme.
La loi Le Chapelier affirmait qu' « il n'y a plus que l'intéret particulier de chaque individu et l'intéret général ».
Cet individualisme de principe engendra les deux doctrine aussi funeste l'une que l'autre :
1. Le libéralisme sans règle où s'affrontent en permanance des hommes et des intérets. Système porté à son paroxisme avec le capitalisme.
2. Le socialime, son antagoniste, où les individus sont noyés dans une masse anonyme, gérée par des technocrates selon des méthodes scientifiques et planificatrices. C'est le société concentrationnaire que nous connaissons à des degrès divers. Système porté à son paroxisme avec la lutte des classes communisme.
Les partisans conscients ou inconscients de ces deux tendences donnent un sens péjoratif au corporatisme. On qualifie ainsi des situations qui n'ont rien à voir avec avec lui, comme le syndicalisme qui, pour être légitime quand il défend les droits naturels des personnes, n'en est pas moins entâché de cet esprit de classe généré par les exès du libéralisme.
Pour nous, Royalistes parce que Catholiques et Français, l''État doit reconnaître les droits des communautés spirituelles, familiales, professionnelles et territoriales au sein desquelles l'homme prend le sens de sa responsabilité sociale et trouve appui pour la défense de ses libertés.
Acquise par le travail et maintenue par l'épargne familiale, la propriété est un droit inviolable, justifié par la fonction sociale qu'elle confère à son détenteur ; nul ne peut en être privé que pour cause d'utilité publique et sous condition d'une juste indemnité : le squat est un crime et un délit qui sera traité en terme de flagrant délit.
L'organisation Chrétienne des professions, sous le contrôle de l'État, arbitre et garant de l'intérêt général, a pour objet de rendre employeurs et salariés solidaires de leur entreprise, de mettre fin à l'antagonisme des classes et de supprimer la condition prolétarienne.
Par une représentation assurée à tous les échelons du travail, les professions organisées participent à l'action économique et sociale de l'État. Référendum pour remplacer les partits politiques par des corporations de métiers organisées Chrétiennement : Les citoyens désigneront librement par suffrage leurs représentants aux assemblées locales et nationales, ainsi qu'aux organismes professionnels et corporatifs.
Sauf dans les élections de caractère professionnel, un suffrage supplémentaire est attribué aux chefs de familles nombreuses en raison de leurs responsabilités et de leurs charges.
La liberté et la dignité de la personne humaine sont des valeurs suprêmes et des biens intangibles. Leur sauvegarde exige de l'État l'ordre et la justice, et des citoyens la discipline.
1. On parlait autrefois de métiers, de jurandes, ou de corps...
Corps. Il n'y a pas d'autre mot pour désigner les corps intermédiaires. Dans le bâtiment on parle de « corps d'état ». par extension la « corporation » désigne souvent une organisation professionnelle : on parle de corps de ballet, de corps diplomatique ou diplomatique, de corps électoral, de corps préfectoral, ou judicaire, du corps enseignant ou médical, du corps des architectes des Monuments historiques... de la corpo de droit... les militaires rentrent à leur « corps » (de troupe : officiers et hommes confondus) et non à leur « communauté de métier » même s'il s'agit du métierdes armes. On a l'esprit de corps.
Corps appelle naturellement corporatisme et corporation. Il n'y a pas d'autre mot. Il faut le réhabiliter en le justifiant.
2. La doctrine sociale de l'Eglise.
Fondamentalement corporatiste, elle se définit toujours par les termes « corporation », de « corps », de « communauté de métier » ou de « corps intermédiaires », que l'on trouve dans tous les documents pontificaux.
La doctrine sociale de l'Eglise propose, établie une hiérarchie de valeurs entre les différents éléments qui concourent à la production : les apporteurs de capitaux, les patrons et les gestionaires, les salariés en insistant sur le principe d'union qui doit gérer leurs rapports :
-elle se fonde sur la propriété privée, en fixant les limites ;
-elle considère l'homme comme le sujet actif de l'économie, en le responsabilisant ;
-elle exalte la fonction sociale du travail
-elle présente l'économie et ses mécanismes comme un moyen et non comme une fin avec la nécessité de fixer des règles au marché ;
Comme son nom l'indique, c'est bien une doctrine sociale, en ce sens que la finalité essentielle de l'économie est d'assurer à l'homme tous les moyens matériels et culturels pour atteindre la fin ultime de son existance : le salut éternel. Saint Ignace l'a ainsi formulée :
-L'homme est créé pour louer, honorer et servir Dieu, Notre Seigneur, et par ce moyen sauver notre âme. Les autres choses qui sont sur terre sont créées à cause de l'homme et pour l'aider dans la poursuite de la fin que Dieu lui a marqué en le créant. D'où il suit qu'il doit en faire usage autant qu'elles le conduisent vers sa fin et s'en dégager autant qu'elles l'en détournent.
Pour résumer et définir en quelques mots la doctrine sociale de l'Eglise, on peut dire qu'elle est essentiellement une doctrine de corps intermédiaires :
-leur vocation est avant tout sociale, en vertu du principe de totalité selon chaque personne est intégrée dans son groupe naturel et concourt à son bien commun ;
-ils possèdent leur souveraineté propre et leur autonomie
-ils possèdent les solidarité primaires, chacun à leur niveau ;
-ils s'articulent entre eux selon le principe de subsidiarité.
Simone Weil a pu observer que « l'homme vit dans de toutes petites communautés ». Et une formule populaire condense bien ce va-et-vient permanant entre principe de totalité et principe de subsdiarité : un pour tous et tous pour un !
Ettre corporatistes aujourd'hui, c'est comme être de modernes Mousquetaires du Roi un pour tous et tous pour un ! Et la corporation pourrait remplacer ausssi bien les partis politiques de l'actuel régime républicain comme les syndicats, dont beaucoups appellent à réformer.
3. Mais pour être corporatiste, il faut à la France une religion d'Etat.
Nos propositions pour une France Chrétienne :
-inscription des préceptes Chrétiens dans la constitution, et pour celà abolition de la loi de séparation de l'eglise et de l'Etat,
-respect de la Vie de sa conception jusqu'à sa fin naturelle,
-affirmation de la Famille basée sur le libre mariage à l'église d'un homme et d'une femme,
-responsabilité des parents dans l'éducation de leurs enfants,
-reprise de la continuité politique des penseurs Catholiques Sociaux
-politique d'immigration : oui à l'immigration, mais une immigration Chrétienne, de culture auropéenne, respecter le principe : « cujus regno, ejus religio »,
-lutter contre la christianophobie,
-soutien politique des communautés Chrétiennes dans les pays où elles sont menacées.
Pour reconquérir nos libertés, protéger notre identité, rétablir notre souveraineté, rénover nos institutions.
-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeunne fille que l'on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d'Arc (François-Marie Algould) !
Toujours sous le signe du double-Coeur de l'Amour surmonté de la Croix du Sacrifice , espoir et salut de la France.
Puisse Saint Louis nous éclairer.
Pour le Gouvernement Royaliste Provisoire, Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
Re: COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : ETRE CORPORATISTE AUJOURD'HUI
A lire : R.P. Benjamin Guillemin, Etre corporatiste aujourd'hui (Editions du Lion).
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
Sujets similaires
» COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : LE PRINCIPE CORPORATISTE
» COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : PRENDRE EN COMPTE LA FAMILLE DANS TOUTES DÉCISIONS POLITIQUES
» COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : NOS PRIORITES
» COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : RECONSTRUIRE
» COMPTE RENDU DE A REUNION DE CABINET : LE RETOUR DU ROI
» COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : PRENDRE EN COMPTE LA FAMILLE DANS TOUTES DÉCISIONS POLITIQUES
» COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : NOS PRIORITES
» COMPTE RENDU DE LA REUNION DE CABINET : RECONSTRUIRE
» COMPTE RENDU DE A REUNION DE CABINET : LE RETOUR DU ROI
Forum l'Arche de Marie :: LE MONDE ET LA POLITIQUE :: POLITIQUE ET NOUVELLES DU MONDE :: Retour de la monarchie en France et ailleurs
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum