PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
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PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
La Main Céleste de Tombow
(1976-02-10)
Le 10 Février 1976, selon une information parue dans le "Corriere della Valle d'Aosta", à Tombow (40 Km au sud de Moscou), une main blanche est apparue dans le ciel clair ; cette main tenait un pinceau et se mit à écrire :
« Le Mal submerge le Bien. C'est l'hiver pour mon peuple. C'est l'Heure du Repentir. Il ne restera pas une Âme droite au milieu des Âmes dépravées, et pas une Âme dépravée au milieu des Âmes droites." "Prenez Garde à Mon Avertissement. Faites Pénitence et repentez-vous. Je sauverai ceux qui craignent le Seigneur. Prenez vos responsabilités. Le Temps est proche. Je reviendrai bientôt. Amen. »
La MAIN passa environ une demie heure à tracer ce Message qui fut visible dans le ciel par tous les habitants de Tombow pendant 3 heures. L'émotion y fut telle que toute circulation fut interrompue. Les spectateurs se lisaient les uns aux autres, le texte écrit dans le ciel, les plus religieux l'expliquant aux Incroyants. Les Autorités soviétiques n'osèrent pas intervenir de crainte d'un soulèvement populaire.
Le même fait s'est de nouveau produit à Moscou, en Russie, le 19 Décembre, une main avait écrit dans le ciel :
« Le temps est venu de séparer l'ivraie du bon grain. »
(1976-02-10)
Le 10 Février 1976, selon une information parue dans le "Corriere della Valle d'Aosta", à Tombow (40 Km au sud de Moscou), une main blanche est apparue dans le ciel clair ; cette main tenait un pinceau et se mit à écrire :
« Le Mal submerge le Bien. C'est l'hiver pour mon peuple. C'est l'Heure du Repentir. Il ne restera pas une Âme droite au milieu des Âmes dépravées, et pas une Âme dépravée au milieu des Âmes droites." "Prenez Garde à Mon Avertissement. Faites Pénitence et repentez-vous. Je sauverai ceux qui craignent le Seigneur. Prenez vos responsabilités. Le Temps est proche. Je reviendrai bientôt. Amen. »
La MAIN passa environ une demie heure à tracer ce Message qui fut visible dans le ciel par tous les habitants de Tombow pendant 3 heures. L'émotion y fut telle que toute circulation fut interrompue. Les spectateurs se lisaient les uns aux autres, le texte écrit dans le ciel, les plus religieux l'expliquant aux Incroyants. Les Autorités soviétiques n'osèrent pas intervenir de crainte d'un soulèvement populaire.
Le même fait s'est de nouveau produit à Moscou, en Russie, le 19 Décembre, une main avait écrit dans le ciel :
« Le temps est venu de séparer l'ivraie du bon grain. »
Prophétie pour notre temps
Père Marie-Antoine
(1907-02-0
Le Père Marie-Antoine O.F.M. Capucin (Léon Clergue), "le Saint de Toulouse", est né à Lavaur le 23 décembre 1825. D’une famille très chrétienne, tout enfant, il n’a qu’un désir : être prêtre. Il suit sa vocation et entre au petit séminaire de l’Esquille à Toulouse à 11 ans, et poursuit sa formation théologique au Grand Séminaire. Excellent élève, déjà apôtre zélé, il fonde plusieurs associations et confréries, du Saint-Sacrement, des hôpitaux, des prisons, des petits métiers de la rue. Il est ordonné prêtre le 21 septembre 1850 et aussitôt nommé vicaire à Saint-Gaudens. Sa piété, son dévouement, son amour des plus pauvres marquent un ministère qui fait époque.
C’est à Saint-Gaudens qu’il entend l’appel de St François. Il revêt l’habit de l’Ordre des Frères Mineurs Capucins au noviciat de Marceille le 13 juin 1855, et l’année suivante, il prononce ses vœux solennels. Presque aussitôt, les Supérieurs lui confient le ministère de la prédication.
Il est envoyé à Toulouse dès 1857 pour fonder le couvent de la Côte Pavée, qui sera sa seule résidence durant les cinquante ans que dure son apostolat.
Il prêche de nombreuses missions, on le nomme "l’Apôtre du Midi". Ses prédications puissantes produisent des fruits extraordinaires, attirent les foules dans les églises et à la pratique des sacrements. Il reçoit de Dieu la grâce de convertir les pécheurs les plus invétérés.
Il sera toujours le grand ouvrier de Notre-Dame de Lourdes en sa qualité de confesseur qui lit dans les âmes et ramène la paix dans les cœurs, par le grand nombre de pèlerinages qu’il y conduit, et par les cérémonies populaires qui s’y déroulent encore et dont il est l’initiateur.
Aucun genre de ministère, par la parole et une multitude d’écrits, ne lui est étranger : l’apostolat des enfants et des plus pauvres pour lesquels il propage l’œuvre du pain de St Antoine de padoue, l’éveil des vocations religieuses, son combat contre le mal sous toutes ses formes, la défense des droits de l’Eglise et des droits de l’homme chrétien, la gloire de Dieu et la dévotion à la Sainte et Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge Marie...
Sa vie… un sentiment fort de la présence de Dieu même au milieu des plus dures épreuves et des persécutions, un amour dévorant pour ceux qui souffrent, la dure pénitence qu’il impose à son corps, et un modèle de vie religieuse.
Le Père Marie-Antoine meurt en odeur de sainteté le 8 février 1907, au couvent de la Côte Pavée qu’il a défendu jusqu’au bout du séquestre. Cinquante mille personnes assistèrent à ses obsèques jusqu’au cimetière de Terre-Cabade. Le 14 novembre 1935 ont lieu l’exhumation et la reconnaissance de son corps, transféré dans la chapelle du couvent qu’il a fondé. C’est là qu’il repose, au 33 avenue Jean-Rieux à Toulouse, aujourd’hui couvent des Carmes, et c’est là que les fidèles continuent à le prier ; ils obtiennent par son intercession de nombreuses grâces, des guérisons et de grandes faveurs.
Les procès en vue de sa béatification ont été remis à Rome en 1932, le décret sur ses écrits a été publié en 1934, sa cause reprise en 1967. Selon un mot de Mgr Salliège qui s’est vivement intéressé à son succès, "le Père Marie-Antoine a gagné de son vivant tant de victoires qu’il saura se jouer des obstacles".
Le Père Marie-Antoine a toujours su accueillir le don de prophétie. Il a écrit un ouvrage sur les prophéties de la révélation privée "Le Grand Pape et le Grand Roi", et c’est à lui que nous dédions et nous confions notre travail de compilation des messages prophétiques. Voici à quoi le Père Marie-Antoine c’est engagé dans ses écrits :
« Jusqu’à la Fin des Temps, je veillerai, j’intercèderai auprès de le Sainte Vierge pour la France. »
(1907-02-0
Le Père Marie-Antoine O.F.M. Capucin (Léon Clergue), "le Saint de Toulouse", est né à Lavaur le 23 décembre 1825. D’une famille très chrétienne, tout enfant, il n’a qu’un désir : être prêtre. Il suit sa vocation et entre au petit séminaire de l’Esquille à Toulouse à 11 ans, et poursuit sa formation théologique au Grand Séminaire. Excellent élève, déjà apôtre zélé, il fonde plusieurs associations et confréries, du Saint-Sacrement, des hôpitaux, des prisons, des petits métiers de la rue. Il est ordonné prêtre le 21 septembre 1850 et aussitôt nommé vicaire à Saint-Gaudens. Sa piété, son dévouement, son amour des plus pauvres marquent un ministère qui fait époque.
C’est à Saint-Gaudens qu’il entend l’appel de St François. Il revêt l’habit de l’Ordre des Frères Mineurs Capucins au noviciat de Marceille le 13 juin 1855, et l’année suivante, il prononce ses vœux solennels. Presque aussitôt, les Supérieurs lui confient le ministère de la prédication.
Il est envoyé à Toulouse dès 1857 pour fonder le couvent de la Côte Pavée, qui sera sa seule résidence durant les cinquante ans que dure son apostolat.
Il prêche de nombreuses missions, on le nomme "l’Apôtre du Midi". Ses prédications puissantes produisent des fruits extraordinaires, attirent les foules dans les églises et à la pratique des sacrements. Il reçoit de Dieu la grâce de convertir les pécheurs les plus invétérés.
Il sera toujours le grand ouvrier de Notre-Dame de Lourdes en sa qualité de confesseur qui lit dans les âmes et ramène la paix dans les cœurs, par le grand nombre de pèlerinages qu’il y conduit, et par les cérémonies populaires qui s’y déroulent encore et dont il est l’initiateur.
Aucun genre de ministère, par la parole et une multitude d’écrits, ne lui est étranger : l’apostolat des enfants et des plus pauvres pour lesquels il propage l’œuvre du pain de St Antoine de padoue, l’éveil des vocations religieuses, son combat contre le mal sous toutes ses formes, la défense des droits de l’Eglise et des droits de l’homme chrétien, la gloire de Dieu et la dévotion à la Sainte et Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge Marie...
Sa vie… un sentiment fort de la présence de Dieu même au milieu des plus dures épreuves et des persécutions, un amour dévorant pour ceux qui souffrent, la dure pénitence qu’il impose à son corps, et un modèle de vie religieuse.
Le Père Marie-Antoine meurt en odeur de sainteté le 8 février 1907, au couvent de la Côte Pavée qu’il a défendu jusqu’au bout du séquestre. Cinquante mille personnes assistèrent à ses obsèques jusqu’au cimetière de Terre-Cabade. Le 14 novembre 1935 ont lieu l’exhumation et la reconnaissance de son corps, transféré dans la chapelle du couvent qu’il a fondé. C’est là qu’il repose, au 33 avenue Jean-Rieux à Toulouse, aujourd’hui couvent des Carmes, et c’est là que les fidèles continuent à le prier ; ils obtiennent par son intercession de nombreuses grâces, des guérisons et de grandes faveurs.
Les procès en vue de sa béatification ont été remis à Rome en 1932, le décret sur ses écrits a été publié en 1934, sa cause reprise en 1967. Selon un mot de Mgr Salliège qui s’est vivement intéressé à son succès, "le Père Marie-Antoine a gagné de son vivant tant de victoires qu’il saura se jouer des obstacles".
Le Père Marie-Antoine a toujours su accueillir le don de prophétie. Il a écrit un ouvrage sur les prophéties de la révélation privée "Le Grand Pape et le Grand Roi", et c’est à lui que nous dédions et nous confions notre travail de compilation des messages prophétiques. Voici à quoi le Père Marie-Antoine c’est engagé dans ses écrits :
« Jusqu’à la Fin des Temps, je veillerai, j’intercèderai auprès de le Sainte Vierge pour la France. »
Prophétie pour notre temps
Le Miracle de Bayonne
(1451-08-22)
L’inscription gravée qui figure sur une plaque commémorative à l’intérieur de la cathédrale de Bayonne, relate l’apparition d’une Croix dans le ciel, signe céleste donnée par Dieu au bon peuple de France, pour attester de la prédilection de la France comme nation choisie.
La mission de Sainte Jeanne d’Arc de légitimation du caractère sacré de la royauté française, en redonnant confiance au roi Charles VII sur la légitimité de sa personne, et en le conduisant à son sacre en la cathédrale de Reims, et libérant la France de l’occupant Anglais, s’étend bien au-delà de son martyr à Rouen, et bien au-delà du retour de la ville de Bayonne à la Couronne de France.
Voici le texte attestant du miracle de Bayonne :
« Le vendredi XXè d’Août MCCCCLI, vers sept heures du matin au moment où les français victorieux en traient dans le chastel de Baïonne par moult beau temps, au dessus et à droite de la ville du côté de l’Espagne, apparut dans le ciel une grande Croix blanche en forme de crucifix. La couronne sur la tête, laquelle couronne se tourna puis en fleurs de lys.
Assiégeants et assiégés purent contempler la Croix l’espace d’une heure environ. Les habitants émerveillés firent le signe de la croix, ôtèrent leurs bannières et pennons à croix rouge disant qui plairait à Dieu qu’ils fussent français et portassent la Croix blanche. Les comtes Gaston de Foix-Béarn et Dunois annoncèrent l’événement au roi Charles VII qui en fit part à la France entière ordonnant partout des processions d’actions de grâces et faisant frapper la médaille du Miracle de Bayonne. Dieu confirmait ainsi la mission de Jeanne d’Arc.
Pour honorer sa ville épiscopale en rappelant ce prodige, S.G. François-Marie Gieure, évêque de Bayonne a érigé cette plaque commémorative le 30 mai 1928 en la fête de la Sainte Patrie. »
(1451-08-22)
L’inscription gravée qui figure sur une plaque commémorative à l’intérieur de la cathédrale de Bayonne, relate l’apparition d’une Croix dans le ciel, signe céleste donnée par Dieu au bon peuple de France, pour attester de la prédilection de la France comme nation choisie.
La mission de Sainte Jeanne d’Arc de légitimation du caractère sacré de la royauté française, en redonnant confiance au roi Charles VII sur la légitimité de sa personne, et en le conduisant à son sacre en la cathédrale de Reims, et libérant la France de l’occupant Anglais, s’étend bien au-delà de son martyr à Rouen, et bien au-delà du retour de la ville de Bayonne à la Couronne de France.
Voici le texte attestant du miracle de Bayonne :
« Le vendredi XXè d’Août MCCCCLI, vers sept heures du matin au moment où les français victorieux en traient dans le chastel de Baïonne par moult beau temps, au dessus et à droite de la ville du côté de l’Espagne, apparut dans le ciel une grande Croix blanche en forme de crucifix. La couronne sur la tête, laquelle couronne se tourna puis en fleurs de lys.
Assiégeants et assiégés purent contempler la Croix l’espace d’une heure environ. Les habitants émerveillés firent le signe de la croix, ôtèrent leurs bannières et pennons à croix rouge disant qui plairait à Dieu qu’ils fussent français et portassent la Croix blanche. Les comtes Gaston de Foix-Béarn et Dunois annoncèrent l’événement au roi Charles VII qui en fit part à la France entière ordonnant partout des processions d’actions de grâces et faisant frapper la médaille du Miracle de Bayonne. Dieu confirmait ainsi la mission de Jeanne d’Arc.
Pour honorer sa ville épiscopale en rappelant ce prodige, S.G. François-Marie Gieure, évêque de Bayonne a érigé cette plaque commémorative le 30 mai 1928 en la fête de la Sainte Patrie. »
Prophétie pour notre temps
Ame Sainte
(1974-11-01)
Message de la Très Sainte Vierge Marie, adressée en novembre 1974, à une âme sainte, et jointe au message prophétique de Padre Pio de 1959 :
« Préparez-vous, préparez-vous, Mes enfants, à sauver votre âme avant qu’il ne soit trop tard, le temps se fait court et les jours douloureux vous touchent de près.
Si vous faites la sourde oreille aux pressants appels des voix du Ciel, la Justice du Père Eternel, qui est imminente, viendra vous surprendre et peu d’entre vous échapperont au désastre qui sera sans précédant dans l’histoire de l’humanité.
Il y aura de grandes dévastations et hécatombe de corps ; les âmes élues pour entrer dans le royaume seront comptées.
La recrudescence de la violence, de l’immoralité, de la licence des mœurs, de l’indifférence aux devoirs religieux est la façon de vivre de ce monde où la plupart des hommes se laissent séduire par toutes les convoitises qui les conduisent à leur perte.
Ne voyez-vous pas les dangers de tous ordres qui se répandent parmi les nations gouvernées par Satan ?
Les guerres fratricides qui dressent les peuples, les uns contre les autres pour s’emparer de leurs biens, par des injustices sociales, la haine et les multiples souffrances imposées par la domination et la force criminelles des plus forts à l’égard des plus faibles ?
Pourquoi n’êtes-vous pas restés fidèles à la vérité, à la vraie doctrine ? Lisez les Saintes Ecritures, les paroles de Jésus et de Ses Apôtres, faites-en votre profit sinon vous vous égarerez sur le chemin de la perdition avec ceux qui vous trompent.
L’étau se referme sur le plus grand nombre d’entre vous qui ne s’attachent qu’à l’aisance matérielle en négligeant d’assurer leur salut.
Vous êtes devenus insensible à tout ce qui ne satisfait pas vos jouissances égoïstes, ne recherchant que le plaisir et l’accumulation des richesses.
Vous vous détournez de vos obligations spirituelles, de la prière, sans vous préoccuper que d’un jour à l’autre, vous devrez tout quitter et disparaître du monde terrestre en abandonnant tous vos trésors.
Il vous faudra alors paraître devant le Juge Suprême, car personne ne peut y échapper, et ce sera des pleurs et des grincements de dents, des lamentations sans fin dans les affres de l’abîme.
Dans votre course vers le paganisme, vous vous serez précipité dans les filets des agents de l’enfer à qui vous avez donné votre préférence par votre orgueil, votre manque de foi, rejetant l’Amour de Mon Fils Jésus qui a été crucifié. »
(1974-11-01)
Message de la Très Sainte Vierge Marie, adressée en novembre 1974, à une âme sainte, et jointe au message prophétique de Padre Pio de 1959 :
« Préparez-vous, préparez-vous, Mes enfants, à sauver votre âme avant qu’il ne soit trop tard, le temps se fait court et les jours douloureux vous touchent de près.
Si vous faites la sourde oreille aux pressants appels des voix du Ciel, la Justice du Père Eternel, qui est imminente, viendra vous surprendre et peu d’entre vous échapperont au désastre qui sera sans précédant dans l’histoire de l’humanité.
Il y aura de grandes dévastations et hécatombe de corps ; les âmes élues pour entrer dans le royaume seront comptées.
La recrudescence de la violence, de l’immoralité, de la licence des mœurs, de l’indifférence aux devoirs religieux est la façon de vivre de ce monde où la plupart des hommes se laissent séduire par toutes les convoitises qui les conduisent à leur perte.
Ne voyez-vous pas les dangers de tous ordres qui se répandent parmi les nations gouvernées par Satan ?
Les guerres fratricides qui dressent les peuples, les uns contre les autres pour s’emparer de leurs biens, par des injustices sociales, la haine et les multiples souffrances imposées par la domination et la force criminelles des plus forts à l’égard des plus faibles ?
Pourquoi n’êtes-vous pas restés fidèles à la vérité, à la vraie doctrine ? Lisez les Saintes Ecritures, les paroles de Jésus et de Ses Apôtres, faites-en votre profit sinon vous vous égarerez sur le chemin de la perdition avec ceux qui vous trompent.
L’étau se referme sur le plus grand nombre d’entre vous qui ne s’attachent qu’à l’aisance matérielle en négligeant d’assurer leur salut.
Vous êtes devenus insensible à tout ce qui ne satisfait pas vos jouissances égoïstes, ne recherchant que le plaisir et l’accumulation des richesses.
Vous vous détournez de vos obligations spirituelles, de la prière, sans vous préoccuper que d’un jour à l’autre, vous devrez tout quitter et disparaître du monde terrestre en abandonnant tous vos trésors.
Il vous faudra alors paraître devant le Juge Suprême, car personne ne peut y échapper, et ce sera des pleurs et des grincements de dents, des lamentations sans fin dans les affres de l’abîme.
Dans votre course vers le paganisme, vous vous serez précipité dans les filets des agents de l’enfer à qui vous avez donné votre préférence par votre orgueil, votre manque de foi, rejetant l’Amour de Mon Fils Jésus qui a été crucifié. »
Celine aime ce message
Prophétie pour notre temps
Saint Pio de Pietrelcina
(1968-09-23)
Saint Padre Pio (Francesco Forgione) (1887-1968), célèbre capucin italien et premier prêtre stigmatisé, naît 25 mai 1887, dans l'église du village à Piétrelcina, en Italie du sud, dans l'archidiocèse de Bénévent, de Grazio Forgione et de Maria Giuseppa De Nunzio. C'est là qu'il sera baptisé le lendemain. À 12 ans, il fait sa Confirmation et sa première communion. Après une enfance très pieuse, à 14 ans, le Seigneur l’appelle "à une très haute mission."
En octobre 1902, le jeune Francesco va avec son père à Morcone demander son admission au couvent des Capucins, et le 6 janvier 1903, à l'âge de 16 ans, il entre au noviciat de l'Ordre des Frères Mineurs Capucins à Morcone. C’est là que, le 22 du même mois, il revêt l'habit franciscain en prenant le nom de Frère Pio.
Le 27 janvier 1907, il prononce ses voeux solennels et le 10 août 1910, il reçoit son ordination sacerdotale à Bénévent. Il restera dans sa famille jusqu'en 1916, pour des raisons de santé.
En septembre 1916, il est envoyé au couvent de San Giovanni Rotondo et il y demeure jusqu'à sa mort. Enflammé de l'amour de Dieu et de l'amour du prochain, Padre Pio vécut pleinement sa vocation qui consistait à participer à la rédemption de l'homme, selon la mission spéciale qui caractérisa toute sa vie et qu'il réalisa par la direction spirituelle des fidèles, la réconciliation sacramentelle des pénitents et la célébration de l'Eucharistie. Le moment le plus éminent de son activité apostolique était celui où il célébrait la messe. Les fidèles qui y participaient y percevaient le sommet et la plénitude de sa spiritualité.
Le 5 mai 1956, avec des dons reçus du monde entier, il y fonde un hôpital, la "Casa Sollievo della Sofferenza" pour soulager les souffrances et les misères de nombreuses familles, avec des méthodes thérapeutiques innovantes de médecines douces qui respectent le malades tout en cherchant le soulagement de ses souffrances.
Le 23 septembre 1968, peu après avoir fêté le cinquantième anniversaire de sa stigmatisation, et après avoir reçu le sacrement de l'extrême-onction pour les malades, Padre Pio s'éteint paisiblement, un chapelet à la main, en prononçant "Jésus ! Marie !".
Il est canonisé le dimanche 16 juin 2002 à Rome par le Pape Jean-Paul II.
Déjà durant sa vie Padre Pio a connu une grande renommée de sainteté, due à ses vertus, à son esprit de prière, de sacrifice et de consécration totale au bien des âmes. Au cours des années qui ont suivi sa mort, la renommée de sa sainteté et de ses miracles est allée en se développant. Padre Pio comblé par Dieu de charismes étonnants, a passé sa vie à diriger les âmes, confesser et célébrer la messe. Aujourd'hui sa tombe attire un flot ininterrompu de pèlerins venus du monde entier. La mystérieuse fécondité de sa longue vie de prêtre et de religieux fils de Saint François d'Assise continue d’opérer dans une popularité hors du commun, drainant des milliers de fidèles, en confirmant que l'esprit du Saint Homme est encore bien vivant.
Il a était révélé à une âme privilégiée française, Agnès-Marie, que Saint Padre n’est pas dans son tombeau, son corps s’étant dématérialisé sans réduction des chairs des chairs. Ce phénomène mystique est commun à St Jean l’Evangéliste, à Marie Mesmin, la mystique de la Vierge en Pleurs de Bordeaux, et à quelques autres âmes choisies. Ce phénomène est, semble t-il réservé aux élus qui doivent réapparaître à la fin des temps. Une chose est certaine, c’est que Saint Padre Pio est toujours très actif, car il continue de se manifester de manière surnaturelle à de nombreuses âme choisies, pour continuer de développer et de gérer ses œuvres de charité, en divers lieux du monde, et en particulier en Afrique, au Bénin.
Padre Pio nous invite à cultiver une bonne, humble, saine et joyeuse estime de soi afin de porter du fruit, dépouillé des soucis du monde.
« Avance avec simplicité sur les voies du Seigneur, et ne te fais pas de souci. Déteste tes défauts, oui, mais tranquillement, sans agitation, ni inquiétude. Il faut user de patience à leur égard et en tirer profit grâce à une sainte humilité. Faute de patience, tes imperfections, au lieu de disparaître, ne feront que croître. Car il n'y a rien qui renforce tant nos défauts que l'inquiétude et l'obsession de s'en débarrasser.
Cultive ta vigne d'un commun accord avec Jésus. A toi revient la tâche d'enlever les pierres et d'arracher les ronces. A Jésus, celle de semer, planter, cultiver et arroser. Mais même dans ton travail, c'est encore Lui qui agit. Car sans le Christ, tu ne pourrais rien faire. »
Le texte qui suit, daté de fin Mai 1950, est un message prophétique de Notre-Seigneur Jésus-Christ, attribué à Padre Pio :
« Un grand châtiment se prépare : ce sera effroyable comme jamais depuis la création du monde.
L’Heure de ma venue est proche, mais Je manifesterai Ma Miséricorde.
Votre époque sera témoin d’un châtiment terrible.
Mes Anges qui seront les exécuteurs de ce travail sont prêts.
Ils prendront un soin spirituel d’anéantir tous ceux qui se moquent de Moi et qui ne croiront pas à Mes Prophéties.
Des ouragans de feu seront lancés des nuages et s’étendront à la terre entière.
Des orages, des tempêtes, du tonnerre et des pluies ininterrompues, des tremblements de terre couvriront la terre entière pendant 3 jours et 3 nuits.
Une pluie ininterrompue surviendra alors, elle commencera par une nuit très froide.
Tout ceci pour prouver que Dieu est le Maître de Sa Création.
Ceux qui espèrent et croient en Mes paroles n’auront rien à redouter ni ceux qui répandent Mon message car Je ne les abandonnerai pas. Aucun mal n’arrivera à ceux qui seront en état de grâce et chercheront la protection de Ma Mère.
Pour vous préparer à cette épreuve, Je vous donnerai des signes et des instructions.
La nuit sera très froide, le vent surgira après un certain temps, le tonnerre se fera entendre.
Fermez toutes les portes et les fenêtres.
Ne parlez à personne de l’extérieur.
Agenouillez-vous devant votre Crucifix, regrettez vos péchés.
Priez Ma Mère pour obtenir sa protection.
Ne regardez pas dehors pendant le tremblement de terre, parce que le courroux de Dieu est Saint.
La vue des effets de sa Colère, vous ne la supporteriez pas (Jésus ne veut pas que nous regardions avec curiosité la colère de Dieu parce qu’elle doit être contemplée avec crainte et tremblement).
Ceux qui négligeront cet avertissement seront abandonnés et instantanément tués de frayeur par la colère divine.
Le vent emportera des gaz empoisonnés qui se répandront par toute la terre.
Ceux qui souffriront innocemment seront martyrs et entreront dans Mon Royaume.
Satan triomphera (semblera triompher un instant) mais après 3 nuits, le tremblement de terre et le feu cesseront et le jour suivant, le soleil brillera de nouveau.
Après ces châtiments, les Anges descendront du Ciel et répandront l’esprit de Paix sur la terre.
Un sentiment de gratitude incommensurable prendra possession de tous ceux qui survivront à cette terrible épreuve.
Il faut prier ! Dites pieusement le chapelet en commun si possible ou seul, mais dites-le bien.
L’Heure approche, priez sans relâche, vous ne serez pas déçus.
Les hommes n’entendent pas mon appel, ils durcissent leurs cœurs, ils résistent à ma grâce ; ils repoussent Ma Miséricorde et Mon Amour.
L’humanité est pire que lors du déluge.
L’humanité étouffe dans le marasme du péché.
J’ai grande envie d’exterminer cette race, mais à cause des justes, Je laisserai régner Ma Miséricorde.»
(1968-09-23)
Saint Padre Pio (Francesco Forgione) (1887-1968), célèbre capucin italien et premier prêtre stigmatisé, naît 25 mai 1887, dans l'église du village à Piétrelcina, en Italie du sud, dans l'archidiocèse de Bénévent, de Grazio Forgione et de Maria Giuseppa De Nunzio. C'est là qu'il sera baptisé le lendemain. À 12 ans, il fait sa Confirmation et sa première communion. Après une enfance très pieuse, à 14 ans, le Seigneur l’appelle "à une très haute mission."
En octobre 1902, le jeune Francesco va avec son père à Morcone demander son admission au couvent des Capucins, et le 6 janvier 1903, à l'âge de 16 ans, il entre au noviciat de l'Ordre des Frères Mineurs Capucins à Morcone. C’est là que, le 22 du même mois, il revêt l'habit franciscain en prenant le nom de Frère Pio.
Le 27 janvier 1907, il prononce ses voeux solennels et le 10 août 1910, il reçoit son ordination sacerdotale à Bénévent. Il restera dans sa famille jusqu'en 1916, pour des raisons de santé.
En septembre 1916, il est envoyé au couvent de San Giovanni Rotondo et il y demeure jusqu'à sa mort. Enflammé de l'amour de Dieu et de l'amour du prochain, Padre Pio vécut pleinement sa vocation qui consistait à participer à la rédemption de l'homme, selon la mission spéciale qui caractérisa toute sa vie et qu'il réalisa par la direction spirituelle des fidèles, la réconciliation sacramentelle des pénitents et la célébration de l'Eucharistie. Le moment le plus éminent de son activité apostolique était celui où il célébrait la messe. Les fidèles qui y participaient y percevaient le sommet et la plénitude de sa spiritualité.
Le 5 mai 1956, avec des dons reçus du monde entier, il y fonde un hôpital, la "Casa Sollievo della Sofferenza" pour soulager les souffrances et les misères de nombreuses familles, avec des méthodes thérapeutiques innovantes de médecines douces qui respectent le malades tout en cherchant le soulagement de ses souffrances.
Le 23 septembre 1968, peu après avoir fêté le cinquantième anniversaire de sa stigmatisation, et après avoir reçu le sacrement de l'extrême-onction pour les malades, Padre Pio s'éteint paisiblement, un chapelet à la main, en prononçant "Jésus ! Marie !".
Il est canonisé le dimanche 16 juin 2002 à Rome par le Pape Jean-Paul II.
Déjà durant sa vie Padre Pio a connu une grande renommée de sainteté, due à ses vertus, à son esprit de prière, de sacrifice et de consécration totale au bien des âmes. Au cours des années qui ont suivi sa mort, la renommée de sa sainteté et de ses miracles est allée en se développant. Padre Pio comblé par Dieu de charismes étonnants, a passé sa vie à diriger les âmes, confesser et célébrer la messe. Aujourd'hui sa tombe attire un flot ininterrompu de pèlerins venus du monde entier. La mystérieuse fécondité de sa longue vie de prêtre et de religieux fils de Saint François d'Assise continue d’opérer dans une popularité hors du commun, drainant des milliers de fidèles, en confirmant que l'esprit du Saint Homme est encore bien vivant.
Il a était révélé à une âme privilégiée française, Agnès-Marie, que Saint Padre n’est pas dans son tombeau, son corps s’étant dématérialisé sans réduction des chairs des chairs. Ce phénomène mystique est commun à St Jean l’Evangéliste, à Marie Mesmin, la mystique de la Vierge en Pleurs de Bordeaux, et à quelques autres âmes choisies. Ce phénomène est, semble t-il réservé aux élus qui doivent réapparaître à la fin des temps. Une chose est certaine, c’est que Saint Padre Pio est toujours très actif, car il continue de se manifester de manière surnaturelle à de nombreuses âme choisies, pour continuer de développer et de gérer ses œuvres de charité, en divers lieux du monde, et en particulier en Afrique, au Bénin.
Padre Pio nous invite à cultiver une bonne, humble, saine et joyeuse estime de soi afin de porter du fruit, dépouillé des soucis du monde.
« Avance avec simplicité sur les voies du Seigneur, et ne te fais pas de souci. Déteste tes défauts, oui, mais tranquillement, sans agitation, ni inquiétude. Il faut user de patience à leur égard et en tirer profit grâce à une sainte humilité. Faute de patience, tes imperfections, au lieu de disparaître, ne feront que croître. Car il n'y a rien qui renforce tant nos défauts que l'inquiétude et l'obsession de s'en débarrasser.
Cultive ta vigne d'un commun accord avec Jésus. A toi revient la tâche d'enlever les pierres et d'arracher les ronces. A Jésus, celle de semer, planter, cultiver et arroser. Mais même dans ton travail, c'est encore Lui qui agit. Car sans le Christ, tu ne pourrais rien faire. »
Le texte qui suit, daté de fin Mai 1950, est un message prophétique de Notre-Seigneur Jésus-Christ, attribué à Padre Pio :
« Un grand châtiment se prépare : ce sera effroyable comme jamais depuis la création du monde.
L’Heure de ma venue est proche, mais Je manifesterai Ma Miséricorde.
Votre époque sera témoin d’un châtiment terrible.
Mes Anges qui seront les exécuteurs de ce travail sont prêts.
Ils prendront un soin spirituel d’anéantir tous ceux qui se moquent de Moi et qui ne croiront pas à Mes Prophéties.
Des ouragans de feu seront lancés des nuages et s’étendront à la terre entière.
Des orages, des tempêtes, du tonnerre et des pluies ininterrompues, des tremblements de terre couvriront la terre entière pendant 3 jours et 3 nuits.
Une pluie ininterrompue surviendra alors, elle commencera par une nuit très froide.
Tout ceci pour prouver que Dieu est le Maître de Sa Création.
Ceux qui espèrent et croient en Mes paroles n’auront rien à redouter ni ceux qui répandent Mon message car Je ne les abandonnerai pas. Aucun mal n’arrivera à ceux qui seront en état de grâce et chercheront la protection de Ma Mère.
Pour vous préparer à cette épreuve, Je vous donnerai des signes et des instructions.
La nuit sera très froide, le vent surgira après un certain temps, le tonnerre se fera entendre.
Fermez toutes les portes et les fenêtres.
Ne parlez à personne de l’extérieur.
Agenouillez-vous devant votre Crucifix, regrettez vos péchés.
Priez Ma Mère pour obtenir sa protection.
Ne regardez pas dehors pendant le tremblement de terre, parce que le courroux de Dieu est Saint.
La vue des effets de sa Colère, vous ne la supporteriez pas (Jésus ne veut pas que nous regardions avec curiosité la colère de Dieu parce qu’elle doit être contemplée avec crainte et tremblement).
Ceux qui négligeront cet avertissement seront abandonnés et instantanément tués de frayeur par la colère divine.
Le vent emportera des gaz empoisonnés qui se répandront par toute la terre.
Ceux qui souffriront innocemment seront martyrs et entreront dans Mon Royaume.
Satan triomphera (semblera triompher un instant) mais après 3 nuits, le tremblement de terre et le feu cesseront et le jour suivant, le soleil brillera de nouveau.
Après ces châtiments, les Anges descendront du Ciel et répandront l’esprit de Paix sur la terre.
Un sentiment de gratitude incommensurable prendra possession de tous ceux qui survivront à cette terrible épreuve.
Il faut prier ! Dites pieusement le chapelet en commun si possible ou seul, mais dites-le bien.
L’Heure approche, priez sans relâche, vous ne serez pas déçus.
Les hommes n’entendent pas mon appel, ils durcissent leurs cœurs, ils résistent à ma grâce ; ils repoussent Ma Miséricorde et Mon Amour.
L’humanité est pire que lors du déluge.
L’humanité étouffe dans le marasme du péché.
J’ai grande envie d’exterminer cette race, mais à cause des justes, Je laisserai régner Ma Miséricorde.»
Prophétie pour notre temps
Cet autre texte prophétique reçu par Padre Pio complète le précédant :
« Notre Seigneur : Je suis tout près… Je viendrai sur cette terre portant le fardeau des péchés.
La terre tremblera violemment, des masses de nuages s’enflammeront et un feu descendra du ciel, des éclairs réduiront en cendres tout ce qui est corrompu, l’air sera imprégné de gaz, et lourd d’une fumée suffocante que des vents violents répandront partout. Les hauts bâtiments, construits par l’homme avec son esprit orgueilleux, seront détruits.
Alors l’humanité verra que, sur elle, plane une volonté si puissante que tous les projets insensés, de vaine gloire, seront réduits en cendres. Un Ange destructeur anéantira définitivement les forces imprégnées de sophisme et de blasphème qui se sont opposées à l’Evangile du Christ.
Malheur à vous, impies, qui vous jouez de Moi, au travers de vos théories hypocrites et fausses.
Quand à vous, disciples fidèles, Je vous ai averti de ne pas suivre de faux prophètes et de faux christs. Je suis Votre Sauveur.
Quand l’Ange Exterminateur commencera à accomplir sa mission avec l’épée de la Justice, alors votre foi devra être ferme comme un rocher.
Ayez confiance en Moi, Je vous protégerai, Je vous protégerai.
Je vous donnerai un signe pour vous faire connaître le principe de mon jugement. Par une froide nuit d’hiver, je vous ferai retentir le tonnerre qui fera trembler les montagnes. Alors, fermez les fenêtres et ne regardez pas au-dehors.
Ne profanez pas vos yeux en jetant votre regard sur ces événements terribles, parce que trois fois saintes est la Justice de Dieu qui purifiera la terre à travers vous, mon troupeau fidèle.
Mettez-vous sous la protection de Ma Mère.
Qu’importe ce que vous pourrez voir ou entendre, ne désespérez pas, cela précédera la Fin des Temps. Mais alors, réunissez-vous pour prier. Invoquez vos Anges Gardiens. Combattez avec confiance en Mon Nom, ne doutez pas de votre libération.
Moi je vous garderai de tous les dangers si vous avez confiance en Mon Amour... demeurez près de Mon Cœur et combattez pour le salut des âmes.
Offrez vos épreuves, vos tentations, les vexations qui vous arriveront, pour le salut des pécheurs, pour les prêtres infidèles qui prêchent l’erreur avec ténacité. Ceux-ci sont toujours près de mon Cœur, demandez pour eux la contrition parfaite à l’heure de leur mort.
Persévérez pendant une nuit et un jour dans la prière, la nuit suivante portera la fin des tribulations avec l’aurore du lendemain. Le soleil donnera à nouveau sa chaleur, et sa lumière remplacera les ténèbres.
Alors, acceptez avec gratitude la nouvelle vie qui vous sera offerte. Vous vivez dans la justice et la simplicité, la paix et l’amour seront ma volonté.
Consolez, encouragez, priez, afin qu’une race renouvelée naisse de la joie de votre cœur.
Et vous, âmes consacrées, Je vous supplie de vous plier à sa volonté, comme victimes pour le salut de vos frères. Aucune affliction ne vous sera épargnée.
Restez en éveil, résistez au monde, parce que les mauvais esprits essayeront de vous séduire. Luttez dans l’humilité et le silence, appliquez-vous à la prière et au don du sacrifice, avec la conviction de vous appliquer à un devoir sacré.
Ayez de la compassion pour vos frères qui sont dans l’erreur. Soyez crucifiés afin de rendre le ciel clément envers les hommes.
Moi je suis prêt à agir. La terre est en train de trembler.
Cela sera le dernier Jugement mais soyez sans crainte, Je serai avec vous.
Ceux qui M’attendent auront Ma grâce et Mon assistance, mais pour ceux qui ne seront pas en état de grâce, ce sera terrible.
Les Anges de la Justice sont déjà placés aux quatre coins de la terre. Je me manifesterai à tous les hommes et chaque homme me reconnaîtra pour son Dieu. Je suis à la porte…
La terre tremblera, les hommes gémiront, l’œuvre de l’Esprit Saint se consumera.
Les hommes n’entendent pas Mon appel ; les pêcheurs durcissent leur cœur, ils résistent à Ma grâce ; ils repoussent Ma Miséricorde et Mon Amour.
L’humanité est pire qu’avant le Déluge. Le monde est enveloppé de ténèbres.
L’humanité étouffe dans le marasme de l’erreur et du péché.
J’ai grande envie d’exterminer cette race, mais à cause des justes, Je laisserai régner Ma Miséricorde. La coupe de la colère va se déverser sur la terre, mais bientôt, l’Ange de la Paix planera sur elle. Je veux guérir et assainir les plaies qui saignent actuellement ; Ma Miséricorde dépassera Ma Justice.
Vous, Mes fidèles, priez sans interruption ; ne vous endormez pas comme Mes disciples au Jardin des Oliviers. Priez sans interruption afin de sauver le monde. Puisez dans Mes mérites pour vous-même et pour les autres.
Mes enfants, je viendrai bientôt. Ce qui va venir dépassera tout ce que vous pouvez imaginer. De grandes choses se préparent : ce sera effroyable, comme jamais depuis la création du monde.
Je viendrai et Je ferai connaître au monde Ma volonté.
Tous ceux qui auront souffert pendant cette période… seront la semence de l’Eglise nouvelle ; ils participeront à Ma Flagellation, à Mon Couronnement d’épines, à Mon Chemin de Croix.
La Mère de Dieu et tous les chœurs des Anges seront à l’œuvre pendant ces événements, afin de sauver les âmes. L’enfer croit pouvoir faire une belle récolte pendant ce cataclysme, mais Je l’empêcherai ; Je lui arracherai sa moisson ; Je viendrai et avec Moi Ma Paix.
Avec peu de fidèles, J’établirai Mon Règne. Je leur donnerai une lumière particulière. Elle leur apportera le salut, et aux autres les ténèbres. L’humanité connaîtra Ma Puissance et Mon Amour.
Mes enfants, l’heure approche, priez sans relâche, priez pour recevoir le don de force des martyrs, afin de traverser cette période d’épreuve.
Je rassemble les miens, de toutes les directions, et ils viendront pour Me rendre gloire. Je viendrai. Bienheureux ceux qui seront prêts à me recevoir.
La dernière guerre mondiale n’était qu’une goutte d’eau en comparaison de ce que la Justice Immanente réserve pour l’Avenir.
Ma divine Mère vous a dit : "Je suis la grande Médiatrice des Grâces."
De même que monde avait besoin du sacrifice du Fils de Dieu pour obtenir la Miséricorde du Père, réfugiez-vous dans mon Cœur afin de surmonter toutes vos peines.
Implorez la protection de ma Divine Mère, grandissez dans votre confiance et espérez tout de Moi. Je vous donnerai plus que vous n’osez espérer. Offrez et consacrez votre cœur à mon Sacré-Cœur. Faites que Mon Cœur soit votre refuge, c’est là que vous trouverez le repos. De là découle le bonheur.
Plongez toutes vos imperfections, tous vos défauts dans Mon Précieux Sang pour en obtenir l’atténuation.
Persistez dans l’Amour, en union avec Mon Sacrifice, pour la Rédemption de l’humanité. »
« Notre Seigneur : Je suis tout près… Je viendrai sur cette terre portant le fardeau des péchés.
La terre tremblera violemment, des masses de nuages s’enflammeront et un feu descendra du ciel, des éclairs réduiront en cendres tout ce qui est corrompu, l’air sera imprégné de gaz, et lourd d’une fumée suffocante que des vents violents répandront partout. Les hauts bâtiments, construits par l’homme avec son esprit orgueilleux, seront détruits.
Alors l’humanité verra que, sur elle, plane une volonté si puissante que tous les projets insensés, de vaine gloire, seront réduits en cendres. Un Ange destructeur anéantira définitivement les forces imprégnées de sophisme et de blasphème qui se sont opposées à l’Evangile du Christ.
Malheur à vous, impies, qui vous jouez de Moi, au travers de vos théories hypocrites et fausses.
Quand à vous, disciples fidèles, Je vous ai averti de ne pas suivre de faux prophètes et de faux christs. Je suis Votre Sauveur.
Quand l’Ange Exterminateur commencera à accomplir sa mission avec l’épée de la Justice, alors votre foi devra être ferme comme un rocher.
Ayez confiance en Moi, Je vous protégerai, Je vous protégerai.
Je vous donnerai un signe pour vous faire connaître le principe de mon jugement. Par une froide nuit d’hiver, je vous ferai retentir le tonnerre qui fera trembler les montagnes. Alors, fermez les fenêtres et ne regardez pas au-dehors.
Ne profanez pas vos yeux en jetant votre regard sur ces événements terribles, parce que trois fois saintes est la Justice de Dieu qui purifiera la terre à travers vous, mon troupeau fidèle.
Mettez-vous sous la protection de Ma Mère.
Qu’importe ce que vous pourrez voir ou entendre, ne désespérez pas, cela précédera la Fin des Temps. Mais alors, réunissez-vous pour prier. Invoquez vos Anges Gardiens. Combattez avec confiance en Mon Nom, ne doutez pas de votre libération.
Moi je vous garderai de tous les dangers si vous avez confiance en Mon Amour... demeurez près de Mon Cœur et combattez pour le salut des âmes.
Offrez vos épreuves, vos tentations, les vexations qui vous arriveront, pour le salut des pécheurs, pour les prêtres infidèles qui prêchent l’erreur avec ténacité. Ceux-ci sont toujours près de mon Cœur, demandez pour eux la contrition parfaite à l’heure de leur mort.
Persévérez pendant une nuit et un jour dans la prière, la nuit suivante portera la fin des tribulations avec l’aurore du lendemain. Le soleil donnera à nouveau sa chaleur, et sa lumière remplacera les ténèbres.
Alors, acceptez avec gratitude la nouvelle vie qui vous sera offerte. Vous vivez dans la justice et la simplicité, la paix et l’amour seront ma volonté.
Consolez, encouragez, priez, afin qu’une race renouvelée naisse de la joie de votre cœur.
Et vous, âmes consacrées, Je vous supplie de vous plier à sa volonté, comme victimes pour le salut de vos frères. Aucune affliction ne vous sera épargnée.
Restez en éveil, résistez au monde, parce que les mauvais esprits essayeront de vous séduire. Luttez dans l’humilité et le silence, appliquez-vous à la prière et au don du sacrifice, avec la conviction de vous appliquer à un devoir sacré.
Ayez de la compassion pour vos frères qui sont dans l’erreur. Soyez crucifiés afin de rendre le ciel clément envers les hommes.
Moi je suis prêt à agir. La terre est en train de trembler.
Cela sera le dernier Jugement mais soyez sans crainte, Je serai avec vous.
Ceux qui M’attendent auront Ma grâce et Mon assistance, mais pour ceux qui ne seront pas en état de grâce, ce sera terrible.
Les Anges de la Justice sont déjà placés aux quatre coins de la terre. Je me manifesterai à tous les hommes et chaque homme me reconnaîtra pour son Dieu. Je suis à la porte…
La terre tremblera, les hommes gémiront, l’œuvre de l’Esprit Saint se consumera.
Les hommes n’entendent pas Mon appel ; les pêcheurs durcissent leur cœur, ils résistent à Ma grâce ; ils repoussent Ma Miséricorde et Mon Amour.
L’humanité est pire qu’avant le Déluge. Le monde est enveloppé de ténèbres.
L’humanité étouffe dans le marasme de l’erreur et du péché.
J’ai grande envie d’exterminer cette race, mais à cause des justes, Je laisserai régner Ma Miséricorde. La coupe de la colère va se déverser sur la terre, mais bientôt, l’Ange de la Paix planera sur elle. Je veux guérir et assainir les plaies qui saignent actuellement ; Ma Miséricorde dépassera Ma Justice.
Vous, Mes fidèles, priez sans interruption ; ne vous endormez pas comme Mes disciples au Jardin des Oliviers. Priez sans interruption afin de sauver le monde. Puisez dans Mes mérites pour vous-même et pour les autres.
Mes enfants, je viendrai bientôt. Ce qui va venir dépassera tout ce que vous pouvez imaginer. De grandes choses se préparent : ce sera effroyable, comme jamais depuis la création du monde.
Je viendrai et Je ferai connaître au monde Ma volonté.
Tous ceux qui auront souffert pendant cette période… seront la semence de l’Eglise nouvelle ; ils participeront à Ma Flagellation, à Mon Couronnement d’épines, à Mon Chemin de Croix.
La Mère de Dieu et tous les chœurs des Anges seront à l’œuvre pendant ces événements, afin de sauver les âmes. L’enfer croit pouvoir faire une belle récolte pendant ce cataclysme, mais Je l’empêcherai ; Je lui arracherai sa moisson ; Je viendrai et avec Moi Ma Paix.
Avec peu de fidèles, J’établirai Mon Règne. Je leur donnerai une lumière particulière. Elle leur apportera le salut, et aux autres les ténèbres. L’humanité connaîtra Ma Puissance et Mon Amour.
Mes enfants, l’heure approche, priez sans relâche, priez pour recevoir le don de force des martyrs, afin de traverser cette période d’épreuve.
Je rassemble les miens, de toutes les directions, et ils viendront pour Me rendre gloire. Je viendrai. Bienheureux ceux qui seront prêts à me recevoir.
La dernière guerre mondiale n’était qu’une goutte d’eau en comparaison de ce que la Justice Immanente réserve pour l’Avenir.
Ma divine Mère vous a dit : "Je suis la grande Médiatrice des Grâces."
De même que monde avait besoin du sacrifice du Fils de Dieu pour obtenir la Miséricorde du Père, réfugiez-vous dans mon Cœur afin de surmonter toutes vos peines.
Implorez la protection de ma Divine Mère, grandissez dans votre confiance et espérez tout de Moi. Je vous donnerai plus que vous n’osez espérer. Offrez et consacrez votre cœur à mon Sacré-Cœur. Faites que Mon Cœur soit votre refuge, c’est là que vous trouverez le repos. De là découle le bonheur.
Plongez toutes vos imperfections, tous vos défauts dans Mon Précieux Sang pour en obtenir l’atténuation.
Persistez dans l’Amour, en union avec Mon Sacrifice, pour la Rédemption de l’humanité. »
Prophétie pour notre temps
Marthe Robin
(1981-02-06)
Marthe Robin est née le 13 mars 1902 à Châteauneuf de Galaure, petit village du Nord du département de la Drôme. Ses parents, Joseph Robin et Célestine Chosson, y possédaient, au quartier des Moïlles, une modeste maison construite en pisé, entourée de 13 hectares de terres. Il fallait travailler dur pour subvenir aux besoins d'une famille de 6 enfants, dont elle était la cadette. En 1903, la famille Robin connut l'épreuve d'une épidémie de fièvre typhoïde. Parmi les enfants atteints, l'avant-dernière, Clémence, en mourut, et Marthe en resta fragile.
Ses parents étaient connus pour leur sociabilité et leur simplicité. Son enfance fut celle d’une fillette ordinaire de la campagne. En 1909, Marthe prit le chemin de l'école, au bas du village de Châteauneuf. Elle fut vraisemblablement bonne élève, faisant preuve d’une mémoire et d’une curiosité d’esprit au-dessus de la moyenne. Elle était souvent malade, ainsi sa santé ne lui permit pas d'accomplir une scolarité suivie : aussi elle ne put passer le Certificat d'Études, mais cela n’affectait en rien sa gaieté naturelle.
A la paroisse de Châteauneuf-de-Galaure, Marthe Robin reçut le sacrement de Confirmation en 1911, fit sa première Communion, le 15 Août 1912. Dès son enfance, elle a eu, pour la Sainte Vierge une affection filiale et c'est bien souvent qu'elle la prie. Marie sera toujours pour elle Mère et Éducatrice. En 1914, elle quitte l'école du village et prend part aux travaux de la maison et de la ferme.
En 1918, Marthe Robin ressent les premiers effets de la maladie qui ne la quittera plus : une encéphalite. Marthe commence à souffrir de maux de tête, suivis rapidement d’évanouissements, puis d’une paralysie des deux jambes. Elle entre souvent dans un sommeil profond, soulagement durant des journées de souffrance, pendant presque deux ans. Un début de guérison se produit à 19 ans, le jour de l’Annonciation : la compagne de Marthe dans sa chambre est réveillée par un grand bruit, voit une grande lumière. Marthe lui confie avoir également vu à cet instant la sainte Vierge. Mais sa santé reste très précaire, et elle passe ses journées dans l’immobilité, lisant et brodant.
Tout est fait pour la soigner : visites à plusieurs médecins, soins, cure de bains résineux à Saint Péray en Ardèche. Pour pouvoir acheter les médicaments prescrits, Marthe Robin coud et brode pour quelques personnes qui lui demandent de travailler pour elles, car son travail est toujours particulièrement soigné. Dix ans de luttes contre la maladie, avec espoirs de guérisons et rechutes désespérantes.
La découverte d’un livre dans un grenier fait basculer sa vie, lorsque ses yeux tombent sur une phrase qui la marque à tout jamais : "c’est à la souffrance qu’il faut te préparer". Elle sait à ce moment là que pour elle, c’est ce chemin qui a été choisi. Elle a vingt ans, et décide de tout donner à Dieu.
Elle devait se rendre à Lourdes, pour un pèlerinage plein d’espoir de guérison, mais elle cède sa place à une autre malade de Châteauneuf, s’oubliant elle-même. C’est à partir de ce moment, Marthe l’a confié elle-même à une amie, que la Sainte Vierge commence à la combler de grâces.
A l’âge de 23 ans, elle s’abandonne entièrement à la Volonté divine, et offre sa vie à Dieu, dans un texte extraordinaire de consécration. Et c’est à partir de ce moment que sa vie de souffrance s’intensifie. Elle tombe moins d’un an après dans le coma, pendant 3 semaines. C’est pendant ces moments que Sainte Thérèse de Lisieux lui apparaît trois fois, et lui révèle sa mission pour le monde entier. Mais le corps plongé dans toute cette souffrance, elle conserve inébranlablement son humour, sa joie intérieure, baignée par l’Amour de son Seigneur.
Elle devient paralysée des jambes, et grabataire, elle est condamnée à restée constamment alitée, dans sa chambre. Elle a 26 ans, et y restera jusqu’à sa mort à 78 ans. A partir de cette période, elle ne mangera plus, n’absorbant pour seule nourriture, qu’une hostie qu’on lui apporte une à deux fois par semaine. L’hostie, par un phénomène étrange, n’est pas déglutie, mais entre comme happée.
Les apparitions de la Sainte Vierge se font de plus en plus fréquentes dans la chambre de Marthe. Mais la contrepartie ne se fait pas attendre, et le démon s’attaque à Marthe, lui causant même des dommages physiques (dents cassées, coups...).
A 27 ans, un an après sa paralysie des jambes, Marthe perd l’usage de ses mains.
A 28 ans, Jésus apparaît à Marthe, et lui demande : "Veux-tu être comme Moi ?". Est-il besoin d’imaginer sa réponse ? Quelques mois plus tard, les marques de la crucifixion apparaissent sur son corps. Elle saigne des pieds, des mains, et du coeur. Puis une autre fois, elle saigne abondamment de la tête, sa couronne d’épines lui ayant été enfoncée par Jésus dans une vision. Puis "enfin", elle se sentit une autre fois complètement disloquée, comme placée sur la croix.
Le vendredi qui suivit, Marthe commença à vivre la Passion de Jésus. Cet événement se renouvela chaque semaine, pendant 50 ans... avec pour seule nourriture l’Eucharistie.
Chaque jeudi, commençaient les souffrances de la Passion. Ainsi que les attaques du démon. Mais irrémédiablement, elle entrait ensuite dans une phase d’identification totale avec Jésus, et parlait au Père... puis entrait dans une extase profonde.
Vie de souffrance, vie de service à tous ceux qui ont eu le privilège de l’approcher. Ses visions de la vie de Jésus, son Amour total pour la création du Père, son sacrifice permanent au bonheur des autres, au cours d’une vie hors du commun.
Dans cette chambre de prières et de souffrances, elle reçoit plus de 1000.000 personnes ! Elle a connu quelques-unes des personnalités les plus remarquables de son temps. Elle a changé la vie de centaines de gens, éclairant, consolant, encourageant, en restant une âme simple, avenante, directe, pourvue d'un bon sens, d'un humour, et, d'une intelligence du cœur et des choses qui en faisait un être exceptionnel. Avec le Père Georges Finet, elle fonde les Foyers de Charité, dont le premier à Châteauneuf en septembre 1936.
« Oh Vierge Marie, faites que je sois chaque jour plus docile, plus patiente, plus simple. Qu’on m’ignore et qu’on m’oublie. Je ne demande pas que Dieu fasse en moi des choses visibles, mais uniquement d’être une humble enfant, douce et humble de cœur. »
« De mon Dieu, je suis le calice : ma mission est de Le faire aimer en débordant d’amour, il faut donc que je saisisse toutes les occasions pour répandre lumière et vérité. »
Marthe Robin meurt le vendredi 6 février 1981. Sa cause de béatification fut introduite en 1991.
« Je souffre, disait-elle, mais je suis heureuse de pouvoir offrir mes souffrances pour la patrie, pour les pécheurs et pour l’Eglise. »
De ces visions, nous citons l’avenir glorieux qu’elle a prophétisé :
« Je joue avec les projets des hommes ; ma main droite prépare des miracles et mon nom sera glorifié dans le monde entier. Plus la terre sera hostile à tout ce qui est surnaturel, plus je me complairai à briser l’orgueil des impies, le fait en sera autant plus admirable et extraordinaire. En lieux et place du trône de la bête seront dressés deux trônes glorieux : celui du Sacré-Cœur de Jésus et celui du Cœur immaculé de Marie.
On reconnaîtra que ni le pouvoir humain, ni les démons, ni le génie de l’industrie ne mettront fin à la guerre, mais celle-ci ne se terminera que lorsque la réparation sera consommée.
Prend courage ! car le royaume de Dieu approche. Il commencera par quelque chose d’aussi soudain qu’inespéré. »
Et en 1936, Marthe confie cette prophétie concernant la France, au Père Finet, le co-fondateur des Foyers de Charité :
« La France tombera très bas, plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu'elle se sera choisie. Elle aura le nez dans la poussière. Il n'y aura plus rien. Mais dans sa détresse, elle se souviendra de Dieu. Alors elle criera vers lui, et c'est la Sainte Vierge qui viendra la sauver. La France retrouvera alors sa vocation de Fille aînée de l'Eglise, elle sera le lieu de la plus grande effusion de l'Esprit Saint, et elle enverra à nouveau des missionnaires dans le monde entier. »
Philippe, un retraitant du Foyer de Charité de Châteauneuf-de-Galaure annonce : « J'ai rencontré personnellement Marthe trois fois, et j'ai entendu de mes propres oreilles le père Finet dire :
« Marthe Robin prophétise qu'il va y avoir une faillite économique, et qu'ensuite il y aura la grande Pentecôte d'amour, et que l’ensemble des chrétiens vivront alors en communauté. »
Enfin Marthe nous indique la voie à suivre :
« Allons à Marie,
Elle est celle dont nous avons incessamment besoin. »
Et elle confiait de même à Mgr Chabert :
« Jean-Paul II est le Pape de Marie ; c'est Elle qui l'a spécialement choisi ; Nous sommes dans Le Temps de Marie. »
Prière de Marthe Robin pour la France :
« O Père, ô mon Dieu, délivrez, sauvez maintenant votre France.
Préparez le coeur de vos enfants à la mission qu'ils vont avoir à accomplir pour toutes les nations, pour l'Eglise tout entière.
O Père, ô mon Dieu, que les coeurs de vos élus tressaillent maintenant à votre appel, reconnaissant votre voix, votre commandement, votre invitation à agir.
Conduisez-les, ô mon Dieu, chacun à sa place et chacun à sa mission.
Imposez-leur vous-même tout ce que vous voudrez de chacun d'eux et de tous.
Que rien ne soit l'effet de leur propre choix mais uniquement de votre unique volonté d'amour.
Vierge immaculée, ne les laissez pas s'égarer ni se tromper.
Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit.
Coeur immaculé de Marie, priez pour nous.
Saints et saintes de France, intercédez pour nous. »
La prière du Silence de Marthe à Marie
« O ma Sainte et Bonne Mère ! Donnez-moi, donnez à tous de comprendre la grande valeur du silence dans lequel on entend Dieu ! Apprenez-moi à me taire pour écouter la Sagesse éternelle. Apprenez-moi à tirer du silence tout ce qu'il renferme de grand, de saint, de surnaturel, de divin. Aidez-moi à en faire une prière parfaite, une prière toute de foi, de confiance et d'amour. Une prière vibrante, agissante, féconde, capable de glorifier Dieu et de sauver les âmes ! »
(1981-02-06)
Marthe Robin est née le 13 mars 1902 à Châteauneuf de Galaure, petit village du Nord du département de la Drôme. Ses parents, Joseph Robin et Célestine Chosson, y possédaient, au quartier des Moïlles, une modeste maison construite en pisé, entourée de 13 hectares de terres. Il fallait travailler dur pour subvenir aux besoins d'une famille de 6 enfants, dont elle était la cadette. En 1903, la famille Robin connut l'épreuve d'une épidémie de fièvre typhoïde. Parmi les enfants atteints, l'avant-dernière, Clémence, en mourut, et Marthe en resta fragile.
Ses parents étaient connus pour leur sociabilité et leur simplicité. Son enfance fut celle d’une fillette ordinaire de la campagne. En 1909, Marthe prit le chemin de l'école, au bas du village de Châteauneuf. Elle fut vraisemblablement bonne élève, faisant preuve d’une mémoire et d’une curiosité d’esprit au-dessus de la moyenne. Elle était souvent malade, ainsi sa santé ne lui permit pas d'accomplir une scolarité suivie : aussi elle ne put passer le Certificat d'Études, mais cela n’affectait en rien sa gaieté naturelle.
A la paroisse de Châteauneuf-de-Galaure, Marthe Robin reçut le sacrement de Confirmation en 1911, fit sa première Communion, le 15 Août 1912. Dès son enfance, elle a eu, pour la Sainte Vierge une affection filiale et c'est bien souvent qu'elle la prie. Marie sera toujours pour elle Mère et Éducatrice. En 1914, elle quitte l'école du village et prend part aux travaux de la maison et de la ferme.
En 1918, Marthe Robin ressent les premiers effets de la maladie qui ne la quittera plus : une encéphalite. Marthe commence à souffrir de maux de tête, suivis rapidement d’évanouissements, puis d’une paralysie des deux jambes. Elle entre souvent dans un sommeil profond, soulagement durant des journées de souffrance, pendant presque deux ans. Un début de guérison se produit à 19 ans, le jour de l’Annonciation : la compagne de Marthe dans sa chambre est réveillée par un grand bruit, voit une grande lumière. Marthe lui confie avoir également vu à cet instant la sainte Vierge. Mais sa santé reste très précaire, et elle passe ses journées dans l’immobilité, lisant et brodant.
Tout est fait pour la soigner : visites à plusieurs médecins, soins, cure de bains résineux à Saint Péray en Ardèche. Pour pouvoir acheter les médicaments prescrits, Marthe Robin coud et brode pour quelques personnes qui lui demandent de travailler pour elles, car son travail est toujours particulièrement soigné. Dix ans de luttes contre la maladie, avec espoirs de guérisons et rechutes désespérantes.
La découverte d’un livre dans un grenier fait basculer sa vie, lorsque ses yeux tombent sur une phrase qui la marque à tout jamais : "c’est à la souffrance qu’il faut te préparer". Elle sait à ce moment là que pour elle, c’est ce chemin qui a été choisi. Elle a vingt ans, et décide de tout donner à Dieu.
Elle devait se rendre à Lourdes, pour un pèlerinage plein d’espoir de guérison, mais elle cède sa place à une autre malade de Châteauneuf, s’oubliant elle-même. C’est à partir de ce moment, Marthe l’a confié elle-même à une amie, que la Sainte Vierge commence à la combler de grâces.
A l’âge de 23 ans, elle s’abandonne entièrement à la Volonté divine, et offre sa vie à Dieu, dans un texte extraordinaire de consécration. Et c’est à partir de ce moment que sa vie de souffrance s’intensifie. Elle tombe moins d’un an après dans le coma, pendant 3 semaines. C’est pendant ces moments que Sainte Thérèse de Lisieux lui apparaît trois fois, et lui révèle sa mission pour le monde entier. Mais le corps plongé dans toute cette souffrance, elle conserve inébranlablement son humour, sa joie intérieure, baignée par l’Amour de son Seigneur.
Elle devient paralysée des jambes, et grabataire, elle est condamnée à restée constamment alitée, dans sa chambre. Elle a 26 ans, et y restera jusqu’à sa mort à 78 ans. A partir de cette période, elle ne mangera plus, n’absorbant pour seule nourriture, qu’une hostie qu’on lui apporte une à deux fois par semaine. L’hostie, par un phénomène étrange, n’est pas déglutie, mais entre comme happée.
Les apparitions de la Sainte Vierge se font de plus en plus fréquentes dans la chambre de Marthe. Mais la contrepartie ne se fait pas attendre, et le démon s’attaque à Marthe, lui causant même des dommages physiques (dents cassées, coups...).
A 27 ans, un an après sa paralysie des jambes, Marthe perd l’usage de ses mains.
A 28 ans, Jésus apparaît à Marthe, et lui demande : "Veux-tu être comme Moi ?". Est-il besoin d’imaginer sa réponse ? Quelques mois plus tard, les marques de la crucifixion apparaissent sur son corps. Elle saigne des pieds, des mains, et du coeur. Puis une autre fois, elle saigne abondamment de la tête, sa couronne d’épines lui ayant été enfoncée par Jésus dans une vision. Puis "enfin", elle se sentit une autre fois complètement disloquée, comme placée sur la croix.
Le vendredi qui suivit, Marthe commença à vivre la Passion de Jésus. Cet événement se renouvela chaque semaine, pendant 50 ans... avec pour seule nourriture l’Eucharistie.
Chaque jeudi, commençaient les souffrances de la Passion. Ainsi que les attaques du démon. Mais irrémédiablement, elle entrait ensuite dans une phase d’identification totale avec Jésus, et parlait au Père... puis entrait dans une extase profonde.
Vie de souffrance, vie de service à tous ceux qui ont eu le privilège de l’approcher. Ses visions de la vie de Jésus, son Amour total pour la création du Père, son sacrifice permanent au bonheur des autres, au cours d’une vie hors du commun.
Dans cette chambre de prières et de souffrances, elle reçoit plus de 1000.000 personnes ! Elle a connu quelques-unes des personnalités les plus remarquables de son temps. Elle a changé la vie de centaines de gens, éclairant, consolant, encourageant, en restant une âme simple, avenante, directe, pourvue d'un bon sens, d'un humour, et, d'une intelligence du cœur et des choses qui en faisait un être exceptionnel. Avec le Père Georges Finet, elle fonde les Foyers de Charité, dont le premier à Châteauneuf en septembre 1936.
« Oh Vierge Marie, faites que je sois chaque jour plus docile, plus patiente, plus simple. Qu’on m’ignore et qu’on m’oublie. Je ne demande pas que Dieu fasse en moi des choses visibles, mais uniquement d’être une humble enfant, douce et humble de cœur. »
« De mon Dieu, je suis le calice : ma mission est de Le faire aimer en débordant d’amour, il faut donc que je saisisse toutes les occasions pour répandre lumière et vérité. »
Marthe Robin meurt le vendredi 6 février 1981. Sa cause de béatification fut introduite en 1991.
« Je souffre, disait-elle, mais je suis heureuse de pouvoir offrir mes souffrances pour la patrie, pour les pécheurs et pour l’Eglise. »
De ces visions, nous citons l’avenir glorieux qu’elle a prophétisé :
« Je joue avec les projets des hommes ; ma main droite prépare des miracles et mon nom sera glorifié dans le monde entier. Plus la terre sera hostile à tout ce qui est surnaturel, plus je me complairai à briser l’orgueil des impies, le fait en sera autant plus admirable et extraordinaire. En lieux et place du trône de la bête seront dressés deux trônes glorieux : celui du Sacré-Cœur de Jésus et celui du Cœur immaculé de Marie.
On reconnaîtra que ni le pouvoir humain, ni les démons, ni le génie de l’industrie ne mettront fin à la guerre, mais celle-ci ne se terminera que lorsque la réparation sera consommée.
Prend courage ! car le royaume de Dieu approche. Il commencera par quelque chose d’aussi soudain qu’inespéré. »
Et en 1936, Marthe confie cette prophétie concernant la France, au Père Finet, le co-fondateur des Foyers de Charité :
« La France tombera très bas, plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu'elle se sera choisie. Elle aura le nez dans la poussière. Il n'y aura plus rien. Mais dans sa détresse, elle se souviendra de Dieu. Alors elle criera vers lui, et c'est la Sainte Vierge qui viendra la sauver. La France retrouvera alors sa vocation de Fille aînée de l'Eglise, elle sera le lieu de la plus grande effusion de l'Esprit Saint, et elle enverra à nouveau des missionnaires dans le monde entier. »
Philippe, un retraitant du Foyer de Charité de Châteauneuf-de-Galaure annonce : « J'ai rencontré personnellement Marthe trois fois, et j'ai entendu de mes propres oreilles le père Finet dire :
« Marthe Robin prophétise qu'il va y avoir une faillite économique, et qu'ensuite il y aura la grande Pentecôte d'amour, et que l’ensemble des chrétiens vivront alors en communauté. »
Enfin Marthe nous indique la voie à suivre :
« Allons à Marie,
Elle est celle dont nous avons incessamment besoin. »
Et elle confiait de même à Mgr Chabert :
« Jean-Paul II est le Pape de Marie ; c'est Elle qui l'a spécialement choisi ; Nous sommes dans Le Temps de Marie. »
Prière de Marthe Robin pour la France :
« O Père, ô mon Dieu, délivrez, sauvez maintenant votre France.
Préparez le coeur de vos enfants à la mission qu'ils vont avoir à accomplir pour toutes les nations, pour l'Eglise tout entière.
O Père, ô mon Dieu, que les coeurs de vos élus tressaillent maintenant à votre appel, reconnaissant votre voix, votre commandement, votre invitation à agir.
Conduisez-les, ô mon Dieu, chacun à sa place et chacun à sa mission.
Imposez-leur vous-même tout ce que vous voudrez de chacun d'eux et de tous.
Que rien ne soit l'effet de leur propre choix mais uniquement de votre unique volonté d'amour.
Vierge immaculée, ne les laissez pas s'égarer ni se tromper.
Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit.
Coeur immaculé de Marie, priez pour nous.
Saints et saintes de France, intercédez pour nous. »
La prière du Silence de Marthe à Marie
« O ma Sainte et Bonne Mère ! Donnez-moi, donnez à tous de comprendre la grande valeur du silence dans lequel on entend Dieu ! Apprenez-moi à me taire pour écouter la Sagesse éternelle. Apprenez-moi à tirer du silence tout ce qu'il renferme de grand, de saint, de surnaturel, de divin. Aidez-moi à en faire une prière parfaite, une prière toute de foi, de confiance et d'amour. Une prière vibrante, agissante, féconde, capable de glorifier Dieu et de sauver les âmes ! »
Prophétie pour notre temps
Fëkkâré Iyasous
(Vers 0070 ap. J.-C.)
De toutes les branches de la littérature éthiopienne, celle qui a trait aux apocalypses est une des plus riches, non seulement en raison des ouvrages traduits, mais encore des oeuvres originales parfaitement conservées. Les livres apocryphes éthiopiens comporte un livre la Fëkkâré Iyasous (Explication de Jésus) qui appartient à cette classe et qui est d’une importance certaine. Les plus anciens manuscrits qui s’y rapportent, datent du XVIème siècle.
Le Fëkkâré Iyasous rapporte des paroles de Jésus, interrogé par ses disciples, le jour de la Cène, sur les temps futurs et les circonstances qui nous conduiront vers la fin des temps, et qui, plus tard, nous amèneront la fin du monde. Il s’élève d’abord contre la corruption qui règnera, le bouleversement des mœurs qui substituera l’autorité des femmes à celle des hommes et suscitera les dissensions dans les familles (Chacun sait que tout au long de l’histoire du monde, pour la grande majorité des civilisations disparues, on retrouve toujours à l’origine de ces disparitions, deux critères constants, deux causes qui apparaissent toujours : la libération des mœurs et l’émancipation de la femme…).
Le Fëkkâré Iyasous indique que le puissant sera l’instrument de la colère divine : le monde sera séduit par des imposteurs ; le mensonge règnera sur la terre et les fidèles n’auront de consolation qu’au dernier jour. Des prodiges se succèderont : deux soleils, une réduction de la vigueur de l’homme et des animaux, mais la corruption continuera. L’auteur, Esdra, rapporte toute une série de métaphores et de figures pour désigner les bons des méchants : l’or et le fer, les chiens qui parlent dans le ventre de leurs mères, le bœuf rétif et le bœuf docile ; la vigne, les gâteaux, l’aloès ; le corbeau ; le fleuve ; le soleil, la lune et les étoiles. Le mal ne fera que s’accroître : prêtres, moines, rois, chefs, peuples, tous mépriseront la parole divine. Des fléaux annonceront le châtiment : un roi tyrannique, une famine, une conflagration universelle qui ne fera qu’augmenter la perversité générale à laquelle un premier châtiment ne changera rien. De nouveaux malheurs surgiront : une invasion de sauterelles, une suite de troubles pendant lesquels il n’y aura nulle sécurité ; un tremblement de terre et un déluge achèveront la ruine de la terre et les coupables seront punis. Un petit nombre de justes sera épargné. Ils constitueront un royaume qui sera donné à un roi venu de l’Orient (de l’Est) et nommé Théodore (Don de Dieu). Alors commencera une ère de paix et de bonheur qui durera quarante ans. Il sera remplacé par trois rois qui, après trente-sept ans de règne, partiront pour l’Orient, l’Occident et le Nord ; leur disparition annoncera la fin du monde marquée par l’apparition de faux Messies. Viendra ensuite le jugement dernier suivi d’une félicité éternelle pour les justes.
La mention du roi venu de l’Est, Théodore, qui, avant le jugement dernier, doit amener aux juste une ère de paix et de bonheur, indique de manière précise l’avènement du grand Monarque et du Saint Pontife qui relèvera le monde et l’Eglise. Une prédiction analogue, relative à un être désigné par les première lettres de son nom, nous a été conservé dans l’histoire romaine : un oracle répandu en Grèce annonçait que le successeur de Valens serait un homme dont le nom commencerait pas : Θ.E.0.Δ. :
« … Mes frères, tenez-vous sur vos gardes en ces jours. Lorsque viendra la vendange du monde, J’enverrai contre lui les sauterelles et les criquets qui mangeront les fruits de la terre ; J’enverrai contre eux la haine et le trouble dans chaque contrée ; les étrangers qui vont dans les pays seront enfermés ; les vêtements magnifiques disparaîtront et ne seront pas retrouvés (même) avec peine. Tout ce qui est au serviteur, à l’homme libre, à l’étranger disparaîtra et ne se retrouvera pas. Toutes les églises seront fermées : J’enverrai les bêtes de la terre qui les détruiront : les loups, les serpents, les lions, les panthères, les hyènes. Celui qui sortira dans les champs ne rentrera pas ; celui qui partira le matin ne reviendra pas. J’enverrai contre eux un oiseau de proie qui enlèvera les petits à leurs mères.
Mes frères, tenez-vous en garde. Lorsque arrivera la perte de toutes les nations, la terre sera ébranlée trois fois en un jour. Un vent violent viendra de l’Orient ; il renversera leurs maisons et fera périr par un déluge les corps de tous les hommes. Une pluie viendra de l’Occident ; le soleil sera obscurci ; sa force sera diminuée ; sa lumière sera affaiblie pendant 40 jours et 40 nuits, la violence des éclairs apparaîtra et Je diminuerai la terre. Elle Me dira : Seigneur, qu’ai-je fait ? Je lui répondrai : C’est parce que tes fils ont péché. Je diminuerai tous les arbres des champs pour que ce soit un signe. J’enverrai contre eux un aigle qui les rassemblera avec son aile et tuera beaucoup d’hommes en un jour.
Mes frères, tenez-vous en garde. En ces jours, de 15.000 et de 830 moutons et chèvres, on n’en trouvera pas de gras. Les moutons et les chèvres dont je parle ne sont pas des animaux, mais les hommes qui se nomment chrétiens et ne seront pas trouvés juste à l’exception d’un petit nombre.
Ensuite, tous les peuples se rassembleront, chacun dans son pays, ainsi que les rois et les chefs pour que soient moissonnés tous ceux qui ont profané mon nom par le mensonge, qui ont dévoré ce que j’avais de plus précieux, qui n’ont pas agi comme des Chrétiens. Je les lirai par des chaînes et je les condamnerais à mort en un jour ; la fuite ne pourra les y soustraire et leurs forces ne les sauveront pas quand mon heure sera venue. Ils seront comme Pharaon qui fut submergé et précipité dans la mer. Pendant dix-sept jours, ils se frapperont mutuellement de leurs traits. Ils seront tous conduits à leur fin par leurs mauvaises actions ; il n’en survivra qu’un petit nombre pour avoir gardé les prescriptions de ce livre, avoir jeûné et fait pénitence, avant que cette heure ne les atteigne. Puis la terre sera déserte et restera sans habitants pendant vingt-neuf ans. Il ne restera que des rats et des taupes par qui le monde périra.
Ensuite j’amènerai de l’Orient un roi (le grand Monarque) nommé Théodore (Don de Dieu) qui rassemblera ceux que j’aurai épargnés et qui faisaient ma volonté. Il viendra un métropolitain qui consacrera la terre (le saint Pontife) ; toutes les églises détruites seront rétablies et reconstruites sans négligence. En ce temps, j’adoucirai ma colère, j’enverrai ma bienveillance et ma miséricorde. Ma paix descendra sur la terre (comme) rétribution d’un jugement antérieur. Je ferai tomber une pluie d’un ciel sans nuage, pareille à de l’huile, pendant huit jours.
En ce temps-là, il n’y aura pas de troubles, ni de paroles hostiles, ni de haine, ni de traits, ni de flèches. Tout marchera selon la parole du roi et du métropolitain (le grand roi et le grand pape). La terre entière sera remplie de ma bénédiction. Les villes qui auront été détruites seront restaurées, la joie et le contentement règneront sur terre, avec la crainte du nom du Seigneur. En ce temps, il n’y aura ni procès, ni rapine, ni meurtre, mais l’Amour et la Paix descendront sur toute la terre. On célèbrera le Seigneur par des hymnes et des prières pendant quarante ans.
Ensuite règneront trois rois, chacun pendant trente-sept ans. Alors, l’un d’eux partira vers l’Orient, un autre ira vers l’Occident et le troisième vers le Nord. Puis viendront de faux Messies qui égareront beaucoup d’hommes ; il y aura des troubles dans chaque terre : toutes les forces de la terre et des cieux seront ébranlées. Le monde entier finira : le soleil, la lune et les étoiles tomberont ; le ciel et la terre périront : ma voix restera éternellement. Tous les peuples se rassembleront des extrémités de la terre : cent années seront comme un jour.
Alors les justes et les pécheurs, les innocents et les coupables seront séparés ; alors tous les trois et tous les chefs, les ravisseurs, les injustes, les hypocrites et les méchants défendront leur cause. Alors plaideront ceux qui disent : Nous sommes prêtres et notre vêtement est glorieux, ainsi que ceux qui ont été oints par l’Esprit. Ceux qui ont commis des meurtres viendront, couverts de sang, avec des épées, et seront remplis de honte devant moi. Alors se réjouiront ceux qui ont été affligés à cause de Moi ; alors seront affligés ceux qui auront goûté une joie complète sur la terre. Alors riront ceux qui ont pleuré à cause de Moi ; alors s’affligeront ceux qui se sont réjouis de mon chagrin. Alors les humbles seront élevés dans mon royaume ; alors les orgueilleux et les vaniteux tomberont dans la géhenne. Alors revivront tous ceux qui ont été tués à cause de Mon Nom ; alors périront dans le feu tous ceux qui ont tué l’âme des justes. Alors brillera le visage de mes serviteurs qui ont été jugés à cause de Moi. Alors seront vêtus les justes qui ont été nus à cause de Moi. Alors seront maltraités ceux qui ont maltraité et méprisé les pauvres. Alors jouiront d’une double gloire ceux qui ont méprisé ce monde périssable. Alors les impies et les méchants tomberont dans le feu. Alors ceux qui servent et accourent sans négligence seront élevés et monteront jusqu’à Moi. Alors, J’aurai de la clémence et de l’indulgence pour ceux qui auront été miséricordieux à cause de Moi ; alors, je condamnerais à une peine éternelle ceux qui n’auront pas eu pitié à cause de Moi.
Ensuite, il n’y aura plus d’été ni d’hiver, de semailles ni de moisson, de splendeur ni de lumière, ni de mariages, ni de fils, ni de filles, ni de lutte ni de procès. Il n’y aura plus de guerre, ni d’injustice, ni d’outrage, ni de railleries, ni de reproches. Je renouvellerai la terre et les cieux, J’y demeurerais avec tous mes Saints, mes Anges, mes Justes, durant des temps sans fin et des années qui ne passeront pas pendant l’éternité. Amen. »
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Thélesphore de Cosensa a prophétisé
Thélesphore de Cosensa a prophétisé:
Je me permet de rectifier une ereur importante dans cette prophétie et c'est le regne millénaire annoncé 2 fois et qui n'est pas accepté par le Vatican qui,a plusieurs reprises a réfuté la doctrine millénariste alors,oublier cela.....Francesco1 - Crise apocalyptique – grand schisme, anti-pape allemand et avènement de Frédérick III.
2 - Victoire de l’Empereur français et du Pasteur Angélique. Règne millénaire.
3 - Renoncement de l’Empereur français à l’empire et venue de l’Antéchrist.
4 - Destruction de l’Antéchrist par l’Archange saint Michel. Second règne millénaire sous la domination de Pasteur Angélique.
5 - Apparition de Gog et Magog.
6 - Victoire de saint Michel. Troisième règne millénaire sous la domination de Pasteur Angélique.
7 - Parousie et Jugement dernier.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Prophéties pour notre temps
Sœur Marie Lataste
(1847-05-10)
Marie Lataste, mystique française, est née le 21 février 1822, à la ferme du Grand Cassou (du grand chêne) à Mimbaste, dans les Landes, à 10 km à l’est de Dax. Une trentaine d’années avant sa naissance, durant la Grande Révolution, sa famille avait aménagé au centre de la ferme familiale du Grand Cassou une pièce secrète, un couloir de 1 mètre de large par 4 de long, sans porte ni fenêtre, et dans laquelle on accédait en y descendant depuis le grenier, par une trappe cachée sous la paille.
Durant la Terreur révolutionnaire, la famille y cacha un prêtre réfractaire, religieux barnabite de Dax et curé du lieu, le Père Joseph Sentetz. Comme il avait prêté serment à la Constitution Civile du Clergé, le district de Dax le nomma curé de Mimbaste et Saugnac, où était curé M. Domec, prêtre insermenté ? C’était peut-être par délicatesse qu’il n’avait pas apparu dans ses paroisses. Un peu plus tard, le Père Sentetz vint à Dax à un rassemblement de prêtre jureurs. M. Domec alla le voir à Dax et l’invita à se rétracter. Il le fit solennellement devant le Père Laurensan, prémontré, prieur de l’abbaye de Divielle, vicaire-général et insermenté. Il répéta cette rétractation à Mimbaste, le jour de Notre Dame du 15 Août 1795, et le dimanche suivant à Saugnac, pendant la messe. Il édifia par là et toucha jusqu’aux larmes beaucoup de ses paroissiens. Dénoncé et arrêté par les "patriotes", il fut conduit le 22 mars 1880, à la citadelle de Saint-Martin de Ré. Mais, dès le mois suivant, il s’évada. Et l’on ne retrouve plus trace lui, nulle part.
La famille Lataste conserve encore aujourd’hui de ce saint prêtre, une précieuse relique : le verre à pied qui servait de vase sacré pour les célébrations clandestines de l’Eucharistie au grand Cassou.
C’est sûrement grâce à la sainteté de ce prêtre martyr, que le Seigneur favorisa de grâces exceptionnelles la jeune Marie, une enfant de la maison.
Marie Lataste est née de paysans très pieux. Selon ses indications, elle nous dit qu'ils étaient modestes. Son savoir ainsi que celui de ses deux soeurs se limitait à lire, écrire, coudre et filer. Leur maman leur avait également légué la foi chrétienne et ses vertus. Jésus-Christ avait décidé de lui révéler son enseignement afin de le transmettre à tous. La communion faite à l'âge de 12 ans a été un tournant de sa vie. Un an plus tard, il lui semblera voir sur l'autel, au moment de l'élévation une lumière brillante.
Avant même d’être entrée en religion, Marie Lataste fut gratifiée de visions, surtout lors de ses visites au Saint-Sacrement de l’église paroissiale où elle eut de fréquentes rencontres mystiques avec le Christ. Sur ordre de son directeur spirituel, Monsieur l’Abbé Darbins, curé de Mimbaste, elle écrivit ses mémoires. Ses locutions ne sont pas sans rappeler les célèbres "Dialogues" de sainte Catherine de Sienne, sont une suite de révélations dont nous avons de nombreux témoignages établis à partir de sa correspondance. Ils témoignent d'une ferveur spirituelle tout à fait exceptionnelle :
« Fervente, tant dans l'explication du dogme que de la morale, cette paysanne illettrée à l'origine, par sa piété, et son don de l’écriture s'est élevée à la hauteur de la littérature théologale hors du commun. »
A la lutte incessante contre les tentations dont Marie était soumise, la jeune fille redoublait de vigilance. Puis à l'âge de 17 ans, les tentations disparurent :
« Le tabernacle de Jésus est le lieu où j'aime à me retirer, à me cacher, à prendre mon repos. J'y trouve une vie que je ne saurais définir, une joie que je ne puis faire comprendre, une paix telle qu'on n'en trouve pas sous les toits hospitaliers des meilleurs amis... »
A la fin de l'année 1839, alors qu'elle entrait dans l'église de Mimbaste, Notre-Seigneur lui apparut sur l'autel. "Il était environné de ses anges, mais comme voilé par un nuage lumineux qui empêchait de le distinguer parfaitement".
Au cours des différentes rencontres, Jésus l'instruisit des divers mystères, des souffrances de sa passion, lui présenta la très Sainte Vierge. Jésus la soutenait, l'aidait mais également la dirigeait, et à l’occasion la réprimandait avec sévérité :
« Je vis alors, dit-elle son visage devenir sérieux et ses yeux me regarder fixement. Il s'arrêta, et me dit d'un ton irrité : "Qui es-tu pour recevoir avec tant de négligence les paroles que Je t'adresse ? Fille pleine d'orgueil, te connais-tu bien toi-même ? Tu n'es que néant, péché et corruption, et c'est ainsi que tu prêtes l'oreille à ma voix ? Penses-tu que ce soit à cause de tes mérites que Je viens converser avec toi ? C'est par un effet de ma Miséricorde que Je viens t'instruire. Cette instruction ne t'est point due. Garde-toi de la mépriser, garde-toi de t'enorgueillir, garde-toi de t'élever pour cela au-dessus d'autrui. Ma parole ne te sauvera pas seule, il faut ta coopération. Ma parole ne te donnera pas de mérite, ton mérite sera de correspondre à ce qu'elle te dira... »
Son confesseur, homme de grande sagesse et curé de la paroisse, la guida durant les premières années, M. l'abbé DARBOS, puis ce fut M. l'abbé Pierre DARBINS qui vient le remplacer. Jésus avait recommandé à Marie de ne rien cacher au directeur qu'il lui avait choisi. Il soumit Marie Lataste à différentes épreuves d'obéissance et d'humiliation.
L'abbé Darbins sollicita le directeur et professeur de théologie au grand séminaire de Dax. Ils lui demandèrent de mettre par écrit tout ce qu'elle avait vu et entendu par le passé et de tout ce qu'elle verrait, entendrait et éprouverait à l'avenir.
Malgré cette tâche très difficile pour une jeune fille sachant à peine écrire, mais avec le soutient de Jésus Christ, Marie Lataste, relata en dehors de son travail à la ferme, d’une très belle écrite sur des cahiers qui ont permis à M. l'Abbé Darbins de publier, avec l'accord de Monseigneur l'Évêque d'Aire et de Dax. Elle aimait à écrire à l’ombre d’une fraîche tonnelle de laurier qui existe encore aujourd’hui. L’hiver, Marie rédigeait ses cahiers dans sa chambre où elle fut aussi favorisée d’apparitions du Sacré-Cœur.
A l'âge de 22 ans, elle confia différents manuscrits à son curé, l'abbé Darbins. Les révélations reçues y étaient consignées. Ses écrits furent publiés en même temps que son journal et sa correspondance, entre 1862 et 1872, "La vie et des oeuvres de Marie Lataste".
Des difficultés, des doutes, des épreuves nombreuses ont jalonné le chemin de Marie Lataste. Mais, Jésus était présent pour l'aider :
« Les paroles que vous entendez ne sont pas de vous, elles m'appartiennent ; vous ne faites que les écrire. Vous n'êtes rien, vous ne pouvez rien par vous-même ; mais je suis tout, je puis tout, je règle tout, je prends soin de tout, et les plus grandes choses comme les plus petites entrent dans les desseins et l'économie de ma sagesse, de ma providence et de ma miséricorde... »
Le 21 février 1844, Marie Lataste donne la propriété pleine et entière de ses écrits à son directeur l'abbé Darbins :
« C'est à vous, disait-elle le même jour à son directeur, de juger comment, de quelle manière et en quel temps vous pourrez vous servir de mes cahiers pour faire le bien ou s'il ne vaut pas mieux les détruire. »
Jésus lui a dit qu’elle devait se faire religieuse dans la Société du Sacré Cœur de Sainte Sophie Barat. Marie savait par Jésus qu'elle n'atteindra pas son 26ème anniversaire. Après beaucoup de retard, elle a obtenu la permission de partir pour Paris le 21 avril 1844. Ce fût pour elle une grande joie : l'aboutissement de sa vocation voulue par Jésus-Christ.
On peut résumer sa nouvelle vie toute en : obéissance, humilité, modestie, recueillement, patience, charité. Elle ne laissera auprès des autres soeurs que de profonds souvenirs de respect et d'admiration.
En dehors de celle qui la dirigeait, personne ne savait les grâces exceptionnelles qu'elle avait obtenues et qu’elle continuait de recevoir jusqu’à sa mort.
Admise à Paris rue de Varennes, elle ira ensuite à Conflans-Ste-Honorine puis à Rennes dans l'espoir qu'un changement d'air améliorerait sa santé.
Le 9 mai, devenue soudainement très malade, Marie Lataste reçu l'autorisation de prononcer ses voeux. Le 10 mai 1847 elle décède à Rennes à l'âge de 25 ans.
Sa cause fut introduite à Rome, mais ayant demandé à Jésus de rester inconnue après sa mort :
« Ce que je demande au bon Dieu, c'est d'être oubliée des hommes après ma mort, comme pendant ma vie. »
Cette demande fut accordée en tous points, et sa cause pour la reconnaissance de ses vertus héroïques, connue de nombreuses péripéties par différents curieux évènements, tel la perte de l’emplacement de sa tombe à Rennes durant de nombreuses années, jusqu’à l’ouverture de sa cause, ou encore l’exil de sa communauté pour l’Angleterre, suite aux lois contre les communautés religieuses et à l’expulsion des congrégations sous le gouvernement Combes. Ses reliques reposent aujourd’hui sous l’autel dans le silence de la chapelle du Sacré-Cœur dans sa communauté de Roehampton, dans le Sud-ouest de la banlieue de Londres, oubliée de tous, car Sœur Marie Lataste reste inconnue des Anglais, car son œuvre n’a jamais été traduite en anglais, ce qui devrait se faire très prochainement. Ne doutons pas qu’au jour choisi, le Seigneur relèvera Marie Lataste de son vœu d’incognito post-mortem, et que ses restes seront ramenés en triomphe vers son Eglise de Mimbaste.
Durant la guerre, toute la zone avait été presque entièrement détruite sauf la chapelle du Sacré-Cœur qui fut miraculeusement préservée des bombardements nazis.
Nous devons rendre hommage au Père Emile Marlas, du diocèse d’Agen, un grand dévot de Marie Lataste, grâce auquel les Œuvres ont pu être rééditées depuis trente ans.
Notre-Seigneur parle à Marie Lataste de son Amour et de celui de son Père pour chacun de ceux qui l’interroge :
« Dites à celui qui m'interroge que je l'aime et qu'il est aimé par mon Père.... »
Notre-Seigneur, au cours de ses longs colloques avec Marie Lataste, fait l’éloge de Marie, sa Mère et Notre mère, et évoque ainsi son rôle dans le plan de Dieu, pour le Salut du monde, par mission de sauver l’humanité à la Fin des Temps :
« Je suis comme la source immense de la réparation du monde, comme la source infinie des grâces données au monde. Mais cette source ne coule pas directement sur le monde, elle passe par Marie, et ma mère est cette créature que j'ai choisie en union avec Dieu le Père et Dieu le Saint-Esprit, pour répandre tous les biens du ciel sur la terre. »
« Oui, ma fille, tout vient de moi pour le bonheur et la sanctification des hommes, mais tout passe par Marie ; je n'accorde rien que ce qu'accorde Marie ; et jusqu'à la fin des temps, je bénirai, je rachèterai, je sauverai les hommes parce que Marie les bénira, les rachètera, les sauvera par moi. »
« Pour être Fils de l'homme, pour être Sauveur, il fallait ma volonté, il faillait aussi la volonté de Marie ; pour rendre les hommes fils de Dieu, frères du Sauveur, il fallait aussi la volonté de Marie ; elle a donné son consentement à Nazareth, elle l'a donné sur le Calvaire, et ce consentement dure encore dans le ciel. »
« Voilà donc ce à quoi Marie était éternellement destinée par Dieu : à opérer, par moi et par elle, le salut du monde. »
« La paix reviendra visiter la terre. La Sainte Vierge calmera les orages. Son nom sera loué et béni pour toujours. Les prisonniers et les esclaves seront remis en liberté. Les exilés rentreront chez eux, et les malheureux retrouveront la paix et le bonheur. »
« Entre la Très Auguste Vierge Marie et ses fidèles enfants, s’écoulera un flot mutuel de grâces. De l’Orient à l’Occident, comme du Septentrion au Midi, tous proclameront le Saint Nom de marie, Ô Marie conçue sans péché, Ô Marie Reine du ciel et de la terre. Amen. »
(1847-05-10)
Marie Lataste, mystique française, est née le 21 février 1822, à la ferme du Grand Cassou (du grand chêne) à Mimbaste, dans les Landes, à 10 km à l’est de Dax. Une trentaine d’années avant sa naissance, durant la Grande Révolution, sa famille avait aménagé au centre de la ferme familiale du Grand Cassou une pièce secrète, un couloir de 1 mètre de large par 4 de long, sans porte ni fenêtre, et dans laquelle on accédait en y descendant depuis le grenier, par une trappe cachée sous la paille.
Durant la Terreur révolutionnaire, la famille y cacha un prêtre réfractaire, religieux barnabite de Dax et curé du lieu, le Père Joseph Sentetz. Comme il avait prêté serment à la Constitution Civile du Clergé, le district de Dax le nomma curé de Mimbaste et Saugnac, où était curé M. Domec, prêtre insermenté ? C’était peut-être par délicatesse qu’il n’avait pas apparu dans ses paroisses. Un peu plus tard, le Père Sentetz vint à Dax à un rassemblement de prêtre jureurs. M. Domec alla le voir à Dax et l’invita à se rétracter. Il le fit solennellement devant le Père Laurensan, prémontré, prieur de l’abbaye de Divielle, vicaire-général et insermenté. Il répéta cette rétractation à Mimbaste, le jour de Notre Dame du 15 Août 1795, et le dimanche suivant à Saugnac, pendant la messe. Il édifia par là et toucha jusqu’aux larmes beaucoup de ses paroissiens. Dénoncé et arrêté par les "patriotes", il fut conduit le 22 mars 1880, à la citadelle de Saint-Martin de Ré. Mais, dès le mois suivant, il s’évada. Et l’on ne retrouve plus trace lui, nulle part.
La famille Lataste conserve encore aujourd’hui de ce saint prêtre, une précieuse relique : le verre à pied qui servait de vase sacré pour les célébrations clandestines de l’Eucharistie au grand Cassou.
C’est sûrement grâce à la sainteté de ce prêtre martyr, que le Seigneur favorisa de grâces exceptionnelles la jeune Marie, une enfant de la maison.
Marie Lataste est née de paysans très pieux. Selon ses indications, elle nous dit qu'ils étaient modestes. Son savoir ainsi que celui de ses deux soeurs se limitait à lire, écrire, coudre et filer. Leur maman leur avait également légué la foi chrétienne et ses vertus. Jésus-Christ avait décidé de lui révéler son enseignement afin de le transmettre à tous. La communion faite à l'âge de 12 ans a été un tournant de sa vie. Un an plus tard, il lui semblera voir sur l'autel, au moment de l'élévation une lumière brillante.
Avant même d’être entrée en religion, Marie Lataste fut gratifiée de visions, surtout lors de ses visites au Saint-Sacrement de l’église paroissiale où elle eut de fréquentes rencontres mystiques avec le Christ. Sur ordre de son directeur spirituel, Monsieur l’Abbé Darbins, curé de Mimbaste, elle écrivit ses mémoires. Ses locutions ne sont pas sans rappeler les célèbres "Dialogues" de sainte Catherine de Sienne, sont une suite de révélations dont nous avons de nombreux témoignages établis à partir de sa correspondance. Ils témoignent d'une ferveur spirituelle tout à fait exceptionnelle :
« Fervente, tant dans l'explication du dogme que de la morale, cette paysanne illettrée à l'origine, par sa piété, et son don de l’écriture s'est élevée à la hauteur de la littérature théologale hors du commun. »
A la lutte incessante contre les tentations dont Marie était soumise, la jeune fille redoublait de vigilance. Puis à l'âge de 17 ans, les tentations disparurent :
« Le tabernacle de Jésus est le lieu où j'aime à me retirer, à me cacher, à prendre mon repos. J'y trouve une vie que je ne saurais définir, une joie que je ne puis faire comprendre, une paix telle qu'on n'en trouve pas sous les toits hospitaliers des meilleurs amis... »
A la fin de l'année 1839, alors qu'elle entrait dans l'église de Mimbaste, Notre-Seigneur lui apparut sur l'autel. "Il était environné de ses anges, mais comme voilé par un nuage lumineux qui empêchait de le distinguer parfaitement".
Au cours des différentes rencontres, Jésus l'instruisit des divers mystères, des souffrances de sa passion, lui présenta la très Sainte Vierge. Jésus la soutenait, l'aidait mais également la dirigeait, et à l’occasion la réprimandait avec sévérité :
« Je vis alors, dit-elle son visage devenir sérieux et ses yeux me regarder fixement. Il s'arrêta, et me dit d'un ton irrité : "Qui es-tu pour recevoir avec tant de négligence les paroles que Je t'adresse ? Fille pleine d'orgueil, te connais-tu bien toi-même ? Tu n'es que néant, péché et corruption, et c'est ainsi que tu prêtes l'oreille à ma voix ? Penses-tu que ce soit à cause de tes mérites que Je viens converser avec toi ? C'est par un effet de ma Miséricorde que Je viens t'instruire. Cette instruction ne t'est point due. Garde-toi de la mépriser, garde-toi de t'enorgueillir, garde-toi de t'élever pour cela au-dessus d'autrui. Ma parole ne te sauvera pas seule, il faut ta coopération. Ma parole ne te donnera pas de mérite, ton mérite sera de correspondre à ce qu'elle te dira... »
Son confesseur, homme de grande sagesse et curé de la paroisse, la guida durant les premières années, M. l'abbé DARBOS, puis ce fut M. l'abbé Pierre DARBINS qui vient le remplacer. Jésus avait recommandé à Marie de ne rien cacher au directeur qu'il lui avait choisi. Il soumit Marie Lataste à différentes épreuves d'obéissance et d'humiliation.
L'abbé Darbins sollicita le directeur et professeur de théologie au grand séminaire de Dax. Ils lui demandèrent de mettre par écrit tout ce qu'elle avait vu et entendu par le passé et de tout ce qu'elle verrait, entendrait et éprouverait à l'avenir.
Malgré cette tâche très difficile pour une jeune fille sachant à peine écrire, mais avec le soutient de Jésus Christ, Marie Lataste, relata en dehors de son travail à la ferme, d’une très belle écrite sur des cahiers qui ont permis à M. l'Abbé Darbins de publier, avec l'accord de Monseigneur l'Évêque d'Aire et de Dax. Elle aimait à écrire à l’ombre d’une fraîche tonnelle de laurier qui existe encore aujourd’hui. L’hiver, Marie rédigeait ses cahiers dans sa chambre où elle fut aussi favorisée d’apparitions du Sacré-Cœur.
A l'âge de 22 ans, elle confia différents manuscrits à son curé, l'abbé Darbins. Les révélations reçues y étaient consignées. Ses écrits furent publiés en même temps que son journal et sa correspondance, entre 1862 et 1872, "La vie et des oeuvres de Marie Lataste".
Des difficultés, des doutes, des épreuves nombreuses ont jalonné le chemin de Marie Lataste. Mais, Jésus était présent pour l'aider :
« Les paroles que vous entendez ne sont pas de vous, elles m'appartiennent ; vous ne faites que les écrire. Vous n'êtes rien, vous ne pouvez rien par vous-même ; mais je suis tout, je puis tout, je règle tout, je prends soin de tout, et les plus grandes choses comme les plus petites entrent dans les desseins et l'économie de ma sagesse, de ma providence et de ma miséricorde... »
Le 21 février 1844, Marie Lataste donne la propriété pleine et entière de ses écrits à son directeur l'abbé Darbins :
« C'est à vous, disait-elle le même jour à son directeur, de juger comment, de quelle manière et en quel temps vous pourrez vous servir de mes cahiers pour faire le bien ou s'il ne vaut pas mieux les détruire. »
Jésus lui a dit qu’elle devait se faire religieuse dans la Société du Sacré Cœur de Sainte Sophie Barat. Marie savait par Jésus qu'elle n'atteindra pas son 26ème anniversaire. Après beaucoup de retard, elle a obtenu la permission de partir pour Paris le 21 avril 1844. Ce fût pour elle une grande joie : l'aboutissement de sa vocation voulue par Jésus-Christ.
On peut résumer sa nouvelle vie toute en : obéissance, humilité, modestie, recueillement, patience, charité. Elle ne laissera auprès des autres soeurs que de profonds souvenirs de respect et d'admiration.
En dehors de celle qui la dirigeait, personne ne savait les grâces exceptionnelles qu'elle avait obtenues et qu’elle continuait de recevoir jusqu’à sa mort.
Admise à Paris rue de Varennes, elle ira ensuite à Conflans-Ste-Honorine puis à Rennes dans l'espoir qu'un changement d'air améliorerait sa santé.
Le 9 mai, devenue soudainement très malade, Marie Lataste reçu l'autorisation de prononcer ses voeux. Le 10 mai 1847 elle décède à Rennes à l'âge de 25 ans.
Sa cause fut introduite à Rome, mais ayant demandé à Jésus de rester inconnue après sa mort :
« Ce que je demande au bon Dieu, c'est d'être oubliée des hommes après ma mort, comme pendant ma vie. »
Cette demande fut accordée en tous points, et sa cause pour la reconnaissance de ses vertus héroïques, connue de nombreuses péripéties par différents curieux évènements, tel la perte de l’emplacement de sa tombe à Rennes durant de nombreuses années, jusqu’à l’ouverture de sa cause, ou encore l’exil de sa communauté pour l’Angleterre, suite aux lois contre les communautés religieuses et à l’expulsion des congrégations sous le gouvernement Combes. Ses reliques reposent aujourd’hui sous l’autel dans le silence de la chapelle du Sacré-Cœur dans sa communauté de Roehampton, dans le Sud-ouest de la banlieue de Londres, oubliée de tous, car Sœur Marie Lataste reste inconnue des Anglais, car son œuvre n’a jamais été traduite en anglais, ce qui devrait se faire très prochainement. Ne doutons pas qu’au jour choisi, le Seigneur relèvera Marie Lataste de son vœu d’incognito post-mortem, et que ses restes seront ramenés en triomphe vers son Eglise de Mimbaste.
Durant la guerre, toute la zone avait été presque entièrement détruite sauf la chapelle du Sacré-Cœur qui fut miraculeusement préservée des bombardements nazis.
Nous devons rendre hommage au Père Emile Marlas, du diocèse d’Agen, un grand dévot de Marie Lataste, grâce auquel les Œuvres ont pu être rééditées depuis trente ans.
Notre-Seigneur parle à Marie Lataste de son Amour et de celui de son Père pour chacun de ceux qui l’interroge :
« Dites à celui qui m'interroge que je l'aime et qu'il est aimé par mon Père.... »
Notre-Seigneur, au cours de ses longs colloques avec Marie Lataste, fait l’éloge de Marie, sa Mère et Notre mère, et évoque ainsi son rôle dans le plan de Dieu, pour le Salut du monde, par mission de sauver l’humanité à la Fin des Temps :
« Je suis comme la source immense de la réparation du monde, comme la source infinie des grâces données au monde. Mais cette source ne coule pas directement sur le monde, elle passe par Marie, et ma mère est cette créature que j'ai choisie en union avec Dieu le Père et Dieu le Saint-Esprit, pour répandre tous les biens du ciel sur la terre. »
« Oui, ma fille, tout vient de moi pour le bonheur et la sanctification des hommes, mais tout passe par Marie ; je n'accorde rien que ce qu'accorde Marie ; et jusqu'à la fin des temps, je bénirai, je rachèterai, je sauverai les hommes parce que Marie les bénira, les rachètera, les sauvera par moi. »
« Pour être Fils de l'homme, pour être Sauveur, il fallait ma volonté, il faillait aussi la volonté de Marie ; pour rendre les hommes fils de Dieu, frères du Sauveur, il fallait aussi la volonté de Marie ; elle a donné son consentement à Nazareth, elle l'a donné sur le Calvaire, et ce consentement dure encore dans le ciel. »
« Voilà donc ce à quoi Marie était éternellement destinée par Dieu : à opérer, par moi et par elle, le salut du monde. »
« La paix reviendra visiter la terre. La Sainte Vierge calmera les orages. Son nom sera loué et béni pour toujours. Les prisonniers et les esclaves seront remis en liberté. Les exilés rentreront chez eux, et les malheureux retrouveront la paix et le bonheur. »
« Entre la Très Auguste Vierge Marie et ses fidèles enfants, s’écoulera un flot mutuel de grâces. De l’Orient à l’Occident, comme du Septentrion au Midi, tous proclameront le Saint Nom de marie, Ô Marie conçue sans péché, Ô Marie Reine du ciel et de la terre. Amen. »
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Prophéties pour notre temps
Sœur Marie Lataste
(1847-05-10)
Suite et fin...
Elle eut aussi des révélations sur le rôle des Anges, nos plus précieux alliés en ces temps difficiles, et leurs relations avec les hommes :
« Je veux vous parler de deux choses que produisent les Anges sur les hommes. La première, c'est l'illumination de l'intelligence, la seconde le mouvement de la volonté (...). Les Anges, ma fille, éclairent les hommes de trois manières : en leur annonçant les divins mystères, en les instruisant, en les exhortant ; ils les éclairent en se manifestant à eux visiblement ou invisiblement (...) Invisiblement, lorsqu'ils ne se servent d'aucun objet sensible pour se manifester à l'homme, quand ils agissent directement avec l'âme sur l'âme, quand ils lui parlent comme un esprit à un esprit, comme un Ange à un Ange ; et cela, soit que celui à qui ils s'adressent soit éveillé, soit qu'il soit endormi, comme ils s'adressent à tous ceux à qui ils portent un intérêt et qui leur sont confiés en leur inspirant de bonnes pensées. (...) Ce mouvement ne ressemble pourtant pas à un mouvement, comme celui par exemple que vous communiqueriez à un objet quelconque ; non, ma fille, car la volonté demeure toujours libre, et comme libre, ni les Anges, ni Dieu ne peuvent lui donner mouvement vers le bien si elle ne veut pas. Ce mouvement est une disposition vers le bien, une aptitude, une facilité à faire le bien. A cet effet, les Anges enlèvent, font disparaître ou diminuent les obstacles qui empêcheraient la volonté et l'arrêteraient, et en ce sens, ils lui donnent encore le mouvement.
Ma fille, Dieu gouverne, dirige et mène tout immédiatement par sa providence. Rien ne Lui échappe, comme Il a tout créé, ainsi Il conserve tout, ainsi Il veille sur tout et porte ses yeux sur toutes choses. Néanmoins, Il lui a plu de confier l'exécution des actes de sa providence à des ministres qu'Il s'est donné. Ces ministres sont les Anges. [...] Il a fait le monde et l'a confié à ses Anges, Il a fait l'homme et Il le leur a confié aussi. Ils sont toujours à ses côtés, ils sont toujours avec lui, ils veillent sur lui, ils le gardent, et c'est pour cela qu'ils sont appelés Anges gardiens. Tous les hommes ont un Ange gardien [...] car telle est la volonté de mon Père du ciel, faisant tout pour le bien et le salut de l'homme. Les Anges gardiens n'ont point été seulement donnés aux hommes depuis ma venue en ce monde, mais depuis le commencement, tous les hommes ont reçu de Dieu un Ange pour veiller sur eux.
Voici ce que fait pour vous l'Ange gardien et ce que vous devez faire pour lui. L'Ange gardien éloigne de vous les maux du corps et de l'âme ; il lutte contre vos ennemis, il vous excite à faire le bien ; il porte à Dieu vos prières et inscrit sur le livre de vie vos bonnes œuvres ; il prie pour vous, il vous suit jusqu'à la mort, et vous portera dans le sein de Dieu, si vous vivez dans la justice pendant que vous serez sur terre. [...] Un rien peut affliger notre corps pour jamais, un accident peut pour jamais aussi vous ravir la vie de votre âme. Vous n'êtes point assez avisée pour écarter et éloigner tous les dangers ; et quand vous le seriez assez, souvent vous ne le pourriez pas vous-même. Ce que vous ne voyez pas, votre Ange gardien le peut pour vous, et il protège votre corps et votre âme en éloignant tout ce qui pourrait lui être préjudiciable ; il le fait sans que vous vous en aperceviez. Si quelque fois vous y réfléchissiez, et que vous vous demandassiez comment vous avez échappé à tel accident, à tel malheur, vous toucheriez du doigt l'action de votre bon Ange. [...] Enfin, ma fille, votre Ange gardien vous suivra partout ; il vous suivra tous les jours de votre vie, et quand Dieu vous retirera de ce monde, il vous présentera à Lui. »
Notre-Seigneur fait l’éloge de Marie Lataste. Il manifeste aussi sa volonté de faire connaître au monde entier, les écrits et la valeur doctrinale de l’ensemble de l’œuvre de Marie Lataste ; enfin, Il promet sa sanctification :
« Donnez toujours vos soins à Marie, vous ne savez point à qui vous les donnez. Marie sera un jour la mère spirituelle des pauvres pécheurs, Marie sera la consolatrice des affligés et la lumière des ignorants.
La voix de Marie retentira comme la voix d'un grand docteur et sa voix combattra les ennemis de ma religion sainte. Marie, comme une étoile brillante, sortira de dessous les nuages qui la couvent et sera donnée en spectacle à sa patrie et aux contrées lointaines.
Les nuages qui recouvrent son œuvre seront un jour levés, …
Les habitants du ciel la regarderont et seront éblouis de sa beauté. Marie deviendra la terreur des démons, et un objet de haine et de confusion pour les ennemis de ma doctrine. Marie sera persécutée, elle éprouvera toutes sortes de déboires ; mais tout tournera à sa sanctification. Elle est à la veille d'entrer dans la retraite profonde que je lui destine.... »
Notre-Seigneur parle à Marie Lataste de sa colère contre l’humanité corrompue et pécheresse :
« Je l'avais entendu le dimanche précédent ; sa voix, au lieu d'être douce, bonne et toute paternelle, me semblait être la voix de Dieu irrité contre les pécheurs. Sa bouche était pleine de menaces, il s'exprima à peu près ainsi : "Mon peuple, je viens vous faire entendra ma voix et vous reprocher vos iniquités. La terre n'est qu'un foyer de corruption. J'ai regardé à droite et je n'ai vu que vanité et mensonge ; j'ai regardé à gauche et je n'ai vu que turpitudes et infamies qui font horreur. J'ai regardé dans le passé, et l'histoire des siècles n'est qu'un long mémoire de cruautés affreuses ; je regarde le présent et je vois tous les hommes s'élever contre Dieu, blasphémer son nom et violer ses lois. Mais je m'élèverai contre ces superbes pécheurs, je ferai gronder mon tonnerre au dessus de leur tête et ma foudre ébranlera la terre sous leurs pieds. J'éclairerai leurs yeux du feu de mes éclairs et les envelopperai dans le brouillard impénétrable de mes nuages. Ainsi je jetterai la consternation parmi eux. Hommes vindicatifs, sachez-le bien, la main de Dieu seul doit s'armer pour la vengeance. Si vous avez reçu une injure, plaignez-vous à Dieu. Périssent votre or et votre argent, hommes avares ; et si vous demeurez attachés à vos richesses, vous périrez comme elles. Hommes voluptueux, quelle vie est la vôtre ? ne savez-vous donc pas que rien d'impur n'entrera jamais dans le royaume des cieux ? Hommes superbes, qui êtes-vous devant le fils de Dieu qui s'est fait humble jusqu'à la mort de la croix ? Mon Père, si ma voix n'est pas écoutée par les hommes, exterminez tous ceux qui vient et qui on les mains souillées de sang, le coeur rempli d'iniquités, l'âme esclave de Satan. Mon Père, créez-moi un peuple nouveau, et que ce peuple glorifie votre nom dans le temps et dans l'éternité."
La voix du Sauveur Jésus était terrible et me glaçait d'effroi ; mais au moment de la bénédiction je me remis un peu, car je vis sa figure reprendre son air habituel de douceur et de bonté. »
Notre-Seigneur parle à Marie Lataste des pécheurs et de la France punie à cause du péché :
« Ah ! les pécheurs n'y font point attention, ma fille. Ils continuent à vivre dans le péché, à commettre le péché. Ils s’efforcent de rendre inutiles les mérites et la vertu de mon incarnation et de ma passion. Malheur à eux, malheur à eux ! »
« Voyez comme Dieu a puni le péché des anges, comme il a puni le péché d’Adam, comme dans tous les temps il a puni les péchés des peuples par des fléaux terribles. Voyez comme dans un temps bien rapproché de vous il a puni les crimes de votre France par des guerres qui l’ont désolée, et quels malheurs encore sont près de fondre sur elle. Dieu punira également le péché mortel dans chacun des pécheurs, s'ils ne se convertissent pas, pour vivre de la vie véritable, il les condamnera au feu de l’enfer et les privera du bonheur du ciel. »
Notre-Seigneur parle à Marie Lataste de la France :
« Ma fille, je vous le dis en vérité, il est quelquefois assez d’une âme qui se présente devant Dieu dans la crainte et le tremblement, et qui lui adresse ses supplications, pour arrêter son bras vengeur déjà levé contre une nation tout entière. »
« Priez, ma fille, priez beaucoup pour la France : le nombre de ses iniquités s’accroît de jour en jour; priez pour elle, et désarmez le courroux de mon Père. Joignez-vous aux âmes pieuses et saintes qui lui adressent leurs incessantes supplications. Si Dieu veille sur la France et la protège malgré ses iniquités, ce n'est qu’en vue des prières et des supplications nombreuses qui lui sont adressées, et qui montent jusqu’à lui pour le fléchir. »
« …Puis le Sauveur Jésus ajouta : "Mon fils, priez pour la France ; je l'ai déjà dit et je me plais à vous le répéter, si les coups de la justice de mon Père ne sont point tombés sur elle, c'est Marie, la Reine du Ciel, qui les a arrêtés. Satan rugit de rage au fond des enfers contre un royaume qui lui a porté, à la vérité, de rudes coups ; il frémit de rage en voyant le bien qui se fait dans cette contrée ; il fait tous ses efforts pour augmenter le mal et irriter davantage la vengeance divine.
« Mais une chaîne qu'il ne peut briser le captive ; car ma Mère a un droit spécial sur la France qui lui est consacrée, et, par ce droit, elle arrête le bras courroucé de Dieu et répand sur ce pays, qui lui est voué, les bénédictions du ciel pour le faire croître dans le bien. C'est pourquoi je ne cesse d'avertir pour prévenir d'immenses calamités.
« O France ! ta gloire s'étendra au loin ; tes enfants la porteront au-delà de la vaste étendue des mers, et ceux qui ne te connaîtront que de nom prieront pour ta conservation et ta prospérité.
« Mon fils, je viens de vous parler avec la familiarité d'un ami et la bonté d'un père. Ne vous étonnez pas si je vous ai ainsi entretenu sans que vous vous attendissiez aux paroles que je vous ai adressées ; souvent les confidences d'un ami renferment des choses qu'on n'aurait point devinées.
« Écoutez maintenant mes recommandations : Chaque fois que vous célébrerez la sainte messe, priez pour le bien et la conservation de la France. Recevez avec patience et soumission toutes les épreuves qu'il me plaira de vous envoyer. Détachez-vous de plus en plus des créatures et faites-vous de moi l'ami le plus intime... Mimbaste, 22 novembre 1843 »
Marie Lataste, vit un jour L'Ange Exterminateur planer sur la Grande Ville, Paris :
« Il me semble être dans une grande place de Paris. Au milieu de cette place, je vis un jeune homme sur une petite colonne. Il était revêtu d'une robe rouge, il portait un diadème sur la tête ; il tenait son sabre dans le fourreau et un arc entre les mains. Ses regards étaient foudroyants et sa bouche prête à lancer des menaces. Je vis inscrit au-dessus de sa tête en caractères de feu : l'Ange exterminateur.
Paris, ville exécrable, depuis longtemps tu mérites mon indignation, et si je n'ai point fait tomber sur toi les flots de ma colère, c'est par un effet de ma Miséricorde. J'ai arrêté mon bras vengeur déjà prêt à s'appesantir sur toi. J'ai épargné la multitude innombrable des pécheurs pour ne point frapper les justes. Tes habitants te maudiront un jour, parce que tu les auras saturés de ton air empesté, et ceux à qui tu as donné asile te jetteront leurs malédiction, parce qu’ils ont trouvés la mort en ton sein. »
Marie Lataste eut aussi des révélations sur Rome, la ville éternelle, et sur le Saint-Père :
« Pendant plus de trois ans, cette ville où règnera un pontife âgé, semblera perdue. »
« Or, l’affliction viendra sur la terre, l’oppression règnera dans la cité que j’aime et où j’ai laissé mon cœur. Elle sera dans la tristesse et la désolation ; elle sera environnée d’ennemis de tous côtés, comme un oiseau pris dans les filets. Cette cité paraîtra succomber pendant trois ans et un peu de temps encore après ces trois ans. Mais ma Mère descendra dans cette cité ; Elle prendra les mains du vieillard qui siège sur le trône, et lui dira : "Voici l’heure, lève-toi. Regarde tes ennemis, je les fais disparaître les uns après les autres, et ils disparaissent pour toujours. Tu m’as rendu gloire au ciel et sur la terre, je veux te rendre gloire au ciel et sur la terre. Vois les hommes, ils sont en vénération devant ton nom, en vénération devant ton courage, en vénération devant ta puissance. Tu vivras et Je vivrai avec toi. Vieillard, sèche tes larmes. Je te bénis." »
Notre Seigneur révèle à Marie Lataste ces paroles dans lesquelles la raison et la théologie n’ont rien à reprendre :
« La guerre aura été une miséricorde. On le reconnaîtra plus tard et ceux qui auront souffert seront dans la joie d’avoir contribuer à faire une France nouvelle en laquelle « Dieu prendra ses complaisances ». Une fois que la France aura payé sa dette, elle sera récompensée par une telle abondance de grâces et de bénédictions qu’en peu de temps, elle aura tout oublié de ses douleurs. Pour les puissances qui auront à combattre avec tant de générosité, de courage et d’intrépidité, elles recevront de la France la plus grande récompense, celle de venir prendre place au sein de l’Eglise catholique, apostolique et romaine. « Et l’Eglise, elle-même, sortira de ce baptême de sang, rajeunie et renouvelée. Je vais mettre fin au règne de l’impiété, je vais briser tous les obstacles et renverser tous les projets de ceux qui empêchent la lumière de se faire. »
La France sera sauvée par des moyens en dehors de toute connaissance, Dieu s’en réservant le secret jusqu’au dernier moment. « Je me joue des projets des hommes, ma Droite prépare des merveilles, mon nom sera glorifié par toute la terre ; je me plairai à confondre l’orgueil des impies et plus le monde sera hostile au surnaturel, plus merveilleux et extraordinaires seront les faits qui confondront cette négation du surnaturel.
A la place du trône de la Bête s’élèveront deux trônes glorieux : celui du Sacré Cœur de Jésus et celui du Cœur immaculé. Il sera reconnu que ce ne sera ni la force des hommes, ni la puissance des canons, ni le génie des industriels qui mettra fin à cette guerre. Mais elle se terminera que lorsque l’expiation sera achevée ; ayant hâte d’en finir avec l’impiété et de voir la France telle que la désire, j’abrègerai la durée par l’intensité !...
Prenez courage et soyez convaincu qu’une fois la France victorieuse, je ne la laisserai pas au pouvoir des impies ; le règne de dieu est proche. Il va s’ouvrir par un fait aussi éclatant qu’inattendu. »
(1847-05-10)
Suite et fin...
Elle eut aussi des révélations sur le rôle des Anges, nos plus précieux alliés en ces temps difficiles, et leurs relations avec les hommes :
« Je veux vous parler de deux choses que produisent les Anges sur les hommes. La première, c'est l'illumination de l'intelligence, la seconde le mouvement de la volonté (...). Les Anges, ma fille, éclairent les hommes de trois manières : en leur annonçant les divins mystères, en les instruisant, en les exhortant ; ils les éclairent en se manifestant à eux visiblement ou invisiblement (...) Invisiblement, lorsqu'ils ne se servent d'aucun objet sensible pour se manifester à l'homme, quand ils agissent directement avec l'âme sur l'âme, quand ils lui parlent comme un esprit à un esprit, comme un Ange à un Ange ; et cela, soit que celui à qui ils s'adressent soit éveillé, soit qu'il soit endormi, comme ils s'adressent à tous ceux à qui ils portent un intérêt et qui leur sont confiés en leur inspirant de bonnes pensées. (...) Ce mouvement ne ressemble pourtant pas à un mouvement, comme celui par exemple que vous communiqueriez à un objet quelconque ; non, ma fille, car la volonté demeure toujours libre, et comme libre, ni les Anges, ni Dieu ne peuvent lui donner mouvement vers le bien si elle ne veut pas. Ce mouvement est une disposition vers le bien, une aptitude, une facilité à faire le bien. A cet effet, les Anges enlèvent, font disparaître ou diminuent les obstacles qui empêcheraient la volonté et l'arrêteraient, et en ce sens, ils lui donnent encore le mouvement.
Ma fille, Dieu gouverne, dirige et mène tout immédiatement par sa providence. Rien ne Lui échappe, comme Il a tout créé, ainsi Il conserve tout, ainsi Il veille sur tout et porte ses yeux sur toutes choses. Néanmoins, Il lui a plu de confier l'exécution des actes de sa providence à des ministres qu'Il s'est donné. Ces ministres sont les Anges. [...] Il a fait le monde et l'a confié à ses Anges, Il a fait l'homme et Il le leur a confié aussi. Ils sont toujours à ses côtés, ils sont toujours avec lui, ils veillent sur lui, ils le gardent, et c'est pour cela qu'ils sont appelés Anges gardiens. Tous les hommes ont un Ange gardien [...] car telle est la volonté de mon Père du ciel, faisant tout pour le bien et le salut de l'homme. Les Anges gardiens n'ont point été seulement donnés aux hommes depuis ma venue en ce monde, mais depuis le commencement, tous les hommes ont reçu de Dieu un Ange pour veiller sur eux.
Voici ce que fait pour vous l'Ange gardien et ce que vous devez faire pour lui. L'Ange gardien éloigne de vous les maux du corps et de l'âme ; il lutte contre vos ennemis, il vous excite à faire le bien ; il porte à Dieu vos prières et inscrit sur le livre de vie vos bonnes œuvres ; il prie pour vous, il vous suit jusqu'à la mort, et vous portera dans le sein de Dieu, si vous vivez dans la justice pendant que vous serez sur terre. [...] Un rien peut affliger notre corps pour jamais, un accident peut pour jamais aussi vous ravir la vie de votre âme. Vous n'êtes point assez avisée pour écarter et éloigner tous les dangers ; et quand vous le seriez assez, souvent vous ne le pourriez pas vous-même. Ce que vous ne voyez pas, votre Ange gardien le peut pour vous, et il protège votre corps et votre âme en éloignant tout ce qui pourrait lui être préjudiciable ; il le fait sans que vous vous en aperceviez. Si quelque fois vous y réfléchissiez, et que vous vous demandassiez comment vous avez échappé à tel accident, à tel malheur, vous toucheriez du doigt l'action de votre bon Ange. [...] Enfin, ma fille, votre Ange gardien vous suivra partout ; il vous suivra tous les jours de votre vie, et quand Dieu vous retirera de ce monde, il vous présentera à Lui. »
Notre-Seigneur fait l’éloge de Marie Lataste. Il manifeste aussi sa volonté de faire connaître au monde entier, les écrits et la valeur doctrinale de l’ensemble de l’œuvre de Marie Lataste ; enfin, Il promet sa sanctification :
« Donnez toujours vos soins à Marie, vous ne savez point à qui vous les donnez. Marie sera un jour la mère spirituelle des pauvres pécheurs, Marie sera la consolatrice des affligés et la lumière des ignorants.
La voix de Marie retentira comme la voix d'un grand docteur et sa voix combattra les ennemis de ma religion sainte. Marie, comme une étoile brillante, sortira de dessous les nuages qui la couvent et sera donnée en spectacle à sa patrie et aux contrées lointaines.
Les nuages qui recouvrent son œuvre seront un jour levés, …
Les habitants du ciel la regarderont et seront éblouis de sa beauté. Marie deviendra la terreur des démons, et un objet de haine et de confusion pour les ennemis de ma doctrine. Marie sera persécutée, elle éprouvera toutes sortes de déboires ; mais tout tournera à sa sanctification. Elle est à la veille d'entrer dans la retraite profonde que je lui destine.... »
Notre-Seigneur parle à Marie Lataste de sa colère contre l’humanité corrompue et pécheresse :
« Je l'avais entendu le dimanche précédent ; sa voix, au lieu d'être douce, bonne et toute paternelle, me semblait être la voix de Dieu irrité contre les pécheurs. Sa bouche était pleine de menaces, il s'exprima à peu près ainsi : "Mon peuple, je viens vous faire entendra ma voix et vous reprocher vos iniquités. La terre n'est qu'un foyer de corruption. J'ai regardé à droite et je n'ai vu que vanité et mensonge ; j'ai regardé à gauche et je n'ai vu que turpitudes et infamies qui font horreur. J'ai regardé dans le passé, et l'histoire des siècles n'est qu'un long mémoire de cruautés affreuses ; je regarde le présent et je vois tous les hommes s'élever contre Dieu, blasphémer son nom et violer ses lois. Mais je m'élèverai contre ces superbes pécheurs, je ferai gronder mon tonnerre au dessus de leur tête et ma foudre ébranlera la terre sous leurs pieds. J'éclairerai leurs yeux du feu de mes éclairs et les envelopperai dans le brouillard impénétrable de mes nuages. Ainsi je jetterai la consternation parmi eux. Hommes vindicatifs, sachez-le bien, la main de Dieu seul doit s'armer pour la vengeance. Si vous avez reçu une injure, plaignez-vous à Dieu. Périssent votre or et votre argent, hommes avares ; et si vous demeurez attachés à vos richesses, vous périrez comme elles. Hommes voluptueux, quelle vie est la vôtre ? ne savez-vous donc pas que rien d'impur n'entrera jamais dans le royaume des cieux ? Hommes superbes, qui êtes-vous devant le fils de Dieu qui s'est fait humble jusqu'à la mort de la croix ? Mon Père, si ma voix n'est pas écoutée par les hommes, exterminez tous ceux qui vient et qui on les mains souillées de sang, le coeur rempli d'iniquités, l'âme esclave de Satan. Mon Père, créez-moi un peuple nouveau, et que ce peuple glorifie votre nom dans le temps et dans l'éternité."
La voix du Sauveur Jésus était terrible et me glaçait d'effroi ; mais au moment de la bénédiction je me remis un peu, car je vis sa figure reprendre son air habituel de douceur et de bonté. »
Notre-Seigneur parle à Marie Lataste des pécheurs et de la France punie à cause du péché :
« Ah ! les pécheurs n'y font point attention, ma fille. Ils continuent à vivre dans le péché, à commettre le péché. Ils s’efforcent de rendre inutiles les mérites et la vertu de mon incarnation et de ma passion. Malheur à eux, malheur à eux ! »
« Voyez comme Dieu a puni le péché des anges, comme il a puni le péché d’Adam, comme dans tous les temps il a puni les péchés des peuples par des fléaux terribles. Voyez comme dans un temps bien rapproché de vous il a puni les crimes de votre France par des guerres qui l’ont désolée, et quels malheurs encore sont près de fondre sur elle. Dieu punira également le péché mortel dans chacun des pécheurs, s'ils ne se convertissent pas, pour vivre de la vie véritable, il les condamnera au feu de l’enfer et les privera du bonheur du ciel. »
Notre-Seigneur parle à Marie Lataste de la France :
« Ma fille, je vous le dis en vérité, il est quelquefois assez d’une âme qui se présente devant Dieu dans la crainte et le tremblement, et qui lui adresse ses supplications, pour arrêter son bras vengeur déjà levé contre une nation tout entière. »
« Priez, ma fille, priez beaucoup pour la France : le nombre de ses iniquités s’accroît de jour en jour; priez pour elle, et désarmez le courroux de mon Père. Joignez-vous aux âmes pieuses et saintes qui lui adressent leurs incessantes supplications. Si Dieu veille sur la France et la protège malgré ses iniquités, ce n'est qu’en vue des prières et des supplications nombreuses qui lui sont adressées, et qui montent jusqu’à lui pour le fléchir. »
« …Puis le Sauveur Jésus ajouta : "Mon fils, priez pour la France ; je l'ai déjà dit et je me plais à vous le répéter, si les coups de la justice de mon Père ne sont point tombés sur elle, c'est Marie, la Reine du Ciel, qui les a arrêtés. Satan rugit de rage au fond des enfers contre un royaume qui lui a porté, à la vérité, de rudes coups ; il frémit de rage en voyant le bien qui se fait dans cette contrée ; il fait tous ses efforts pour augmenter le mal et irriter davantage la vengeance divine.
« Mais une chaîne qu'il ne peut briser le captive ; car ma Mère a un droit spécial sur la France qui lui est consacrée, et, par ce droit, elle arrête le bras courroucé de Dieu et répand sur ce pays, qui lui est voué, les bénédictions du ciel pour le faire croître dans le bien. C'est pourquoi je ne cesse d'avertir pour prévenir d'immenses calamités.
« O France ! ta gloire s'étendra au loin ; tes enfants la porteront au-delà de la vaste étendue des mers, et ceux qui ne te connaîtront que de nom prieront pour ta conservation et ta prospérité.
« Mon fils, je viens de vous parler avec la familiarité d'un ami et la bonté d'un père. Ne vous étonnez pas si je vous ai ainsi entretenu sans que vous vous attendissiez aux paroles que je vous ai adressées ; souvent les confidences d'un ami renferment des choses qu'on n'aurait point devinées.
« Écoutez maintenant mes recommandations : Chaque fois que vous célébrerez la sainte messe, priez pour le bien et la conservation de la France. Recevez avec patience et soumission toutes les épreuves qu'il me plaira de vous envoyer. Détachez-vous de plus en plus des créatures et faites-vous de moi l'ami le plus intime... Mimbaste, 22 novembre 1843 »
Marie Lataste, vit un jour L'Ange Exterminateur planer sur la Grande Ville, Paris :
« Il me semble être dans une grande place de Paris. Au milieu de cette place, je vis un jeune homme sur une petite colonne. Il était revêtu d'une robe rouge, il portait un diadème sur la tête ; il tenait son sabre dans le fourreau et un arc entre les mains. Ses regards étaient foudroyants et sa bouche prête à lancer des menaces. Je vis inscrit au-dessus de sa tête en caractères de feu : l'Ange exterminateur.
Paris, ville exécrable, depuis longtemps tu mérites mon indignation, et si je n'ai point fait tomber sur toi les flots de ma colère, c'est par un effet de ma Miséricorde. J'ai arrêté mon bras vengeur déjà prêt à s'appesantir sur toi. J'ai épargné la multitude innombrable des pécheurs pour ne point frapper les justes. Tes habitants te maudiront un jour, parce que tu les auras saturés de ton air empesté, et ceux à qui tu as donné asile te jetteront leurs malédiction, parce qu’ils ont trouvés la mort en ton sein. »
Marie Lataste eut aussi des révélations sur Rome, la ville éternelle, et sur le Saint-Père :
« Pendant plus de trois ans, cette ville où règnera un pontife âgé, semblera perdue. »
« Or, l’affliction viendra sur la terre, l’oppression règnera dans la cité que j’aime et où j’ai laissé mon cœur. Elle sera dans la tristesse et la désolation ; elle sera environnée d’ennemis de tous côtés, comme un oiseau pris dans les filets. Cette cité paraîtra succomber pendant trois ans et un peu de temps encore après ces trois ans. Mais ma Mère descendra dans cette cité ; Elle prendra les mains du vieillard qui siège sur le trône, et lui dira : "Voici l’heure, lève-toi. Regarde tes ennemis, je les fais disparaître les uns après les autres, et ils disparaissent pour toujours. Tu m’as rendu gloire au ciel et sur la terre, je veux te rendre gloire au ciel et sur la terre. Vois les hommes, ils sont en vénération devant ton nom, en vénération devant ton courage, en vénération devant ta puissance. Tu vivras et Je vivrai avec toi. Vieillard, sèche tes larmes. Je te bénis." »
Notre Seigneur révèle à Marie Lataste ces paroles dans lesquelles la raison et la théologie n’ont rien à reprendre :
« La guerre aura été une miséricorde. On le reconnaîtra plus tard et ceux qui auront souffert seront dans la joie d’avoir contribuer à faire une France nouvelle en laquelle « Dieu prendra ses complaisances ». Une fois que la France aura payé sa dette, elle sera récompensée par une telle abondance de grâces et de bénédictions qu’en peu de temps, elle aura tout oublié de ses douleurs. Pour les puissances qui auront à combattre avec tant de générosité, de courage et d’intrépidité, elles recevront de la France la plus grande récompense, celle de venir prendre place au sein de l’Eglise catholique, apostolique et romaine. « Et l’Eglise, elle-même, sortira de ce baptême de sang, rajeunie et renouvelée. Je vais mettre fin au règne de l’impiété, je vais briser tous les obstacles et renverser tous les projets de ceux qui empêchent la lumière de se faire. »
La France sera sauvée par des moyens en dehors de toute connaissance, Dieu s’en réservant le secret jusqu’au dernier moment. « Je me joue des projets des hommes, ma Droite prépare des merveilles, mon nom sera glorifié par toute la terre ; je me plairai à confondre l’orgueil des impies et plus le monde sera hostile au surnaturel, plus merveilleux et extraordinaires seront les faits qui confondront cette négation du surnaturel.
A la place du trône de la Bête s’élèveront deux trônes glorieux : celui du Sacré Cœur de Jésus et celui du Cœur immaculé. Il sera reconnu que ce ne sera ni la force des hommes, ni la puissance des canons, ni le génie des industriels qui mettra fin à cette guerre. Mais elle se terminera que lorsque l’expiation sera achevée ; ayant hâte d’en finir avec l’impiété et de voir la France telle que la désire, j’abrègerai la durée par l’intensité !...
Prenez courage et soyez convaincu qu’une fois la France victorieuse, je ne la laisserai pas au pouvoir des impies ; le règne de dieu est proche. Il va s’ouvrir par un fait aussi éclatant qu’inattendu. »
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Prophéties pour notre temps
Docteur Luigi Gaspari
(1968-09-23)
Le Docteur Luigi Gaspari était un fils spirituel, confident et secrétaire de Saint Padre Pio :
Voici une prophétie de Saint Padre Pio, donnée à Luigi Gaspari, et publiée en italien, le 1er juin 1969, dans son ouvrage "Padre Pio" m’a dit :
« Allons où il y a facilité à être écouté avec amour, nous ne voulons pas perdre de temps, nous avons encore trop de choses à faire. Je te ferai connaître un autre visage du monde que tu ne connais pas. Nous le verrons ensemble, toi et moi. Tu verras si ton Père n’a pas raison d’être indigné et fatigué d’attendre, maintenant on ne peut plus attendre, parce que beaucoup encore peuvent se sauver. Moi, je veux les sauver parce que ceux-ci sont des victimes innocentes. Si nous attendons, ceux-ci aussi seront perdus. Et alors ?
Mon enfant, serre-toi à ton Père. Ne doutes pas du bien qu’il te veut, écoute ce que dit ton Père pour le bien de tous.
Il n’y a plus de temps à perdre ! L’heure de restitution des comptes est proche. Aidons qui est de bonne volonté. Le moment est imminent. Qu’adviendra t-il ? Tu le sauras très vite !
L’Orient est un tapis qui cache tant d’insidieuses choses (pièges, embûches, trahisons), par dessus, il y a de terribles préparations de la part des ennemis de ton Père.
Personne ne s’en rend compte, mais c’est ainsi ! Mon enfant, ton amour pour ton Père sera la santé et le salut pour beaucoup. Demande à Dieu le Père, qui est le tien, le salut pour beaucoup, parce que le Père t’aime et ne te refusera pas la sauvegarde de ceux que tu aimeras, et que tu voudras sauver.
Dieu le Père est heureux de sentir que tu L’aimes. Prononce toujours son Nom avec amour.
Chaque fois que tu te sens proche de Lui, se libèrent des myriades d’étincelles d’Amour qui investissent la terre. Les scintillements d’Amour du Père Eternel descendent sur beaucoup d’hommes, qui par cette voie, reçoivent " Grâces d’Amour ".
Reviens ainsi, grâce à l’étincelle reçue, à l’amour pour Dieu. Dieu se fait sentir pour l’Amour qu’Il a pour toi, sois son enfant.
Sache que notre Dieu a fait tout un programme. Pour la promesse de ce programme, Il ne tardera pas à éliminer tous ceux qui entravent sa Volonté.
Le programme, tu le connaîtras très vite. »
Voici d’autres prophéties issues de Saint Padre Pio, que Luigi Gaspari communiqua sous forme de lettre à un religieux français.
Lettre du 5 mai 1972 :
« Un jour Padre Pio me parla d’un importantissime testament caché au Vatican. Il s’agit du testament de la Duchesse d’Angoulême…
Ce testament aurait révélé non seulement le mystère du Dauphin, mais encore le sien…
Pour le bien de la France, de l’Italie et du monde, un tel testament ne peut rester secret… «
(1968-09-23)
Le Docteur Luigi Gaspari était un fils spirituel, confident et secrétaire de Saint Padre Pio :
Voici une prophétie de Saint Padre Pio, donnée à Luigi Gaspari, et publiée en italien, le 1er juin 1969, dans son ouvrage "Padre Pio" m’a dit :
« Allons où il y a facilité à être écouté avec amour, nous ne voulons pas perdre de temps, nous avons encore trop de choses à faire. Je te ferai connaître un autre visage du monde que tu ne connais pas. Nous le verrons ensemble, toi et moi. Tu verras si ton Père n’a pas raison d’être indigné et fatigué d’attendre, maintenant on ne peut plus attendre, parce que beaucoup encore peuvent se sauver. Moi, je veux les sauver parce que ceux-ci sont des victimes innocentes. Si nous attendons, ceux-ci aussi seront perdus. Et alors ?
Mon enfant, serre-toi à ton Père. Ne doutes pas du bien qu’il te veut, écoute ce que dit ton Père pour le bien de tous.
Il n’y a plus de temps à perdre ! L’heure de restitution des comptes est proche. Aidons qui est de bonne volonté. Le moment est imminent. Qu’adviendra t-il ? Tu le sauras très vite !
L’Orient est un tapis qui cache tant d’insidieuses choses (pièges, embûches, trahisons), par dessus, il y a de terribles préparations de la part des ennemis de ton Père.
Personne ne s’en rend compte, mais c’est ainsi ! Mon enfant, ton amour pour ton Père sera la santé et le salut pour beaucoup. Demande à Dieu le Père, qui est le tien, le salut pour beaucoup, parce que le Père t’aime et ne te refusera pas la sauvegarde de ceux que tu aimeras, et que tu voudras sauver.
Dieu le Père est heureux de sentir que tu L’aimes. Prononce toujours son Nom avec amour.
Chaque fois que tu te sens proche de Lui, se libèrent des myriades d’étincelles d’Amour qui investissent la terre. Les scintillements d’Amour du Père Eternel descendent sur beaucoup d’hommes, qui par cette voie, reçoivent " Grâces d’Amour ".
Reviens ainsi, grâce à l’étincelle reçue, à l’amour pour Dieu. Dieu se fait sentir pour l’Amour qu’Il a pour toi, sois son enfant.
Sache que notre Dieu a fait tout un programme. Pour la promesse de ce programme, Il ne tardera pas à éliminer tous ceux qui entravent sa Volonté.
Le programme, tu le connaîtras très vite. »
Voici d’autres prophéties issues de Saint Padre Pio, que Luigi Gaspari communiqua sous forme de lettre à un religieux français.
Lettre du 5 mai 1972 :
« Un jour Padre Pio me parla d’un importantissime testament caché au Vatican. Il s’agit du testament de la Duchesse d’Angoulême…
Ce testament aurait révélé non seulement le mystère du Dauphin, mais encore le sien…
Pour le bien de la France, de l’Italie et du monde, un tel testament ne peut rester secret… «
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Prophéties pour notre temps
Moine Hermann de Lehnin
(1270)
Cette prophétie fut composée dans le couvent cistercien de Lehnin dans la Marche du Brandebourg, fondé par Othon d’Anhalt en 1180. Elle est l’œuvre du Frère Hermann. Ses cent vers hexamètres latins décrivent la vie des margraves jusqu’à Guillaume II, qui doit être le dernier. Les vers prophétiques suivant nous annoncent :
« Vers 47 - Mais en ce temps-là, une femme introduira dans le pays une peste déplorable.
Vers 48 – La femme infectée du venin d’un reptile d’origine nouvelle.
Vers 49 – Elle en perpétuera le virus jusqu’à la onzième génération. »
Il semble évident que les trois vers ci-dessus prophétisaient le rôle d’Elisabeth de Danemark, femme de Joachim de Hohenzollern, électeur de Brandebourg (1495-1535), qui fut une fervente disciple de Luther. Elle infiltra dans son pays le protestantisme. Son mari, catholique comme tous ses prédécesseurs, eut beau protester, chasser son épouse et faire promettre à ses enfants, auprès de son lit de mort, qu’eux et leurs descendants s’attacheraient inébranlablement à la foi catholique, le mal était fait et le Brandebourg passait à la réforme.
Frère Hermann prédit donc que le protestantisme se perpétuerait jusqu’à la 11ème génération, jusqu’à Frédérick-Guillaume III (1797-1840). Il annonça cela et rien que cela. Dieu ne lui avait pas révélé qu ‘à la 12ème génération, le protestantisme cèderait la place à la religion au catholique.
« Vers 93 – Enfin le sceptre est aux mains de celui qui est le dernier de sa race.
Vers 94 – Israël commet un forfait horrible qui mérite la mort.
Vers 95 – Et le Pasteur récupère son troupeau, ainsi que l’Allemagne son roi.
Vers 96 – La Marche remise de ses longs malheurs.
Vers 97 – Etreint ses enfants dans ses bras, au dépit des étrangers.
Vers 98 – Les antiques toits de Lehnin et de Chorin s’élèvent de nouveau.
Vers 99 - Le clergé resplendit de l’ancien éclat.
Vers 100 - Et il n’y aura plus de loup pour dresser des embûches au noble troupeau. »
(1270)
Cette prophétie fut composée dans le couvent cistercien de Lehnin dans la Marche du Brandebourg, fondé par Othon d’Anhalt en 1180. Elle est l’œuvre du Frère Hermann. Ses cent vers hexamètres latins décrivent la vie des margraves jusqu’à Guillaume II, qui doit être le dernier. Les vers prophétiques suivant nous annoncent :
« Vers 47 - Mais en ce temps-là, une femme introduira dans le pays une peste déplorable.
Vers 48 – La femme infectée du venin d’un reptile d’origine nouvelle.
Vers 49 – Elle en perpétuera le virus jusqu’à la onzième génération. »
Il semble évident que les trois vers ci-dessus prophétisaient le rôle d’Elisabeth de Danemark, femme de Joachim de Hohenzollern, électeur de Brandebourg (1495-1535), qui fut une fervente disciple de Luther. Elle infiltra dans son pays le protestantisme. Son mari, catholique comme tous ses prédécesseurs, eut beau protester, chasser son épouse et faire promettre à ses enfants, auprès de son lit de mort, qu’eux et leurs descendants s’attacheraient inébranlablement à la foi catholique, le mal était fait et le Brandebourg passait à la réforme.
Frère Hermann prédit donc que le protestantisme se perpétuerait jusqu’à la 11ème génération, jusqu’à Frédérick-Guillaume III (1797-1840). Il annonça cela et rien que cela. Dieu ne lui avait pas révélé qu ‘à la 12ème génération, le protestantisme cèderait la place à la religion au catholique.
« Vers 93 – Enfin le sceptre est aux mains de celui qui est le dernier de sa race.
Vers 94 – Israël commet un forfait horrible qui mérite la mort.
Vers 95 – Et le Pasteur récupère son troupeau, ainsi que l’Allemagne son roi.
Vers 96 – La Marche remise de ses longs malheurs.
Vers 97 – Etreint ses enfants dans ses bras, au dépit des étrangers.
Vers 98 – Les antiques toits de Lehnin et de Chorin s’élèvent de nouveau.
Vers 99 - Le clergé resplendit de l’ancien éclat.
Vers 100 - Et il n’y aura plus de loup pour dresser des embûches au noble troupeau. »
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Prophéties pour notre temps
Saint Méthode de Patara
(0310)
Saint Méthode, dès sa jeunesse, se dévoua à la vie d'ascète, et, comme une ville placée sur une colline, il fut remarqué et appelé à l'épiscopat dans la ville de Patara en Lycie. Méthode était un hiérarque érudit et éloquent, et il écrivit contre l'hérésie de Crigène. Ses paroles, "inspirées par Dieu, illuminent le monde entier comme un éclair". Les païens se levèrent contre lui, le torturèrent et le décapitèrent. Il souffrit le martyre en l'an de grâce 310, à Chalcis, en Syrie.
L’Apocalypse de Saint Méthode, texte syriaque rédigé en Mésopotamie entre 644 et 678, et attribué à l’évêque de Patara du IIIème siècle, donne libre cours à cet espoir d’un relèvement de l’Eglise, tout en reproduisant les schémas des évènements relatés par la Tiburnita. L’abdication de l’Empereur au sommet du mont des Oliviers est cependant substituée au renoncement au pouvoir au Saint Sépulcre.
Après avoir annoncé dans ses sermons sur la consommation du monde que les arabes, "ces impies"…se glorifient d’avoir désolé la Syrie, la Cappadoce, l’Isaurie, l’Afrique, saint Méthode ajoute :
« On apprend plusieurs choses du dernier siècle dans les révélations attribuées à Saint Méthodius. Surtout, on y voit la triste position de la Chrétienté sous l’esclavage des Turcs, avec une affliction si entière, qu’il ne reste aucune apparence de se relever. Ces heureux impies… se glorifient d’avoir désolé la Perse, la Syrie, la Cappadoce, l’Isaurie, l’Afrique, la Sicile, le voisinage de Rome et les îles…
Un jour viendra où les ennemis du Christ se vanteront d’avoir conquis le monde entier et d’avoir asservi tous les hommes. « Les Chrétiens ne peuvent plus nous échapper » diront-ils.
Alors, lorsqu’on y pense le moins, il s’élève un Roi des Romains, qui porte heureusement les armes contre ces orgueilleuses multitudes.
La valeur et le jugement se trouvent partout avec lui, triomphant de toute leur gloire.
Il se lancera sur les ennemis du christianisme et les écrasera.
Son fils le seconde avec de glorieux succès dans la Terre Sainte.
La joie de ces infidèles se change en pleurs et en gémissements.
La frayeur, la servitude et la mort les poursuivent de toutes parts ; de sorte qu’après les ruines de leur gloire, ils sont contraints de subir un joug sept fois plus pesant qu’ils ne l’avaient imposé aux chrétiens.
L’Arménie, la Cilicie, l’Isaurie, l’Afrique, la Grèce, la Sicile et toutes les autres terres usurpées sur les fidèles, leurs seront glorieusement restituées.
L’Egypte sera désolée, l’Arabie brûlée et les villes maritimes pacifiées.
Mais après ces hautes victoires, la fureur du roi des Romains tombe particulièrement sur ceux qui ont été si lâches de renoncer à leur foi.
Il s’en suivit une paix admirable et la tranquillité régnera alors sur terre, d’une manière telle qu’elle n’a jamais été vue.
On rebâtit les villes et les villages et les prêtres sortent de leur misère et le clergé est délivré de ses inquiétudes.
Tandis que le monde ne pense qu’aux plaisirs et aux délices de cette agréable tranquillité, les peuples du Septentrion se débordent sur la terre.
Chacun effrayé de cette inondation, prend la fuite vers les montagnes ; les uns se cachent dans les cavernes, les autres dans les sépulcres. La cruauté des barbares victorieux est si sauvage qu’ils tuent jusqu’aux petits enfants et les font manger à leurs mères.
Enfin, comme ils ont pris la ville de Joppé (Jaffa), Dieu envoie un des princes de sa milice, qui les défait tous en un instant.
Le roi monte sur le Golgotha, où est le bois de la sainte Croix, et ôtant la couronne de sa tête, il la pose sur le gibet sacré. IL étend les mains vers le ciel et remet le royaume des fidèles entre les mains de Dieu le Père.
La croix et le diadème sont reçus et élevés dans le ciel ; le roi meurt et avec lui toute principauté.
A la fin, les Chrétiens oublieront la grâce insigne de Dieu qui leur envoya un Grand Monarque, une ère de paix totale et des moissons abondantes. Ils se montreront fort ingrats, mèneront une vie pécheresse dans l’orgueil, la vanité, la concupiscence, la frivolité, la haine, l’avarice, la gloutonnerie et tant d’autres vices, que sur les péchés des hommes sembleront, aux yeux de Dieu, plus mauvais que la peste. Un grand nombre de gens viendront à douter de la foi catholique et écouteront les enseignements des faux prophètes. Le Dieu juste permettra alors à Lucifer et à ses cohortes de venir visiter la terre. »
Et voici la version orthodoxe de la prophétie de St Méthode :
« Et la race blonde possédera la cité aux sept collines pendant six ou cinq (semaines, mois … ?), et des herbes y seront plantées, et beaucoup en mangeront pour rendre justice aux saints ; et trois administrateurs proviseurs gouverneront à l'Est... Puis ce sera l'avènement d'un seul qui gouvernera ; et après lui un loup féroce... et les nations établies du Nord seront également troublées et se déplaceront avec grande violence et rage et elles seront divisées en 4 autorités : la première séjournera à Éphèse, la deuxième à Melayah ; la troisième à Pergame, et la quatrième à Vythinia... Puis les nations établies à 1'angle du Sud seront secouées, et Philippe le Grand se lèvera avec 18 langues, et ils se rassembleront dans la région de la cité aux sept collines, et feront une guerre telle qu'il n'y en a jamais eu. Et ils courront à travers les passages et rues de Constantinople, et le massacre des hommes fera naître un fleuve et la mer sera maculée par le sang jusqu'aux profondeurs de l'abîme. Puis le boeuf beuglera et le mont Xirolofos hurlera ; puis les chevaux s'arrêteront et une voix du ciel criera : arrêtons-nous, et tenons-nous bien, paix à vous ; le châtiment du désobéissant et de l'insoumis est suffisant ; et maintenant allez dans la région à droite de Constantinople et là, vous trouverez un homme sur deux collines, debout, en grande affliction (il sera brillant de visage, charitable, pauvrement habillé, le regard austère, doux pour soutenir ses convictions), il aura un ongle recourbé au pied droit, et une voix par un ange déclarera : « Faites-le roi » ; et ils lui donneront une épée à la main droite, en lui disant : « Courage Jean ; le Puissant prévaudra et détruira tes ennemis. » Et, prenant l'épée de la main de l'ange, il frappera les Ismaélites, les Éthiopiens et toutes générations infidèles. Et il divisera les Ismaélites en trois parties : la première passera par l'épée, la deuxième, il la baptisera ; et la troisième, il la réduira à l'esclavage en Orient. Et, à son retour, les trésors de la terre seront ouverts. Chaque nation se suffira à elle-même, et tout le monde sera riche et il n'y aura pas de pauvres ; et le sol donnera du fruit au centuple ; et les armes de la guerre deviendront des charrues et des faux ; et il régnera 35 ans. »
Le Grand Monarque qui est annoncé possèdera l’ensemble des qualités et des charismes de ses illustres prédécesseurs ; il aura l’esprit da sainteté, de pauvreté et de justice d’un Saint Louis ; il aura la volonté de défendre l’Eglise, le souci d’instruire et l’esprit conquérant de l’Empereur Charlemagne, il aura aussi l’esprit de sainteté d’un Saint Dagobert II, et le don d’un Saint Gontran de retrouver les trésors cachés.
(0310)
Saint Méthode, dès sa jeunesse, se dévoua à la vie d'ascète, et, comme une ville placée sur une colline, il fut remarqué et appelé à l'épiscopat dans la ville de Patara en Lycie. Méthode était un hiérarque érudit et éloquent, et il écrivit contre l'hérésie de Crigène. Ses paroles, "inspirées par Dieu, illuminent le monde entier comme un éclair". Les païens se levèrent contre lui, le torturèrent et le décapitèrent. Il souffrit le martyre en l'an de grâce 310, à Chalcis, en Syrie.
L’Apocalypse de Saint Méthode, texte syriaque rédigé en Mésopotamie entre 644 et 678, et attribué à l’évêque de Patara du IIIème siècle, donne libre cours à cet espoir d’un relèvement de l’Eglise, tout en reproduisant les schémas des évènements relatés par la Tiburnita. L’abdication de l’Empereur au sommet du mont des Oliviers est cependant substituée au renoncement au pouvoir au Saint Sépulcre.
Après avoir annoncé dans ses sermons sur la consommation du monde que les arabes, "ces impies"…se glorifient d’avoir désolé la Syrie, la Cappadoce, l’Isaurie, l’Afrique, saint Méthode ajoute :
« On apprend plusieurs choses du dernier siècle dans les révélations attribuées à Saint Méthodius. Surtout, on y voit la triste position de la Chrétienté sous l’esclavage des Turcs, avec une affliction si entière, qu’il ne reste aucune apparence de se relever. Ces heureux impies… se glorifient d’avoir désolé la Perse, la Syrie, la Cappadoce, l’Isaurie, l’Afrique, la Sicile, le voisinage de Rome et les îles…
Un jour viendra où les ennemis du Christ se vanteront d’avoir conquis le monde entier et d’avoir asservi tous les hommes. « Les Chrétiens ne peuvent plus nous échapper » diront-ils.
Alors, lorsqu’on y pense le moins, il s’élève un Roi des Romains, qui porte heureusement les armes contre ces orgueilleuses multitudes.
La valeur et le jugement se trouvent partout avec lui, triomphant de toute leur gloire.
Il se lancera sur les ennemis du christianisme et les écrasera.
Son fils le seconde avec de glorieux succès dans la Terre Sainte.
La joie de ces infidèles se change en pleurs et en gémissements.
La frayeur, la servitude et la mort les poursuivent de toutes parts ; de sorte qu’après les ruines de leur gloire, ils sont contraints de subir un joug sept fois plus pesant qu’ils ne l’avaient imposé aux chrétiens.
L’Arménie, la Cilicie, l’Isaurie, l’Afrique, la Grèce, la Sicile et toutes les autres terres usurpées sur les fidèles, leurs seront glorieusement restituées.
L’Egypte sera désolée, l’Arabie brûlée et les villes maritimes pacifiées.
Mais après ces hautes victoires, la fureur du roi des Romains tombe particulièrement sur ceux qui ont été si lâches de renoncer à leur foi.
Il s’en suivit une paix admirable et la tranquillité régnera alors sur terre, d’une manière telle qu’elle n’a jamais été vue.
On rebâtit les villes et les villages et les prêtres sortent de leur misère et le clergé est délivré de ses inquiétudes.
Tandis que le monde ne pense qu’aux plaisirs et aux délices de cette agréable tranquillité, les peuples du Septentrion se débordent sur la terre.
Chacun effrayé de cette inondation, prend la fuite vers les montagnes ; les uns se cachent dans les cavernes, les autres dans les sépulcres. La cruauté des barbares victorieux est si sauvage qu’ils tuent jusqu’aux petits enfants et les font manger à leurs mères.
Enfin, comme ils ont pris la ville de Joppé (Jaffa), Dieu envoie un des princes de sa milice, qui les défait tous en un instant.
Le roi monte sur le Golgotha, où est le bois de la sainte Croix, et ôtant la couronne de sa tête, il la pose sur le gibet sacré. IL étend les mains vers le ciel et remet le royaume des fidèles entre les mains de Dieu le Père.
La croix et le diadème sont reçus et élevés dans le ciel ; le roi meurt et avec lui toute principauté.
A la fin, les Chrétiens oublieront la grâce insigne de Dieu qui leur envoya un Grand Monarque, une ère de paix totale et des moissons abondantes. Ils se montreront fort ingrats, mèneront une vie pécheresse dans l’orgueil, la vanité, la concupiscence, la frivolité, la haine, l’avarice, la gloutonnerie et tant d’autres vices, que sur les péchés des hommes sembleront, aux yeux de Dieu, plus mauvais que la peste. Un grand nombre de gens viendront à douter de la foi catholique et écouteront les enseignements des faux prophètes. Le Dieu juste permettra alors à Lucifer et à ses cohortes de venir visiter la terre. »
Et voici la version orthodoxe de la prophétie de St Méthode :
« Et la race blonde possédera la cité aux sept collines pendant six ou cinq (semaines, mois … ?), et des herbes y seront plantées, et beaucoup en mangeront pour rendre justice aux saints ; et trois administrateurs proviseurs gouverneront à l'Est... Puis ce sera l'avènement d'un seul qui gouvernera ; et après lui un loup féroce... et les nations établies du Nord seront également troublées et se déplaceront avec grande violence et rage et elles seront divisées en 4 autorités : la première séjournera à Éphèse, la deuxième à Melayah ; la troisième à Pergame, et la quatrième à Vythinia... Puis les nations établies à 1'angle du Sud seront secouées, et Philippe le Grand se lèvera avec 18 langues, et ils se rassembleront dans la région de la cité aux sept collines, et feront une guerre telle qu'il n'y en a jamais eu. Et ils courront à travers les passages et rues de Constantinople, et le massacre des hommes fera naître un fleuve et la mer sera maculée par le sang jusqu'aux profondeurs de l'abîme. Puis le boeuf beuglera et le mont Xirolofos hurlera ; puis les chevaux s'arrêteront et une voix du ciel criera : arrêtons-nous, et tenons-nous bien, paix à vous ; le châtiment du désobéissant et de l'insoumis est suffisant ; et maintenant allez dans la région à droite de Constantinople et là, vous trouverez un homme sur deux collines, debout, en grande affliction (il sera brillant de visage, charitable, pauvrement habillé, le regard austère, doux pour soutenir ses convictions), il aura un ongle recourbé au pied droit, et une voix par un ange déclarera : « Faites-le roi » ; et ils lui donneront une épée à la main droite, en lui disant : « Courage Jean ; le Puissant prévaudra et détruira tes ennemis. » Et, prenant l'épée de la main de l'ange, il frappera les Ismaélites, les Éthiopiens et toutes générations infidèles. Et il divisera les Ismaélites en trois parties : la première passera par l'épée, la deuxième, il la baptisera ; et la troisième, il la réduira à l'esclavage en Orient. Et, à son retour, les trésors de la terre seront ouverts. Chaque nation se suffira à elle-même, et tout le monde sera riche et il n'y aura pas de pauvres ; et le sol donnera du fruit au centuple ; et les armes de la guerre deviendront des charrues et des faux ; et il régnera 35 ans. »
Le Grand Monarque qui est annoncé possèdera l’ensemble des qualités et des charismes de ses illustres prédécesseurs ; il aura l’esprit da sainteté, de pauvreté et de justice d’un Saint Louis ; il aura la volonté de défendre l’Eglise, le souci d’instruire et l’esprit conquérant de l’Empereur Charlemagne, il aura aussi l’esprit de sainteté d’un Saint Dagobert II, et le don d’un Saint Gontran de retrouver les trésors cachés.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Prophéties pour notre temps
Hugues Capet
(0996)
Hugues 1er Capet (v.941-996) devient roi de France, premier de la dynastie capétienne, en 987. Fils d’Hugues le Grand et duc de France, il ne parvint pas lorsqu’il fut roi, à abaisser les prétentions de ses vassaux, mais il accrut le domaine royal.
Bien que l’origine de cette prophétie soit un peu obscure, on en trouve des versions latines et françaises de différentes époques.
La voici en substance : Une nuit que Hugues Capet était occupé à réfléchir sur les affaires du royaume de France, dont il était un des plus grands feudataires, il vit apparaître un vénérable abbé qui lui dit d’un ton sévère : " Que fais-tu là ? ". Hugues étonné lui répondit : " Qui êtes-vous, saint père ?" :
« Je suis, repartit la vision, Valéry, abbé du monastère de Leuconnay. Dieu Lui-même m’envoie t’apporter ses ordres. Le vénérable confesseur, Riquier, et moi, nous sommes exilés de nos monastères et retenus captifs par le comte de Flandres, Arnould, et Dieu t’a choisi pour être l’instrument de sa Justice ; hâte-toi de chasser les usurpateurs qui ont envahis nos deux abbayes ; rappelle les religieux expulsés et fait refleurir l’antique discipline ; à cette condition, je te promets, de la part du Seigneur qui a daigné exaucer les prières du bienheureux Riquier et les miennes :
Que tu seras roi et que descendants occuperont le trône de France pendant sept successions. »
La vision disparut. Peu de temps après, Hugues attaqua le comte de Flandre, le vainquit et restaurant les deux monastères. Il monta ensuite sur le trône de France.
Ce type d’intervention par bilocation semble tout à fait plausible, car ce charisme n’est pas rare et il est bien connu dans la vie des saints.
La prophétie s’est aujourd’hui presque pleinement réalisée, avec les différentes successions dynastiques d’une même et seule lignée, qui se sont succédées sur le trône de France :
- 1°) Les Capétiens directs, de Hugues Capet à Charles le Bel (987-1326) ;
- 2°) Les Valois, de Philippe VI à Charles VIII (1326-1498) ;
- 3°) Les Valois-Orléans, Louis XII (1498-1515) ;
- 4°) Les Valois-Angoulême, de François 1er à Henri III (1515-1589) ;
- 5°) Les Bourbons, branche aînée, de Henri IV à Louis XVI (1589-1793) ;
- 6°) Les Bourbons, branche cadette (1814-1830) ;
- 7°) Les Bourbons-Orléans (1830-1848).
A quelle succession se rattachera le grand Roi, si souvent promis par tant de prophéties au cours des siècles. Marie-Julie Jahenny nous annonce que ce grand Monarque portera le nom d’Henri V de la Croix, qu’il ne sera ni un Orléans ni un Naundorf, mais qu’il descendra de la branche coupée, et de l’enfant évadé du Temple.
Maître Michel Nostradamus, le médecin astrologue de Salon de Provence nous annonce qu’il sera sacré roi sous le nom d’Henri V, mais qu’il sera ensuite sacré à empereur sous le nom d’Henri VII.
(0996)
Hugues 1er Capet (v.941-996) devient roi de France, premier de la dynastie capétienne, en 987. Fils d’Hugues le Grand et duc de France, il ne parvint pas lorsqu’il fut roi, à abaisser les prétentions de ses vassaux, mais il accrut le domaine royal.
Bien que l’origine de cette prophétie soit un peu obscure, on en trouve des versions latines et françaises de différentes époques.
La voici en substance : Une nuit que Hugues Capet était occupé à réfléchir sur les affaires du royaume de France, dont il était un des plus grands feudataires, il vit apparaître un vénérable abbé qui lui dit d’un ton sévère : " Que fais-tu là ? ". Hugues étonné lui répondit : " Qui êtes-vous, saint père ?" :
« Je suis, repartit la vision, Valéry, abbé du monastère de Leuconnay. Dieu Lui-même m’envoie t’apporter ses ordres. Le vénérable confesseur, Riquier, et moi, nous sommes exilés de nos monastères et retenus captifs par le comte de Flandres, Arnould, et Dieu t’a choisi pour être l’instrument de sa Justice ; hâte-toi de chasser les usurpateurs qui ont envahis nos deux abbayes ; rappelle les religieux expulsés et fait refleurir l’antique discipline ; à cette condition, je te promets, de la part du Seigneur qui a daigné exaucer les prières du bienheureux Riquier et les miennes :
Que tu seras roi et que descendants occuperont le trône de France pendant sept successions. »
La vision disparut. Peu de temps après, Hugues attaqua le comte de Flandre, le vainquit et restaurant les deux monastères. Il monta ensuite sur le trône de France.
Ce type d’intervention par bilocation semble tout à fait plausible, car ce charisme n’est pas rare et il est bien connu dans la vie des saints.
La prophétie s’est aujourd’hui presque pleinement réalisée, avec les différentes successions dynastiques d’une même et seule lignée, qui se sont succédées sur le trône de France :
- 1°) Les Capétiens directs, de Hugues Capet à Charles le Bel (987-1326) ;
- 2°) Les Valois, de Philippe VI à Charles VIII (1326-1498) ;
- 3°) Les Valois-Orléans, Louis XII (1498-1515) ;
- 4°) Les Valois-Angoulême, de François 1er à Henri III (1515-1589) ;
- 5°) Les Bourbons, branche aînée, de Henri IV à Louis XVI (1589-1793) ;
- 6°) Les Bourbons, branche cadette (1814-1830) ;
- 7°) Les Bourbons-Orléans (1830-1848).
A quelle succession se rattachera le grand Roi, si souvent promis par tant de prophéties au cours des siècles. Marie-Julie Jahenny nous annonce que ce grand Monarque portera le nom d’Henri V de la Croix, qu’il ne sera ni un Orléans ni un Naundorf, mais qu’il descendra de la branche coupée, et de l’enfant évadé du Temple.
Maître Michel Nostradamus, le médecin astrologue de Salon de Provence nous annonce qu’il sera sacré roi sous le nom d’Henri V, mais qu’il sera ensuite sacré à empereur sous le nom d’Henri VII.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Prophéties pour notre temps
Frère Johannès
(1600)
La prophétie latine du frère Johannès, de l’an 1600, annonce le règne de l’Antéchrist :
« Vers l’an 2000, l’Antéchrist se manifestera…
On aura cru le reconnaître plusieurs fois, car tous les égorgeurs de l'Agneau se ressemblent ; et tous les méchants se trouvent être les précurseurs du Grand Méchant.
Le véritable Antéchrist sera un des monarques de son temps, un fils de Luther ; il invoquera Dieu et se donnera pour son envoyé.
Ce prince du mensonge jurera sur la Bible ; il se présentera comme le bras du Très -Haut, châtiant les peuples corrompus.
Ses armées, qui prendront pour devise "Dieu est avec nous" sembleront des légions infernales toutes de Noir vêtues.
Longtemps, il agira par ruse et félonie ; et ses espions parcourront la Terre ; il se sera rendu maître des secrets des puissants.
Il aura des docteurs à sa solde, qui certifieront et prouveront sa mission céleste.
Une guerre lui fournira l'occasion de lever le masque. Ce ne sera pas celle qu'il fera à un monarque français, mais une autre qu'on reconnaîtra bien à ce caractère qu'en deux semaines, elle sera universelle.
Elle mettra aux prises tous les peuples Chrétiens, tous les musulmans et même d'autres peuples très lointains. Des armées se formeront aux quatre coins du monde.
Car les Anges ouvriront l'esprit des hommes, et, à la troisième semaine, ils comprendront que c'est l'Antéchrist ; et qu'ils deviendraient tous ses esclaves s'ils ne terrassaient pas le conquérant.
On reconnaîtra l'Antéchrist à plusieurs traits : il massacrera surtout les prêtres, les moines, les femmes, les enfants et les vieillards. Les juifs seront aussi ses victimes. Il ne fera aucune merci ; il passera, torche à la main, comme les barbares d'autrefois.
Ses paroles d'imposture ressembleront à celles des Chrétiens, mais ses actes seront ceux de Néron et des persécuteurs Romains.
Pour vaincre l'Antéchrist, il faudra tuer plus d'hommes que Rome n'en a jamais contenu. Il faudra l'effort de tous les royaumes, car le Coq, le Léopard et l'Aigle Blanc ne viendraient pas à bout de l'Aigle Noir, si les prières et les voeux de la gent humaine ne venaient les aider.
Jamais la gent humaine n'aura connu un tel péril, parce que le triomphe de l'Antéchrist serait celui du démon en qui il est incarné.
Il menacera la Terre d'autant de maux que l'incarnation divine y avait apporté de grâces.
Son armée dépassera en nombre tout ce que l'on peut imaginer; il y aura des Chrétiens parmi ses cohortes, et il y aura des Mahométans et des soldats sauvages parmi les défenseurs de l'Agneau.
Pour la première fois, l'Agneau sera tout rouge. Il n'y aura pas dans le monde chrétien un petit espace qui ne soit rouge, et rouges seront le ciel, la terre, l'eau et même l'air, car le sang coulera au domaine des quatre éléments à la fois.
L'Aigle Noir, qui viendra du pays de Luther, surprendra le Coq d'un autre coté et envahira le pays des Coqs jusqu'à la moitié.
L'Aigle Blanc, qui viendra du Septentrion, surprendra l'Aigle Noir et l'autre Aigle, et envahira le pays de l'Antéchrist complètement d'un bout à l'autre.
L'Aigle Noir se jettera sur le Coq, qui perdra beaucoup de plumes, mais frappera héroïquement de son ergot. Il serait bientôt épuisé sans l'aide du Léopard et de ses griffes.
L'Aigle Noir se verra forcé de lâcher le Coq pour combattre l'Aigle Blanc et le Coq devra poursuivre l'Aigle Noir dans le pays de l'Antéchrist pour aider l'Aigle Blanc.
Les batailles livrées jusqu'alors ne seront que peu de chose auprès de celles qui auront lieu au pays luthérien, car les sept Anges verseront en même temps le feu de leur encensoir sur la terre impie. Ce qui veut dire que l'Agneau de Dieu ordonne l'extermination de la race de l'Antéchrist.
Quand la Bête se verra perdue, elle deviendra furieuse. Il faudra que, pendant des mois, le bec de l'Aigle Blanc, les griffes du Léopard et l'ergot du Coq s'acharnent sur elle.
On passera des fleuves à gué sur des cadavres qui, par endroits, seront si nombreux qu'ils changeront la couleur des eaux. On n'enterrera plus que les hommes très nobles, que les premiers capitaines et les princes, car au carnage fait par les armes se joindra également l'amoncellement de ceux qui mourront de faim et de la peste.
L'Antéchrist demandera plusieurs fois la paix ; mais les sept Anges qui marchent en avant des trois défenseurs de l'Agneau ont dit que la victoire ne serait donnée qu'à la condition que l'Antéchrist soit écrasé, comme la paille sur l'aire.
Exécuteurs de la Justice de l’Agneau, les trois animaux ne cesseront de combattre jusqu’à exterminer la dernière armée de l'Antéchrist.
Mais il faudra faire du champ de bataille un bûcher grand comme la plus grande cité, car les cadavres auront changé la face du lieu, en le hérissant de chaînes de monticules.
Ce qui rend l'arrêt de l'Agneau si implacable, c'est que si l'Antéchrist a prétendu être chrétien et agir en son nom, et que s’il ne périssait point le fruit de la rédemption serait perdu, et les portes de l’enfer prévaudraient le Seigneur.
On verra bien que ce n’est pas un combat humain, celui qui se livre aux lieux de l’Antéchrist, forge des armes.
Les trois animaux, défenseurs de l’Agneau, extermineront la dernière armée de l’Antéchrist, mais il faudra faire un bûcher du champ de bataille, grand comme la plus grande des cités, car l’amoncellement des cadavres aura changé la forme du lieu.
L'Antéchrist perdra sa couronne et mourra dans la solitude et la démence. Son empire sera divisé en vingt deux Etats, mais aucun n'aura plus de maison, ni d'armée, ni de vaisseaux.
L’Aigle Blanc par ordre de Michel chassera le croissant d’Europe, où il n’y aura plus que des Chrétiens, et il s’installera à Constantinople.
Alors commencera une ère de paix, de prospérité pour l’univers, et il n’y aura plus de guerres, chaque nation étant gouvernée selon son vœux et vivant selon la Justice.
Il n’y aura plus de Luthériens, ni de schismatiques, l'Agneau règnera et les délices de l’humanité commenceront.
Heureux ceux qui échappant au péril de cette merveilleuse période, pourront en goûter le fruit qui sera le règne de l’Esprit, et de la sanctification de l’humanité qui ne pouvait s’opérer qu’après les défaites de l’Antéchrist. »
Ainsi que nous l’avons dit, en publiant les versets de cette prophétie, nous pouvons considérer que le Coq, c’est la France ; le Léopard, c’est l’Angleterre ; l’Aigle Blanc, la Russie ; l’Aigle Noir, l’Allemagne ; et l’autre Aigle, l’Autriche. La désignation est même assez limpide.
On peut aussi attribuer le même sens à l’intervention de l’Agneau dans l’Apocalypse de Saint Jean.
Enfin, qu’on croit on non aux prophéties, on ne pourra relire sans émotion les précisions que renferme cet écrit vieux de quatre siècles.
Une remarque encore, le verset qui indique que le suprême combat se livrera là où l’Antéchrist forge ses armes, mais ailleurs il nous est précisé que le lieu de cet ultime combat se livrera, comme il est écrit dans l’Apocalypse (16 : 16), au lieu dit, en hébreu, Harmagedôn, dans la Vallée de Megiddo, au nord de la Palestine, non loin du Mont Carmel, en Israël.
Le frère Johannès, enfin, parle de l’écrasement de l’Antéchrist, et non pas seulement de sa défaite, mais nous savons qu’il s’incarnera encore une dernière fois, juste avant le jugement dernier.
(1600)
La prophétie latine du frère Johannès, de l’an 1600, annonce le règne de l’Antéchrist :
« Vers l’an 2000, l’Antéchrist se manifestera…
On aura cru le reconnaître plusieurs fois, car tous les égorgeurs de l'Agneau se ressemblent ; et tous les méchants se trouvent être les précurseurs du Grand Méchant.
Le véritable Antéchrist sera un des monarques de son temps, un fils de Luther ; il invoquera Dieu et se donnera pour son envoyé.
Ce prince du mensonge jurera sur la Bible ; il se présentera comme le bras du Très -Haut, châtiant les peuples corrompus.
Ses armées, qui prendront pour devise "Dieu est avec nous" sembleront des légions infernales toutes de Noir vêtues.
Longtemps, il agira par ruse et félonie ; et ses espions parcourront la Terre ; il se sera rendu maître des secrets des puissants.
Il aura des docteurs à sa solde, qui certifieront et prouveront sa mission céleste.
Une guerre lui fournira l'occasion de lever le masque. Ce ne sera pas celle qu'il fera à un monarque français, mais une autre qu'on reconnaîtra bien à ce caractère qu'en deux semaines, elle sera universelle.
Elle mettra aux prises tous les peuples Chrétiens, tous les musulmans et même d'autres peuples très lointains. Des armées se formeront aux quatre coins du monde.
Car les Anges ouvriront l'esprit des hommes, et, à la troisième semaine, ils comprendront que c'est l'Antéchrist ; et qu'ils deviendraient tous ses esclaves s'ils ne terrassaient pas le conquérant.
On reconnaîtra l'Antéchrist à plusieurs traits : il massacrera surtout les prêtres, les moines, les femmes, les enfants et les vieillards. Les juifs seront aussi ses victimes. Il ne fera aucune merci ; il passera, torche à la main, comme les barbares d'autrefois.
Ses paroles d'imposture ressembleront à celles des Chrétiens, mais ses actes seront ceux de Néron et des persécuteurs Romains.
Pour vaincre l'Antéchrist, il faudra tuer plus d'hommes que Rome n'en a jamais contenu. Il faudra l'effort de tous les royaumes, car le Coq, le Léopard et l'Aigle Blanc ne viendraient pas à bout de l'Aigle Noir, si les prières et les voeux de la gent humaine ne venaient les aider.
Jamais la gent humaine n'aura connu un tel péril, parce que le triomphe de l'Antéchrist serait celui du démon en qui il est incarné.
Il menacera la Terre d'autant de maux que l'incarnation divine y avait apporté de grâces.
Son armée dépassera en nombre tout ce que l'on peut imaginer; il y aura des Chrétiens parmi ses cohortes, et il y aura des Mahométans et des soldats sauvages parmi les défenseurs de l'Agneau.
Pour la première fois, l'Agneau sera tout rouge. Il n'y aura pas dans le monde chrétien un petit espace qui ne soit rouge, et rouges seront le ciel, la terre, l'eau et même l'air, car le sang coulera au domaine des quatre éléments à la fois.
L'Aigle Noir, qui viendra du pays de Luther, surprendra le Coq d'un autre coté et envahira le pays des Coqs jusqu'à la moitié.
L'Aigle Blanc, qui viendra du Septentrion, surprendra l'Aigle Noir et l'autre Aigle, et envahira le pays de l'Antéchrist complètement d'un bout à l'autre.
L'Aigle Noir se jettera sur le Coq, qui perdra beaucoup de plumes, mais frappera héroïquement de son ergot. Il serait bientôt épuisé sans l'aide du Léopard et de ses griffes.
L'Aigle Noir se verra forcé de lâcher le Coq pour combattre l'Aigle Blanc et le Coq devra poursuivre l'Aigle Noir dans le pays de l'Antéchrist pour aider l'Aigle Blanc.
Les batailles livrées jusqu'alors ne seront que peu de chose auprès de celles qui auront lieu au pays luthérien, car les sept Anges verseront en même temps le feu de leur encensoir sur la terre impie. Ce qui veut dire que l'Agneau de Dieu ordonne l'extermination de la race de l'Antéchrist.
Quand la Bête se verra perdue, elle deviendra furieuse. Il faudra que, pendant des mois, le bec de l'Aigle Blanc, les griffes du Léopard et l'ergot du Coq s'acharnent sur elle.
On passera des fleuves à gué sur des cadavres qui, par endroits, seront si nombreux qu'ils changeront la couleur des eaux. On n'enterrera plus que les hommes très nobles, que les premiers capitaines et les princes, car au carnage fait par les armes se joindra également l'amoncellement de ceux qui mourront de faim et de la peste.
L'Antéchrist demandera plusieurs fois la paix ; mais les sept Anges qui marchent en avant des trois défenseurs de l'Agneau ont dit que la victoire ne serait donnée qu'à la condition que l'Antéchrist soit écrasé, comme la paille sur l'aire.
Exécuteurs de la Justice de l’Agneau, les trois animaux ne cesseront de combattre jusqu’à exterminer la dernière armée de l'Antéchrist.
Mais il faudra faire du champ de bataille un bûcher grand comme la plus grande cité, car les cadavres auront changé la face du lieu, en le hérissant de chaînes de monticules.
Ce qui rend l'arrêt de l'Agneau si implacable, c'est que si l'Antéchrist a prétendu être chrétien et agir en son nom, et que s’il ne périssait point le fruit de la rédemption serait perdu, et les portes de l’enfer prévaudraient le Seigneur.
On verra bien que ce n’est pas un combat humain, celui qui se livre aux lieux de l’Antéchrist, forge des armes.
Les trois animaux, défenseurs de l’Agneau, extermineront la dernière armée de l’Antéchrist, mais il faudra faire un bûcher du champ de bataille, grand comme la plus grande des cités, car l’amoncellement des cadavres aura changé la forme du lieu.
L'Antéchrist perdra sa couronne et mourra dans la solitude et la démence. Son empire sera divisé en vingt deux Etats, mais aucun n'aura plus de maison, ni d'armée, ni de vaisseaux.
L’Aigle Blanc par ordre de Michel chassera le croissant d’Europe, où il n’y aura plus que des Chrétiens, et il s’installera à Constantinople.
Alors commencera une ère de paix, de prospérité pour l’univers, et il n’y aura plus de guerres, chaque nation étant gouvernée selon son vœux et vivant selon la Justice.
Il n’y aura plus de Luthériens, ni de schismatiques, l'Agneau règnera et les délices de l’humanité commenceront.
Heureux ceux qui échappant au péril de cette merveilleuse période, pourront en goûter le fruit qui sera le règne de l’Esprit, et de la sanctification de l’humanité qui ne pouvait s’opérer qu’après les défaites de l’Antéchrist. »
Ainsi que nous l’avons dit, en publiant les versets de cette prophétie, nous pouvons considérer que le Coq, c’est la France ; le Léopard, c’est l’Angleterre ; l’Aigle Blanc, la Russie ; l’Aigle Noir, l’Allemagne ; et l’autre Aigle, l’Autriche. La désignation est même assez limpide.
On peut aussi attribuer le même sens à l’intervention de l’Agneau dans l’Apocalypse de Saint Jean.
Enfin, qu’on croit on non aux prophéties, on ne pourra relire sans émotion les précisions que renferme cet écrit vieux de quatre siècles.
Une remarque encore, le verset qui indique que le suprême combat se livrera là où l’Antéchrist forge ses armes, mais ailleurs il nous est précisé que le lieu de cet ultime combat se livrera, comme il est écrit dans l’Apocalypse (16 : 16), au lieu dit, en hébreu, Harmagedôn, dans la Vallée de Megiddo, au nord de la Palestine, non loin du Mont Carmel, en Israël.
Le frère Johannès, enfin, parle de l’écrasement de l’Antéchrist, et non pas seulement de sa défaite, mais nous savons qu’il s’incarnera encore une dernière fois, juste avant le jugement dernier.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Hugues Capet
(0996)
Hugues 1er Capet (v.941-996) devient roi de France, premier de la dynastie capétienne, en 987. Fils d’Hugues le Grand et duc de France, il ne parvint pas lorsqu’il fut roi, à abaisser les prétentions de ses vassaux, mais il accrut le domaine royal.
Bien que l’origine de cette prophétie soit un peu obscure, on en trouve des versions latines et françaises de différentes époques.
La voici en substance : Une nuit que Hugues Capet était occupé à réfléchir sur les affaires du royaume de France, dont il était un des plus grands feudataires, il vit apparaître un vénérable abbé qui lui dit d’un ton sévère : " Que fais-tu là ? ". Hugues étonné lui répondit : " Qui êtes-vous, saint père ?" :
« Je suis, repartit la vision, Valéry, abbé du monastère de Leuconnay. Dieu Lui-même m’envoie t’apporter ses ordres. Le vénérable confesseur, Riquier, et moi, nous sommes exilés de nos monastères et retenus captifs par le comte de Flandres, Arnould, et Dieu t’a choisi pour être l’instrument de sa Justice ; hâte-toi de chasser les usurpateurs qui ont envahis nos deux abbayes ; rappelle les religieux expulsés et fait refleurir l’antique discipline ; à cette condition, je te promets, de la part du Seigneur qui a daigné exaucer les prières du bienheureux Riquier et les miennes :
Que tu seras roi et que descendants occuperont le trône de France pendant sept successions. »
La vision disparut. Peu de temps après, Hugues attaqua le comte de Flandre, le vainquit et restaurant les deux monastères. Il monta ensuite sur le trône de France.
Ce type d’intervention par bilocation semble tout à fait plausible, car ce charisme n’est pas rare et il est bien connu dans la vie des saints.
La prophétie s’est aujourd’hui presque pleinement réalisée, avec les différentes successions dynastiques d’une même et seule lignée, qui se sont succédées sur le trône de France :
- 1°) Les Capétiens directs, de Hugues Capet à Charles le Bel (987-1326) ;
- 2°) Les Valois, de Philippe VI à Charles VIII (1326-1498) ;
- 3°) Les Valois-Orléans, Louis XII (1498-1515) ;
- 4°) Les Valois-Angoulême, de François 1er à Henri III (1515-1589) ;
- 5°) Les Bourbons, branche aînée, de Henri IV à Louis XVI (1589-1793) ;
- 6°) Les Bourbons, branche cadette (1814-1830) ;
- 7°) Les Bourbons-Orléans (1830-1848).
A quelle succession se rattachera le grand Roi, si souvent promis par tant de prophéties au cours des siècles. Marie-Julie Jahenny nous annonce que ce grand Monarque portera le nom d’Henri V de la Croix, qu’il ne sera ni un Orléans ni un Naundorf, mais qu’il descendra de la branche coupée, et de l’enfant évadé du Temple.
Maître Michel Nostradamus, le médecin astrologue de Salon de Provence nous annonce qu’il sera sacré roi sous le nom d’Henri V, mais qu’il sera ensuite sacré à empereur sous le nom d’Henri VII.
(0996)
Hugues 1er Capet (v.941-996) devient roi de France, premier de la dynastie capétienne, en 987. Fils d’Hugues le Grand et duc de France, il ne parvint pas lorsqu’il fut roi, à abaisser les prétentions de ses vassaux, mais il accrut le domaine royal.
Bien que l’origine de cette prophétie soit un peu obscure, on en trouve des versions latines et françaises de différentes époques.
La voici en substance : Une nuit que Hugues Capet était occupé à réfléchir sur les affaires du royaume de France, dont il était un des plus grands feudataires, il vit apparaître un vénérable abbé qui lui dit d’un ton sévère : " Que fais-tu là ? ". Hugues étonné lui répondit : " Qui êtes-vous, saint père ?" :
« Je suis, repartit la vision, Valéry, abbé du monastère de Leuconnay. Dieu Lui-même m’envoie t’apporter ses ordres. Le vénérable confesseur, Riquier, et moi, nous sommes exilés de nos monastères et retenus captifs par le comte de Flandres, Arnould, et Dieu t’a choisi pour être l’instrument de sa Justice ; hâte-toi de chasser les usurpateurs qui ont envahis nos deux abbayes ; rappelle les religieux expulsés et fait refleurir l’antique discipline ; à cette condition, je te promets, de la part du Seigneur qui a daigné exaucer les prières du bienheureux Riquier et les miennes :
Que tu seras roi et que descendants occuperont le trône de France pendant sept successions. »
La vision disparut. Peu de temps après, Hugues attaqua le comte de Flandre, le vainquit et restaurant les deux monastères. Il monta ensuite sur le trône de France.
Ce type d’intervention par bilocation semble tout à fait plausible, car ce charisme n’est pas rare et il est bien connu dans la vie des saints.
La prophétie s’est aujourd’hui presque pleinement réalisée, avec les différentes successions dynastiques d’une même et seule lignée, qui se sont succédées sur le trône de France :
- 1°) Les Capétiens directs, de Hugues Capet à Charles le Bel (987-1326) ;
- 2°) Les Valois, de Philippe VI à Charles VIII (1326-1498) ;
- 3°) Les Valois-Orléans, Louis XII (1498-1515) ;
- 4°) Les Valois-Angoulême, de François 1er à Henri III (1515-1589) ;
- 5°) Les Bourbons, branche aînée, de Henri IV à Louis XVI (1589-1793) ;
- 6°) Les Bourbons, branche cadette (1814-1830) ;
- 7°) Les Bourbons-Orléans (1830-1848).
A quelle succession se rattachera le grand Roi, si souvent promis par tant de prophéties au cours des siècles. Marie-Julie Jahenny nous annonce que ce grand Monarque portera le nom d’Henri V de la Croix, qu’il ne sera ni un Orléans ni un Naundorf, mais qu’il descendra de la branche coupée, et de l’enfant évadé du Temple.
Maître Michel Nostradamus, le médecin astrologue de Salon de Provence nous annonce qu’il sera sacré roi sous le nom d’Henri V, mais qu’il sera ensuite sacré à empereur sous le nom d’Henri VII.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Frère Johannès
(1600)
La prophétie latine du frère Johannès, de l’an 1600, annonce le règne de l’Antéchrist :
« Vers l’an 2000, l’Antéchrist se manifestera…
On aura cru le reconnaître plusieurs fois, car tous les égorgeurs de l'Agneau se ressemblent ; et tous les méchants se trouvent être les précurseurs du Grand Méchant.
Le véritable Antéchrist sera un des monarques de son temps, un fils de Luther ; il invoquera Dieu et se donnera pour son envoyé.
Ce prince du mensonge jurera sur la Bible ; il se présentera comme le bras du Très -Haut, châtiant les peuples corrompus.
Ses armées, qui prendront pour devise "Dieu est avec nous" sembleront des légions infernales toutes de Noir vêtues.
Longtemps, il agira par ruse et félonie ; et ses espions parcourront la Terre ; il se sera rendu maître des secrets des puissants.
Il aura des docteurs à sa solde, qui certifieront et prouveront sa mission céleste.
Une guerre lui fournira l'occasion de lever le masque. Ce ne sera pas celle qu'il fera à un monarque français, mais une autre qu'on reconnaîtra bien à ce caractère qu'en deux semaines, elle sera universelle.
Elle mettra aux prises tous les peuples Chrétiens, tous les musulmans et même d'autres peuples très lointains. Des armées se formeront aux quatre coins du monde.
Car les Anges ouvriront l'esprit des hommes, et, à la troisième semaine, ils comprendront que c'est l'Antéchrist ; et qu'ils deviendraient tous ses esclaves s'ils ne terrassaient pas le conquérant.
On reconnaîtra l'Antéchrist à plusieurs traits : il massacrera surtout les prêtres, les moines, les femmes, les enfants et les vieillards. Les juifs seront aussi ses victimes. Il ne fera aucune merci ; il passera, torche à la main, comme les barbares d'autrefois.
Ses paroles d'imposture ressembleront à celles des Chrétiens, mais ses actes seront ceux de Néron et des persécuteurs Romains.
Pour vaincre l'Antéchrist, il faudra tuer plus d'hommes que Rome n'en a jamais contenu. Il faudra l'effort de tous les royaumes, car le Coq, le Léopard et l'Aigle Blanc ne viendraient pas à bout de l'Aigle Noir, si les prières et les voeux de la gent humaine ne venaient les aider.
Jamais la gent humaine n'aura connu un tel péril, parce que le triomphe de l'Antéchrist serait celui du démon en qui il est incarné.
Il menacera la Terre d'autant de maux que l'incarnation divine y avait apporté de grâces.
Son armée dépassera en nombre tout ce que l'on peut imaginer; il y aura des Chrétiens parmi ses cohortes, et il y aura des Mahométans et des soldats sauvages parmi les défenseurs de l'Agneau.
Pour la première fois, l'Agneau sera tout rouge. Il n'y aura pas dans le monde chrétien un petit espace qui ne soit rouge, et rouges seront le ciel, la terre, l'eau et même l'air, car le sang coulera au domaine des quatre éléments à la fois.
L'Aigle Noir, qui viendra du pays de Luther, surprendra le Coq d'un autre coté et envahira le pays des Coqs jusqu'à la moitié.
L'Aigle Blanc, qui viendra du Septentrion, surprendra l'Aigle Noir et l'autre Aigle, et envahira le pays de l'Antéchrist complètement d'un bout à l'autre.
L'Aigle Noir se jettera sur le Coq, qui perdra beaucoup de plumes, mais frappera héroïquement de son ergot. Il serait bientôt épuisé sans l'aide du Léopard et de ses griffes.
L'Aigle Noir se verra forcé de lâcher le Coq pour combattre l'Aigle Blanc et le Coq devra poursuivre l'Aigle Noir dans le pays de l'Antéchrist pour aider l'Aigle Blanc.
Les batailles livrées jusqu'alors ne seront que peu de chose auprès de celles qui auront lieu au pays luthérien, car les sept Anges verseront en même temps le feu de leur encensoir sur la terre impie. Ce qui veut dire que l'Agneau de Dieu ordonne l'extermination de la race de l'Antéchrist.
Quand la Bête se verra perdue, elle deviendra furieuse. Il faudra que, pendant des mois, le bec de l'Aigle Blanc, les griffes du Léopard et l'ergot du Coq s'acharnent sur elle.
On passera des fleuves à gué sur des cadavres qui, par endroits, seront si nombreux qu'ils changeront la couleur des eaux. On n'enterrera plus que les hommes très nobles, que les premiers capitaines et les princes, car au carnage fait par les armes se joindra également l'amoncellement de ceux qui mourront de faim et de la peste.
L'Antéchrist demandera plusieurs fois la paix ; mais les sept Anges qui marchent en avant des trois défenseurs de l'Agneau ont dit que la victoire ne serait donnée qu'à la condition que l'Antéchrist soit écrasé, comme la paille sur l'aire.
Exécuteurs de la Justice de l’Agneau, les trois animaux ne cesseront de combattre jusqu’à exterminer la dernière armée de l'Antéchrist.
Mais il faudra faire du champ de bataille un bûcher grand comme la plus grande cité, car les cadavres auront changé la face du lieu, en le hérissant de chaînes de monticules.
Ce qui rend l'arrêt de l'Agneau si implacable, c'est que si l'Antéchrist a prétendu être chrétien et agir en son nom, et que s’il ne périssait point le fruit de la rédemption serait perdu, et les portes de l’enfer prévaudraient le Seigneur.
On verra bien que ce n’est pas un combat humain, celui qui se livre aux lieux de l’Antéchrist, forge des armes.
Les trois animaux, défenseurs de l’Agneau, extermineront la dernière armée de l’Antéchrist, mais il faudra faire un bûcher du champ de bataille, grand comme la plus grande des cités, car l’amoncellement des cadavres aura changé la forme du lieu.
L'Antéchrist perdra sa couronne et mourra dans la solitude et la démence. Son empire sera divisé en vingt deux Etats, mais aucun n'aura plus de maison, ni d'armée, ni de vaisseaux.
L’Aigle Blanc par ordre de Michel chassera le croissant d’Europe, où il n’y aura plus que des Chrétiens, et il s’installera à Constantinople.
Alors commencera une ère de paix, de prospérité pour l’univers, et il n’y aura plus de guerres, chaque nation étant gouvernée selon son vœux et vivant selon la Justice.
Il n’y aura plus de Luthériens, ni de schismatiques, l'Agneau règnera et les délices de l’humanité commenceront.
Heureux ceux qui échappant au péril de cette merveilleuse période, pourront en goûter le fruit qui sera le règne de l’Esprit, et de la sanctification de l’humanité qui ne pouvait s’opérer qu’après les défaites de l’Antéchrist. »
Ainsi que nous l’avons dit, en publiant les versets de cette prophétie, nous pouvons considérer que le Coq, c’est la France ; le Léopard, c’est l’Angleterre ; l’Aigle Blanc, la Russie ; l’Aigle Noir, l’Allemagne ; et l’autre Aigle, l’Autriche. La désignation est même assez limpide.
On peut aussi attribuer le même sens à l’intervention de l’Agneau dans l’Apocalypse de Saint Jean.
Enfin, qu’on croit on non aux prophéties, on ne pourra relire sans émotion les précisions que renferme cet écrit vieux de quatre siècles.
Une remarque encore, le verset qui indique que le suprême combat se livrera là où l’Antéchrist forge ses armes, mais ailleurs il nous est précisé que le lieu de cet ultime combat se livrera, comme il est écrit dans l’Apocalypse (16 : 16), au lieu dit, en hébreu, Harmagedôn, dans la Vallée de Megiddo, au nord de la Palestine, non loin du Mont Carmel, en Israël.
Le frère Johannès, enfin, parle de l’écrasement de l’Antéchrist, et non pas seulement de sa défaite, mais nous savons qu’il s’incarnera encore une dernière fois, juste avant le jugement dernier.
(1600)
La prophétie latine du frère Johannès, de l’an 1600, annonce le règne de l’Antéchrist :
« Vers l’an 2000, l’Antéchrist se manifestera…
On aura cru le reconnaître plusieurs fois, car tous les égorgeurs de l'Agneau se ressemblent ; et tous les méchants se trouvent être les précurseurs du Grand Méchant.
Le véritable Antéchrist sera un des monarques de son temps, un fils de Luther ; il invoquera Dieu et se donnera pour son envoyé.
Ce prince du mensonge jurera sur la Bible ; il se présentera comme le bras du Très -Haut, châtiant les peuples corrompus.
Ses armées, qui prendront pour devise "Dieu est avec nous" sembleront des légions infernales toutes de Noir vêtues.
Longtemps, il agira par ruse et félonie ; et ses espions parcourront la Terre ; il se sera rendu maître des secrets des puissants.
Il aura des docteurs à sa solde, qui certifieront et prouveront sa mission céleste.
Une guerre lui fournira l'occasion de lever le masque. Ce ne sera pas celle qu'il fera à un monarque français, mais une autre qu'on reconnaîtra bien à ce caractère qu'en deux semaines, elle sera universelle.
Elle mettra aux prises tous les peuples Chrétiens, tous les musulmans et même d'autres peuples très lointains. Des armées se formeront aux quatre coins du monde.
Car les Anges ouvriront l'esprit des hommes, et, à la troisième semaine, ils comprendront que c'est l'Antéchrist ; et qu'ils deviendraient tous ses esclaves s'ils ne terrassaient pas le conquérant.
On reconnaîtra l'Antéchrist à plusieurs traits : il massacrera surtout les prêtres, les moines, les femmes, les enfants et les vieillards. Les juifs seront aussi ses victimes. Il ne fera aucune merci ; il passera, torche à la main, comme les barbares d'autrefois.
Ses paroles d'imposture ressembleront à celles des Chrétiens, mais ses actes seront ceux de Néron et des persécuteurs Romains.
Pour vaincre l'Antéchrist, il faudra tuer plus d'hommes que Rome n'en a jamais contenu. Il faudra l'effort de tous les royaumes, car le Coq, le Léopard et l'Aigle Blanc ne viendraient pas à bout de l'Aigle Noir, si les prières et les voeux de la gent humaine ne venaient les aider.
Jamais la gent humaine n'aura connu un tel péril, parce que le triomphe de l'Antéchrist serait celui du démon en qui il est incarné.
Il menacera la Terre d'autant de maux que l'incarnation divine y avait apporté de grâces.
Son armée dépassera en nombre tout ce que l'on peut imaginer; il y aura des Chrétiens parmi ses cohortes, et il y aura des Mahométans et des soldats sauvages parmi les défenseurs de l'Agneau.
Pour la première fois, l'Agneau sera tout rouge. Il n'y aura pas dans le monde chrétien un petit espace qui ne soit rouge, et rouges seront le ciel, la terre, l'eau et même l'air, car le sang coulera au domaine des quatre éléments à la fois.
L'Aigle Noir, qui viendra du pays de Luther, surprendra le Coq d'un autre coté et envahira le pays des Coqs jusqu'à la moitié.
L'Aigle Blanc, qui viendra du Septentrion, surprendra l'Aigle Noir et l'autre Aigle, et envahira le pays de l'Antéchrist complètement d'un bout à l'autre.
L'Aigle Noir se jettera sur le Coq, qui perdra beaucoup de plumes, mais frappera héroïquement de son ergot. Il serait bientôt épuisé sans l'aide du Léopard et de ses griffes.
L'Aigle Noir se verra forcé de lâcher le Coq pour combattre l'Aigle Blanc et le Coq devra poursuivre l'Aigle Noir dans le pays de l'Antéchrist pour aider l'Aigle Blanc.
Les batailles livrées jusqu'alors ne seront que peu de chose auprès de celles qui auront lieu au pays luthérien, car les sept Anges verseront en même temps le feu de leur encensoir sur la terre impie. Ce qui veut dire que l'Agneau de Dieu ordonne l'extermination de la race de l'Antéchrist.
Quand la Bête se verra perdue, elle deviendra furieuse. Il faudra que, pendant des mois, le bec de l'Aigle Blanc, les griffes du Léopard et l'ergot du Coq s'acharnent sur elle.
On passera des fleuves à gué sur des cadavres qui, par endroits, seront si nombreux qu'ils changeront la couleur des eaux. On n'enterrera plus que les hommes très nobles, que les premiers capitaines et les princes, car au carnage fait par les armes se joindra également l'amoncellement de ceux qui mourront de faim et de la peste.
L'Antéchrist demandera plusieurs fois la paix ; mais les sept Anges qui marchent en avant des trois défenseurs de l'Agneau ont dit que la victoire ne serait donnée qu'à la condition que l'Antéchrist soit écrasé, comme la paille sur l'aire.
Exécuteurs de la Justice de l’Agneau, les trois animaux ne cesseront de combattre jusqu’à exterminer la dernière armée de l'Antéchrist.
Mais il faudra faire du champ de bataille un bûcher grand comme la plus grande cité, car les cadavres auront changé la face du lieu, en le hérissant de chaînes de monticules.
Ce qui rend l'arrêt de l'Agneau si implacable, c'est que si l'Antéchrist a prétendu être chrétien et agir en son nom, et que s’il ne périssait point le fruit de la rédemption serait perdu, et les portes de l’enfer prévaudraient le Seigneur.
On verra bien que ce n’est pas un combat humain, celui qui se livre aux lieux de l’Antéchrist, forge des armes.
Les trois animaux, défenseurs de l’Agneau, extermineront la dernière armée de l’Antéchrist, mais il faudra faire un bûcher du champ de bataille, grand comme la plus grande des cités, car l’amoncellement des cadavres aura changé la forme du lieu.
L'Antéchrist perdra sa couronne et mourra dans la solitude et la démence. Son empire sera divisé en vingt deux Etats, mais aucun n'aura plus de maison, ni d'armée, ni de vaisseaux.
L’Aigle Blanc par ordre de Michel chassera le croissant d’Europe, où il n’y aura plus que des Chrétiens, et il s’installera à Constantinople.
Alors commencera une ère de paix, de prospérité pour l’univers, et il n’y aura plus de guerres, chaque nation étant gouvernée selon son vœux et vivant selon la Justice.
Il n’y aura plus de Luthériens, ni de schismatiques, l'Agneau règnera et les délices de l’humanité commenceront.
Heureux ceux qui échappant au péril de cette merveilleuse période, pourront en goûter le fruit qui sera le règne de l’Esprit, et de la sanctification de l’humanité qui ne pouvait s’opérer qu’après les défaites de l’Antéchrist. »
Ainsi que nous l’avons dit, en publiant les versets de cette prophétie, nous pouvons considérer que le Coq, c’est la France ; le Léopard, c’est l’Angleterre ; l’Aigle Blanc, la Russie ; l’Aigle Noir, l’Allemagne ; et l’autre Aigle, l’Autriche. La désignation est même assez limpide.
On peut aussi attribuer le même sens à l’intervention de l’Agneau dans l’Apocalypse de Saint Jean.
Enfin, qu’on croit on non aux prophéties, on ne pourra relire sans émotion les précisions que renferme cet écrit vieux de quatre siècles.
Une remarque encore, le verset qui indique que le suprême combat se livrera là où l’Antéchrist forge ses armes, mais ailleurs il nous est précisé que le lieu de cet ultime combat se livrera, comme il est écrit dans l’Apocalypse (16 : 16), au lieu dit, en hébreu, Harmagedôn, dans la Vallée de Megiddo, au nord de la Palestine, non loin du Mont Carmel, en Israël.
Le frère Johannès, enfin, parle de l’écrasement de l’Antéchrist, et non pas seulement de sa défaite, mais nous savons qu’il s’incarnera encore une dernière fois, juste avant le jugement dernier.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Marthe Robin
(1981-02-06)
Marthe Robin est née le 13 mars 1902 à Châteauneuf de Galaure, petit village du Nord du département de la Drôme. Ses parents, Joseph Robin et Célestine Chosson, y possédaient, au quartier des Moïlles, une modeste maison construite en pisé, entourée de 13 hectares de terres. Il fallait travailler dur pour subvenir aux besoins d'une famille de 6 enfants, dont elle était la cadette. En 1903, la famille Robin connut l'épreuve d'une épidémie de fièvre typhoïde. Parmi les enfants atteints, l'avant-dernière, Clémence, en mourut, et Marthe en resta fragile.
Ses parents étaient connus pour leur sociabilité et leur simplicité. Son enfance fut celle d’une fillette ordinaire de la campagne. En 1909, Marthe prit le chemin de l'école, au bas du village de Châteauneuf. Elle fut vraisemblablement bonne élève, faisant preuve d’une mémoire et d’une curiosité d’esprit au-dessus de la moyenne. Elle était souvent malade, ainsi sa santé ne lui permit pas d'accomplir une scolarité suivie : aussi elle ne put passer le Certificat d'Études, mais cela n’affectait en rien sa gaieté naturelle.
A la paroisse de Châteauneuf-de-Galaure, Marthe Robin reçut le sacrement de Confirmation en 1911, fit sa première Communion, le 15 Août 1912. Dès son enfance, elle a eu, pour la Sainte Vierge une affection filiale et c'est bien souvent qu'elle la prie. Marie sera toujours pour elle Mère et Éducatrice. En 1914, elle quitte l'école du village et prend part aux travaux de la maison et de la ferme.
En 1918, Marthe Robin ressent les premiers effets de la maladie qui ne la quittera plus : une encéphalite. Marthe commence à souffrir de maux de tête, suivis rapidement d’évanouissements, puis d’une paralysie des deux jambes. Elle entre souvent dans un sommeil profond, soulagement durant des journées de souffrance, pendant presque deux ans. Un début de guérison se produit à 19 ans, le jour de l’Annonciation : la compagne de Marthe dans sa chambre est réveillée par un grand bruit, voit une grande lumière. Marthe lui confie avoir également vu à cet instant la sainte Vierge. Mais sa santé reste très précaire, et elle passe ses journées dans l’immobilité, lisant et brodant.
Tout est fait pour la soigner : visites à plusieurs médecins, soins, cure de bains résineux à Saint Péray en Ardèche. Pour pouvoir acheter les médicaments prescrits, Marthe Robin coud et brode pour quelques personnes qui lui demandent de travailler pour elles, car son travail est toujours particulièrement soigné. Dix ans de luttes contre la maladie, avec espoirs de guérisons et rechutes désespérantes.
La découverte d’un livre dans un grenier fait basculer sa vie, lorsque ses yeux tombent sur une phrase qui la marque à tout jamais : "c’est à la souffrance qu’il faut te préparer". Elle sait à ce moment là que pour elle, c’est ce chemin qui a été choisi. Elle a vingt ans, et décide de tout donner à Dieu.
Elle devait se rendre à Lourdes, pour un pèlerinage plein d’espoir de guérison, mais elle cède sa place à une autre malade de Châteauneuf, s’oubliant elle-même. C’est à partir de ce moment, Marthe l’a confié elle-même à une amie, que la Sainte Vierge commence à la combler de grâces.
A l’âge de 23 ans, elle s’abandonne entièrement à la Volonté divine, et offre sa vie à Dieu, dans un texte extraordinaire de consécration. Et c’est à partir de ce moment que sa vie de souffrance s’intensifie. Elle tombe moins d’un an après dans le coma, pendant 3 semaines. C’est pendant ces moments que Sainte Thérèse de Lisieux lui apparaît trois fois, et lui révèle sa mission pour le monde entier. Mais le corps plongé dans toute cette souffrance, elle conserve inébranlablement son humour, sa joie intérieure, baignée par l’Amour de son Seigneur.
Elle devient paralysée des jambes, et grabataire, elle est condamnée à restée constamment alitée, dans sa chambre. Elle a 26 ans, et y restera jusqu’à sa mort à 78 ans. A partir de cette période, elle ne mangera plus, n’absorbant pour seule nourriture, qu’une hostie qu’on lui apporte une à deux fois par semaine. L’hostie, par un phénomène étrange, n’est pas déglutie, mais entre comme happée.
Les apparitions de la Sainte Vierge se font de plus en plus fréquentes dans la chambre de Marthe. Mais la contrepartie ne se fait pas attendre, et le démon s’attaque à Marthe, lui causant même des dommages physiques (dents cassées, coups...).
A 27 ans, un an après sa paralysie des jambes, Marthe perd l’usage de ses mains.
A 28 ans, Jésus apparaît à Marthe, et lui demande : "Veux-tu être comme Moi ?". Est-il besoin d’imaginer sa réponse ? Quelques mois plus tard, les marques de la crucifixion apparaissent sur son corps. Elle saigne des pieds, des mains, et du coeur. Puis une autre fois, elle saigne abondamment de la tête, sa couronne d’épines lui ayant été enfoncée par Jésus dans une vision. Puis "enfin", elle se sentit une autre fois complètement disloquée, comme placée sur la croix.
Le vendredi qui suivit, Marthe commença à vivre la Passion de Jésus. Cet événement se renouvela chaque semaine, pendant 50 ans... avec pour seule nourriture l’Eucharistie.
Chaque jeudi, commençaient les souffrances de la Passion. Ainsi que les attaques du démon. Mais irrémédiablement, elle entrait ensuite dans une phase d’identification totale avec Jésus, et parlait au Père... puis entrait dans une extase profonde.
Vie de souffrance, vie de service à tous ceux qui ont eu le privilège de l’approcher. Ses visions de la vie de Jésus, son Amour total pour la création du Père, son sacrifice permanent au bonheur des autres, au cours d’une vie hors du commun.
Dans cette chambre de prières et de souffrances, elle reçoit plus de 1000.000 personnes ! Elle a connu quelques-unes des personnalités les plus remarquables de son temps. Elle a changé la vie de centaines de gens, éclairant, consolant, encourageant, en restant une âme simple, avenante, directe, pourvue d'un bon sens, d'un humour, et, d'une intelligence du cœur et des choses qui en faisait un être exceptionnel. Avec le Père Georges Finet, elle fonde les Foyers de Charité, dont le premier à Châteauneuf en septembre 1936.
« Oh Vierge Marie, faites que je sois chaque jour plus docile, plus patiente, plus simple. Qu’on m’ignore et qu’on m’oublie. Je ne demande pas que Dieu fasse en moi des choses visibles, mais uniquement d’être une humble enfant, douce et humble de cœur. »
« De mon Dieu, je suis le calice : ma mission est de Le faire aimer en débordant d’amour, il faut donc que je saisisse toutes les occasions pour répandre lumière et vérité. »
Marthe Robin meurt le vendredi 6 février 1981. Sa cause de béatification fut introduite en 1991.
« Je souffre, disait-elle, mais je suis heureuse de pouvoir offrir mes souffrances pour la patrie, pour les pécheurs et pour l’Eglise. »
De ces visions, nous citons l’avenir glorieux qu’elle a prophétisé :
« Je joue avec les projets des hommes ; ma main droite prépare des miracles et mon nom sera glorifié dans le monde entier. Plus la terre sera hostile à tout ce qui est surnaturel, plus je me complairai à briser l’orgueil des impies, le fait en sera autant plus admirable et extraordinaire. En lieux et place du trône de la bête seront dressés deux trônes glorieux : celui du Sacré-Cœur de Jésus et celui du Cœur immaculé de Marie.
On reconnaîtra que ni le pouvoir humain, ni les démons, ni le génie de l’industrie ne mettront fin à la guerre, mais celle-ci ne se terminera que lorsque la réparation sera consommée.
Prend courage ! car le royaume de Dieu approche. Il commencera par quelque chose d’aussi soudain qu’inespéré. »
Et en 1936, Marthe confie cette prophétie concernant la France, au Père Finet, le co-fondateur des Foyers de Charité :
« La France tombera très bas, plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu'elle se sera choisie. Elle aura le nez dans la poussière. Il n'y aura plus rien. Mais dans sa détresse, elle se souviendra de Dieu. Alors elle criera vers lui, et c'est la Sainte Vierge qui viendra la sauver. La France retrouvera alors sa vocation de Fille aînée de l'Eglise, elle sera le lieu de la plus grande effusion de l'Esprit Saint, et elle enverra à nouveau des missionnaires dans le monde entier. »
Philippe, un retraitant du Foyer de Charité de Châteauneuf-de-Galaure annonce : « J'ai rencontré personnellement Marthe trois fois, et j'ai entendu de mes propres oreilles le père Finet dire :
« Marthe Robin prophétise qu'il va y avoir une faillite économique, et qu'ensuite il y aura la grande Pentecôte d'amour, et que l’ensemble des chrétiens vivront alors en communauté. »
Enfin Marthe nous indique la voie à suivre :
« Allons à Marie,
Elle est celle dont nous avons incessamment besoin. »
Et elle confiait de même à Mgr Chabert :
« Jean-Paul II est le Pape de Marie ; c'est Elle qui l'a spécialement choisi ; Nous sommes dans Le Temps de Marie. »
Prière de Marthe Robin pour la France :
« O Père, ô mon Dieu, délivrez, sauvez maintenant votre France.
Préparez le coeur de vos enfants à la mission qu'ils vont avoir à accomplir pour toutes les nations, pour l'Eglise tout entière.
O Père, ô mon Dieu, que les coeurs de vos élus tressaillent maintenant à votre appel, reconnaissant votre voix, votre commandement, votre invitation à agir.
Conduisez-les, ô mon Dieu, chacun à sa place et chacun à sa mission.
Imposez-leur vous-même tout ce que vous voudrez de chacun d'eux et de tous.
Que rien ne soit l'effet de leur propre choix mais uniquement de votre unique volonté d'amour.
Vierge immaculée, ne les laissez pas s'égarer ni se tromper.
Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit.
Coeur immaculé de Marie, priez pour nous.
Saints et saintes de France, intercédez pour nous. »
La prière du Silence de Marthe à Marie
« O ma Sainte et Bonne Mère ! Donnez-moi, donnez à tous de comprendre la grande valeur du silence dans lequel on entend Dieu ! Apprenez-moi à me taire pour écouter la Sagesse éternelle. Apprenez-moi à tirer du silence tout ce qu'il renferme de grand, de saint, de surnaturel, de divin. Aidez-moi à en faire une prière parfaite, une prière toute de foi, de confiance et d'amour. Une prière vibrante, agissante, féconde, capable de glorifier Dieu et de sauver les âmes ! »
(1981-02-06)
Marthe Robin est née le 13 mars 1902 à Châteauneuf de Galaure, petit village du Nord du département de la Drôme. Ses parents, Joseph Robin et Célestine Chosson, y possédaient, au quartier des Moïlles, une modeste maison construite en pisé, entourée de 13 hectares de terres. Il fallait travailler dur pour subvenir aux besoins d'une famille de 6 enfants, dont elle était la cadette. En 1903, la famille Robin connut l'épreuve d'une épidémie de fièvre typhoïde. Parmi les enfants atteints, l'avant-dernière, Clémence, en mourut, et Marthe en resta fragile.
Ses parents étaient connus pour leur sociabilité et leur simplicité. Son enfance fut celle d’une fillette ordinaire de la campagne. En 1909, Marthe prit le chemin de l'école, au bas du village de Châteauneuf. Elle fut vraisemblablement bonne élève, faisant preuve d’une mémoire et d’une curiosité d’esprit au-dessus de la moyenne. Elle était souvent malade, ainsi sa santé ne lui permit pas d'accomplir une scolarité suivie : aussi elle ne put passer le Certificat d'Études, mais cela n’affectait en rien sa gaieté naturelle.
A la paroisse de Châteauneuf-de-Galaure, Marthe Robin reçut le sacrement de Confirmation en 1911, fit sa première Communion, le 15 Août 1912. Dès son enfance, elle a eu, pour la Sainte Vierge une affection filiale et c'est bien souvent qu'elle la prie. Marie sera toujours pour elle Mère et Éducatrice. En 1914, elle quitte l'école du village et prend part aux travaux de la maison et de la ferme.
En 1918, Marthe Robin ressent les premiers effets de la maladie qui ne la quittera plus : une encéphalite. Marthe commence à souffrir de maux de tête, suivis rapidement d’évanouissements, puis d’une paralysie des deux jambes. Elle entre souvent dans un sommeil profond, soulagement durant des journées de souffrance, pendant presque deux ans. Un début de guérison se produit à 19 ans, le jour de l’Annonciation : la compagne de Marthe dans sa chambre est réveillée par un grand bruit, voit une grande lumière. Marthe lui confie avoir également vu à cet instant la sainte Vierge. Mais sa santé reste très précaire, et elle passe ses journées dans l’immobilité, lisant et brodant.
Tout est fait pour la soigner : visites à plusieurs médecins, soins, cure de bains résineux à Saint Péray en Ardèche. Pour pouvoir acheter les médicaments prescrits, Marthe Robin coud et brode pour quelques personnes qui lui demandent de travailler pour elles, car son travail est toujours particulièrement soigné. Dix ans de luttes contre la maladie, avec espoirs de guérisons et rechutes désespérantes.
La découverte d’un livre dans un grenier fait basculer sa vie, lorsque ses yeux tombent sur une phrase qui la marque à tout jamais : "c’est à la souffrance qu’il faut te préparer". Elle sait à ce moment là que pour elle, c’est ce chemin qui a été choisi. Elle a vingt ans, et décide de tout donner à Dieu.
Elle devait se rendre à Lourdes, pour un pèlerinage plein d’espoir de guérison, mais elle cède sa place à une autre malade de Châteauneuf, s’oubliant elle-même. C’est à partir de ce moment, Marthe l’a confié elle-même à une amie, que la Sainte Vierge commence à la combler de grâces.
A l’âge de 23 ans, elle s’abandonne entièrement à la Volonté divine, et offre sa vie à Dieu, dans un texte extraordinaire de consécration. Et c’est à partir de ce moment que sa vie de souffrance s’intensifie. Elle tombe moins d’un an après dans le coma, pendant 3 semaines. C’est pendant ces moments que Sainte Thérèse de Lisieux lui apparaît trois fois, et lui révèle sa mission pour le monde entier. Mais le corps plongé dans toute cette souffrance, elle conserve inébranlablement son humour, sa joie intérieure, baignée par l’Amour de son Seigneur.
Elle devient paralysée des jambes, et grabataire, elle est condamnée à restée constamment alitée, dans sa chambre. Elle a 26 ans, et y restera jusqu’à sa mort à 78 ans. A partir de cette période, elle ne mangera plus, n’absorbant pour seule nourriture, qu’une hostie qu’on lui apporte une à deux fois par semaine. L’hostie, par un phénomène étrange, n’est pas déglutie, mais entre comme happée.
Les apparitions de la Sainte Vierge se font de plus en plus fréquentes dans la chambre de Marthe. Mais la contrepartie ne se fait pas attendre, et le démon s’attaque à Marthe, lui causant même des dommages physiques (dents cassées, coups...).
A 27 ans, un an après sa paralysie des jambes, Marthe perd l’usage de ses mains.
A 28 ans, Jésus apparaît à Marthe, et lui demande : "Veux-tu être comme Moi ?". Est-il besoin d’imaginer sa réponse ? Quelques mois plus tard, les marques de la crucifixion apparaissent sur son corps. Elle saigne des pieds, des mains, et du coeur. Puis une autre fois, elle saigne abondamment de la tête, sa couronne d’épines lui ayant été enfoncée par Jésus dans une vision. Puis "enfin", elle se sentit une autre fois complètement disloquée, comme placée sur la croix.
Le vendredi qui suivit, Marthe commença à vivre la Passion de Jésus. Cet événement se renouvela chaque semaine, pendant 50 ans... avec pour seule nourriture l’Eucharistie.
Chaque jeudi, commençaient les souffrances de la Passion. Ainsi que les attaques du démon. Mais irrémédiablement, elle entrait ensuite dans une phase d’identification totale avec Jésus, et parlait au Père... puis entrait dans une extase profonde.
Vie de souffrance, vie de service à tous ceux qui ont eu le privilège de l’approcher. Ses visions de la vie de Jésus, son Amour total pour la création du Père, son sacrifice permanent au bonheur des autres, au cours d’une vie hors du commun.
Dans cette chambre de prières et de souffrances, elle reçoit plus de 1000.000 personnes ! Elle a connu quelques-unes des personnalités les plus remarquables de son temps. Elle a changé la vie de centaines de gens, éclairant, consolant, encourageant, en restant une âme simple, avenante, directe, pourvue d'un bon sens, d'un humour, et, d'une intelligence du cœur et des choses qui en faisait un être exceptionnel. Avec le Père Georges Finet, elle fonde les Foyers de Charité, dont le premier à Châteauneuf en septembre 1936.
« Oh Vierge Marie, faites que je sois chaque jour plus docile, plus patiente, plus simple. Qu’on m’ignore et qu’on m’oublie. Je ne demande pas que Dieu fasse en moi des choses visibles, mais uniquement d’être une humble enfant, douce et humble de cœur. »
« De mon Dieu, je suis le calice : ma mission est de Le faire aimer en débordant d’amour, il faut donc que je saisisse toutes les occasions pour répandre lumière et vérité. »
Marthe Robin meurt le vendredi 6 février 1981. Sa cause de béatification fut introduite en 1991.
« Je souffre, disait-elle, mais je suis heureuse de pouvoir offrir mes souffrances pour la patrie, pour les pécheurs et pour l’Eglise. »
De ces visions, nous citons l’avenir glorieux qu’elle a prophétisé :
« Je joue avec les projets des hommes ; ma main droite prépare des miracles et mon nom sera glorifié dans le monde entier. Plus la terre sera hostile à tout ce qui est surnaturel, plus je me complairai à briser l’orgueil des impies, le fait en sera autant plus admirable et extraordinaire. En lieux et place du trône de la bête seront dressés deux trônes glorieux : celui du Sacré-Cœur de Jésus et celui du Cœur immaculé de Marie.
On reconnaîtra que ni le pouvoir humain, ni les démons, ni le génie de l’industrie ne mettront fin à la guerre, mais celle-ci ne se terminera que lorsque la réparation sera consommée.
Prend courage ! car le royaume de Dieu approche. Il commencera par quelque chose d’aussi soudain qu’inespéré. »
Et en 1936, Marthe confie cette prophétie concernant la France, au Père Finet, le co-fondateur des Foyers de Charité :
« La France tombera très bas, plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu'elle se sera choisie. Elle aura le nez dans la poussière. Il n'y aura plus rien. Mais dans sa détresse, elle se souviendra de Dieu. Alors elle criera vers lui, et c'est la Sainte Vierge qui viendra la sauver. La France retrouvera alors sa vocation de Fille aînée de l'Eglise, elle sera le lieu de la plus grande effusion de l'Esprit Saint, et elle enverra à nouveau des missionnaires dans le monde entier. »
Philippe, un retraitant du Foyer de Charité de Châteauneuf-de-Galaure annonce : « J'ai rencontré personnellement Marthe trois fois, et j'ai entendu de mes propres oreilles le père Finet dire :
« Marthe Robin prophétise qu'il va y avoir une faillite économique, et qu'ensuite il y aura la grande Pentecôte d'amour, et que l’ensemble des chrétiens vivront alors en communauté. »
Enfin Marthe nous indique la voie à suivre :
« Allons à Marie,
Elle est celle dont nous avons incessamment besoin. »
Et elle confiait de même à Mgr Chabert :
« Jean-Paul II est le Pape de Marie ; c'est Elle qui l'a spécialement choisi ; Nous sommes dans Le Temps de Marie. »
Prière de Marthe Robin pour la France :
« O Père, ô mon Dieu, délivrez, sauvez maintenant votre France.
Préparez le coeur de vos enfants à la mission qu'ils vont avoir à accomplir pour toutes les nations, pour l'Eglise tout entière.
O Père, ô mon Dieu, que les coeurs de vos élus tressaillent maintenant à votre appel, reconnaissant votre voix, votre commandement, votre invitation à agir.
Conduisez-les, ô mon Dieu, chacun à sa place et chacun à sa mission.
Imposez-leur vous-même tout ce que vous voudrez de chacun d'eux et de tous.
Que rien ne soit l'effet de leur propre choix mais uniquement de votre unique volonté d'amour.
Vierge immaculée, ne les laissez pas s'égarer ni se tromper.
Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit.
Coeur immaculé de Marie, priez pour nous.
Saints et saintes de France, intercédez pour nous. »
La prière du Silence de Marthe à Marie
« O ma Sainte et Bonne Mère ! Donnez-moi, donnez à tous de comprendre la grande valeur du silence dans lequel on entend Dieu ! Apprenez-moi à me taire pour écouter la Sagesse éternelle. Apprenez-moi à tirer du silence tout ce qu'il renferme de grand, de saint, de surnaturel, de divin. Aidez-moi à en faire une prière parfaite, une prière toute de foi, de confiance et d'amour. Une prière vibrante, agissante, féconde, capable de glorifier Dieu et de sauver les âmes ! »
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Francesco a écrit:Saint Nilus
(0451)
Saint NILUS l’Ermite (Vème siècle), anachorète, docteur de l'Église, est originaire d'Ancyre, en Galatie. Il reçut les leçons de saint Chrysostome, et dut à ses talents encore plus qu'à son illustre naissance d'être élevé à la dignité de préfet de Constantinople. Les honneurs et les richesses n'avaient aucun attrait pour son âme tout occupée de Dieu, et sa famille partageait ses pieux sentiments. Sa femme et sa fille embrassèrent la vie religieuse dans un monastère, et lui-même se retira avec son fils Théodule dans le désert de Sinaï, où il pratiqua les exercices les plus parfaits de la vie monastique, partageant son temps entre la prière, l'étude et le travail des mains. Ce fut là qu'il composa les écrits parmi lesquels on remarque surtout son vigoureux plaidoyer pour un retour à la pauvreté monastique par une apologie d’une vie de prière loin de l’agitation des cités, et son livre de la Prière, qui l'ont fait regarder comme un des plus éloquents disciples de saint Chrysostome. Saint Nil mourut dans un âge fort avancé sous le règne de Marcien vers 451. Ses reliques furent transportées du mont Sinaï à Constantinople, au temps de Justin le Jeune, et déposées dans la basilique des Saints-Apôtres, le 12 novembre, jour où l'Église honore sa mémoire.
Saint Nilus s’était retiré dans la solitude pour prier pour le monde qu’il estimait si perverti, et ses oraisons furent gratifiées de quelques lumières particulières pour l’époque où les temps de la terre seraient accomplis…
« Après l'année 1900, vers le milieu XXe siècle, les gens de ce temps-là deviendront méconnaissables… Quand le temps de la venue de l'Anti-Christ approchera, l'intelligence des hommes sera obscurcie par les passions charnelles : l'avilissement et la licence s'accentueront. Le monde deviendra méconnaissable. Les gens changeront d'apparence, il sera impossible de distinguer les hommes des femmes à cause de l'effronterie dans leur manière de s'habiller et dans la mode de leurs cheveux. Ces gens-là seront cruels et comme des animaux sauvages à cause des tentations de l'Anti-Christ.
On ne respectera pas les parents et les aînés. L'Amour disparaîtra. Et les pasteurs chrétiens, évêques et prêtres, deviendront des hommes vains, complètement incapable de distinguer le chemin de droite et le chemin de gauche. En ce temps-là, les lois morales et les traditions des chrétiens et de l'église changeront. Les gens ne pratiqueront plus la modestie, et la dissipation régnera ! Le mensonge et la cupidité atteindront de grandes proportions, et malheur à ceux qui empileront des trésors ! La luxure, l'adultère, l'homosexualité, les actions secrètes et le meurtre, seront la règle de la société…
En ce temps futur, à cause du pouvoir de si grands crimes et d'une telle débauche, les gens seront privés de la grâce du saint-Esprit, reçue à leur baptême, et de même ils n'auront pas de remords dans les ténèbres de Satan et ses horreurs à la divine Doctrine de Jésus, leur unique Rédempteur. Ils auront beaucoup de difficultés à garder leur Foi, car il n'y aura plus personne pour leur montrer la lumière de la Vérité. Ils s'éloigneront du monde en allant dans de saints refuges dans le but d'alléger leurs souffrances spirituelles, mais partout ils ne rencontreront qu'obstacles et contraintes…
Tout cela résultera du fait que l'Anti-Christ veut être le Seigneur de toutes choses et devenir le maître de tout l'Univers. Il accomplira des miracles et des signes invraisemblables. Il donnera aussi à un pauvre homme la sagesse dépravée pour découvrir une manière par laquelle un homme puisse mener une conversation avec un autre d'un bout à l'autre de la terre. En ce temps-là aussi, les hommes voleront dans les airs comme des oiseaux, et descendront au sein de l'océan comme des poissons…
Et lorsqu'ils en seront là, ces gens malheureux passeront leur vie dans le confort sans savoir, pauvres âmes, que c'est une supercherie de Satan. Et, lui, l'impie, remplira à tel point la science de vanité qu'elle s'écartera de la voie droite et conduira les gens jusqu'à la perte de la foi dans l'existence de Dieu, du vrai Dieu en trois personnes…
Alors, le Dieu infiniment bon verra la déchéance de la race humaine et Il raccourcira les jours pour l'amour du petit nombre de ceux qui doivent être sauvés, car Satan voudrait amener même les élus dans la tentation si c'était possible. Alors, l'épée du châtiment apparaîtra soudain et elle abattra le corrupteur et ses serviteurs. »
Cette prophétie est tout simplement stupéfiante de précision !!!
Surtout lorsque l'on s'aperçoit qu'elle à été dite en ....451 !!!!
Quelles sont vos sources ?
Luc D'Arc
Luc D'arc- Date d'inscription : 24/03/2008
Age : 70
Localisation : Loiret
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Nos sources sont diverses mais solides.J'ai proche de 40 livres sur les prophéties des saints(es) dont celle de ST-Nilus.Elle est réelle.Dans la section livres,vous pourrez trouver plusieurs titres de ces livres mais nos prophéties viennent de la et d'Hercule,un bolé en prophéties qui a les memes sources que nous:les livres de saints catholiques.Mais,si vous trouvez stupéfiantes cette prophétie,lisez les autres.Nous en avons pres de 180 et toutes fondées.Le plus stupéfiants est la concordance de ces prophéties données en des siecles différents et par des personnes différentes(et les moyens de communication n'exitaient pas).....La concordance avec les messages de la Vierge Marie,dans ses apparitions reconnues par l'église est hallucinante.En passant,Bienvenue et n'hésitez pas a vous présentez dans la section appropriée.Francesco
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
PROPHÉTIES DE SAINT COSMAS D'ÉTOLIE
(1714 -1779)
Les prophéties suivantes concernent la troisième guerre mondiale. Il existe bien sûr d'autres prophéties concernant le même sujet. Il faut distinguer la troisième guerre mondiale d'avec la fin du monde.
Une armée étrangère arrivera, croyant au Christ et ignorant la langue.
Elle demandera des armes. Il faut en avoir deux pour donner l'une et garder l'autre.
Vous irez dormir avec les uns et vous vous lèverez avec les autres.
Vous verrez trois familles dans une maison.
Vous quitterez votre maison pour vous installer ailleurs et d'autres occuperont votre maison.
Vous verrez 40 chevaux attachés à un seul piquet.
Les riches deviendront pauvres et les pauvres mourront.
Une poignée d'or pour une poignée de farine.
Beaucoup mourront à cause de la faim.
Il arrivera un temps où tout le monde sera dirigé par un instrument muet.
Bienheureux serez-vous dans les montagnes car elles vous préserveront de beaucoup de maux.
Vous entendrez mais vous ne verrez pas le danger.
Vous souffrirez trois heures ou trois jours.
Il arrivera un temps où les ennemis prendront même la cendre de votre feu, mais vous ne changerez pas votre foi comme les autres.
Quand il y aura une flotte de mille bateaux en territoire grec, le problème de Constantinople se résoudra.
Cela arrivera subitement.
Il faut avoir un sac de blé prêt, suspendu à la porte. Ce sac vous retiendra lors du départ. Ne le laissez pas. Il faut l'emporter avec vous pour nourrir votre enfant.
Quand vous entendrez que la guerre a déjà commencé, alors elle est tout près.
Tous les villages près de la route souffriront beaucoup.
Les antichrists partiront, mais reviendront.
Vous les poursuivrez jusqu'à "Kokkini Milia".
Ils essaieront de résoudre la problème avec la plume, mais n'y arriveront pas. 99 fois avec la guerre et une fois avec la plume.
Si trois puissances se mettent d'accord, vous ne souffrirez pas.
Si la guerre se résout par la raison, il y aura beaucoup de catastrophes. De trois pays, il n'en restera qu'un.
Il y aura un temps où vous ne recevrez aucune information.
Vous donnerez tout ce qu'on vous demande. Il faudra sauver seulement les âmes.
S'il y a de l'argent dans la rue, on ne le ramassera pas.
Pour un grain de blé on s'entre-tuera.
Le mal va arriver par les gens instruits.
Il arrivera un temps où il n'y aura aucune harmonie entre le clergé et les laïcs.
Le clergé sera pire que les plus impies.
À Constantinople sera versé beaucoup de sang. Un veau de trois ans s'y baignera.
Bienheureux celui qui vivra après la guerre mondiale.
Il mangera avec des cuillères en argent.
Après la guerre mondiale, le loup paîtra avec l'agneau.
Quand la flotte de mille bateaux arrivera à l'accostage, des hommes arriveront qui porteront un gilet rouge et qui combattront pour vous.
Tant de choses arriveront que les mères, par peur, accoucheront avant terme.
Il ne restera pas d'animaux parce qu'ils seront mangés. Mangez-en vous aussi.
Il ne faudra pas construire de grandes maisons.
Il faut faire une clôture afin qu'ils ne puissent pas entrer.
Ils voudront vous imposer un impôt très lourd, mais n'y arriveront pas.
On imposera un impôt pour les poules et les fenêtres.
On vous demandera de faire le service militaire. Sans pourtant réussir (à vous l'imposer).
Quand vous entendrez que la guerre a déjà commencé en bas, alors elle est tout près.
Si la guerre éclate en bas, vous souffrirez peu. Si elle débute en haut, vous serez entièrement anéantis.
Tous les trous et toutes les roches seront pleines de monde.
Cela arrivera subitement. Ou les boeufs dans les champs, ou les chevaux sur l'aire.
C'est triste de vous en parler. Aujourd'hui, demain, nous attendons une grande soif et une immense faim, tellement que nous donnerons des millions de pièces d'or sans obtenir un bout de pain.
Après la guerre, les hommes courront une demi-heure pour trouver quelqu'un qui leur soit frère.
Il ne faut pas planter de vignes, car ils les détruiront.
Il y aura une paperasserie administrative avec un grand avenir en orient.
Tout le monde sera tellement pauvre qu'on prendra des sarments de vigne pour ceinture.
La cause viendra de Deliata.
La France et surtout l'Italie libéreront beaucoup de régions grecques.
Par trois sentiers : Cra, Crapsi et Mousina, passeront beaucoup de troupes pour aller à Constantinople. Il est bon que les femmes et les enfants partent dans la montagne. Ils vous questionneront pour savoir si Constantinople se trouve encore loin. Mais ne dites pas la vérité, car ils vous maltraiteront. Cette armée n'arrivera pas jusqu'à Constantinople, parce qu'ils apprendront la fin de la guerre en chemin.
La libération viendra d'en bas où l'eau se verse.
Le jour viendra où une femme chassera 10 Turcs avec la quenouille.
Il faut maudire le pape, car il sera la cause.
Beaucoup de villages seront détruits. Trois pays deviendront un seul.
Il faut avoir trois portes. S'ils en tiennent une, partez par l'autre.
Même celui qui se cache derrière une porte sera sauvé. Cela se passe très vite.
Il faut prier que ce soit pendant la journée et pas pendant la nuit ; que ce soit en été et pas en hiver.
Les hommes resteront pauvres car ils n'auront aucun amour pour les arbres.
Vers la fin tous les hommes seront nus, car ils deviendront paresseux.
Dans les ports en haut arrivera la catastrophe.
Vous en sauverez d'autres et d'autres vous sauveront.
Vous partirez par les montagnes de gauche et non par la droite.
N'ayez aucune peur dans les grottes.
Cela arrivera subitement. Les chevaux seront attelés et vous partirez.
Cela se passera au huitième (= vingtième) siècle.
Cachez-vous près d'une porte ou près d'une construction, si cela arrive vite.
Beaucoup de choses arriveront. Toutes les grandes ville deviendront baraques.
Il arrivera un temps où le maudit diable sortira de son carcasse. Un pseudo-prophète arrivera un jour. Il ne faudra pas le croire ni être content de lui. Il partira et ne reviendra pas.
Un temps arrivera où tous les chrétiens s'élèveront l'un contre l'autre. Il faut avoir le signe de la croix sur le front pour être reconnu comme chrétien.
Vous verrez voler des hommes dans le ciel tels des oiseaux noirs, qui jetteront du feu sur la terre. Tous ceux qui vivront à cette époque courront vers les tombes en criant : "Morts, sortez-en pour que nous, les vivants, y entrions".
(1714 -1779)
Les prophéties suivantes concernent la troisième guerre mondiale. Il existe bien sûr d'autres prophéties concernant le même sujet. Il faut distinguer la troisième guerre mondiale d'avec la fin du monde.
Une armée étrangère arrivera, croyant au Christ et ignorant la langue.
Elle demandera des armes. Il faut en avoir deux pour donner l'une et garder l'autre.
Vous irez dormir avec les uns et vous vous lèverez avec les autres.
Vous verrez trois familles dans une maison.
Vous quitterez votre maison pour vous installer ailleurs et d'autres occuperont votre maison.
Vous verrez 40 chevaux attachés à un seul piquet.
Les riches deviendront pauvres et les pauvres mourront.
Une poignée d'or pour une poignée de farine.
Beaucoup mourront à cause de la faim.
Il arrivera un temps où tout le monde sera dirigé par un instrument muet.
Bienheureux serez-vous dans les montagnes car elles vous préserveront de beaucoup de maux.
Vous entendrez mais vous ne verrez pas le danger.
Vous souffrirez trois heures ou trois jours.
Il arrivera un temps où les ennemis prendront même la cendre de votre feu, mais vous ne changerez pas votre foi comme les autres.
Quand il y aura une flotte de mille bateaux en territoire grec, le problème de Constantinople se résoudra.
Cela arrivera subitement.
Il faut avoir un sac de blé prêt, suspendu à la porte. Ce sac vous retiendra lors du départ. Ne le laissez pas. Il faut l'emporter avec vous pour nourrir votre enfant.
Quand vous entendrez que la guerre a déjà commencé, alors elle est tout près.
Tous les villages près de la route souffriront beaucoup.
Les antichrists partiront, mais reviendront.
Vous les poursuivrez jusqu'à "Kokkini Milia".
Ils essaieront de résoudre la problème avec la plume, mais n'y arriveront pas. 99 fois avec la guerre et une fois avec la plume.
Si trois puissances se mettent d'accord, vous ne souffrirez pas.
Si la guerre se résout par la raison, il y aura beaucoup de catastrophes. De trois pays, il n'en restera qu'un.
Il y aura un temps où vous ne recevrez aucune information.
Vous donnerez tout ce qu'on vous demande. Il faudra sauver seulement les âmes.
S'il y a de l'argent dans la rue, on ne le ramassera pas.
Pour un grain de blé on s'entre-tuera.
Le mal va arriver par les gens instruits.
Il arrivera un temps où il n'y aura aucune harmonie entre le clergé et les laïcs.
Le clergé sera pire que les plus impies.
À Constantinople sera versé beaucoup de sang. Un veau de trois ans s'y baignera.
Bienheureux celui qui vivra après la guerre mondiale.
Il mangera avec des cuillères en argent.
Après la guerre mondiale, le loup paîtra avec l'agneau.
Quand la flotte de mille bateaux arrivera à l'accostage, des hommes arriveront qui porteront un gilet rouge et qui combattront pour vous.
Tant de choses arriveront que les mères, par peur, accoucheront avant terme.
Il ne restera pas d'animaux parce qu'ils seront mangés. Mangez-en vous aussi.
Il ne faudra pas construire de grandes maisons.
Il faut faire une clôture afin qu'ils ne puissent pas entrer.
Ils voudront vous imposer un impôt très lourd, mais n'y arriveront pas.
On imposera un impôt pour les poules et les fenêtres.
On vous demandera de faire le service militaire. Sans pourtant réussir (à vous l'imposer).
Quand vous entendrez que la guerre a déjà commencé en bas, alors elle est tout près.
Si la guerre éclate en bas, vous souffrirez peu. Si elle débute en haut, vous serez entièrement anéantis.
Tous les trous et toutes les roches seront pleines de monde.
Cela arrivera subitement. Ou les boeufs dans les champs, ou les chevaux sur l'aire.
C'est triste de vous en parler. Aujourd'hui, demain, nous attendons une grande soif et une immense faim, tellement que nous donnerons des millions de pièces d'or sans obtenir un bout de pain.
Après la guerre, les hommes courront une demi-heure pour trouver quelqu'un qui leur soit frère.
Il ne faut pas planter de vignes, car ils les détruiront.
Il y aura une paperasserie administrative avec un grand avenir en orient.
Tout le monde sera tellement pauvre qu'on prendra des sarments de vigne pour ceinture.
La cause viendra de Deliata.
La France et surtout l'Italie libéreront beaucoup de régions grecques.
Par trois sentiers : Cra, Crapsi et Mousina, passeront beaucoup de troupes pour aller à Constantinople. Il est bon que les femmes et les enfants partent dans la montagne. Ils vous questionneront pour savoir si Constantinople se trouve encore loin. Mais ne dites pas la vérité, car ils vous maltraiteront. Cette armée n'arrivera pas jusqu'à Constantinople, parce qu'ils apprendront la fin de la guerre en chemin.
La libération viendra d'en bas où l'eau se verse.
Le jour viendra où une femme chassera 10 Turcs avec la quenouille.
Il faut maudire le pape, car il sera la cause.
Beaucoup de villages seront détruits. Trois pays deviendront un seul.
Il faut avoir trois portes. S'ils en tiennent une, partez par l'autre.
Même celui qui se cache derrière une porte sera sauvé. Cela se passe très vite.
Il faut prier que ce soit pendant la journée et pas pendant la nuit ; que ce soit en été et pas en hiver.
Les hommes resteront pauvres car ils n'auront aucun amour pour les arbres.
Vers la fin tous les hommes seront nus, car ils deviendront paresseux.
Dans les ports en haut arrivera la catastrophe.
Vous en sauverez d'autres et d'autres vous sauveront.
Vous partirez par les montagnes de gauche et non par la droite.
N'ayez aucune peur dans les grottes.
Cela arrivera subitement. Les chevaux seront attelés et vous partirez.
Cela se passera au huitième (= vingtième) siècle.
Cachez-vous près d'une porte ou près d'une construction, si cela arrive vite.
Beaucoup de choses arriveront. Toutes les grandes ville deviendront baraques.
Il arrivera un temps où le maudit diable sortira de son carcasse. Un pseudo-prophète arrivera un jour. Il ne faudra pas le croire ni être content de lui. Il partira et ne reviendra pas.
Un temps arrivera où tous les chrétiens s'élèveront l'un contre l'autre. Il faut avoir le signe de la croix sur le front pour être reconnu comme chrétien.
Vous verrez voler des hommes dans le ciel tels des oiseaux noirs, qui jetteront du feu sur la terre. Tous ceux qui vivront à cette époque courront vers les tombes en criant : "Morts, sortez-en pour que nous, les vivants, y entrions".
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
UNE PROPHÉTIE PAR LÉON LE SAGE
Au sujet du roi légendaire, pauvre et élu, connu et inconnu à la fois, vivant au bout du territoire byzantin, le vrai roi que les hommes ont chassé de sa maisons il sera révélé à la fin des Ismaélites un vendredi, à trois heures. S'il sera révélés Celui qui va être révélé au moyen d'arcs dans le ciel et de signes apparaîtra. Il sera, par audition spirituelle directe, informé par l'ange visible, un ange révélé sous la forme d'un moine en habit blanc qui parlera à l'oreille du roi pauvre pendant son sommeil ; et il prendra sa main droite et lui dira : «Lève-toi, homme endormi, debouts et le Christ versera de la lumière sur toi ; car Il t'invite à paître un peuple élu.» Et la seconde fois, il lui dira : «Sors, homme caché, ne te dissimule plus, beaucoup de gens te cherchent». Et la troisième fois, il lui donnera des tablettes de pierre sur lesquelles sont inscrits deux commandements : punir, nationaliser les choses d'utilité commune, chasser l'impiété, et aussi chasser les mauvais prêtres du sanctuaire et rétablir ceux qui sont dignes à l'office divin. Et il porte les signes suivants : l'ongle de son gros orteil droit est enflés et il a des croix pourpres sur ses deux omoplates et le nom du roi est caché dans les nations.
Le Seigneur lui posera la Main sur la têtes en ces jours, les hommes seront dans l'affliction et cacheront leur visages sur le sol et se couvriront la tête de poussière et crieront au Seigneur du ciel et de la terre, et le Seigneur entendra leurs prières et écoutera les habitants de la terre et enverra son archange sous la forme d'un homme qui établira sa demeure dans les îles. Et il trouvera son saint ; l'élu ni vu ni connu de personnes Il (le roi pauvre) est caché et inaperçu, manifesté seulement à Dieu et à lui-même. Il est d'ascendance noble et royales et un saint devant le Seigneurs Dieu le révélera, le présentera, et l'oindra avec l'huile sainte à la fin de ces jours Et il sera révélé comme suit : une étoile apparaîtra à trois heures du matin, pour trois jours, au-dessus du centre de la ville, à l'aurore de la fête de la Mère de Dieu. Et cette étoile n'est pas une des planètes, mais elle est comme celle apparue lors de la naissance salvatrice du Christ. Et un héraut criera à haute voix ces trois jours durant, appelant et découvrant l'homme de l'espoir. Puis, les gens de la ville, voyant les phénomènes et entendant la voix tonnante, seront stupéfaits. Et, émerveillés, avec joie et avec crainte, ils diront en pleurant qu'ils ne savent pas qui est l'homme de l'espoir. Puis, pendant que tout le monde regardera et pleurera, chantant longuement et chaleureusement l'invocation «Kyrie eleison», et après s'être frappé le front contre le sol et couvert la tête de poussière, ils sangloteront et se lamenteront de la prochaine afliction qui les menace (à cause des hauts et des bas de la guerre), la Puissance divine acceptera avec bienveillance leurs supplications et prières et prendra soin, avec compassion, des habitants de la terre, et (par cette compassion) l'homme élu sera révélé pour le bien des survivants élus.
Dans le ciel, on verra apparaître une substance confuse mais solide, comme le soleil, aussi grande qu'une aire où 6 boeufs peuvent fouler ; et au-dessous de ce nuage solide se placera une croix ; et à gauche de cette croix pourpre un arc tendu apparaîtra, tel celui qui avait été placé à la vue de nos pères pour l'alliance éternelle. Et comme personne ne connaîtra l'homme de l'espoir, l'arc produira un reflet de lui-même dans sa partie méridionale, bien visible sur le fond sombre du ciel, et ainsi l'arc principal se manifestera au-dessus de la hutte du vrai roi. Alors les peuples glorifieront Dieu et courront vite vers le bout de l'arc ; et, emmenant avec eux le vénérable roi au regard de vieux, portant de grands cierges et des branches de palmiers et l'honorant de toutes les façons, ils le conduiront au Grand Sions Et un héraut du ciel, invisible, mais parlant d'une voix tonnante, demandera aux gens : «L'aimez-vous ?» Alors, crainte, terreur, et ravissement mystique s'empareront de tous, à la voix tonnante du messager.
Et puis, se frappant la poitrine, pleurant, se lamentant et levant les bras vers le ciel, ils diront : «Oui, Seigneur, nous l'aimons, car c'est Toi qui nous l'as donné, et nous l'aimons.» Et, lui rendant l'immense honneur qui lui est dû, ils l'emmeneront au Grand Sion. Et là, il priera et fera le signe de la croix sur les portes et elles s'ouvriront toutes seules Et ceux de l'intérieur s'en iront, complètement effrayés. Les autres prieront et l'emmèneront en un haut lieu où ils l'appelleront leur roi. Et ils iront ainsi, de nuit, au palais royal, et les insignes officiels changeront. Deux anges le conduiront, et ils seront sous la forme de serviteurs en habit blanc ; et ils lui diront à l'oreille ce qu'il doit faire.
Quelques explications :
Léon le Sage (886-912) était empereur de Byzance, du temps de l'empereur Basile 1er le Macédonien. Il est appelé «Le Sage», par rapport à son père, qui était illettré et aussi parce qu'il s'occupait de philosophie et de théologie.
«La fin des Ismaélites», désigne le moment où Israël se convertira finalement au Christ comme dit l'Apôtre «Leur faux pas est-il tel que leur chute soit définitive ? Évidemment non ! Israël s'est trouvé en partie frappé d'endurcissement jusqu'à la venue de l'ensemble des Gentils» (Rm 11,11 et 25).
«Un arc tendus lors de l'Alliance éternelle» : il s'agit de l'alliance noachique après le déluge. (Gn 8&endash;9).
Au sujet du roi légendaire, pauvre et élu, connu et inconnu à la fois, vivant au bout du territoire byzantin, le vrai roi que les hommes ont chassé de sa maisons il sera révélé à la fin des Ismaélites un vendredi, à trois heures. S'il sera révélés Celui qui va être révélé au moyen d'arcs dans le ciel et de signes apparaîtra. Il sera, par audition spirituelle directe, informé par l'ange visible, un ange révélé sous la forme d'un moine en habit blanc qui parlera à l'oreille du roi pauvre pendant son sommeil ; et il prendra sa main droite et lui dira : «Lève-toi, homme endormi, debouts et le Christ versera de la lumière sur toi ; car Il t'invite à paître un peuple élu.» Et la seconde fois, il lui dira : «Sors, homme caché, ne te dissimule plus, beaucoup de gens te cherchent». Et la troisième fois, il lui donnera des tablettes de pierre sur lesquelles sont inscrits deux commandements : punir, nationaliser les choses d'utilité commune, chasser l'impiété, et aussi chasser les mauvais prêtres du sanctuaire et rétablir ceux qui sont dignes à l'office divin. Et il porte les signes suivants : l'ongle de son gros orteil droit est enflés et il a des croix pourpres sur ses deux omoplates et le nom du roi est caché dans les nations.
Le Seigneur lui posera la Main sur la têtes en ces jours, les hommes seront dans l'affliction et cacheront leur visages sur le sol et se couvriront la tête de poussière et crieront au Seigneur du ciel et de la terre, et le Seigneur entendra leurs prières et écoutera les habitants de la terre et enverra son archange sous la forme d'un homme qui établira sa demeure dans les îles. Et il trouvera son saint ; l'élu ni vu ni connu de personnes Il (le roi pauvre) est caché et inaperçu, manifesté seulement à Dieu et à lui-même. Il est d'ascendance noble et royales et un saint devant le Seigneurs Dieu le révélera, le présentera, et l'oindra avec l'huile sainte à la fin de ces jours Et il sera révélé comme suit : une étoile apparaîtra à trois heures du matin, pour trois jours, au-dessus du centre de la ville, à l'aurore de la fête de la Mère de Dieu. Et cette étoile n'est pas une des planètes, mais elle est comme celle apparue lors de la naissance salvatrice du Christ. Et un héraut criera à haute voix ces trois jours durant, appelant et découvrant l'homme de l'espoir. Puis, les gens de la ville, voyant les phénomènes et entendant la voix tonnante, seront stupéfaits. Et, émerveillés, avec joie et avec crainte, ils diront en pleurant qu'ils ne savent pas qui est l'homme de l'espoir. Puis, pendant que tout le monde regardera et pleurera, chantant longuement et chaleureusement l'invocation «Kyrie eleison», et après s'être frappé le front contre le sol et couvert la tête de poussière, ils sangloteront et se lamenteront de la prochaine afliction qui les menace (à cause des hauts et des bas de la guerre), la Puissance divine acceptera avec bienveillance leurs supplications et prières et prendra soin, avec compassion, des habitants de la terre, et (par cette compassion) l'homme élu sera révélé pour le bien des survivants élus.
Dans le ciel, on verra apparaître une substance confuse mais solide, comme le soleil, aussi grande qu'une aire où 6 boeufs peuvent fouler ; et au-dessous de ce nuage solide se placera une croix ; et à gauche de cette croix pourpre un arc tendu apparaîtra, tel celui qui avait été placé à la vue de nos pères pour l'alliance éternelle. Et comme personne ne connaîtra l'homme de l'espoir, l'arc produira un reflet de lui-même dans sa partie méridionale, bien visible sur le fond sombre du ciel, et ainsi l'arc principal se manifestera au-dessus de la hutte du vrai roi. Alors les peuples glorifieront Dieu et courront vite vers le bout de l'arc ; et, emmenant avec eux le vénérable roi au regard de vieux, portant de grands cierges et des branches de palmiers et l'honorant de toutes les façons, ils le conduiront au Grand Sions Et un héraut du ciel, invisible, mais parlant d'une voix tonnante, demandera aux gens : «L'aimez-vous ?» Alors, crainte, terreur, et ravissement mystique s'empareront de tous, à la voix tonnante du messager.
Et puis, se frappant la poitrine, pleurant, se lamentant et levant les bras vers le ciel, ils diront : «Oui, Seigneur, nous l'aimons, car c'est Toi qui nous l'as donné, et nous l'aimons.» Et, lui rendant l'immense honneur qui lui est dû, ils l'emmeneront au Grand Sion. Et là, il priera et fera le signe de la croix sur les portes et elles s'ouvriront toutes seules Et ceux de l'intérieur s'en iront, complètement effrayés. Les autres prieront et l'emmèneront en un haut lieu où ils l'appelleront leur roi. Et ils iront ainsi, de nuit, au palais royal, et les insignes officiels changeront. Deux anges le conduiront, et ils seront sous la forme de serviteurs en habit blanc ; et ils lui diront à l'oreille ce qu'il doit faire.
Quelques explications :
Léon le Sage (886-912) était empereur de Byzance, du temps de l'empereur Basile 1er le Macédonien. Il est appelé «Le Sage», par rapport à son père, qui était illettré et aussi parce qu'il s'occupait de philosophie et de théologie.
«La fin des Ismaélites», désigne le moment où Israël se convertira finalement au Christ comme dit l'Apôtre «Leur faux pas est-il tel que leur chute soit définitive ? Évidemment non ! Israël s'est trouvé en partie frappé d'endurcissement jusqu'à la venue de l'ensemble des Gentils» (Rm 11,11 et 25).
«Un arc tendus lors de l'Alliance éternelle» : il s'agit de l'alliance noachique après le déluge. (Gn 8&endash;9).
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
en voila une par saint tarasios.
PROPHÉTIE DE SAINT TARASIOS
...Ceci fait, une guerre civile éclatera et tous les infidèles seront perdus. Et alors se réveillera le saint Roi; lui dont le nom commence par un I et se termine par un S...
Saint Tarasios est né à Constantinople, de parents illustres. Étant laïc, il est devenu Patriarche en 784, après être passé par tous les grades de la cléricature en un court laps de temps. Comme Patriarche de Constantinople, il convoqua le septième Concile oecuménique pour la restauration de la vénération des icônes. Il est mort en 806.
La "guerre civile" sera la troisième guerre Mondiale. Le Roi qui régnera à Constantinople s'appelle Jean, d'après d'autres prophéties.
PROPHÉTIE DE SAINT TARASIOS
...Ceci fait, une guerre civile éclatera et tous les infidèles seront perdus. Et alors se réveillera le saint Roi; lui dont le nom commence par un I et se termine par un S...
Saint Tarasios est né à Constantinople, de parents illustres. Étant laïc, il est devenu Patriarche en 784, après être passé par tous les grades de la cléricature en un court laps de temps. Comme Patriarche de Constantinople, il convoqua le septième Concile oecuménique pour la restauration de la vénération des icônes. Il est mort en 806.
La "guerre civile" sera la troisième guerre Mondiale. Le Roi qui régnera à Constantinople s'appelle Jean, d'après d'autres prophéties.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Prophétie de st-Louis Grignion de Montfort
J'ai dit que cela arriverait particulièrement à la fin du monde, et bientôt (57), parce que le Très-Haut avec sa sainte mère doivent se former de grands saints qui surpasseront autant en sainteté ]a plupart des autres saints, que les cèdres du Liban surpassent les petits arbrisseaux, comme il a été révélé à une sainte âme dont la vie a été écrite par un grand serviteur de Dieu (5.
Ces grandes âmes, pleines de grâce et de zèle, seront choisies pour s'opposer aux ennemis de Dieu qui frémiront de tous côtés; et elles seront singulièrement dévotes à la très sainte Vierge, éclairées par sa lumière, nourries de son lait, conduites par son esprit, soutenues par son bras et gardées sous sa protection ; en sorte qu'elles combattront d'une main et édifieront de l'autre : d'une main, elles combattront, renverseront, écraseront les hérétiques avec leurs hérésies, les schismatiques avec leurs schismes, les idolâtres avec leurs idolâtries, et les pécheurs avec leurs impiétés; et de l'autre main, elles édifieront le temple du vrai Salomon et la mystique cité de Dieu, c'est-à-dire la très sainte Vierge, appelée par les saints Pères le temple de Salomon et la cité de Dieu. Ils porteront tout le monde, par leurs paroles et leurs exemples, à sa véritable dévotion ; ce qui leur attirera beaucoup d'ennemis, mais aussi beaucoup de victoires et de gloire pour Dieu seul. C'est ce que Dieu a révélé à saint Vincent Ferrier, grand apôtre de son siècle, comme il a suffisamment marqué dans un de ses ouvrages.
C'est que le Saint-Esprit semble avoir prédit dans le Psaume 58e, dont voici les paroles : Et scient quia Dominus dominabitur Jacob et finium terrae ; convertentur ad vesperam, et famem patientur ut canes, et circuibunt civitatem... « Le Seigneur régnera dans Jacob et dans toute la terre ; ils se convertiront sur le soir, et ils souffriront la faim comme des chiens, et ils iront autour de la ville pour trouver de quoi manger. »
Cette ville, que les hommes trouveront à la fin du monde pour se convertir et pour rassasier la faim qu'ils auront de la justice, est la très sainte Vierge qui est appelée par le Saint-Esprit ville et cité de Dieu.
C'est par Marie que le salut du monde a commencé, et c'est par Marie qu'il doit être consommé. Marie n'a presque point paru dans le premier avènement de Jésus-Christ, afin que les hommes, encore peu instruits et éclairés sur la personne de son Fils, ne s'éloignassent pas de la personne de son Fils, en s'attachant trop fortement et trop grossièrement à elle; ce qui apparemment serait arrivé si elle avait été connue, à cause des charmes admirables que le Très-Haut avait mis même en son extérieur : ce qui est si vrai que saint Denys l'Aréopagite nous a laissé par écrit que, quand il la vit, il l'aurait prise pour une divinité, à cause de ses charmes secrets et de sa beauté incomparable, si la foi, dans laquelle il était bien confirmé, ne lui avait appris le contraire; mais, dans le second avènement de Jésus-Christ (59), Marie doit être connue et révélée par le Saint-Esprit, afin de faire par elle connaître, aimer et servir Jésus-Christ. Les raisons qui ont porté le Saint-Esprit à cacher son épouse pendant sa vie, et à ne la révéler que bien peu depuis la prédication de l'Évangile, ne subsistent plus.
Dieu veut donc révéler et découvrir Marie, le chef-d'oeuvre de ses mains, dans ces derniers temps : 1° parce qu'elle s'est cachée dans ce monde et s'est mise plus bas que la poussière par sa profonde humilité, ayant obtenu de Dieu, de ses apôtres et évangélistes, qu'elle ne fût point manifestée ; 2° parce qu'étant le chef-d'oeuvre des mains de Dieu, aussi bien ici-bas par la grâce que dans le ciel par la gloire, il veut en être glorifié et loué sur la terre par les vivants; 3° comme elle est l'aurore qui précède et découvre le Soleil de justice, qui est Jésus-Christ, elle doit être reconnue et aperçue, afin que Jésus-Christ le soit; 4° étant la voie par laquelle Jésus-Christ est venu à nous la première fois, elle le sera encore lorsqu'il viendra la seconde, quoique non pas (60) de la même manière; 5° étant le moyen sûr et la voie droite et immaculée pour aller à Jésus-Christ et le trouver parfaitement, c'est par elle que les saintes âmes, qui doivent éclater en sainteté, doivent le trouver; celui qui trouvera Marie trouvera la vie, c'est-à-dire Jésus-Christ qui est la voie, la vérité et la vie; mais on ne peut trouver Marie qu'on ne la cherche; on ne peut la chercher qu'on ne la connaisse, car on ne cherche ni on ne désire un objet inconnu : il faut donc que Marie soit plus connue que jamais, à la plus grande connaissance et gloire (61) de la très sainte Trinité ; 6° Marie doit éclater, plus que jamais, en miséricorde, en force et en grâce, dans ces derniers temps : en miséricorde, pour ramener et recevoir amoureusement les pauvres pécheurs et dévoyés qui se convertiront et reviendront à l'Église catholique; en force, contre les ennemis de Dieu, les idolâtres, schismatiques, mahométans, juifs et impies endurcis, qui se révolteront terriblement pour séduire et faire tomber, par promesses et menaces, tous ceux qui leur seront contraires; et enfin elle doit éclater en grâce, pour animer et soutenir les vaillants soldats et fidèles serviteurs de Jésus-Christ, qui combattront pour ses intérêts; 7° enfin, Marie doit être terrible au diable et à ses suppôts comme une armée rangée en bataille, principalement dans ces derniers temps, parce que le diable, sachant bien qu'il a peu de temps, et moins que jamais, pour perdre les âmes, redoublera tous les jours ses efforts et ses combats ; Il suscitera bientôt de nouvelles persécutions, et mettra de terribles embûches aux serviteurs fidèles et aux vrais enfants de Marie, qu'il a plus de peine que les autres à surmonter (62).
C'est principalement de ces dernières et cruelles persécutions du diable (63), qui augmenteront tous les jours jusqu'au règne de l'Antéchrist, qu'on doit entendre cette première et célèbre prédiction et malédiction de Dieu, portée dans le paradis terrestre contre le serpent. Il est à propos de l'expliquer ici, pour la gloire de la très sainte Vierge, le salut de ses enfants et la confusion du diable.
Inimicitias ponam inter le et mulierem, et semen tuum et semen illius ; ipsa conteret caput tuum, et tu insidiaberis calcaneo ejus. (Genes. III, 15) « je mettrai des inimitiés entre toi et la femme, et ta race et la sienne ; elle-même t'écrasera la tête et tu mettras des embûches à son talon. »
Jamais Dieu n'a fait et formé qu'une inimitié, mais irréconciliable, qui durera et augmentera même jusqu'à la fin : c'est entre Marie sa digne mère, et le diable; entre les enfants et serviteurs de la sainte Vierge, et les enfants et suppôts de Lucifer; en sorte que la plus terrible des ennemies que Dieu ait faites contre le diable est Marie sa sainte Mère; il lui a même donné, dès le paradis terrestre, quoiqu'elle ne fût encore que dans son idée, tant de haine contre ce maudit ennemi de Dieu, tant l'industrie pour découvrir la malice de cet ancien serpent, tant de force pour vaincre, terrasser et écraser cet orgueilleux impie, qu'il l'appréhende plus, non seulement que tous les anges et les hommes, mais, en un sens, que Dieu même. Ce n'est pas que l'ire (64), la haine et la puissance de Dieu ne soient infiniment plus grandes que celles de la sainte Vierge, puisque les perfections de Marie sont limitées ; mais c'est 1° parce que Satan, étant orgueilleux, souffre infiniment plus d'être vaincu et puni par une petite et humble servante de Dieu; et son humilité l'humilie plus que le pouvoir divin; 2° parce que Dieu a donné à Marie un si grand pouvoir contre les diables, qu'ils craignent plus, comme ils ont été souvent obligés de l'avouer malgré eux par la bouche des possédés, un seul de ses soupirs pour quelque âme, que les prières de tous les saints, et une seule de ses menaces contre eux, que tous les autres tourments.
Ce que Lucifer a perdu par orgueil, Marie l'a gagné par humilité ; ce qu'Ève a damné et perdu par désobéissance, Marie l'a sauvé par obéissance. Ève, en obéissant au serpent, a perdu tous ses enfants avec elle, et les lui a livrés ; Marie, s'étant rendue parfaitement fidèle à Dieu, a sauvé tous ses enfants et serviteurs avec elle, et les a consacrés à sa majesté (65).
Non seulement Dieu a mis une inimitié, mais des inimitiés, non seulement entre Marie et le démon, mais entre la race de la sainte Vierge et la race du démon ; c'est-à-dire que Dieu a mis des inimitiés, des antipathies et haines secrètes entre les vrais enfants et serviteurs de Marie et les enfants et esclaves du diable ; ils ne s'aiment point mutuellement, ils n'ont point de correspondance intérieure (66) les uns avec les autres. Les enfants de Bélial (67), les esclaves de Satan, les amis du monde, (car c'est la même chose), ont toujours persécuté jusqu'ici et persécuteront plus que jamais ceux et celles qui appartiennent à la très sainte Vierge; comme autrefois Caïn persécuta son frère Abel, et Ésaü son frère Jacob, qui sont les figures des réprouvés et des prédestinés; mais l'humble Marie aura toujours la victoire sur cet orgueilleux, et si grande, qu'elle ira jusqu'à lui écraser la tête où réside son orgueil. Elle découvrira toujours sa malice de serpent, elle éventera ses mines infernales et dissipera ses conseils diaboliques, et garantira jusqu'à la fin des temps ses fidèles serviteurs de sa patte cruelle ; mais le pouvoir de Marie sur tous les diables éclatera particulièrement dans les derniers temps où Satan mettra des embûches à son talon, c'est-à-dire à ses humbles esclaves (6 et à ses pauvres enfants qu'elle suscitera pour lui faire la guerre. Ils seront petits et pauvres selon le monde, et abaissés devant tous comme le talon, foulés et persécutés comme le talon l'est à l'égard des autres membres du corps ; mais en échange ils seront riches en grâce de Dieu, que Marie leur distribuera abondamment ; grands et relevés en sainteté devant Dieu ; supérieurs à toute créature par leur zèle animé ; et si fortement appuyés du secours divin, qu'avec l'humilité de leur talon, en union de Marie, ils écraseront la tête du diable et feront triompher Jésus-Christ.
........
Mais qui seront ces serviteurs, esclaves et enfants de Marie ? Ce seront un feu brûlant des ministres du Seigneur qui mettront le feu de l'amour divin partout ; ce seront sicut sagittae in manu potentis, « des flèches aiguës dans la main de la puissante Marie, » pour percer ses ennemis.
Ce seront des enfants de Lévi, bien purifiés par le feu de grande tribulation, et bien collés à Dieu (69), qui porteront l'or de l'amour dans le coeur, l'encens de l'oraison dans l'esprit, et la myrrhe de la mortification dans le corps ; et qui seront partout la bonne odeur de Jésus-Christ aux pauvres et aux petits, tandis qu'ils seront une odeur de mort aux grands, aux riches et aux orgueilleux mondains.
Ce seront des nuées tonnantes et volantes par les airs au moindre souffle du Saint-Esprit, qui, sans s'attacher à rien, ni s'étonner de rien, ni se mettre en peine de rien, répandront la pluie de la parole de Dieu et de la vie éternelle ; ils tonneront contre le péché, ils gronderont contre le monde, ils frapperont le diable et ses suppôts ; et ils perceront d'outre en outre, pour la vie ou pour la mort, avec leur glaive A deux tranchants de la parole de Dieu, tous ceux auxquels ils seront envoyés de la part du Très-Haut.
Ce seront des apôtres véritables des derniers temps, à qui le Seigneur des vertus donnera la parole et la force pour opérer des merveilles et remporter des dépouilles glorieuses sur ses ennemis ; ils dormiront sans or ni argent, et qui plus est, sans soin (70), « au milieu des autres prêtres, ecclésiastiques et clercs », inter medios cleros, et cependant auront les ailes argentées de la colombe pour aller, avec la pure intention de la gloire de Dieu et du salut des âmes, où le Saint-Esprit les appellera; et ils ne laisseront après eux, dans les lieux où ils auront prêché, que l'or de la charité qui est l'accomplissement de toute la loi(71).
Enfin nous savons que ce seront de vrais disciples de Jésus-Christ, qui, marchant sur les traces de sa pauvreté, humilité, mépris du monde et charité, enseigneront la voie étroite de Dieu dans la pure vérité, selon le saint évangile et non selon les maximes du monde, sans se mettre en peine ni faire acception de personne, sans épargner, écouter ni craindre aucun mortel, quelque puissant qu'il soit.
Ils auront dans leur bouche le glaive à deux tranchants de la parole de Dieu ; ils porteront sur leurs épaules l'étendard ensanglanté de la Croix, le Crucifix dans la main droite, le chapelet dans la gauche, les sacrés noms de Jésus et de Marie sur leur coeur, et la modestie et mortification de Jésus-Christ dans toute leur conduite.
Voilà de grands hommes qui viendront : mais Marie sera là par ordre du Très-Haut, pour étendre son empire sur celui des impies, idolâtres et mahométans. Mais quand et comment cela sera-t-il ?... Dieu seul le sait ; c'est à nous de nous taire, de prier, de soupirer et d'attendre
Ces grandes âmes, pleines de grâce et de zèle, seront choisies pour s'opposer aux ennemis de Dieu qui frémiront de tous côtés; et elles seront singulièrement dévotes à la très sainte Vierge, éclairées par sa lumière, nourries de son lait, conduites par son esprit, soutenues par son bras et gardées sous sa protection ; en sorte qu'elles combattront d'une main et édifieront de l'autre : d'une main, elles combattront, renverseront, écraseront les hérétiques avec leurs hérésies, les schismatiques avec leurs schismes, les idolâtres avec leurs idolâtries, et les pécheurs avec leurs impiétés; et de l'autre main, elles édifieront le temple du vrai Salomon et la mystique cité de Dieu, c'est-à-dire la très sainte Vierge, appelée par les saints Pères le temple de Salomon et la cité de Dieu. Ils porteront tout le monde, par leurs paroles et leurs exemples, à sa véritable dévotion ; ce qui leur attirera beaucoup d'ennemis, mais aussi beaucoup de victoires et de gloire pour Dieu seul. C'est ce que Dieu a révélé à saint Vincent Ferrier, grand apôtre de son siècle, comme il a suffisamment marqué dans un de ses ouvrages.
C'est que le Saint-Esprit semble avoir prédit dans le Psaume 58e, dont voici les paroles : Et scient quia Dominus dominabitur Jacob et finium terrae ; convertentur ad vesperam, et famem patientur ut canes, et circuibunt civitatem... « Le Seigneur régnera dans Jacob et dans toute la terre ; ils se convertiront sur le soir, et ils souffriront la faim comme des chiens, et ils iront autour de la ville pour trouver de quoi manger. »
Cette ville, que les hommes trouveront à la fin du monde pour se convertir et pour rassasier la faim qu'ils auront de la justice, est la très sainte Vierge qui est appelée par le Saint-Esprit ville et cité de Dieu.
C'est par Marie que le salut du monde a commencé, et c'est par Marie qu'il doit être consommé. Marie n'a presque point paru dans le premier avènement de Jésus-Christ, afin que les hommes, encore peu instruits et éclairés sur la personne de son Fils, ne s'éloignassent pas de la personne de son Fils, en s'attachant trop fortement et trop grossièrement à elle; ce qui apparemment serait arrivé si elle avait été connue, à cause des charmes admirables que le Très-Haut avait mis même en son extérieur : ce qui est si vrai que saint Denys l'Aréopagite nous a laissé par écrit que, quand il la vit, il l'aurait prise pour une divinité, à cause de ses charmes secrets et de sa beauté incomparable, si la foi, dans laquelle il était bien confirmé, ne lui avait appris le contraire; mais, dans le second avènement de Jésus-Christ (59), Marie doit être connue et révélée par le Saint-Esprit, afin de faire par elle connaître, aimer et servir Jésus-Christ. Les raisons qui ont porté le Saint-Esprit à cacher son épouse pendant sa vie, et à ne la révéler que bien peu depuis la prédication de l'Évangile, ne subsistent plus.
Dieu veut donc révéler et découvrir Marie, le chef-d'oeuvre de ses mains, dans ces derniers temps : 1° parce qu'elle s'est cachée dans ce monde et s'est mise plus bas que la poussière par sa profonde humilité, ayant obtenu de Dieu, de ses apôtres et évangélistes, qu'elle ne fût point manifestée ; 2° parce qu'étant le chef-d'oeuvre des mains de Dieu, aussi bien ici-bas par la grâce que dans le ciel par la gloire, il veut en être glorifié et loué sur la terre par les vivants; 3° comme elle est l'aurore qui précède et découvre le Soleil de justice, qui est Jésus-Christ, elle doit être reconnue et aperçue, afin que Jésus-Christ le soit; 4° étant la voie par laquelle Jésus-Christ est venu à nous la première fois, elle le sera encore lorsqu'il viendra la seconde, quoique non pas (60) de la même manière; 5° étant le moyen sûr et la voie droite et immaculée pour aller à Jésus-Christ et le trouver parfaitement, c'est par elle que les saintes âmes, qui doivent éclater en sainteté, doivent le trouver; celui qui trouvera Marie trouvera la vie, c'est-à-dire Jésus-Christ qui est la voie, la vérité et la vie; mais on ne peut trouver Marie qu'on ne la cherche; on ne peut la chercher qu'on ne la connaisse, car on ne cherche ni on ne désire un objet inconnu : il faut donc que Marie soit plus connue que jamais, à la plus grande connaissance et gloire (61) de la très sainte Trinité ; 6° Marie doit éclater, plus que jamais, en miséricorde, en force et en grâce, dans ces derniers temps : en miséricorde, pour ramener et recevoir amoureusement les pauvres pécheurs et dévoyés qui se convertiront et reviendront à l'Église catholique; en force, contre les ennemis de Dieu, les idolâtres, schismatiques, mahométans, juifs et impies endurcis, qui se révolteront terriblement pour séduire et faire tomber, par promesses et menaces, tous ceux qui leur seront contraires; et enfin elle doit éclater en grâce, pour animer et soutenir les vaillants soldats et fidèles serviteurs de Jésus-Christ, qui combattront pour ses intérêts; 7° enfin, Marie doit être terrible au diable et à ses suppôts comme une armée rangée en bataille, principalement dans ces derniers temps, parce que le diable, sachant bien qu'il a peu de temps, et moins que jamais, pour perdre les âmes, redoublera tous les jours ses efforts et ses combats ; Il suscitera bientôt de nouvelles persécutions, et mettra de terribles embûches aux serviteurs fidèles et aux vrais enfants de Marie, qu'il a plus de peine que les autres à surmonter (62).
C'est principalement de ces dernières et cruelles persécutions du diable (63), qui augmenteront tous les jours jusqu'au règne de l'Antéchrist, qu'on doit entendre cette première et célèbre prédiction et malédiction de Dieu, portée dans le paradis terrestre contre le serpent. Il est à propos de l'expliquer ici, pour la gloire de la très sainte Vierge, le salut de ses enfants et la confusion du diable.
Inimicitias ponam inter le et mulierem, et semen tuum et semen illius ; ipsa conteret caput tuum, et tu insidiaberis calcaneo ejus. (Genes. III, 15) « je mettrai des inimitiés entre toi et la femme, et ta race et la sienne ; elle-même t'écrasera la tête et tu mettras des embûches à son talon. »
Jamais Dieu n'a fait et formé qu'une inimitié, mais irréconciliable, qui durera et augmentera même jusqu'à la fin : c'est entre Marie sa digne mère, et le diable; entre les enfants et serviteurs de la sainte Vierge, et les enfants et suppôts de Lucifer; en sorte que la plus terrible des ennemies que Dieu ait faites contre le diable est Marie sa sainte Mère; il lui a même donné, dès le paradis terrestre, quoiqu'elle ne fût encore que dans son idée, tant de haine contre ce maudit ennemi de Dieu, tant l'industrie pour découvrir la malice de cet ancien serpent, tant de force pour vaincre, terrasser et écraser cet orgueilleux impie, qu'il l'appréhende plus, non seulement que tous les anges et les hommes, mais, en un sens, que Dieu même. Ce n'est pas que l'ire (64), la haine et la puissance de Dieu ne soient infiniment plus grandes que celles de la sainte Vierge, puisque les perfections de Marie sont limitées ; mais c'est 1° parce que Satan, étant orgueilleux, souffre infiniment plus d'être vaincu et puni par une petite et humble servante de Dieu; et son humilité l'humilie plus que le pouvoir divin; 2° parce que Dieu a donné à Marie un si grand pouvoir contre les diables, qu'ils craignent plus, comme ils ont été souvent obligés de l'avouer malgré eux par la bouche des possédés, un seul de ses soupirs pour quelque âme, que les prières de tous les saints, et une seule de ses menaces contre eux, que tous les autres tourments.
Ce que Lucifer a perdu par orgueil, Marie l'a gagné par humilité ; ce qu'Ève a damné et perdu par désobéissance, Marie l'a sauvé par obéissance. Ève, en obéissant au serpent, a perdu tous ses enfants avec elle, et les lui a livrés ; Marie, s'étant rendue parfaitement fidèle à Dieu, a sauvé tous ses enfants et serviteurs avec elle, et les a consacrés à sa majesté (65).
Non seulement Dieu a mis une inimitié, mais des inimitiés, non seulement entre Marie et le démon, mais entre la race de la sainte Vierge et la race du démon ; c'est-à-dire que Dieu a mis des inimitiés, des antipathies et haines secrètes entre les vrais enfants et serviteurs de Marie et les enfants et esclaves du diable ; ils ne s'aiment point mutuellement, ils n'ont point de correspondance intérieure (66) les uns avec les autres. Les enfants de Bélial (67), les esclaves de Satan, les amis du monde, (car c'est la même chose), ont toujours persécuté jusqu'ici et persécuteront plus que jamais ceux et celles qui appartiennent à la très sainte Vierge; comme autrefois Caïn persécuta son frère Abel, et Ésaü son frère Jacob, qui sont les figures des réprouvés et des prédestinés; mais l'humble Marie aura toujours la victoire sur cet orgueilleux, et si grande, qu'elle ira jusqu'à lui écraser la tête où réside son orgueil. Elle découvrira toujours sa malice de serpent, elle éventera ses mines infernales et dissipera ses conseils diaboliques, et garantira jusqu'à la fin des temps ses fidèles serviteurs de sa patte cruelle ; mais le pouvoir de Marie sur tous les diables éclatera particulièrement dans les derniers temps où Satan mettra des embûches à son talon, c'est-à-dire à ses humbles esclaves (6 et à ses pauvres enfants qu'elle suscitera pour lui faire la guerre. Ils seront petits et pauvres selon le monde, et abaissés devant tous comme le talon, foulés et persécutés comme le talon l'est à l'égard des autres membres du corps ; mais en échange ils seront riches en grâce de Dieu, que Marie leur distribuera abondamment ; grands et relevés en sainteté devant Dieu ; supérieurs à toute créature par leur zèle animé ; et si fortement appuyés du secours divin, qu'avec l'humilité de leur talon, en union de Marie, ils écraseront la tête du diable et feront triompher Jésus-Christ.
........
Mais qui seront ces serviteurs, esclaves et enfants de Marie ? Ce seront un feu brûlant des ministres du Seigneur qui mettront le feu de l'amour divin partout ; ce seront sicut sagittae in manu potentis, « des flèches aiguës dans la main de la puissante Marie, » pour percer ses ennemis.
Ce seront des enfants de Lévi, bien purifiés par le feu de grande tribulation, et bien collés à Dieu (69), qui porteront l'or de l'amour dans le coeur, l'encens de l'oraison dans l'esprit, et la myrrhe de la mortification dans le corps ; et qui seront partout la bonne odeur de Jésus-Christ aux pauvres et aux petits, tandis qu'ils seront une odeur de mort aux grands, aux riches et aux orgueilleux mondains.
Ce seront des nuées tonnantes et volantes par les airs au moindre souffle du Saint-Esprit, qui, sans s'attacher à rien, ni s'étonner de rien, ni se mettre en peine de rien, répandront la pluie de la parole de Dieu et de la vie éternelle ; ils tonneront contre le péché, ils gronderont contre le monde, ils frapperont le diable et ses suppôts ; et ils perceront d'outre en outre, pour la vie ou pour la mort, avec leur glaive A deux tranchants de la parole de Dieu, tous ceux auxquels ils seront envoyés de la part du Très-Haut.
Ce seront des apôtres véritables des derniers temps, à qui le Seigneur des vertus donnera la parole et la force pour opérer des merveilles et remporter des dépouilles glorieuses sur ses ennemis ; ils dormiront sans or ni argent, et qui plus est, sans soin (70), « au milieu des autres prêtres, ecclésiastiques et clercs », inter medios cleros, et cependant auront les ailes argentées de la colombe pour aller, avec la pure intention de la gloire de Dieu et du salut des âmes, où le Saint-Esprit les appellera; et ils ne laisseront après eux, dans les lieux où ils auront prêché, que l'or de la charité qui est l'accomplissement de toute la loi(71).
Enfin nous savons que ce seront de vrais disciples de Jésus-Christ, qui, marchant sur les traces de sa pauvreté, humilité, mépris du monde et charité, enseigneront la voie étroite de Dieu dans la pure vérité, selon le saint évangile et non selon les maximes du monde, sans se mettre en peine ni faire acception de personne, sans épargner, écouter ni craindre aucun mortel, quelque puissant qu'il soit.
Ils auront dans leur bouche le glaive à deux tranchants de la parole de Dieu ; ils porteront sur leurs épaules l'étendard ensanglanté de la Croix, le Crucifix dans la main droite, le chapelet dans la gauche, les sacrés noms de Jésus et de Marie sur leur coeur, et la modestie et mortification de Jésus-Christ dans toute leur conduite.
Voilà de grands hommes qui viendront : mais Marie sera là par ordre du Très-Haut, pour étendre son empire sur celui des impies, idolâtres et mahométans. Mais quand et comment cela sera-t-il ?... Dieu seul le sait ; c'est à nous de nous taire, de prier, de soupirer et d'attendre
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Prophéties de Symphorose Chopin(stigmatisée)
(…) Même espérance pour l’Eglise : « La croix,
sous peu, inondera la terre d’une grande lumière
de résurrection. Elle apportera la réconciliation
et l’Eucharistie sera exaltée».
Le grand archange lui découvre quelque peu
l’avenir : « Le dernier pape sera feu de charité,
feu d’Amour et feu de justice pour L’Eglise et la
France» !
Pour couper court aux spéculations, elle précisera
qu’il ne s’agit pas de Jean-Paul II, quels que
soient le respect et la vénération qu’elle lui porte :
« Je suis en admiration devant le Saint-Père Jean-
Paul II, qui trace la voie de la charité et réveille les
indifférents partout dans le monde, ne craignant
que Dieu, et devant Lui ne craignant ni la mort, ni
ce que pensent et disent les pays. Il marche vers
les plus pauvres, il marche avec l’étendard de la
vérité.»
Paroles prophétiques, alors, mais elle voit plus
loin, plus vaste : « Je suis la mendiante de Notre-
Dame, aujourd’hui plus que jamais. Nous sommes
dans le temps de Dieu. Tout ce qui est catholique
est mien, et je me réjouis de penser qu’ici-bas
comme au Ciel il y a plusieurs demeures dans la
maison du Père !».
Elle ne s’attache qu’à poursuivre sa mission dans
le silence de l’amour, la prière et l’offrande,
réconfortée en permanence par les anges : «Avec
les anges, il n’y a jamais de grève, et ils se chargent
de ne nous faire jamais chômer !»
Et, jusqu’à sa mort, le 23 juillet 1983, elle gardera
vivante dans son coeur la promesse de Jésus : «Je
suis là, ne crains rien. Je viendrai briller dans la
nuit. J’enverrai saint Michel qui, de son épée,
courbera la terre ! » - (…) Symphorose aura
donné sa vie, sans voir la réalisation des promesses
qu’elle a reçues de Dieu. (…) elle aura
suivi en toutes choses les indications du grand
archange, dans l’assurance qu’avec ou sans elle,
de son vivant ou après sa mort, le dessein de la
divine Miséricorde se réalisera.
sous peu, inondera la terre d’une grande lumière
de résurrection. Elle apportera la réconciliation
et l’Eucharistie sera exaltée».
Le grand archange lui découvre quelque peu
l’avenir : « Le dernier pape sera feu de charité,
feu d’Amour et feu de justice pour L’Eglise et la
France» !
Pour couper court aux spéculations, elle précisera
qu’il ne s’agit pas de Jean-Paul II, quels que
soient le respect et la vénération qu’elle lui porte :
« Je suis en admiration devant le Saint-Père Jean-
Paul II, qui trace la voie de la charité et réveille les
indifférents partout dans le monde, ne craignant
que Dieu, et devant Lui ne craignant ni la mort, ni
ce que pensent et disent les pays. Il marche vers
les plus pauvres, il marche avec l’étendard de la
vérité.»
Paroles prophétiques, alors, mais elle voit plus
loin, plus vaste : « Je suis la mendiante de Notre-
Dame, aujourd’hui plus que jamais. Nous sommes
dans le temps de Dieu. Tout ce qui est catholique
est mien, et je me réjouis de penser qu’ici-bas
comme au Ciel il y a plusieurs demeures dans la
maison du Père !».
Elle ne s’attache qu’à poursuivre sa mission dans
le silence de l’amour, la prière et l’offrande,
réconfortée en permanence par les anges : «Avec
les anges, il n’y a jamais de grève, et ils se chargent
de ne nous faire jamais chômer !»
Et, jusqu’à sa mort, le 23 juillet 1983, elle gardera
vivante dans son coeur la promesse de Jésus : «Je
suis là, ne crains rien. Je viendrai briller dans la
nuit. J’enverrai saint Michel qui, de son épée,
courbera la terre ! » - (…) Symphorose aura
donné sa vie, sans voir la réalisation des promesses
qu’elle a reçues de Dieu. (…) elle aura
suivi en toutes choses les indications du grand
archange, dans l’assurance qu’avec ou sans elle,
de son vivant ou après sa mort, le dessein de la
divine Miséricorde se réalisera.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophéties de Symphorose Chopin(suite et Fin):Une de ses toutes dernières paroles sera :
« Confiance, les anges travaillent ! Courage, saint
Michel est à l’oeuvre !»
Et, (…) elle mourra dans la déréliction, abandonnée
de tous, mais avec l’assurance que ses voix ne
l’auront pas trompée.
Du grand archange, Symphorose aura reçu durant
cinquante ans des lumières sur une mission au service
de l’Eglise et de la France, dans une perspective
prophétique dont les plus belles pages sont
encore à écrire et que les notes de cette pauvresse
de Dieu laissent entrevoir comme le triomphe de
la Miséricorde divine, avec ses dimensions oecuménique
et eschatologique dépassant de loin les
limites de l’institution ecclésiale.
(…)
Texte tiré des pages 131 à 132 du livre de Joachim
Bouflet : “Encyclopédie des phénomènes extraordinaires
dans la vie mystique”, tome 3 : Les
Anges et leurs Saints” - Le jardin des livres -
BP 40704 - 75827 Paris Cedex 17 -
Tél.: 01.44.09.08.78
On peut télécharcher gratuitement de très larges
extraits et la table des matières du livre, directement
sur le site de l’éditeur à :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
____________
(* ) Symphorose Chopin, 1924 †23 juillet 1983, laïque
française, tertiaire du Carmel.
_____________
Note : Patience, entre l’actuel avant-dernier Pape Benoît XVI
élu en 2005 à 78 ans et le dernier, il peut bien se passer encore
quelques bonnes années avant de connaître ce grand guide.
Mais soyons confiant dans ces périodes de doutes, car s’il
n’est pas difficile de constater le temps de troubles dans
lequel nous vivons, pris dans l’affrontement des tendances
conservatrices occidentales avec celles des fondamentalistes
islamiques, il convient de rester confiant. Gardons un coeur
ouvert sur l’Espérance… par un partage des richesses pour
une élévation spirituelle supérieure… “N’ayez pas peur !”,
“Ayez Foi dans la Miséricorde de Dieu!” disait Jean-Paul II.
Credo confirmé par son successeur.
Pierre Sarramagnan-Souchier. 06.05.2005.
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« Confiance, les anges travaillent ! Courage, saint
Michel est à l’oeuvre !»
Et, (…) elle mourra dans la déréliction, abandonnée
de tous, mais avec l’assurance que ses voix ne
l’auront pas trompée.
Du grand archange, Symphorose aura reçu durant
cinquante ans des lumières sur une mission au service
de l’Eglise et de la France, dans une perspective
prophétique dont les plus belles pages sont
encore à écrire et que les notes de cette pauvresse
de Dieu laissent entrevoir comme le triomphe de
la Miséricorde divine, avec ses dimensions oecuménique
et eschatologique dépassant de loin les
limites de l’institution ecclésiale.
(…)
Texte tiré des pages 131 à 132 du livre de Joachim
Bouflet : “Encyclopédie des phénomènes extraordinaires
dans la vie mystique”, tome 3 : Les
Anges et leurs Saints” - Le jardin des livres -
BP 40704 - 75827 Paris Cedex 17 -
Tél.: 01.44.09.08.78
On peut télécharcher gratuitement de très larges
extraits et la table des matières du livre, directement
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____________
(* ) Symphorose Chopin, 1924 †23 juillet 1983, laïque
française, tertiaire du Carmel.
_____________
Note : Patience, entre l’actuel avant-dernier Pape Benoît XVI
élu en 2005 à 78 ans et le dernier, il peut bien se passer encore
quelques bonnes années avant de connaître ce grand guide.
Mais soyons confiant dans ces périodes de doutes, car s’il
n’est pas difficile de constater le temps de troubles dans
lequel nous vivons, pris dans l’affrontement des tendances
conservatrices occidentales avec celles des fondamentalistes
islamiques, il convient de rester confiant. Gardons un coeur
ouvert sur l’Espérance… par un partage des richesses pour
une élévation spirituelle supérieure… “N’ayez pas peur !”,
“Ayez Foi dans la Miséricorde de Dieu!” disait Jean-Paul II.
Credo confirmé par son successeur.
Pierre Sarramagnan-Souchier. 06.05.2005.
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Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Béméchobus
(0450)
Béméchobus, évêque martyr. Cette prophétie fut traduite de l’hébreu et du grec en latin par les soins de Béméchobus, qui, au rapport de saint Jérôme, fut Evêque de Patare en Lycie. Cette ville dépend du pachalik d’Adana, en Turquie d’Asie.
Toute la terre sera livrée aux enfants d’Ismaël, qui promèneront à leur suite la dissolution. C’est pourquoi le Seigneur a appelé Ismaël leur père, instrument de guerre ; et beaucoup de cités seront désolées, car les fils du désert viendront, et ce ne sont pas des hommes, mais des êtres odieux aux hommes.
On les verra passer au fil de l’épée même les femmes enceintes, et immoler les prêtres dans le sanctuaire. Ils profaneront les églises… Ils se revêtiront, eux et leurs épouses, des vêtements sacrés. Ils attacheront leurs chevaux à la tombe des fidèles comme après un arbre. Ce sera parmi les Chrétiens qui habitent la terre une tribulation générale.
C'est alors qu'on distinguera parfaitement ceux qui croiront fermement au Seigneur. Car le Seigneur n'enverra pas ces tribulations aux Chrétiens pour faire périr les justes et les croyants ; mais afin de voir sûrement les croyants les plus fidèles, car la vérité l'a dit elle-même : vous serez heureux lorsqu'on vous persécutera à cause de mon nom ; et en effet les Prophètes qui nous ont précédés ont été de même persécutés, or quiconque persévèrera jusqu'à la fin sera sauvé.
Mais, après ces jours de tribulations, quand les fils d'Ismaël, vêtus d'habits resplendissants de pourpre et d'or, et comme des fiancés, se glorifieront de leurs victoires obtenues, de toutes parts, sur les Chrétiens qui n'auront pu se soustraire à leurs bras, et diront : voilà que dans notre force nous avons vaincu la terre et tous ceux qui l'habitent, alors le Seigneur Dieu se rappellera dans sa miséricorde, sa promesse à ceux qui l'adorent, à ceux qui croiront au Christ, et il les délivrera du joug des Sarrasins.
Il surgira de la Gaule un peuple de Chrétiens qui leur livrera bataille, les percera avec le glaive, emmènera leurs femmes captives, et massacrera leurs enfants. À leur tour les fils d'Ismaël rencontreront et le glaive et la tribulation. Et le Seigneur leur rendra le mal qu'ils auront fait, dans une proportion sept fois plus grande. Le Seigneur les livrera au bras des Chrétiens dont l'empire sera élevé au-dessus de tous les empires. Le joug que les Chrétiens leur imposeront sera dur, et ceux qui resteront seront esclaves. La terre, naguère désolée par eux, sera alors pacifiée.
Les prisonniers qu'ils avaient faits reverront leur patrie, et la population croîtra et se multipliera.
Le roi des Romains montrera une grande indignation contre ceux qui auront renié le Christ en Egypte ou en Arabie. La paix et la tranquillité renaîtront sur la terre, paix comme il n'y en aura jamais eu, comme il n'y en aura jamais : le bonheur et l'allégresse seront partout. Le monde se reposera de ses tribulations. Ce sera là la paix dont l'Apôtre a dit : Lorsque la tranquillité sera faite, il y aura une mortalité soudaine ; les hommes seront comme ils étaient aux jours de Noé, mangeant et buvant, et faisant des fiançailles ; la crainte sera bannie de leurs coeurs.
Au milieu de ce calme, il sortira tout à coup du Nord, avec Gog et Magog, une nation qui fera trembler tout l'univers. Tous les hommes épouvantés se cacheront dans les monts, dans les rochers pour fuir leur présence. Ils ne sont pas de la race de Japhet.
Fléau du Nord, ils dévoreront la chair humaine et les serpents, les femmes et les petits enfants. Nul ne pourra leur tenir tête.
Sept ans après, quand ils auront pris la ville de Josèphe, le Seigneur enverra contre eux un de ses princes, et, dans un seul moment, les frappera du feu de la foudre : l'empereur de Grèce viendra et régnera à Jérusalem sept années. C'est alors qu'apparaîtra l'enfant de la perdition, l'Antéchrist. Il naîtra dans Lorozaïn, sera élevé à Bethsaïda, et règnera à Gapharnaüm, comme le Seigneur l'a dit dans l'Evangile : malheur à toi, Lorozaïn ; malheur à toi, Bethzaïda ; malheur à toi, Gapharnaüm, si ton exaltation monte jusqu'au ciel, car tu descendras jusqu'à l'enfer. Ensuite le roi des Romains et des Grecs montera à Golgotha où le Seigneur a daigné souffrir pour nous le supplice de la croix. Le roi des Romains ôtera sa couronne, puis la posera sur la tête du Christ, élèvera ses mains au ciel, et rendra son âme au Seigneur, le Roi des Chrétiens ; alors paraîtra dans le ciel le signe de la Croix ; l'Enfant de perdition viendra à son tour, pensant qu'il est Dieu. Il fera sur la terre mille prodiges. Par lui les aveugles verront, les boiteux marcheront, les sourds entendront, les morts ressusciteront, tellement que, s'il était possible, les élus eux-mêmes y seraient trompés. Il entrera â Jérusalem et s'assiéra clans le temple, comme s'il était le Fils de Dieu, et son coeur enivré d'orgueil, oubliera qu'il est fils d'un homme et d'une femme de la tribu de Dan ; trompeur et faux, il séduira par ses prestiges beaucoup de crédules. Alors Dieu enverra deux de ses plus fidèles serviteurs, Hénoch et Élie, conservés pour lui servir en témoignage contre son ennemi. Alors, seront les derniers, les premiers qui croiront à Juda. Elie et Hénoch l'attaqueront, à la face de tout le peuple, et le convaincront d'imposture et de fausseté.
Les Juifs alors, de toutes les tribus d'Israël croiront et seront tués pour le Christ. L'Antéchrist, saisi de rage, ordonnera la mort des Saints de Dieu, et de ceux qui auront ajouté foi à leurs paroles. Alors viendra le Fils de Dieu en personne. Notre Seigneur Jésus-Christ, porté sur les nuages célestes, environné de légions d'anges et de gloire divine ; aussitôt ils mettront à mort l'Antéchrist, la bête, l'ennemi, le séducteur et ceux qui lui auront prêté leur appui. Ici ce sera la consommation des temps, et le Jugement commencera.
(0450)
Béméchobus, évêque martyr. Cette prophétie fut traduite de l’hébreu et du grec en latin par les soins de Béméchobus, qui, au rapport de saint Jérôme, fut Evêque de Patare en Lycie. Cette ville dépend du pachalik d’Adana, en Turquie d’Asie.
Toute la terre sera livrée aux enfants d’Ismaël, qui promèneront à leur suite la dissolution. C’est pourquoi le Seigneur a appelé Ismaël leur père, instrument de guerre ; et beaucoup de cités seront désolées, car les fils du désert viendront, et ce ne sont pas des hommes, mais des êtres odieux aux hommes.
On les verra passer au fil de l’épée même les femmes enceintes, et immoler les prêtres dans le sanctuaire. Ils profaneront les églises… Ils se revêtiront, eux et leurs épouses, des vêtements sacrés. Ils attacheront leurs chevaux à la tombe des fidèles comme après un arbre. Ce sera parmi les Chrétiens qui habitent la terre une tribulation générale.
C'est alors qu'on distinguera parfaitement ceux qui croiront fermement au Seigneur. Car le Seigneur n'enverra pas ces tribulations aux Chrétiens pour faire périr les justes et les croyants ; mais afin de voir sûrement les croyants les plus fidèles, car la vérité l'a dit elle-même : vous serez heureux lorsqu'on vous persécutera à cause de mon nom ; et en effet les Prophètes qui nous ont précédés ont été de même persécutés, or quiconque persévèrera jusqu'à la fin sera sauvé.
Mais, après ces jours de tribulations, quand les fils d'Ismaël, vêtus d'habits resplendissants de pourpre et d'or, et comme des fiancés, se glorifieront de leurs victoires obtenues, de toutes parts, sur les Chrétiens qui n'auront pu se soustraire à leurs bras, et diront : voilà que dans notre force nous avons vaincu la terre et tous ceux qui l'habitent, alors le Seigneur Dieu se rappellera dans sa miséricorde, sa promesse à ceux qui l'adorent, à ceux qui croiront au Christ, et il les délivrera du joug des Sarrasins.
Il surgira de la Gaule un peuple de Chrétiens qui leur livrera bataille, les percera avec le glaive, emmènera leurs femmes captives, et massacrera leurs enfants. À leur tour les fils d'Ismaël rencontreront et le glaive et la tribulation. Et le Seigneur leur rendra le mal qu'ils auront fait, dans une proportion sept fois plus grande. Le Seigneur les livrera au bras des Chrétiens dont l'empire sera élevé au-dessus de tous les empires. Le joug que les Chrétiens leur imposeront sera dur, et ceux qui resteront seront esclaves. La terre, naguère désolée par eux, sera alors pacifiée.
Les prisonniers qu'ils avaient faits reverront leur patrie, et la population croîtra et se multipliera.
Le roi des Romains montrera une grande indignation contre ceux qui auront renié le Christ en Egypte ou en Arabie. La paix et la tranquillité renaîtront sur la terre, paix comme il n'y en aura jamais eu, comme il n'y en aura jamais : le bonheur et l'allégresse seront partout. Le monde se reposera de ses tribulations. Ce sera là la paix dont l'Apôtre a dit : Lorsque la tranquillité sera faite, il y aura une mortalité soudaine ; les hommes seront comme ils étaient aux jours de Noé, mangeant et buvant, et faisant des fiançailles ; la crainte sera bannie de leurs coeurs.
Au milieu de ce calme, il sortira tout à coup du Nord, avec Gog et Magog, une nation qui fera trembler tout l'univers. Tous les hommes épouvantés se cacheront dans les monts, dans les rochers pour fuir leur présence. Ils ne sont pas de la race de Japhet.
Fléau du Nord, ils dévoreront la chair humaine et les serpents, les femmes et les petits enfants. Nul ne pourra leur tenir tête.
Sept ans après, quand ils auront pris la ville de Josèphe, le Seigneur enverra contre eux un de ses princes, et, dans un seul moment, les frappera du feu de la foudre : l'empereur de Grèce viendra et régnera à Jérusalem sept années. C'est alors qu'apparaîtra l'enfant de la perdition, l'Antéchrist. Il naîtra dans Lorozaïn, sera élevé à Bethsaïda, et règnera à Gapharnaüm, comme le Seigneur l'a dit dans l'Evangile : malheur à toi, Lorozaïn ; malheur à toi, Bethzaïda ; malheur à toi, Gapharnaüm, si ton exaltation monte jusqu'au ciel, car tu descendras jusqu'à l'enfer. Ensuite le roi des Romains et des Grecs montera à Golgotha où le Seigneur a daigné souffrir pour nous le supplice de la croix. Le roi des Romains ôtera sa couronne, puis la posera sur la tête du Christ, élèvera ses mains au ciel, et rendra son âme au Seigneur, le Roi des Chrétiens ; alors paraîtra dans le ciel le signe de la Croix ; l'Enfant de perdition viendra à son tour, pensant qu'il est Dieu. Il fera sur la terre mille prodiges. Par lui les aveugles verront, les boiteux marcheront, les sourds entendront, les morts ressusciteront, tellement que, s'il était possible, les élus eux-mêmes y seraient trompés. Il entrera â Jérusalem et s'assiéra clans le temple, comme s'il était le Fils de Dieu, et son coeur enivré d'orgueil, oubliera qu'il est fils d'un homme et d'une femme de la tribu de Dan ; trompeur et faux, il séduira par ses prestiges beaucoup de crédules. Alors Dieu enverra deux de ses plus fidèles serviteurs, Hénoch et Élie, conservés pour lui servir en témoignage contre son ennemi. Alors, seront les derniers, les premiers qui croiront à Juda. Elie et Hénoch l'attaqueront, à la face de tout le peuple, et le convaincront d'imposture et de fausseté.
Les Juifs alors, de toutes les tribus d'Israël croiront et seront tués pour le Christ. L'Antéchrist, saisi de rage, ordonnera la mort des Saints de Dieu, et de ceux qui auront ajouté foi à leurs paroles. Alors viendra le Fils de Dieu en personne. Notre Seigneur Jésus-Christ, porté sur les nuages célestes, environné de légions d'anges et de gloire divine ; aussitôt ils mettront à mort l'Antéchrist, la bête, l'ennemi, le séducteur et ceux qui lui auront prêté leur appui. Ici ce sera la consommation des temps, et le Jugement commencera.
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Père Jérôme Botin
(1420-07-10)
Le Père Jérôme Botin né à Cahors en 1358, fut religieux bénédictin de l'abbaye de Saint Germain des Près à Paris où il mourut le 10juillet 1420, à l'âge de 62 ans. C'était un « homme remarquable par sa science, sa piété et sa sainteté… » indique le nécrologe de l'abbaye.
Le Père Botin rédige en 1410, une prophétie, suite à une révélation surnaturelle.
Contrairement au solitaire d’Orval, qui a toujours suivi l’ordre des faits, Le Père Botin revient parfois en arrière pour appuyer sur une époque qu’il a déjà indiquée. Il voit les choses moins en détail :
« Au nom du Seigneur qui a créé toutes choses, voici les paroles que l’Esprit a dicté à Jérôme, serviteur du Seigneur, écrites au Monastère de St. Germain-des-Près, à Paris, en l’an 1410 de la Conception, le Souverain Pontife Jean XXIII gouvernait l’Eglise de Dieu, sous le règne de Charles VI ; voici ce que l’Esprit lui a dicté :
Malheur aux peuples, aux princes et aux rois qui gouvernent les peuples, parce qu’il viendra des temps de deuils et de chagrin ; le vent de la tribulation divisera et dispersera les hommes, la terre sera couverte du sang des clercs, des nobles et du peuple. Malheur à ceux qui portent le glaive, parce que leurs épées seront teintes de sang ! Les temps où ces choses viendront ne sont guère éloignés, a dit l’Esprit.
Un siècle s’écoulera et l’héritage du Seigneur sera divisé ; et à cause de cet héritage, les princes combattront contre les princes, les peuples contre les peuples ; et l’intérêt, sous le masque de la Réforme, tentera de tout renverser, et après un autre siècle, l’héritage du Seigneur sera sauvé parce que sa main est au-dessus de la main des puissants.
Malheur à la mer, malheur à la terre et a ceux qui l’habitent maintenant et pour un siècle ! Malheur aux Gaulois et aux habitants des îles, parce que l’héritage du Seigneur s’éloignera d’eux s’éloignera d’eux, et il y aura chez eux de grands gémissements pour le reste de cet héritage !
Et après un autre siècle, l’héritage du seigneur ne sera plus divisé, au moins pour les Gaulois ; il règnera sur eux un prince duquel il est écrit : "Arme-toi de ton épée et mets-la à ton côté." Prince très puissant, il réunira les rois, les princes et les peuples ; il gouvernera avec sagesse et puissance : c’est ce que dit l’Esprit. Son règne très long sera un règne de justice et de force ; il sera en grande vénération, et sa mémoire sera florissante.
Et après un autre siècle, les princes de la terre et tous les peuples trembleront de fureur, et ce temps sera un temps de désespoir et d’iniquité, et on trouvera à peine qu’un seul homme qui fasse le bien. C’est ce que le Seigneur m’inspire d’annoncer. Alors il règnera en France un Prince, l’oint du Seigneur, homme doué de vertus, de douceur, et les ouvriers d’iniquité mettront sa tête à prix, épuiseront contre lui leur malice, le réduiront en captivité, et sa fin sera plus malheureuse que le commencement à dit l’Esprit.
Après avoir mis en captivité, lui et les siens, les princes et les grands seront entraînés à leur perte, et il y aura un grand deuil dans l’Eglise du Seigneur ; il ne demeurera pas pierre sur pierre, les autels, les temples seront détruits, les vierges consacrées au Seigneur seront outragées. Ces hommes d’iniquité s’enivreront de folie, car ils auront des signes à leur tête et sur les édifices, a dit l’Esprit.
Malheur aux princes et aux grands, parce que leur pouvoir sera détruit ; malheur au peuple, parce que leurs mains seront teintes de sang ; malheur à ceux qui les gouvernent, parce qu’ils auront été enivrés au sang innocent, des grands et du peuple et que leur domination sera une domination de perversité, et leur règne un règne d’abomination, et que dans peu, ils seront écrasés et périront ! c’est ce que dit l’Esprit.
Malheur aux princes et aux grands, malheur au peuple, parce que son roi sera immolé comme une brebis, ses proches seront tués, d’autres seront dispersés et ceux qui auront fait ces choses diront : amen !
Oui, malheur ! mille fois malheur au peuple qui s’est révolté et a renversé les lois ! Il a arraché la postérité jusqu’à la racine ; il a brisé les lys ; l’aigle planera sur lui ; il ravira et détruira sa proie, a dit l’Esprit. La terre sera couverte du sang de ses habitants.
Ses enfants armés du glaive périront par l’épée, et ces maux innombrables, dit le Seigneur, n’apaiseront pas ma colère, mon bras sera levé contre lui ; il sera frappé de la verge de ma Justice et du bâton de ma fureur, et la main qui l’opprimera sera l’instrument de ma colère sur lui et sur les nations.
Mais après que quatre siècles se seront plus qu’écoulés, les autels de Belzébuth seront détruits. Les ouvriers d’iniquité seront détruits et périront.
La rosée du ciel descendra sur la terre désolée et sur l'Église éplorée.
Il y aura un enfant du sang du roi que donneront les gens. Et il gouvernera avec honneur et prudence la France, et l'Esprit du Seigneur sera avec lui. C'est ce qu'a dit l'Esprit. Et avant la fin du quatrième siècle, les ministres des autels pleureront et souffriront persécution pour la justice.
Le pasteur sera frappé et le troupeau dispersé. Et ce ne sera qu'après ce siècle qu'il y aura un autre pasteur qui conduira les peuples dans l'équité et les rois dans la justice. Et il sera honoré des princes et des peuples. Mais avant qu'il ait établi son empire, que celui qui n'a point fléchi le genou devant Baal fuie du milieu de Babylone, a dit l'Esprit.
Que chacun ne pense qu'à sauver sa vie, car voici le temps où le Seigneur doit, par la grandeur de ses vengeances, montrer la grandeur des crimes dont elle est souillée ; il va faire retomber sur elle les maux dont elle a accablé les autres.
Le Seigneur a présenté par la main de cette ville impie, désolatrice des peuples, dévastatrice de ses temples, meurtrière de ses prêtres, de ses rois et de ses propres enfants, le calice de ses vengeances à tous les peuples de la terre. Toutes les nations ont bu du vin de sa fureur ; elles ont souffert toutes les agitations de la et de la barbarie ; mais en un moment Babylone est tombée et elle s'est brisée dans sa chute, a dit l'Esprit.
Tout ceci arrivera pour épurer les bons et perdre les méchants, faire honorer l'Eglise de Dieu, faire craindre et servir le Seigneur.
Telles sont les paroles que l'Esprit a manifestées à son serviteur Jérôme, qu'il a écrites d'après ses ordres, et dont la vérité sera reconnue dans le temps. Amen
(1420-07-10)
Le Père Jérôme Botin né à Cahors en 1358, fut religieux bénédictin de l'abbaye de Saint Germain des Près à Paris où il mourut le 10juillet 1420, à l'âge de 62 ans. C'était un « homme remarquable par sa science, sa piété et sa sainteté… » indique le nécrologe de l'abbaye.
Le Père Botin rédige en 1410, une prophétie, suite à une révélation surnaturelle.
Contrairement au solitaire d’Orval, qui a toujours suivi l’ordre des faits, Le Père Botin revient parfois en arrière pour appuyer sur une époque qu’il a déjà indiquée. Il voit les choses moins en détail :
« Au nom du Seigneur qui a créé toutes choses, voici les paroles que l’Esprit a dicté à Jérôme, serviteur du Seigneur, écrites au Monastère de St. Germain-des-Près, à Paris, en l’an 1410 de la Conception, le Souverain Pontife Jean XXIII gouvernait l’Eglise de Dieu, sous le règne de Charles VI ; voici ce que l’Esprit lui a dicté :
Malheur aux peuples, aux princes et aux rois qui gouvernent les peuples, parce qu’il viendra des temps de deuils et de chagrin ; le vent de la tribulation divisera et dispersera les hommes, la terre sera couverte du sang des clercs, des nobles et du peuple. Malheur à ceux qui portent le glaive, parce que leurs épées seront teintes de sang ! Les temps où ces choses viendront ne sont guère éloignés, a dit l’Esprit.
Un siècle s’écoulera et l’héritage du Seigneur sera divisé ; et à cause de cet héritage, les princes combattront contre les princes, les peuples contre les peuples ; et l’intérêt, sous le masque de la Réforme, tentera de tout renverser, et après un autre siècle, l’héritage du Seigneur sera sauvé parce que sa main est au-dessus de la main des puissants.
Malheur à la mer, malheur à la terre et a ceux qui l’habitent maintenant et pour un siècle ! Malheur aux Gaulois et aux habitants des îles, parce que l’héritage du Seigneur s’éloignera d’eux s’éloignera d’eux, et il y aura chez eux de grands gémissements pour le reste de cet héritage !
Et après un autre siècle, l’héritage du seigneur ne sera plus divisé, au moins pour les Gaulois ; il règnera sur eux un prince duquel il est écrit : "Arme-toi de ton épée et mets-la à ton côté." Prince très puissant, il réunira les rois, les princes et les peuples ; il gouvernera avec sagesse et puissance : c’est ce que dit l’Esprit. Son règne très long sera un règne de justice et de force ; il sera en grande vénération, et sa mémoire sera florissante.
Et après un autre siècle, les princes de la terre et tous les peuples trembleront de fureur, et ce temps sera un temps de désespoir et d’iniquité, et on trouvera à peine qu’un seul homme qui fasse le bien. C’est ce que le Seigneur m’inspire d’annoncer. Alors il règnera en France un Prince, l’oint du Seigneur, homme doué de vertus, de douceur, et les ouvriers d’iniquité mettront sa tête à prix, épuiseront contre lui leur malice, le réduiront en captivité, et sa fin sera plus malheureuse que le commencement à dit l’Esprit.
Après avoir mis en captivité, lui et les siens, les princes et les grands seront entraînés à leur perte, et il y aura un grand deuil dans l’Eglise du Seigneur ; il ne demeurera pas pierre sur pierre, les autels, les temples seront détruits, les vierges consacrées au Seigneur seront outragées. Ces hommes d’iniquité s’enivreront de folie, car ils auront des signes à leur tête et sur les édifices, a dit l’Esprit.
Malheur aux princes et aux grands, parce que leur pouvoir sera détruit ; malheur au peuple, parce que leurs mains seront teintes de sang ; malheur à ceux qui les gouvernent, parce qu’ils auront été enivrés au sang innocent, des grands et du peuple et que leur domination sera une domination de perversité, et leur règne un règne d’abomination, et que dans peu, ils seront écrasés et périront ! c’est ce que dit l’Esprit.
Malheur aux princes et aux grands, malheur au peuple, parce que son roi sera immolé comme une brebis, ses proches seront tués, d’autres seront dispersés et ceux qui auront fait ces choses diront : amen !
Oui, malheur ! mille fois malheur au peuple qui s’est révolté et a renversé les lois ! Il a arraché la postérité jusqu’à la racine ; il a brisé les lys ; l’aigle planera sur lui ; il ravira et détruira sa proie, a dit l’Esprit. La terre sera couverte du sang de ses habitants.
Ses enfants armés du glaive périront par l’épée, et ces maux innombrables, dit le Seigneur, n’apaiseront pas ma colère, mon bras sera levé contre lui ; il sera frappé de la verge de ma Justice et du bâton de ma fureur, et la main qui l’opprimera sera l’instrument de ma colère sur lui et sur les nations.
Mais après que quatre siècles se seront plus qu’écoulés, les autels de Belzébuth seront détruits. Les ouvriers d’iniquité seront détruits et périront.
La rosée du ciel descendra sur la terre désolée et sur l'Église éplorée.
Il y aura un enfant du sang du roi que donneront les gens. Et il gouvernera avec honneur et prudence la France, et l'Esprit du Seigneur sera avec lui. C'est ce qu'a dit l'Esprit. Et avant la fin du quatrième siècle, les ministres des autels pleureront et souffriront persécution pour la justice.
Le pasteur sera frappé et le troupeau dispersé. Et ce ne sera qu'après ce siècle qu'il y aura un autre pasteur qui conduira les peuples dans l'équité et les rois dans la justice. Et il sera honoré des princes et des peuples. Mais avant qu'il ait établi son empire, que celui qui n'a point fléchi le genou devant Baal fuie du milieu de Babylone, a dit l'Esprit.
Que chacun ne pense qu'à sauver sa vie, car voici le temps où le Seigneur doit, par la grandeur de ses vengeances, montrer la grandeur des crimes dont elle est souillée ; il va faire retomber sur elle les maux dont elle a accablé les autres.
Le Seigneur a présenté par la main de cette ville impie, désolatrice des peuples, dévastatrice de ses temples, meurtrière de ses prêtres, de ses rois et de ses propres enfants, le calice de ses vengeances à tous les peuples de la terre. Toutes les nations ont bu du vin de sa fureur ; elles ont souffert toutes les agitations de la et de la barbarie ; mais en un moment Babylone est tombée et elle s'est brisée dans sa chute, a dit l'Esprit.
Tout ceci arrivera pour épurer les bons et perdre les méchants, faire honorer l'Eglise de Dieu, faire craindre et servir le Seigneur.
Telles sont les paroles que l'Esprit a manifestées à son serviteur Jérôme, qu'il a écrites d'après ses ordres, et dont la vérité sera reconnue dans le temps. Amen
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
Re: PROPHÉTIES POUR NOTRE TEMPS
Prophéties sur l’Orient
(1480)
Cette prédiction est tirée d'un livre de la Bibliothèque Sainte-Geneviève,lettre Q, n°296. Il est intitulé : Prognosticon D. Magistri Antonii Torquati, etc.
Il fut dédié à Mathias, roi de Hongrie,en 1480, et imprimé à Anversen 1552 :
« La fortune flottera entre les Turcs et les Égyptiens ; tantôt ceux-ci battront leurs ennemis, et tantôt ils seront vaincus par eux. Et lorsque enfin les Égyptiens succomberont, ce sera après avoir chèrement vendu leur chute aux Turcs... Les Chrétiens traverseront la mer dans un élan spontané, avec tant de rapidité et tant de troupes, que l'on croira que toute la terre chrétienne vole en Orient...
La foi de Notre Seigneur Jésus-Christ sera portée dans les provinces de l'Orient, la croyance de Mahomet cessera, et les mahométans, les Indiens et les Juifs, demanderont le baptême de Jésus-Christ. Les Turcs embrasseront la foi du Christ, et les Chrétiens qui avaient renié le Christ reviendront sous son joug si doux, et les empires seront soumis à un seul souverain...
Les Turcs seront extirpés. On verra les hommes passer la mer par grandes compagnies, et l'église de Sainte-Sophie sera en valeur, et viendra toute félicité. Le Lion sauvage sera amené à la mère Eglise chrétienne avec un laz de soie, et sera faite nouvelle réformation, qui durera longtemps. Et le
nom de l'empereur des Turcs ne sera plus ouy entre les catholiques.
Un jour, la Mecque, Médine et autres villes de l'Arabie heureuse seront détruites, et les cendres de Mahomet, ainsi que ses partisans, seront dispersés sous les quatre vents du ciel. Ce sera un certain prince Chrétien né dans un pays septentrional qui exécutera tout cela, et il prendra en même temps possession de l'Egypte et de la Palestine. »
(1480)
Cette prédiction est tirée d'un livre de la Bibliothèque Sainte-Geneviève,lettre Q, n°296. Il est intitulé : Prognosticon D. Magistri Antonii Torquati, etc.
Il fut dédié à Mathias, roi de Hongrie,en 1480, et imprimé à Anversen 1552 :
« La fortune flottera entre les Turcs et les Égyptiens ; tantôt ceux-ci battront leurs ennemis, et tantôt ils seront vaincus par eux. Et lorsque enfin les Égyptiens succomberont, ce sera après avoir chèrement vendu leur chute aux Turcs... Les Chrétiens traverseront la mer dans un élan spontané, avec tant de rapidité et tant de troupes, que l'on croira que toute la terre chrétienne vole en Orient...
La foi de Notre Seigneur Jésus-Christ sera portée dans les provinces de l'Orient, la croyance de Mahomet cessera, et les mahométans, les Indiens et les Juifs, demanderont le baptême de Jésus-Christ. Les Turcs embrasseront la foi du Christ, et les Chrétiens qui avaient renié le Christ reviendront sous son joug si doux, et les empires seront soumis à un seul souverain...
Les Turcs seront extirpés. On verra les hommes passer la mer par grandes compagnies, et l'église de Sainte-Sophie sera en valeur, et viendra toute félicité. Le Lion sauvage sera amené à la mère Eglise chrétienne avec un laz de soie, et sera faite nouvelle réformation, qui durera longtemps. Et le
nom de l'empereur des Turcs ne sera plus ouy entre les catholiques.
Un jour, la Mecque, Médine et autres villes de l'Arabie heureuse seront détruites, et les cendres de Mahomet, ainsi que ses partisans, seront dispersés sous les quatre vents du ciel. Ce sera un certain prince Chrétien né dans un pays septentrional qui exécutera tout cela, et il prendra en même temps possession de l'Egypte et de la Palestine. »
Dieu seul suffit,l'aimer,le suivre et faire sa volonté.
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