UN VRAI FRANÇAIS : LEON ARMAND DE BAUDRY D'ASSON
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UN VRAI FRANÇAIS : LEON ARMAND DE BAUDRY D'ASSON
UN VRAI FRANÇAIS : LEON ARMAND DE BAUDRY D'ASSON
Voici vraiment quelu'un qui mérite nos peières, tant son amour de la France et de la Chrétienté était grand.
Léon Armand Charles Com de Baudry d’Asson, Marquis romain, né à Rocheservière, en Vendée, le 15 juin 1836, et mort à La Garnache, en Vendée, le 12 mai 1915, est un député royaliste de Vendée sous la Troisième République, de 1876 à 1914.
Adversaire irréductible de l’anticléricalisme de la Troisième République, il s’intéressa également à l’agriculture. Son écologie spontanéiste, beaucoup moins connue, rarement bien comprise que l'écologie politique moderne punitive, renferme dans son harmonie naturelle tout le secret des paisibles bonheurs humains. Membre d'une famille à laquelle il doit tout, le Royaliste, parce que Catholique et Français, se voue naturellement et quotidiennement à la prospérité de cette famille, tant corporelle que spirituelle, où le sort de chacun dépend de tous. La science et l'art de cette vie commune familiale, interfamiliale, humaine, s'appellent ou devraient s'appeler l'écologie et l'économie communautaires.
Armand Léon s’intéressait en particulier à l’agriculture et à la défense du Catholicisme. Il s’opposa ainsi aux funérailles nationales de Jules Ferry, déposant une proposition de loi pour faire abroger la loi créant l’enseignement primaire gratuit et obligatoire, ainsi qu’une autre pour faire abroger la loi rétablissant le divorce, déposée par Alfred Naquet (1895). Sous Léon Gambetta (président de la Chambre des députés), il est enfermé à la « cellule de dégrisement » (ou « petit salon ») du palais Bourbon après avoir traité le gouvernement de Jules Ferry de « gouvernement de voleurs ». Il fut d’ailleurs le dernier député à y avoir été enfermé.
Il propose en mai 1895 de retirer la nationalité française aux Juifs, ce qui le fera classer parmi les anti-sémites.
Adversaire irréductible de la politique anticléricale du cabinet d’Émile Combes, il tente de le mettre en accusation en 1902 et interpelle le gouvernement au sujet de l’expulsion des congrégations religieuses sur « l’état de guerre civile dans lequel M. le Président du Conseil a plongé la France ».
Il vote CONTRE la loi de 1901 sur les associations ainsi que contre la loi de 1905 de séparation des Églises et de l’État.
Réélu en 1906, il continue à s’occuper des rapports entre politique et religion, protestant contre la suppression des indemnités ecclésiastiques (1909) et déposant une demande d’interpellation sur « les persécutions religieuses contre les Catholiques ».
Aristo Vendéen, Royaliste parce que Catholique et Français, interessé par la défense de la religion et de la ruralité, il nous laisse là un héritage politique certain.
Hervé J. VOLTO
Voici vraiment quelu'un qui mérite nos peières, tant son amour de la France et de la Chrétienté était grand.
Léon Armand Charles Com de Baudry d’Asson, Marquis romain, né à Rocheservière, en Vendée, le 15 juin 1836, et mort à La Garnache, en Vendée, le 12 mai 1915, est un député royaliste de Vendée sous la Troisième République, de 1876 à 1914.
Adversaire irréductible de l’anticléricalisme de la Troisième République, il s’intéressa également à l’agriculture. Son écologie spontanéiste, beaucoup moins connue, rarement bien comprise que l'écologie politique moderne punitive, renferme dans son harmonie naturelle tout le secret des paisibles bonheurs humains. Membre d'une famille à laquelle il doit tout, le Royaliste, parce que Catholique et Français, se voue naturellement et quotidiennement à la prospérité de cette famille, tant corporelle que spirituelle, où le sort de chacun dépend de tous. La science et l'art de cette vie commune familiale, interfamiliale, humaine, s'appellent ou devraient s'appeler l'écologie et l'économie communautaires.
Armand Léon s’intéressait en particulier à l’agriculture et à la défense du Catholicisme. Il s’opposa ainsi aux funérailles nationales de Jules Ferry, déposant une proposition de loi pour faire abroger la loi créant l’enseignement primaire gratuit et obligatoire, ainsi qu’une autre pour faire abroger la loi rétablissant le divorce, déposée par Alfred Naquet (1895). Sous Léon Gambetta (président de la Chambre des députés), il est enfermé à la « cellule de dégrisement » (ou « petit salon ») du palais Bourbon après avoir traité le gouvernement de Jules Ferry de « gouvernement de voleurs ». Il fut d’ailleurs le dernier député à y avoir été enfermé.
Il propose en mai 1895 de retirer la nationalité française aux Juifs, ce qui le fera classer parmi les anti-sémites.
Adversaire irréductible de la politique anticléricale du cabinet d’Émile Combes, il tente de le mettre en accusation en 1902 et interpelle le gouvernement au sujet de l’expulsion des congrégations religieuses sur « l’état de guerre civile dans lequel M. le Président du Conseil a plongé la France ».
Il vote CONTRE la loi de 1901 sur les associations ainsi que contre la loi de 1905 de séparation des Églises et de l’État.
Réélu en 1906, il continue à s’occuper des rapports entre politique et religion, protestant contre la suppression des indemnités ecclésiastiques (1909) et déposant une demande d’interpellation sur « les persécutions religieuses contre les Catholiques ».
Aristo Vendéen, Royaliste parce que Catholique et Français, interessé par la défense de la religion et de la ruralité, il nous laisse là un héritage politique certain.
Hervé J. VOLTO
Hervé J. VOLTO- Date d'inscription : 19/12/2016
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